Quoi de neuf ?

Bienvenue sur Psychonaut.fr !

Le forum des amateurs de drogues et des explorateurs de l'esprit

Poésie

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Strange
  • Date de début Date de début
le Radeau de la Méduse tangue, erre et ondoie
après l'orage, en ses dernières rafales
quand le ciel, son souffle et l'onde se voient
lors de retrouvailles, jusqu'à la prochaine fois
pas de boussole, ni capitaine, aucun gouvernail
juste un sursis à prendre sur les champs vagues
quand la Méduse s'amuse à suivre la muse...
 
Pluie, nuages, éclaircies,
Dieu me pisse dessus
Et les escargots en rient
 
Skruffy a dit:
Chaque geste
Sous la lumière du luminaire
Elle se promène à travers les tables et les casseroles
Ses yeux oranges et verts fixés sur sa tâche.

Un grand pull noir,
Une taille toute fine quand elle l'enlève
Dans la chaleur de la cuisine.

Son nombril qui danse
Entre son crop top et
La ceinture qui dessine le creux de son dos.

Ses cheveux derrière ses oreilles
Son nez, son cou, ses épaules.
Et ses jambes qui descendent
De ses fesses à ses pieds.

Ses lèvres qui s'écartent pour laisser passer une voix grave
Qui balance d'un bout à l'autre de sa bouche -
J'en oublierais presque ses yeux.

Et moi, à vider les verres dans un coin
À gratter des vers sans jouir
Je touche au divin
A goûter chaque courbe, chaque geste, chaque sourire.

J'aurais voulu l'embrasser et j'ai écris un verset.

Mais lecteur, dis toi bien que tu rates le meilleur.
Tu as mes gribouillis
Et moi, tranquille, je garde la lumière, la cuisine. La fille.
J'ai la beauté, nique sa mère le bonheur.

Vraiment énorme !! ;) 

"J'ai troqué mes calmants pour du Cioran,
Dans un torrent de vers j'éparpille mes pensées dans un bouillonnement,
Je me vide de mes agitations, j'abandonne finalement mes tensions,
Actualise mes expérience enfouies, mon vécu chaotique intimes
Abandonne dans le Lyrisme, ces sentiments existentielles et autres phénomènes,
Et dans ce besoin d'extériorisation, il ne faut pas que je perde ce rythme torrentiel,
Dévoilant dans mes errances lyristique ce que je cache en moi même,
Je me démène et me démêle compulsionnel et confidentielle dans cette poésie circonstancielle"

J'avais écrit un plus long texte mais je l'ai perdu :(  Du coup j'ai retranscrit l'essentiel ^^
Edit: putin je l'ai retrouvé^^
 
Merci camarade!

Coup de stress, coup de press'
La gorge sèche
Le cœur qui bat la chamade
J'veux m'exprimer mais je parle en charades

Boule dans la gorge, cordes vocales en cage
Depuis petit c'est la même merde
Même si avec le temps j'ai développé ma verve
Demain je dépasserais l'blocage

Mais nique les lendemains qui chantent
C'est maintenant qu'je hurle

2021 Skruffy-ORA tout les acquis brûlent
J'arrive, j'allume la flamme j'en ressors grandi
Je parle à l'aise comme dans le rush de mandy
 
Acide dans la poche
Feu odorant qui me parle,
Promet les étoiles.

Je verrais bien un recueil de poésie et de TR de psychonaut
 
Acide dans les veines
Frissons sursautant odeur
Du feu qui m'imprégne

Je me disais bien que j'avais déjà vu ça qq part. Je pourrais me chauffer à faire un truc
 
Vague d'acide,
Mer d'alcool,
Le haïku cede devant les fumerolles

Et toujours je crois entrevoir
Cette divine obsession qui a en son savoir
Toute chose

Acid-303 gravé à l'encre noire
Une réponse et un défi à l'abreuvoir
De médiocrité

Petit con sous trip
Comme un vieux sage mité
 
9h du mat' premières lignes
Première spirale
Premier trip

Du recueil de trip report Psychonaut.
Envoyez les meilleurs TR du site en MP.
 
Pas le temps d'écrire un poème,
Je suis occupé à gérer mes problèmes,
J'ai pas le temps de me connecter,
Mais pour psychonaut je suis toujours opé.
 
Ici, la vie est trop dense pour nous
Des ronces pleins les pattes et les bras
Et j’respire enfin loin de tout
Surtout du tout à l’égout et j’aboie
D’joie comme un chien qu’a quitté la SPA
Au réveil fini les larmes et
Les spliffs devant des immeubles si laids
C’est avec le sourire qu’en face
Du lac et son bois, bois mon café et danse
 
Fly comme en apesanteur
Pendant une heure j'met les voiles
Mais c'qui a dans les pochons
C'est pas de la poussière d'étoile

Donc le matin j'me réveil à la masse,
A me dire 'j'en reste là'.
Mais j'trouve des excuse à mes faux pas
Donc j'dirais stop qu'après avoir tapé ma trace

L'ennemi est pas dans mon pochetard
Il est à l'intérieur
Donc j'm'en vais boxer d'vant l'miroir
Pour être paré quand le soir
Surgiront mes voix inférieures.
 
J'm'accroche a des bulles de son
Pour partir comme en songes
Quand la mélancolie m’inonde
Pour m'en sortir j'alchimise ça en ondes

J'ai pas envie de parler
Ni envie de venir​
J'me sens mieux dans l'gouffre familier​
Le joyeux monde me fait vomir

J'ai pas envie de pleurer
Et j'ai pas envie de rire
J'me sens plus vrai dans mes déprimes
Que dans mes sourires

Aujourd'hui je crois que je vais rien faire 
Si ce n'est m'rouler dans ma noirceur 
Ça contente pour un un temps
ça fout d'l'encre sur la feuille
Et du bitume au cœur

J'ai pas envie de parler
Ni envie de venir​
J'me sens mieux dans l'gouffre familier​
Le joyeux monde me fait vomir

J'ai pas envie de pleurer
Et j'ai pas envie de rire
J'me sens plus vrai dans mes déprimes
Que dans mes sourires
 
Trente fois one night in Hackney
Techno le son qui m'anime
Les prod qui m'abime
Et les filles qui affutent ma rime

Trente fois one night in Hackney
Je veux toujours me souvenir
De vos visages, vos sourires
De tes dents et tes soupirs

Trente fois one night in Hackney
J'laisse derrière moi,

Des mégots d'spliff
Une jolie fille.

J'emporte ma valise, mes vinyls
Mes souvenirs.
 
Tu fais rêver avec ta vie mec, ya trop d'ennui de mon côté
 
Dans la queue me fais chier
Pas le temps de pondre
Un chef d’œuvre c’est du vite fait
On est parti mais pas b’soin d’aller à Londres
Ouais j’avais pas de Rime
Ni l’temps d’en trouver
Autour tout s’anime
Et c’est mon tour j’m’en vais
 
Retour
Haut