Loutre
Holofractale de l'hypervérité
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Quetzal a dit:(bien que, le truc flippant, c'est que je me sens comme "disocié" ou skyzo, il y a le moi en couple qui souffre, et puis le Moi, le Grand, qui baigne dans le bonheur de vivre et peut mener sa route, sa vision, son monde tel qu'il le veut. Je flippe). Dsl fallait que je lache qqchose sur cette histoire; ya que ici que ca pouvait atterir!
Ooh köpain \o/
À cet instant précis, sache que je m'identifie à-dönf à toi, dessus, dessous, je me sens plus d'ailleurs tellement j'empathise et puis je suis sûre que tu aimes les chiens, peut être et / C'est un avertissement, donc.
Ce que j'ai compris de ton bläblä, c'est ton impression que la souffrance, les affects, l'implication "Vue-subjective / first player", etc. qui se rapportent à ton couple, tu les avais cloîtrés et réduits à n'exister que dans un tupperware "couple". Frmé lorsque tu es toi-ailleurs. Ou quelque chose d'un goût approchant, pitait ?
Si oui, peut être que ce qui te retient à ce couple, c'est seulement ton pathos-englué-au-sien. Tu serais déjà détaché, d'un point de vue strictement sentimental, mais touché-atteint-vulnérable parce que ton pathos-qui-aime-ça, le coquinou, n'a rien d'autre à s'enrouler/ adhérer à la place. Alors comme de juste, il préfère rester au chaud encore. un peu.
Je tiens à dire qu'il faut que je dorme, alors j'ai des circonstances atténuantes si j'ai tout percuté en biais.
Et j'irai même plus loin.
Cadeau :
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