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wikishot
Le thème des bidis génère des interprétations à quiproquo par les natures diverses des témoignages. Ici nous déterminons un usage spécifique des bidis.
perso ce sont bien celles-là !!!
Il y a la fume invétérée des bidis mais ce que nous voulons réside en une alternative à la cigarette de cannabis pour changer le cours des choses dans le cadre d'une désintoxication...
Autour de la cigarette:
Par sa souplesse relative, la feuille de Kendu peut emballer la cigarette. Mais, cerise sur le gâteau, elle détient des propriétés propres à la phytothérapie. Et toc !
feuilles de Kendu (diospyros melanoxylon)
ces feuilles sont exploitées pour leur propriété styptiques
(càd qu'il s'agit d'astringent = resserre les tissus des muqueuses, ferme les plaies)
ces feuilles sont exploitées pour leur propriété styptiques
(càd qu'il s'agit d'astringent = resserre les tissus des muqueuses, ferme les plaies)
Dans la cigarette:
La bidi se distingue par sa présence forte pour le fumeur. Le goudron abondant rassemble un melting-pot de substances toxiques et médicinales... Aussi il n'y a pas de papier comme avec une cigarette conditionnée en fabrique.
Une bidi additionne plus du double de goudron qu'une cigarette de grande marque (tar = 8 mg). A certains égards cette masse imposante de plus de 16 mg par bidi détourne l'attention du fumeur qui omet d'orienter son obsession vers le paquet de cigarettes habituel (et des joints de hash...).
Mais l'atout d'une bidi ne se résume pas à ces faits quand la nature des fumées lourdes inhalées transportent des substances antiseptiques !!
D'après mémo la bidi envoie plus de saloperies dans les poumons tout en étant moins addictive que le cannabis. Mais le corps doit gérer ces substances lourdes aux émanations volatiles, et c'est justement ce qui nous occupe en substitut du cannabis. D'autant qu'il s'agit, entre autres, d'antiseptiques... La bidi peut donc être un substitut provisoire dans le processus de sevrage du cannabis. Le tout est de trouver le meilleur rapport "surcharge goudrons" <=> "sevrage cannabis". Sur le temps, il faut trouver le point d'équilibre entre l'encrassement par la bidi et la désintoxication de la cigarette de cannabis. La bidi permet de zapper une phase épisodique de la consommation de cannabis et il s'agit alors d'un amorçage pour une orientation différente dans les habitudes du fumeur (sans approfondir la toxicomanie)
La combustion d'une bidi est irrégulière, capricieuse et se fait en regains saccadés par inhalation des composants volatiles qu'elle renferme.
Si les bidis standards (exemple, Ganesh) sont faites avec du tabac, il faut savoir que il y a d'autres sortes comme les Nirdosh (traditionnel) ou Vardaan (nouveau) exemptes de cet ingrédient...
Nota: Mes bidis ne contenaient pas de tabac de la même sorte que celui des cigarettes du commerce courant. Habituellement le tabac à fumer se compose de brins relativement souples. Dans ma bidi les bris des feuilles séchées présentent des formes sécantes avec une dureté cassant net si on teste la résistance avec les doigts. On imagine l'incandescence possible mais moins régulière que une cigarette de l'industrie.
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La culture du tabac est en déclin dans le monde alors qu'il a fait les voies du commerce et de l'aventure. En 1492 Christophe Colomb reçut des feuilles de tabac séchées des Indiens Arawak. Ensuite d'autres explorateurs notifièrent l'usage du tabac par les Amérindiens comme en 1545 avec les Iroquois (nord du continent américain) observés à fumer...
En 1556 le tabac arrive en France puis peu après, en Grande Bretagne. En 1600 le tabac parvient presque partout dans le Monde et notamment dans une série de pays européens, en Russie, Perse, Afrique, Chine et... l'Inde !!!
Le genre botanique Nicotinia compte des dizaines d'espèces. Nicotinia Tabacum est la principale. Elle compose les cigarettes "civilisées" des manufactures. Les bidis sont à base de Nicotiana Rustica (Inde) et Nicotiana Plumbaginifolia comme au Bengladesh et alentour (dans ce pays on prononce "biri")
Nicotiana tabacum ou Grand tabac, Herbe à Nicot, de Jean Nicot 1530-1604 comme étymologie de "nicotine" et... dans toutes les langues ! C'est le tabac généralisé des manufactures
Nicotiana rustica ou Petit Tabac, Tabac mapacho, Aztec tobacco, Strong tobacco
originaire de la cordillère des Andes mais compose des bidis en Inde.
Nicotiana plumbaginifolia, Tex-Mex tobacco (whaa, special customized frontier...).
Ban tamaku (en hindi pour les bidis), au Bangladesh, Népal...
Nicotiana rustica et Nicotiana tabacum
Nicotiana plumbaginifolia
Nicotiana plumbaginifolia
Ci-dessous 3 planisphères pour afficher la distribution historique des tabacs se rapportant le mieux au sujet (cigarettes, bidis, etc...).
Nicotiana Tabacum ou "herbe à Nicot" (du nom d'un botaniste français)
on dit aussi "grand tabac" et il compose les cigarettes de marque
Nicotiana Rustica pour faire une variété de bidis
Nicotiana Plumbaginifolia... pour bidis
on voit que c'est plus spécifique à l'Inde que les deux premiers tabacs
on dit aussi "grand tabac" et il compose les cigarettes de marque
Nicotiana Rustica pour faire une variété de bidis
Nicotiana Plumbaginifolia... pour bidis
on voit que c'est plus spécifique à l'Inde que les deux premiers tabacs
Author: NPCS Board of Food Technologists
<cut extrait traduit en français>
Code:
La région d'Anand du Gujarat cultive entièrement du tabac bidi (nota: Nicotiana rustica) . La région de Nipam au Karnataka cultive du tabac bidi. La région du Nord Bihar et du Bengale possède à la fois les types Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica utilisés dans la fabrication pour narguilé et, dans une moindre mesure, les types à mâcher et à priser.
CULTURE DU TABAC
Dans la première étape du processus de croissance, les graines de tabac sont semées dans des lits de semences spécialement construits. Dans le même temps, les agriculteurs préparent soigneusement le sol de leurs champs. Après deux mois dans les plates-bandes, les graines sont devenues des plantes d'environ 15 à 20 centimètres de haut et sont prêtes à être transplantées dans le champ. Les plantes poussent au champ pendant encore deux à trois mois. Tout au long du processus de croissance, les plantes sont cultivées pour maximiser le rendement et la qualité, le sol est entretenu régulièrement et des précautions sont prises pour protéger les plantes contre les parasites et les maladies. La récolte est la prochaine étape du processus. La récolte se fait soit feuille par feuille dans le cas des tabacs Virginie et orientaux, soit par plante entière, dans le cas du burley. La récolte doit avoir lieu lorsque les feuilles sont mûres (ou mûres) et en parfait état pour l'étape suivante, le processus de durcissement. Le séchage joue un rôle majeur en contribuant à la qualité finale des feuilles. Différentes méthodes de séchage sont utilisées pour différents types de tabac : le séchage à l'air pour le burley, le séchage à la vapeur pour le Virginie et le séchage au soleil pour l'oriental. Une fois les feuilles séchées, l'agriculteur les trie en fonction de leur qualité et de la position des tiges. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles.
Culture des cultures
Dans la première étape du processus de croissance, les graines de tabac sont semées dans des lits de semences spécialement construits. La sélection de la bonne variété de graines de tabac est essentielle pour obtenir un bon rendement de la qualité souhaitée de feuilles de tabac. Les graines sont semées dans des planches de Tobacco Cultivation 23 (pas trop rapprochées) pour donner à chaque plant assez d'espace pour pousser. Les graines de tabac sont minuscules – il y en a entre 10 000 et 13 000 par gramme – et elles germent rapidement en cinq à dix jours. Dans les conditions idéales du lit de semence, ils atteindront une hauteur de 15 à 20 centimètres en environ deux mois. Ils sont ensuite transplantés dans les champs.
Culture du tabac
La production de tabac dans l'UE peut être subdivisée en quatre groupes de variétés principaux; Virginia, Burley, Dark (Dark air-cured et Fire-cured) et Oriental. Les variétés Virginia représentent environ 46% de la production de l'UE, Burley 21% et les autres ensemble environ 33%. L'UE compte environ 86 000 producteurs de tabac. Les agriculteurs bulgares représentent 50 % d'entre eux, suivis de la Pologne et de la Grèce (17 % chacun). La production de tabac est souvent limitée à de petites régions réalisées par des entreprises familiales. La superficie moyenne (1,6 ha par agriculteur) diffère considérablement selon les variétés cultivées, les variétés Burley et Oriental nécessitant plus de main-d'œuvre que les variétés Virginia. En conséquence, 81 % des producteurs de tabac de l'UE sont impliqués dans la culture Burley ou Oriental, tandis que 15 % cultivent des variétés de Virginie. Selon les producteurs de tabac, certains ingrédients, dont le sucre, sont indispensables à l'utilisation de certaines variétés de tabac (Burley et Oriental). En effet, ces variétés perdent leur teneur en sucre au cours du processus de séchage alors que d'autres variétés, comme la Virginie, la conservent.
BIDI
Les bidis (prononcez bee-dees et également connus sous le nom de beedis) sont de petites cigarettes roulées à la main faites de tabac et enveloppées de feuilles de tendu ou de temburni (plantes originaires d'Asie - Diospyros melanxylon). Ils sont fabriqués en Inde et dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est et exportés dans plus de 100 pays. En Inde, les cigarettes bidis sont moins chères et plus consommées que les cigarettes commerciales traditionnelles. C'est une idée fausse commune que parce qu'ils sont moins chers, ils sont également moins nocifs. Les bidis sont des cigarettes minces roulées à la main, fabriquées principalement en Inde et dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est. Le tabac est enveloppé dans une feuille de tendu ou de temburni, et attaché avec une ficelle colorée. Ils viennent dans des saveurs comme le chocolat, la cerise ou la mangue ou peuvent être sans saveur.
L'usine de Bidi a été lancée au 19ème siècle en Inde. Il est à Solapur depuis 150 ans. 50 à 60 % des conditions économiques de Solapur dépendent de l'usine de bidis. Les usines de bidis dépendent principalement des ouvrières bidis. etc... etc...
infos récupérées sur le Web du CTRI >>> Central Tobacco Research Institute <<< (Andhra Pradesh)
Code:
With its rich agro-climatic diversity, India has the unique position of growing all types of tobacco which are broadly classified as:
1. FCV Tobacco Andhra Pradesh & Karnataka
2. Bidi Tobacco Gujarat & Karnataka & Andhra Pradesh
3. Cigar & Cheroot Tamil Nadu & West Bengal
4. Hookah Tobacco Assam, West Bengal, Bihar & UP
5. Chewing & Snuff Tamil Nadu, West Bengal, Bihar, Assam & U.P.
6. Natu, Burley, Lanka & HDBRG Andhra Pradesh
7. Pikka Tobacco Orissa
BOTANICAL CLASSIFICATION OF TOBACCO
The genus Nicotiana is one of the five large genera of Solanaceae and is represented by about 70 recognised species.
Description is available for all the 60 species, which are grouped in three sub-groups:
Sub-genus - Rustica
Sub-genus - Tabacum
Sub-genus - Petunioides
The original habitat of the genus is considered to be South American, particularly the regions surrounding the Andes. There are, however, several species in Australia and South Pacific Islands that do not occur in the new world. They are considered to be derivatives of the South American stock. Out of the 70 species, only two species, i.e. Nicotiana tabacum and Nicotiana rustica are cultivated extensively. India grows both the species, but by far the largest area is under N. tabacum. Since N. rustica requires cooler climate, its cultivation is confined mainly to the northern and north-eastern areas of the country, i.e., U.P., West Bengal, Bihar and Assam
The N. tabacum varieties known as desi types have tall plants with broad leaves and have usually pink flowers. The N. rustica varieties known as `vilayati' and `calcuttia' are characterised by short plants with round puckered leaf and yellow flowers. Specific varieties in N. tabacum have been developed for cigarette, cigar and cheroot, bidi, hookah and snuff tobaccos. The varieties developed in N. rustica are used for only chewing, hookah and snuff tobaccos. In addition to N. tabacum and N. rustica which are commonly cultivated, many species of Nicotiana, such as N. affinis, are grown for ornamental purposes. Some of the other species were used in old days by aboriginals (Red Indians and Australian natives) for chewing and smoking. There are 70 Nicotiana Sp.available in the world, of which 45 are being maintained in India. Several of these species have resistance to pests and diseases and are being used for developing disease/pest resistant tobacco varieties.
Infos récupérées d'un Mémoire (PDF) non signé (sans auteur...)
Code:
Nota "la Lyre":
(NNK) Nicotine-derived nitrosamine ketone
(NNN) N-Nitrosonornicotine
Bidis: American versions of bidis were shown to have a lower percentage of tobacco by weight than US and Indian untipped commercial cigarettes (42.4% versus 94%, respectively) (Malson et al., 2001).
The concentration of nicotine in the tobacco of bidi cigarettes (21.2 mg/g) is greater than that in the tobacco from commercial filter-tipped (mean: 16 mg/g; Malson et al.,2001; mean: 17.6 mg/g; Djordjevic et al., 1990; mean: 10.2 mg/g; Kozlowski et al., 1998)
and untipped American and Indian commercial brands of cigarette (13.5 mg/g; Malson et al., 2001).
The levels of preformed NNN and NNK in bidi tobacco range from 6200 to 12 000 ng/g and from 400 to 1400 ng/g tobacco, respectively (Nair et al., 1989).
When the concentrations of flavour-related compounds
— nine alkenylbenzenes, coumarin, piperonal and pulegone —
in Indian bidi cigarette tobacco sold in the USA were measured, two alkenylbenzene compounds, transanethole and eugenol, were found in more than 90% of the 23 brands analysed. Methyleugenol, pulegone and estragole were each detected in 30% or more of the brands, whereas safrole and elemicin were not detected in any of the brands.
The flavour-related compounds with the highest concentrations in tobacco were eugenol (12 000 µg/g tobacco) and trans-anethole (2200 µg/g tobacco) — that is about 70 000 and 7500 times more, respectively, than the highest levels previously found in US cigarette brands (Stanfill et al., 2003).
Ten volunteers smoked longer and took more puffs to consume bidis (354–452 sec, 14 puffs) than to smoke their usual cigarette brand (297 sec, 10 puffs) (Malson et al., 2002). In smokers who switched to Irie bidi (strawberry-flavoured) cigarettes, plasma nicotine levels increased above the levels recorded when they smoked regular filtertipped cigarettes (26 ng/mL versus 18.5 ng/mL) (Malson et al., 2002).
The amount of nicotine in Indian bidi tobacco was higher than that in Indian filtertipped cigarettes (38 mg/g versus 14 mg/g). The mainstream smoke of Indian bidis delivered less nicotine than Indian cigarettes (1.86 mg versus 2.58 mg/cigarette).
The NNN TOBACCO SMOKE 93
pp051-120-mono1-Section 1.qxd 29/04/2004 11:06 Page 93 levels in the mainstream smoke of bidis ranged from 11.6 ng to 250 ng per cigarette and the NNK levels from not detected to 40 ng per cigarette. These concentrations were comparable with those measured in the mainstream smoke of Indian cigarettes (Pakhale & Maru, 1998).
[color=#ff6633]In conclusion, because of their higher content of nicotine than in cigarette tobacco, and their similar or higher nicotine and TSNA deliveries in the mainstream smoke, bidis cannot be considered less harmful to health than regular cigarettes. [/color]
Kreteks: Eugenol, a natural compound found in high concentrations in clove buds, is the active ingredient that distinguishes kreteks from conventional cigarettes (Guidotti, 1989). In addition to eugenol, other constituents of clove and clove cigarette smoke include eugenol acetate, β-caryophyllene and α-humulene (LaVoie et al., 1986).
Chuttas: The nicotine content of chutta tobacco is comparable with that of bidi tobacco — 35 mg/g versus 38 mg/g. However, the nicotine level in mainstream smoke from chutta is higher (7 mg/product) than that from bidis (1.9 mg/product) (Pakhale & Maru, 1998). The quantities of NNN and NNK in chutta tobacco were reported to be extremely high (from 21 100 ng to 296 000 ng and from 12 600 ng to 210 000 ng/g, respectively).
The reverse smoker inhales both the mainstream and sidestream smoke. The NNN and NNK levels in the mainstream smoke of chutta ranged from 289 ng to 1260 ng per chutta and from 150 ng to 2651 ng per chutta, respectively (Nair et al., 1989)
en belge on aurait dit que ces compositions sont pleins de "brols" chimiques qui se tassent au fond des poumons comme de la poix... suffisament dense pour donner le change au cannabis lors d'un sevrage. Le tout est de préparer son coup. Evidemment si on fume des bidis toute sa vie c'est autre chose...
Pour rendre la mesure au cannabis, on peut émettre l'hypothèse que la satiété procurée par la bidi provient d'un apport physiologique aux admissions simultanées par l'inhalation pulmonaire mais aussi par la fonction de digestion. Les bronches prennent la fumée vers les poumons alors qu'un extrait sirupeux du bidi poursuit son chemin plus bas... vers l'estomac !! Les 1ères bidis comme substitut au cannabis sont déterminantes par leur impact encore entier sur la personne... Car c'est propice à relayer de sérieux coups de frein à la consommation de cannabis avant arrêt total.
Au plus fort soit la poix goudronnée de la bidi, au plus radicale soit-elle...
La qualité "alchimique" d'une bidi s'expose sur un foulard placé, en guise de test, entre la bidi et la bouche. La présence de goudron sirupeux dans la fibre témoigne d'ingrédients en bonne quantité pour notre initiative de sevrage du cannabis.
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joli !! Mais est-ce vrai??
Cette photo d'un paquet de cigarettes à l'eucalyptus semble provenir d'un exercice de style d'un dessinateur publicitaire... Donc un fake au final. Sur le net, la mention de Philip Morris accompagne cette image mais on se dit que c'est un faux.
Pourtant sur une propagande pour TAAT (produit récent) du "journalduvapoteur.com", on affirme que Philip Morris International Inc aborde le principe de la cigarette sans tabac. On cite des noms, des statuts... Cette photo représenterait-elle un produit ayant vraiment existé... A base d'eucalyptus? On a connu les NTB aux herbes mais les initiatives pour des cigarettes différentes furent évincées des pharmacies avec l'arrivée de la eCig (environ 2000)
ci-après le link qui appelle une attention d'expertise lors de la lecture.
le journal du vapoteur
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