Sludge
Holofractale de l'hypervérité
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Le problème que je retrouve toujours chez les gens qui s'expriment de cette façon, c'est une conscience du problème du libéralisme et du capitalisme, d'une nostalgie d'un passé en partie fantasmé, mais qui traduit un décalage légitime, mais un refus du processus révolutionnaire nécessaire à une réappropriation du commun. Si tu voyais la vie dans les ZAD, ou dans les montagnes Ariégeoises, tu verrais qu'il est là, ce vivre ensemble chérissable, où chacun se soucie des autres, où il y a un sentiment de proximité avec les autres...
Mais que ce monde dessiné par l'ultra libéralisme n'a rien à voir avec la présence d'étrangers, et qu'il y a nécessité d'une conscience collective de ces problématiques, et une solidarité envers le vécu de chacun, une ouverture vers la souffrance qu'ils vivent dans ce monde, parce qu'elle est particulière même si elle est au final proche de celle de tes semblables, qu'ils partagent la même réalité sociale que la tienne (même si je ne la connais pas) avec en plus la discrimination raciste.
Après il est possible que tu n'aies rien contre la hiérarchie, et que du coup la liberté ne t'intéresse pas tant que ça, à part la tienne.
Le tiers chemin
Mais que ce monde dessiné par l'ultra libéralisme n'a rien à voir avec la présence d'étrangers, et qu'il y a nécessité d'une conscience collective de ces problématiques, et une solidarité envers le vécu de chacun, une ouverture vers la souffrance qu'ils vivent dans ce monde, parce qu'elle est particulière même si elle est au final proche de celle de tes semblables, qu'ils partagent la même réalité sociale que la tienne (même si je ne la connais pas) avec en plus la discrimination raciste.
Après il est possible que tu n'aies rien contre la hiérarchie, et que du coup la liberté ne t'intéresse pas tant que ça, à part la tienne.
Le tiers chemin