Gamida
Holofractale de l'hypervérité
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castel a dit:bon ben salut les gars grosse deception pour mon exp , j ai cru que j arriverai a arrete le sub avec de faible dose de dxm, j etais bien parti, les lendemain de dxm en faite tu peut arrete toutes les mauvaise mani que tu a.....mais le dxm sans vas ,360 mgtout les 3 jours, le 3 eme jour, et rebolotte etant donne quon peut pas trippe tout les 2 jours, reprise de sub, reprise d autre produit pour calmer le deprim des lendemain de dxm, c la merde .....je suis tout de meme a 3/4 de sub de 2mg/jour , c pas beaucoup mais c trop . le dxm.....sa fatigue mentalement .....mais c dla balle;....lol..........
a vous les studio.......
Le problème n'est pas vraiment, à mon sens, dans ce cas de figure comme le suggère Sludgy, à raison d'ailleurs, de remplacer une addiction par une autre, car on est là dans un cas de force majeur et il ne faut pas avoir peur d'utiliser l'artillerie lourde.
On est déjà au fond du trou, et tout ce qui est entrepris, évidemment de façon sincère, pour s'en sortir, trouve sa place dans la démarche et, est totalement justifié sans équivoque, si on le fait intelligemment et avec sincérité dans son intention.
A partir de là, même le plus gros des plantages, sonne comme une victoire.
Comme je l'ai déjà fait et que plus reçament Grivois à pu en faire l'expérience victorieusement aboutit (ainsi qu'une autre ami à moi en dehors du fofo, vielle Junkie, qui avait connement replongé, à la brune ces dernier temps, et qui s'est sevrer sans véritable difficulté de la m^me façon que Grivois),
je pense qu'il est judicieux de pouvoir utiliser un opiacé « léger » (pour la certitude de son action réel sur ce type de sevrage), sur une période permettant le sevrage en douceur du sub sans tomber dans une nouvelle dépendance à se substitut provisoire.
De toute façons, en concevant le pire, dans l’échec de la pratique, au maximum, tu te retrouves légèrement dépendant d'un opiacé « léger » qui te laisse un large marge de manouevre pour y remédier et te sevrer, ce qui est sans comparaison avec la dépendance au Subu .
Il est dans la foulée, très facilement abordable de se défaire de cette addiction « légère » sans véritable difficulté.
Bon, après, Castel, ta reconstruction et le retour du goût à la vie, ça se fait progressivement mais sûrement et naturellement, du simple fait d'avoir stopper les causes qui étaient à l'origine de leur disparition.
Et puis libre à toi de t'intéresser à toi, de prendre soin de toi et de mettre en pratique, en accord et harmonie avec tes goût, des activités qui te permettrons de retrouver ces sensations de plaisirs, voir des pratiques et une hygiène de vie, qui te permettront d’accélérer le retour du bien être physique et du confort et de l'équilibre mental, à notre époques, ce n'est pas ce qui manque, faut juste faire le pas ;o).
Perso, je ne pense pas qu'il soit judicieux, voir même très risqué et dangereux, de faire rentrer en jeux, pour se sevrer des opis, une nouvelle molécule qui présente elle même des risques d'addictions sous une autres formes.
Le sevrage au Opiacé, sa se règle en famille , avec des opiacé ;o) LOL
Le mal par le mal, en en maîtrisant, intelligemment et par sa sincérité, la subtilité.
si tu veux, tu peux me contacter en mp ;o)