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Une manière d'arrêter le Subutex, témoignage de Grivois

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion grivois
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Non non pas de soucis, c'est moi.

Perso j'aurai jamais pensé au dxm (que j'ai testé 3-4 fois de ma vie), ça me semblait farfelu.

Excuses !! L'erreur est humaine !
 
Juste pour en revenir au tercian que tous le monde a critiqué de vive voix, je trouve que la est justement sa qualité, avoir un medoc qui ne donne pas envi d'en consommé de maniere récréative.
 
Je trouve aussi que le tercian est un excellent médicament dans le traitement d'une addiction. En tout cas son intérêt principal est de calmer les pulsions et de n'avoir aucun potentiel récréatif. Après vous parlez de dosage assez élevé qui me semble anormaux..
J'ai une prescription de tercian de 25mg le soir et éventuellement acau coucher mais ça fait 50mg en deux prises et pas 100mg en une prise unique. Je veux bien croire que pris comme ça les effets soient négatif. Néanmoins attention de ne pas diaboliser les choses... car c'est un traitement qui peut en aider d'autres que vous.
 
Bonjour
Enfin un forum A la page me voilà rendu à mon sixième jour d'arrêt de Subutex j'ai commencé à 16 mg Je suis maintenant à 0,4 mg J'ai descendu mois par mois Au total quatre ans de petits comprimés
Le moral n'est pas au beau fixe.
Mon médecin m'a prescrit du Broma...am Je voulais savoir ce que vous en pensiez j'en prends juste avant d'aller me coucher car cinq jours sans dormir ça commence à tirer vraiment beaucoup
Je suis routier donc le sommeil est très important pour moi
J'ai enfin réussi à dormir la nuit dernière Mais la fatigue est omniprésente!!
Je voudrais savoir pour les personnes qui ont arrêté plus d'un mois est-ce que les frissons et douleur aux jambes et aux bras reste encore longtemps.
C'est clair que le Subutex est vraiment un traitement très lourd a arrêté je suis à ma troisième tentative toujours soldée par des échecs Je n'avais encore jamais tenu six jours Je suis vraiment motivé l'achat de ma maison et beaucoup de travaux dedans
à venir dans deux mois donc j'espère d'ici là être vraiment mieux qu'en pensez-vous?
En tout cas ce poste est vraiment très bien rédigé et j'en suis sûre qu il peu aidé beaucoup de personnes qui souhaitent arrêter le Subutex Un grand merci au rédacteur de ce poste
 
Merci

Oui, pour répondre

Je voudrais savoir pour les personnes qui ont arrêté plus d'un mois est-ce que les frissons et douleur aux jambes et aux bras reste encore longtemps.

Oui les douleurs sont perceptibles même 1mois après, mais baissent .... C'est long le sevrage du subutex, et cette molécule est vicieuse.

Courage
 
Niveau Tercian, c'est au cas par cas, moi il m'a pas aidé ce médoc.
 
Bonjour à tous.
Je suis nouveau sur ce forum. En fait je m'y suis inscrit après être tombé sur ce topic.
Avant de demandé quoi que ce soit, je vais commencer par mon histoire, ça présentera un peu le contexte:
Alors allons-y:
J'ai grandi dans un très petit village de Lorraine. J'y étais le "petit intello", un peu mis à l'écart car pour les autres je ne pouvais évidemment pas comprendre ce qui était cool. Cependant je n'étais pas quelqu'un d'influençable, contrairement à mon grand frère. Lui était le contraire de moi, "le beau gosse" qui tombe toutes filles.
Arrivé au collège l'année où mon frère en était partit, j'étais toujours ce petit intello, mais protégé par les anciens amis de mon frère qui y étaient toujours. J'ai donc fini par trainé avec eux.
C'est à cette époque que j'ai commencé à voler quelques cigarettes à ma tante qui était fumeuse. J'ai commencé à devenir un peu plus rebelle pour casser l'image d'intello que j'avais, puis à fumer quelques joints très occasionnellement.

Puis j'apprends que l'on va déménager en Vendée, à Chantonnay. Je vois cela au départ comme un drame.
Mais rapidement une fois là-bas, j'y vois l'opportunité d'être enfin quelqu'un d'autre.
Je ne prête plus attention à mes cours et fini par redoubler ma 3ème.
C'est pendant cette seconde 3ème que je rencontre un ami dont les parents cultivent. La drogue devient donc quotidienne.
Je suis un adolescent heureux, bien que pas très populaire avec les filles avec qui je reste un peu timide, je fais enfin parti d'un groupe.

Malheureusement cela ne dure pas, je déménage en Bretagne. Au fond de moi je déprime, j'ai du mal à m'intégrer, ma scolarité reste un échec. Je n'arrive à m'entendre qu'avec ceux qui comme moi se droguent.
J'en viens à fantasmer d'être un junkie (je n'ai jamais vraiment compris le pourquoi cependant).
J'arrête mes études en fin de 1ère et trouve un boulot en usine. Les poches pleines d'argent je commence à toucher aux drogues durs occasionnellement.
Puis j'ai le permis, ayant grandi avec la musique techno puis le hardcore/hardteck je fais rapidement de la teuf. Je prends du lsd, de l'extasie, de la cocaïne et de l'héroïne. Ma préférée étant cette dernière.
Je finis par arrêter les exitants après une soirée où j'ai vraiment cru mourir (j'en parle un peu ici: http://www.psychonaut.com/salon-annonces-generales/34255-google-page-rankingesentations-378.html#)

Je passe deux ans à prendre de l'héro régulièrement mais pas quotidiennement. Puis un beau jour, les manques apparaissent...
Cela devient donc quotidien, j'y dépense presque tous mes salaires mais pas encore mes économies.
En avril/mai 2009, cela devient incontrôlable, toutes mes économies y passent ainsi que le salaire (soit un peu plus de 5500€). Je commence donc un traitement Subutex à 8mg.
Je consomme toujours, mon traitement servant à comblé les périodes où l'argent manque. Cela dure 3-4 ans pendant lesquels je me coupe petit à petit du monde. L'héroïne devient de moins en moins présente, je commence à réfléchir à une autre vie.

Depuis environ deux ans, je me contente de mon traitement, même si je n'arrive pas à le prendre en sublingual. J'arrive à le diminuer à 6mg pendant un temps, puis revient finalement à 8mg.
Aujourd'hui je n'ai plus aucune vie sociale hormis mon travail. Je suis du genre à avoir une énorme volonté, mais qui s'use assez vite. J'ai donc commencé à envisager à arrêter brutalement, mais connaissant le manque, la peur de le revivre m'en empêchait.
Je commence donc à faire quelques recherches, puis tombe sur ce topic. Quelle révélation !!! Il est donc possible d'arrêter brutalement sans pour autant subir le manque à pleine dose.
J'ai donc pris rendez vous hier avec mon médecin pour en parler, elle ne sait pas trop comment m'encadrer n'étant pas très au point sur l'addictologie. Elle appel donc le centre d'addictologie pour me prendre rendez vous avec eux le 17 mars, la secrétaire qu'elle a au téléphone lui déconseille l'arrêt brutal...
Je vais donc aller les voir le 17 en espérant qu'il m'aide comme je l'entends. Si cela n'est pas le cas, mon médecin m'a demandé de venir la revoir sachant qu'elle profitera de ce temps pour se renseigner au mieux de son côté.

Voilà en gros où j'en suis.
Qu'en pensez-vous? La méthode «Grivois» reste elle envisageable même au double de sa consommation?
Avez-vous des conseils pour moi? Sachant que mon anniversaire est le 21 et que je suis bien décidé à ne plus prendre de Subutex avant cette date.
 
je ne sais pas pour la méthode, mais j'irai quand même te dire un truc : tu te fixe d'avoir arrêté avant le 21, mieux vaut au pire ne pas respecter cette date, mais faire un arrêt efficace et dans la durée, plutôt que d'aller trop vite et de risquer une rechute.
 
Oui ça je m'en doute bien. Cette date est plus une motivation pour ne plus toujours remettre au lendemain comme je le fais depuis trop longtemps déjà.
 
Salut Ohayo, pour ma part, j'serai plutôt d'accord avec Gleskorry parceque pour moi c'est ce qui fonctionne.
Mais cela étant, je reste convaincu qu'il y a autant de methodes de seuvrage qu'il y a de toxicomanes. Chaque parcours est unique, chaque traitement aussi. Certaines methodes de seuvrage "brutal" peuvent convenir à certains mais pour d'autre, ce sera juste la cata. Je ne me permetrais pas d'avoir un avis tranché là dessus mais tout ce que je sais, c'est que parmi mon entourrage, l'énorme majorité des gens qui ont tenté un seuvrage à la dur, ont replongé les 2 pieds dans le plat par la suite (sur des durées plus ou moins longues selon les profils), avec à la clé un retour encore plus violent dans les prod.
Grivois à l'air d'avoir une volonté particulièrement tenace (d'après les post que j'ai pu lire ici, je ne le connais pas personnelement) et une trajectoire qui, à un moment donné, l'a amené à tenter et à réussir ce type de seuvrage et à tenir le cap jusqu'à ce jour (ce qui est vraiment énorme, encore bravo Grivois t'es un exemple pour moi) parceque j'imagine qu'il avait surement pas mal réfléchis sur les raisons de sa dépendance et sur le changement de cap qu'il voulait faire, quelle qu'en soit la difficulté.

Cela dit, je ne pense pas qu'on puisse généraliser sa methode. Je ne suis pas certain que tout le monde soit capable d'arriver au même résultat parceque tout le monde est différent. Certes nous sommes tous des humains avec un cerveau plus ou moins constitués de la même façon mais nous n'avons pas tous les mêmes histoires, les mêmes objectifs, nous n'en sommes pas tous au même point dans nos vie, nous n'avons pas tous les mêmes facteurs de prédisposition génétique (ok, je deteste ce terme parceque je sais qu'on peut énormément influer dessus mais je le prends quand même en considération dans ma réflexion).

Mais, comme je te disais, j'peux me tromper, j'te donne juste ma vision du truc même si elle n'est pas bornée.

J'pense à un truc : ne pourrais-tu pas trouver un médecin qui maitrise parfaitement les problématique d'addicto (honnêtement ça change tout) ?
As-tu déjà réfléchi aux raions qui font que tu n'arrives pas à prendre ton sub correctement (pour moi c'était idem) ?
Pourquoi le sub en particulier ? As-tu déjà pensé à un autre type de traitement ?
As-tu déjà pensé à voir quelqu'un pour discuter du fond des choses (plutôt que de de la forme) ?
 
Merci pour ces éloges Aure ;) Volonté tenace: le terme est bien trouvé, ça ne s'était pas fait tout seul ! Mais effectivement, tout est propre à chacun.

Comme je l'ai dit dans ce topic, avant de trouver "ma méthode " (par contre je n'ai pas spécialement prémédité le moment) j'ai eu pleins d'échecs, même j'y croyais plus de pouvoir arrêter. Ça s'est fait par le concours de circonstances du fait que j'en avais un sacré ras le bol du subutex et sûrement "renforcé" par l'expérience des échecs précédents avec en prime une âme généreuse qui m'a soutenu d'un soutien "productif" en la matière.

J'ai bien mis dans le titre "Une" manière, pas "La" manière, et en fait j'aurai du mettre pour être plus juste "Ma" manière, parce qu'en effet c'est pas forcément adéquat avec l'état d'esprit d'autres personnes dans le même cas de figure.


Ohaio:

Tu t'en demande peut être beaucoup sur ce coup là, je prendrais moins en quantité, et ce depuis un moment. Essaye peut être de diminuer encore sur un mois ou 2, avant de te lancer dans un sevrage "brutal" si en a vraiment envie, parce que tu l'a bien constaté par ton médecin, l'addictologie et les membres ici: c'est à double tranchant. Et par expérience je sais qu'un arrêt raté baisse la volonté, et par ce fait te fragilise...

Accroche toi, et sache quand on veux, on peux !
 
Merci beaucoup de m'avoir répondu.
Oui je me rend compte que je m'en demande beaucoup sur ce coup là. Mais cette décision est réfléchie.
Je sais que les risques d'échecs sont conséquents, mais honnêtement, je ne crois pas avoir à y perdre. Dans le pire des cas, je recommence mon traitement. L'héroïne est sortie de ma vie depuis quelques années maintenant, et même si j'avoue qu'il m'est arrivé de repenser à cette belle époque où l'on commence, je me remémore aussitôt celle beaucoup moins belle qui a suivit.
De plus, rien que de sortir de l'argent pour ça me ferait mal au coeur. J'ai beaucoup d'autres projets, une vie qui m'attend. Mais pour cela je dois d'abord me sortir du Subutex et je n'ai donc absolument plus envie d'héroïne.
Sinon pourquoi le Subutex et pas un autre traitement du genre méthadone? Simplement parce qu'elle me fait peur. Tous ceux que j'ai connu qui sont passé par la méthadone après le Subutex m'ont dit au début: "c'est génial, je me sens revivre, je n'ai plus envie d'autre chose maintenant". Mais le jour où ils ont essayé d'arrêter, ils ont aussitôt replongé.
Je me trompe peut-être, voir même sûrement, mais j'ai l'impression que la méthadone masque l'envie de consommer, et par là même trompe la personne en lui faisant croire que le manque psychologique est fini. Du moins c'est comme ça que je la vois. Alors que le Subutex ne m'a jamais enlevé l'envie de consommer. Je préfère affronter le manque psychologique en face que me leurrer avec un autre produit comme je me suis leurrer sur le manque physique avec le Subutex. Si j'avais su à l'époque, je serais de préférence passer par un arrêt brutal.

Il me reste une dizaine de jours avant mon rendez vous. Par le passé il m'est souvent arrivé de tenir quelques semaines à 4-5mg sans trop de difficulté physiquement (j'abusais parfois de mon traitement alors je prenais un peu dans celui de mon frère, du coup je devais me restreindre pour pouvoir lui rendre ensuite).
Du coup je me suis déjà préparer mon Subutex pour les jours à venir en diminuant un peu la dose progressivement histoire d'être le plus près possible de la moitié de mon traitement.
Pour le moment je tiens ma journée avec 6mg sans frustration en sublingual.

Vous savez, je vois bien que je passe pour un bourrin là! :mrgreen:
J'ai toujours fonctionné en faisant comme ça.
Pour autant je ne me met pas la pression. Je le vois comme un essai. S'il s'avère au bout de quelques jours que je vais droit dans le mur, je recommencerais mon traitement en vue de m'y prendre autrement.
Si au contraire comme lorsque j'ai arrêté le cannabis je m'aperçois que c'est à ma portée (évidemment ce ne sera pas aussi facile que cette fois là), alors j'aurais tout gagné.

J'ai commencé la drogue lorsque j'étais un petit gamin qui n'avait pas confiance en lui et qui ne savait pas ce qu'il voulait faire de sa vie.
Entre temps je suis devenu un homme, j'ai parfaitement confiance en moi, et la seule chose qui m'empêche d'être pleinement heureux, c'est une erreur de jeunesse qui me colle au train sous la forme d'un petit comprimé blanc par peur de la souffrance physique.
Jusqu'à il y a peu, les seuls renseignements que j'avais étaient que le manque du Subutex c'était trois longues semaines intensives sans pouvoir se lever de son lit, que l'on pouvait mourir du manque ! et que toute ma vie j'aurais à lutter contre l'envie d'en reprendre.
Apprendre que ce n'est pas forcément le cas, que je pourrais peut-être même continuer à travailler et qu'un jour ce serait définitivement derrière, c'est le déclic qu'il me manquait.
J'ai du coup passé ces dernières semaines à ne penser qu'à ça. Je vois depuis longtemps ce moi parallèle qui n'aurait pas fait cette bêtise, et aujourd'hui je me rends compte que je peux peut-être encore le rattraper. Que tout n'est pas encore perdu, loin de là. Je pensais bêtement que les dés avaient été jetés et qu'il ne me restait plus qu'à subir ce qui m'attendait en essayant d'être le moins regardant possible pour ne pas en déprimer (c'est pour cela que je continuais les traces, dans mon esprit je ne pensais pas en sortir un jour, alors autant s'assommer avec pour ne pas prêter attention à ma situation).
Tous mes amis ont finis par me laisser sur le côté pour continuer leur vie, car j'étais un frein pour eux. Et je ne leur en veux absolument pas, après ci longtemps, il était normal qu'ils aient droit au bonheur qui leur est dû et dont je m'étais moi même privé du mien sans que je ne les empêche ou que ma présence ne leur fasse culpabiliser.
Comment aurais-je pu me rendre compte alors qu'il y avait encore de l'espoir pour moi aussi?
C'est cet espoir, celui d'être enfin MOI, et plus cette image que j'ai voulu créer et qui m'a bouffé, qui me donne cette rage. Et je veux tout tenter tant que cette rage est là à mes côtés, avant qu'elle aussi ne se fasse bouffer par le Subutex et la solitude.

Désolé j'ai tendance à pondre des pavés parfois. J'ai toujours aimé écrire, alors parfois je m'emporte ;)
En tout cas j'espère que j'ai réussi ne serait-ce qu'un peu à vous montrer ma vision des choses et pourquoi j'agis sans doute un peu comme un "bourrin".
 
Ohayo, t'as l'air de savoir ce que tu veux et t'as visiblement préparé ton truc dans ta tête. Dans ce cas, je ne peux que t'encourrager dans ta démarche ! gogogo :) #goodluck amigo
 
Une motivation comme ça, c'est rare. Je ne suis pas concerné par cette addiction, mais du fond du cœur, bonne chance !
 
6mg c'est beaucoup, mais y'a des gens qui le font. Moi j'ai diminué le plus possible, genre -0,5 toutes les 2 semaines ou tous les mois. Au bout d'une petite semaine après avoir baissé tu retrouves ton confort totalement (rien de bien hard les premiers jours, genre juste tu bailles et t'as un peu froid 2/3 heures avant la prise) Comme ça tu descend easy, puis quand t'arrives à 0,4 là c'est plus très dur physiquement.

Enfin t'as l'air de savoir ce que tu fais, puis si t'as la motive c'est le principal. Je te souhaite que du bon, et surtout de trouver un équilibre sans cette béquille. Tiens nous au jus pour la suite ;)
 
Merci pour vos encouragements.
Demain je passe à 5mg. Je pense que ça ira. Peut-être un peu les jambes qui trembleront, on verra bien.
Je repasserai régulièrement vous faire part de l"évolution des choses. Puis je viendrais sans doute faire le point une fois mon rendez vous au centre passé.
Bonne soirée à tous.
 
Bon, pour le moment ça va avec 5mg.
J'étais partit à 10mg (oui, il y a peu je tenais avec 6mg, puis le mois dernier c'était repartit, j'ai pris mon traitement en 3 semaines au lieu d'un mois). C'est pour ça que j'avais commencé à chercher des infos sur l'arrêt brutal, parce que ça fait longtemps maintenant que je ne faisais que diminuer pour mieux merder derrière.
Bref, comme je m'en doutais (c'est toujours au bout de quelques jours après avoir beaucoup diminué que ça se corse) j'ai les jambes "nerveuses", je baille beaucoup en fin de journée et les yeux qui pleurent un peu. Mais c'est plutôt gérables.
Ce week end je vais continué à 5mg, voir peut être à 4mg. Pour la semaine prochaine je travaille seulement le matin, donc je vais tenter de prendre seulement 3mg pour le boulot, et je ferais avec pour le reste de la journée.
Au final tout ça me conforte dans ma décision et renforce ma motivation. Si je peux passer de 10mg à 3mg en moins de deux semaines, alors je "pense" que j'y arriverais.
 
Il ne sert a rien de te fixer des objectifs corsés.
Le but de la substitution c'est le confort de vivre sans consommer.
Grivois est un cas a part (comme Gamida), des mentalités de spartiates les gonzs^^

Bref faut pas brusquer les choses.
Patience et longueur de temps font plus que force ni courage. (dixit un écrivain trouvable via google)

Tchuss man ;)
 
Exact!
*s'en va se cacher dans sa grotte*

EDIT merde Guy sale 'foiré t'as niké mon envolée lyrique.
Je te conchie vieux, je te conchie !!!!
 
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