Mon regard cherche son repaire.Un panorama, certes banal m'attire.
Avec symetrie trop regulière
Des vitrages, transparents mais opaques, s'étirent.
claustrophobie, angoisses, peur.
Sous les pluies dansantes, d'involontaires évadés se devoilent avec rancoeur,
Se ploient et souffrent, et leur légères soucoupes voltigeantes,
Comme tourbillon sur la terre s' abattent.
Ces evadés pleurent leur demeure avec douceur,
La foret sans coeur , avec ses mystères nous parait morbide, et des lutins est vide .
La feuille est blanche, il faudrait donc y écrire. Que le sang du poète autrui fasse rire.
Ce clown met les mots en mascarade et chacun devient l'inconnu camarade.
La feuille est blanche , que voulez-vous qu'il écrive ?
les pleurs et les cris de ce monde a la dérive?
Famine , Misère , Tortures : il s' Insurge
Il est clown , pas dramaturge
La feuille est blanche et les oiseaux noirs,ivres de joie renoncent au purgatoire.
L'enfant se prélasse dans ce conte .
Ces choses là se vivent et point ne se racontent.
La feuille est blanche,Langoureuse et immortelle,
telle cette femme pulpeuse et mortelle,immaculé par le feu qu' elle lance,
le poète s' éteind sur les mots du silence