M
Monsieur Mouette
Guest
T'es carrément pas à l'ouest.
Franchement, mon raisonnement quand je prode (quand j'en ai un), c'est (on va dire avec un bon carton bien dosé) :
Avant :
1 - J'ai franchement envie de me retourner la gueule
2 - Qu'est-ce que ça va être marrant
Ensuite, pendant :
3 - Oh putain je suis complètement chéper
4 - Hé mais en fait ma vie c'est CA ?! Whoa je comprends mieux
5 - Oh putain
6 - MAIS C'EST CA LA VIE, C'EST CA !!!
Après :
7 - ......
8 - café
9 - ... Bon. Waw. D'accord. Ben allez, on y va.
***retour au quotidien***
Caricatural et simplifié, hein. (SANS BLAGUE) Mais autant j'y vais toujours avec une envie de fuir, de me retourner la gueule (clairement, de saisir l'opportunité d'un changement de point de vue, de repos pour l'inconscient qui sera moins sclérosé et pourra s'exprimer un peu plus librement), autant pendant j'ai réellement l'occasion d'examiner des choses selon un angle que je n'ai pas sobre, ou en tout cas que je n'ai pas quand je suis la tête dans le guidon. Je suis tout le temps la tête dans le guidon. S'pour ça que j'avais commencé ma thérapie. La thérapie ça aide, sur le long terme. Les prods, ça me permet de m'aider, sur le court terme. C'est vraiment un pont vers l'exutoire, l'extra-ordinaire, le rire, et encore une fois : le primitif. Je n'en prends pas spécialement pour y chercher une quelconque aide, j'avance sans ; juste un side effect.
Après, dépendemment du contexte, c'est soit "oh, merde" soit "oh, merde mais putain whoaaaa la baffe !"
Genre au Hadra, c'était exceptionnel ; et c'est là que je vais marteler de bien faire son s&s. Parce qu'autant c'était immense, autant ça a dépendu (oui oui dépendu) pas mal des évènements et des rencontres. Si j'avais pas rencontré la p'tite masseuse, s'il s'était pas passé ça, ça, et ça, je serais sûrement revenu comme je reviens d'une soirée "average" : pas plus avancé à la sortie qu'à l'entrée. Donc bon. C'est quand même pas mal random.
Mais, après tout, c'est ça, le sel de la vie ! La substantifique moelle, la cerise sur le gâteau, oui mes amis, le petit Jésus sur la grosse Marie, le petit Grégory dominical, l'hameçon sur la canne à perche, la panne de gaz à Dachau le jour de Noël, c'est CA ! OUI ! C'EST LA VIE !! LE HASARD ! OUI !!!
Franchement, mon raisonnement quand je prode (quand j'en ai un), c'est (on va dire avec un bon carton bien dosé) :
Avant :
1 - J'ai franchement envie de me retourner la gueule
2 - Qu'est-ce que ça va être marrant
Ensuite, pendant :
3 - Oh putain je suis complètement chéper
4 - Hé mais en fait ma vie c'est CA ?! Whoa je comprends mieux
5 - Oh putain
6 - MAIS C'EST CA LA VIE, C'EST CA !!!
Après :
7 - ......
8 - café
9 - ... Bon. Waw. D'accord. Ben allez, on y va.
***retour au quotidien***
Caricatural et simplifié, hein. (SANS BLAGUE) Mais autant j'y vais toujours avec une envie de fuir, de me retourner la gueule (clairement, de saisir l'opportunité d'un changement de point de vue, de repos pour l'inconscient qui sera moins sclérosé et pourra s'exprimer un peu plus librement), autant pendant j'ai réellement l'occasion d'examiner des choses selon un angle que je n'ai pas sobre, ou en tout cas que je n'ai pas quand je suis la tête dans le guidon. Je suis tout le temps la tête dans le guidon. S'pour ça que j'avais commencé ma thérapie. La thérapie ça aide, sur le long terme. Les prods, ça me permet de m'aider, sur le court terme. C'est vraiment un pont vers l'exutoire, l'extra-ordinaire, le rire, et encore une fois : le primitif. Je n'en prends pas spécialement pour y chercher une quelconque aide, j'avance sans ; juste un side effect.
Après, dépendemment du contexte, c'est soit "oh, merde" soit "oh, merde mais putain whoaaaa la baffe !"
Genre au Hadra, c'était exceptionnel ; et c'est là que je vais marteler de bien faire son s&s. Parce qu'autant c'était immense, autant ça a dépendu (oui oui dépendu) pas mal des évènements et des rencontres. Si j'avais pas rencontré la p'tite masseuse, s'il s'était pas passé ça, ça, et ça, je serais sûrement revenu comme je reviens d'une soirée "average" : pas plus avancé à la sortie qu'à l'entrée. Donc bon. C'est quand même pas mal random.
Mais, après tout, c'est ça, le sel de la vie ! La substantifique moelle, la cerise sur le gâteau, oui mes amis, le petit Jésus sur la grosse Marie, le petit Grégory dominical, l'hameçon sur la canne à perche, la panne de gaz à Dachau le jour de Noël, c'est CA ! OUI ! C'EST LA VIE !! LE HASARD ! OUI !!!