Poésie sans rimes :
L
e collège, un sacré bordel,
Les camarades à ce moment là n'étais pas alliés.
C'était le plus beau gosse, qui s'est dépucelé 15 ans avant les tanguis comme moi.
Mais, après m'être assis seul, pensant que ma vie collégiale serait l'enfer.
U
n ange s'est assis à côté de moi, il transpirait la confiance en lui,
C'était pas de l'amour évidemment, mais un coup de foudre amical.
C'est aussi lui qui m'a devergondé, fumé mon 1er joint, pris mon 1er excstas.
On séchant tous les cours de sport pour aller jouer à tekken, ou gran tourisme chez ses parents.
J
'avais un meilleur ami, un peu plus tard j'en ai eu un autre, un Camerounais,
Mais lui malheureusement est décédé, la mort l'a enlevé trop tôt, à 45 ans.
Il a laissé derrière lui une gentille fille, une femme aimante, et un gros bizness illegal.
Il a emmené tout cela dans son cereuil.
C'
est là que je me suis dit que l'amitié avait une valeur inestimable,
Quand j'allais mal, il me rassurait...
Quand il allait mal, je m'occupais de lui aussi.
Une vraie relation fraternelle.
J
usqu'au jour où je l'ai invité chez moi,
Alors que j'étais en mode dépressif et procrastinationniste,
J'ai dû le dégoûter, il a changé, il semblait gêné.
Le lendemain je l'ai apellé pour m'expliquer:
"Efface mon numéro connard".
J'
ai essayé de le joindre 4 fois, par SMS, mail et courrier,
Mais visiblement, j'ai dû être trop nul comme copain.
M
ais je t'en veux pas, c'était comme un vrai deuil,
Je me suis retrouvé seul amicalement pendant des années,
Failli faire l'irréparable à cause de ça.
6 ans plus tard, je me dis, de façon pragmatique, qu'il en soit ainsi.
C
omme on fait son lit on se couche, tu te retrouvera seul.
J'ai eu écho que tu as fait pareil avec 99% de tes autres potes....
J'ai presque pitié pour toi J. ta rancœur te bouffera tout cru.