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La lyre du romantisme fanatique extrémiste

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wikishot
wikishot.jpg


Le thème des bidis génère des interprétations à quiproquo par les natures diverses des témoignages. Ici nous déterminons un usage spécifique des bidis.

perso ce sont bien celles-là !!!
eucalyptusbidis.jpg

Il y a la fume invétérée des bidis mais ce que nous voulons réside en une alternative à la cigarette de cannabis pour changer le cours des choses dans le cadre d'une désintoxication...

Autour de la cigarette:
Par sa souplesse relative, la feuille de Kendu peut emballer la cigarette. Mais, cerise sur le gâteau, elle détient des propriétés propres à la phytothérapie. Et toc !

feuilles de Kendu (diospyros melanoxylon)
diospyros-melanoxylon.jpg

ces feuilles sont exploitées pour leur propriété styptiques
(càd qu'il s'agit d'astringent = resserre les tissus des muqueuses, ferme les plaies)


Dans la cigarette:
La bidi se distingue par sa présence forte pour le fumeur. Le goudron abondant rassemble un melting-pot de substances toxiques et médicinales... Aussi il n'y a pas de papier comme avec une cigarette conditionnée en fabrique.

Une bidi additionne plus du double de goudron qu'une cigarette de grande marque (tar = 8 mg). A certains égards cette masse imposante de plus de 16 mg par bidi détourne l'attention du fumeur qui omet d'orienter son obsession vers le paquet de cigarettes habituel (et des joints de hash...).
Mais l'atout d'une bidi ne se résume pas à ces faits quand la nature des fumées lourdes inhalées transportent des substances antiseptiques !!

D'après mémo la bidi envoie plus de saloperies dans les poumons tout en étant moins addictive que le cannabis. Mais le corps doit gérer ces substances lourdes aux émanations volatiles, et c'est justement ce qui nous occupe en substitut du cannabis. D'autant qu'il s'agit, entre autres, d'antiseptiques... La bidi peut donc être un substitut provisoire dans le processus de sevrage du cannabis. Le tout est de trouver le meilleur rapport "surcharge goudrons" <=> "sevrage cannabis". Sur le temps, il faut trouver le point d'équilibre entre l'encrassement par la bidi et la désintoxication de la cigarette de cannabis. La bidi permet de zapper une phase épisodique de la consommation de cannabis et il s'agit alors d'un amorçage pour une orientation différente dans les habitudes du fumeur (sans approfondir la toxicomanie)

La combustion d'une bidi est irrégulière, capricieuse et se fait en regains saccadés par inhalation des composants volatiles qu'elle renferme.
Si les bidis standards (exemple, Ganesh) sont faites avec du tabac, il faut savoir que il y a d'autres sortes comme les Nirdosh (traditionnel) ou Vardaan (nouveau) exemptes de cet ingrédient...

Nota: Mes bidis ne contenaient pas de tabac de la même sorte que celui des cigarettes du commerce courant. Habituellement le tabac à fumer se compose de brins relativement souples. Dans ma bidi les bris des feuilles séchées présentent des formes sécantes avec une dureté cassant net si on teste la résistance avec les doigts. On imagine l'incandescence possible mais moins régulière que une cigarette de l'industrie.

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La culture du tabac est en déclin dans le monde alors qu'il a fait les voies du commerce et de l'aventure. En 1492 Christophe Colomb reçut des feuilles de tabac séchées des Indiens Arawak. Ensuite d'autres explorateurs notifièrent l'usage du tabac par les Amérindiens comme en 1545 avec les Iroquois (nord du continent américain) observés à fumer...
En 1556 le tabac arrive en France puis peu après, en Grande Bretagne. En 1600 le tabac parvient presque partout dans le Monde et notamment dans une série de pays européens, en Russie, Perse, Afrique, Chine et... l'Inde !!!

Le genre botanique Nicotinia compte des dizaines d'espèces. Nicotinia Tabacum est la principale. Elle compose les cigarettes "civilisées" des manufactures. Les bidis sont à base de Nicotiana Rustica (Inde) et Nicotiana Plumbaginifolia comme au Bengladesh et alentour (dans ce pays on prononce "biri")

Nicotiana tabacum ou Grand tabac, Herbe à Nicot, de Jean Nicot 1530-1604 comme étymologie de "nicotine" et... dans toutes les langues ! C'est le tabac généralisé des manufactures

Nicotiana rustica ou Petit Tabac, Tabac mapacho, Aztec tobacco, Strong tobacco
originaire de la cordillère des Andes mais compose des bidis en Inde.

Nicotiana plumbaginifolia, Tex-Mex tobacco (whaa, special customized frontier...).
Ban tamaku (en hindi pour les bidis), au Bangladesh, Népal...

Nicotiana rustica et Nicotiana tabacum
tabac1&2.jpg


Nicotiana plumbaginifolia
tabac3.jpg

Ci-dessous 3 planisphères pour afficher la distribution historique des tabacs se rapportant le mieux au sujet (cigarettes, bidis, etc...).

Nicotiana Tabacum ou "herbe à Nicot" (du nom d'un botaniste français)
on dit aussi "grand tabac" et il compose les cigarettes de marque

Nicotiana-tabacum.jpg


Nicotiana Rustica pour faire une variété de bidis
Nicotiana-rustica.jpg


Nicotiana Plumbaginifolia... pour bidis
on voit que c'est plus spécifique à l'Inde que les deux premiers tabacs

Nicotiana-plumbaginifolia.jpg


Author: NPCS Board of Food Technologists
<cut extrait traduit en français>
Code:
La région d'Anand du Gujarat cultive entièrement du tabac bidi (nota: Nicotiana rustica) . La région de Nipam au Karnataka cultive du tabac bidi. La région du Nord Bihar et du Bengale possède à la fois les types Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica utilisés dans la fabrication pour narguilé et, dans une moindre mesure, les types à mâcher et à priser.

CULTURE DU TABAC
Dans la première étape du processus de croissance, les graines de tabac sont semées dans des lits de semences spécialement construits. Dans le même temps, les agriculteurs préparent soigneusement le sol de leurs champs. Après deux mois dans les plates-bandes, les graines sont devenues des plantes d'environ 15 à 20 centimètres de haut et sont prêtes à être transplantées dans le champ. Les plantes poussent au champ pendant encore deux à trois mois. Tout au long du processus de croissance, les plantes sont cultivées pour maximiser le rendement et la qualité, le sol est entretenu régulièrement et des précautions sont prises pour protéger les plantes contre les parasites et les maladies. La récolte est la prochaine étape du processus. La récolte se fait soit feuille par feuille dans le cas des tabacs Virginie et orientaux, soit par plante entière, dans le cas du burley. La récolte doit avoir lieu lorsque les feuilles sont mûres (ou mûres) et en parfait état pour l'étape suivante, le processus de durcissement. Le séchage joue un rôle majeur en contribuant à la qualité finale des feuilles. Différentes méthodes de séchage sont utilisées pour différents types de tabac : le séchage à l'air pour le burley, le séchage à la vapeur pour le Virginie et le séchage au soleil pour l'oriental. Une fois les feuilles séchées, l'agriculteur les trie en fonction de leur qualité et de la position des tiges. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles. Les feuilles sont ensuite emballées dans des balles prêtes à être expédiées. Les balles de tabac sont acheminées vers une station d'achat où elles sont évaluées et ensuite achetées par les acheteurs de feuilles.

Culture des cultures
Dans la première étape du processus de croissance, les graines de tabac sont semées dans des lits de semences spécialement construits. La sélection de la bonne variété de graines de tabac est essentielle pour obtenir un bon rendement de la qualité souhaitée de feuilles de tabac. Les graines sont semées dans des planches de Tobacco Cultivation 23 (pas trop rapprochées) pour donner à chaque plant assez d'espace pour pousser. Les graines de tabac sont minuscules – il y en a entre 10 000 et 13 000 par gramme – et elles germent rapidement en cinq à dix jours. Dans les conditions idéales du lit de semence, ils atteindront une hauteur de 15 à 20 centimètres en environ deux mois. Ils sont ensuite transplantés dans les champs.

Culture du tabac
La production de tabac dans l'UE peut être subdivisée en quatre groupes de variétés principaux; Virginia, Burley, Dark (Dark air-cured et Fire-cured) et Oriental. Les variétés Virginia représentent environ 46% de la production de l'UE, Burley 21% et les autres ensemble environ 33%. L'UE compte environ 86 000 producteurs de tabac. Les agriculteurs bulgares représentent 50 % d'entre eux, suivis de la Pologne et de la Grèce (17 % chacun). La production de tabac est souvent limitée à de petites régions réalisées par des entreprises familiales. La superficie moyenne (1,6 ha par agriculteur) diffère considérablement selon les variétés cultivées, les variétés Burley et Oriental nécessitant plus de main-d'œuvre que les variétés Virginia. En conséquence, 81 % des producteurs de tabac de l'UE sont impliqués dans la culture Burley ou Oriental, tandis que 15 % cultivent des variétés de Virginie. Selon les producteurs de tabac, certains ingrédients, dont le sucre, sont indispensables à l'utilisation de certaines variétés de tabac (Burley et Oriental). En effet, ces variétés perdent leur teneur en sucre au cours du processus de séchage alors que d'autres variétés, comme la Virginie, la conservent.

BIDI
Les bidis (prononcez bee-dees et également connus sous le nom de beedis) sont de petites cigarettes roulées à la main faites de tabac et enveloppées de feuilles de tendu ou de temburni (plantes originaires d'Asie - Diospyros melanxylon). Ils sont fabriqués en Inde et dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est et exportés dans plus de 100 pays. En Inde, les cigarettes bidis sont moins chères et plus consommées que les cigarettes commerciales traditionnelles. C'est une idée fausse commune que parce qu'ils sont moins chers, ils sont également moins nocifs. Les bidis sont des cigarettes minces roulées à la main, fabriquées principalement en Inde et dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est. Le tabac est enveloppé dans une feuille de tendu ou de temburni, et attaché avec une ficelle colorée. Ils viennent dans des saveurs comme le chocolat, la cerise ou la mangue ou peuvent être sans saveur.
L'usine de Bidi a été lancée au 19ème siècle en Inde. Il est à Solapur depuis 150 ans. 50 à 60 % des conditions économiques de Solapur dépendent de l'usine de bidis. Les usines de bidis dépendent principalement des ouvrières bidis. etc... etc...


infos récupérées sur le Web du CTRI >>> Central Tobacco Research Institute <<< (Andhra Pradesh)
Code:
With its rich agro-climatic diversity, India has the unique position of growing all types of tobacco which are broadly classified as:
1. FCV Tobacco Andhra Pradesh & Karnataka
2. Bidi Tobacco Gujarat & Karnataka & Andhra Pradesh
3. Cigar & Cheroot Tamil Nadu & West Bengal
4. Hookah Tobacco Assam, West Bengal, Bihar & UP
5. Chewing & Snuff Tamil Nadu, West Bengal, Bihar, Assam & U.P.
6. Natu, Burley, Lanka & HDBRG Andhra Pradesh
7. Pikka Tobacco Orissa

BOTANICAL CLASSIFICATION OF TOBACCO
The genus Nicotiana is one of the five large genera of Solanaceae and is represented by about 70 recognised species.

Description is available for all the 60 species, which are grouped in three sub-groups:
   Sub-genus - Rustica
   Sub-genus - Tabacum
   Sub-genus - Petunioides

The original habitat of the genus is considered to be South American, particularly the regions surrounding the Andes. There are, however, several species in Australia and South Pacific Islands that do not occur in the new world. They are considered to be derivatives of the South American stock. Out of the 70 species, only two species, i.e. Nicotiana tabacum and Nicotiana rustica are cultivated extensively. India grows both the species, but by far the largest area is under N. tabacum. Since N. rustica requires cooler climate, its cultivation is confined mainly to the northern and north-eastern areas of the country, i.e., U.P., West Bengal, Bihar and Assam

The N. tabacum varieties known as desi types have tall plants with broad leaves and have usually pink flowers. The N. rustica varieties known as `vilayati' and `calcuttia' are characterised by short plants with round puckered leaf and yellow flowers. Specific varieties in N. tabacum have been developed for cigarette, cigar and cheroot, bidi, hookah and snuff tobaccos. The varieties developed in N. rustica are used for only chewing, hookah and snuff tobaccos. In addition to N. tabacum and N. rustica which are commonly cultivated, many species of Nicotiana, such as N. affinis, are grown for ornamental purposes. Some of the other species were used in old days by aboriginals (Red Indians and Australian natives) for chewing and smoking. There are 70 Nicotiana Sp.available in the world, of which 45 are being maintained in India. Several of these species have resistance to pests and diseases and are being used for developing disease/pest resistant tobacco varieties.


Infos récupérées d'un Mémoire (PDF) non signé (sans auteur...)
Code:
Nota "la Lyre":
(NNK) Nicotine-derived nitrosamine ketone
(NNN) N-Nitrosonornicotine


Bidis: American versions of bidis were shown to have a lower percentage of tobacco by weight than US and Indian untipped commercial cigarettes (42.4% versus 94%, respectively) (Malson et al., 2001).

The concentration of nicotine in the tobacco of bidi cigarettes (21.2 mg/g) is greater than that in the tobacco from commercial filter-tipped (mean: 16 mg/g; Malson et al.,2001; mean: 17.6 mg/g; Djordjevic et al., 1990; mean: 10.2 mg/g; Kozlowski et al., 1998)
and untipped American and Indian commercial brands of cigarette (13.5 mg/g; Malson et al., 2001).

The levels of preformed NNN and NNK in bidi tobacco range from 6200 to 12 000 ng/g and from 400 to 1400 ng/g tobacco, respectively (Nair et al., 1989).

When the concentrations of flavour-related compounds
— nine alkenylbenzenes, coumarin, piperonal and pulegone —
in Indian bidi cigarette tobacco sold in the USA were measured, two alkenylbenzene compounds, transanethole and eugenol, were found in more than 90% of the 23 brands analysed. Methyleugenol, pulegone and estragole were each detected in 30% or more of the brands, whereas safrole and elemicin were not detected in any of the brands.

The flavour-related compounds with the highest concentrations in tobacco were eugenol (12 000 µg/g tobacco) and trans-anethole (2200 µg/g tobacco) — that is about 70 000 and 7500 times more, respectively, than the highest levels previously found in US cigarette brands (Stanfill et al., 2003).

Ten volunteers smoked longer and took more puffs to consume bidis (354–452 sec, 14 puffs) than to smoke their usual cigarette brand (297 sec, 10 puffs) (Malson et al., 2002). In smokers who switched to Irie bidi (strawberry-flavoured) cigarettes, plasma nicotine levels increased above the levels recorded when they smoked regular filtertipped cigarettes (26 ng/mL versus 18.5 ng/mL) (Malson et al., 2002).

The amount of nicotine in Indian bidi tobacco was higher than that in Indian filtertipped cigarettes (38 mg/g versus 14 mg/g). The mainstream smoke of Indian bidis delivered less nicotine than Indian cigarettes (1.86 mg versus 2.58 mg/cigarette).

The NNN TOBACCO SMOKE 93
pp051-120-mono1-Section 1.qxd 29/04/2004 11:06 Page 93 levels in the mainstream smoke of bidis ranged from 11.6 ng to 250 ng per cigarette and the NNK levels from not detected to 40 ng per cigarette. These concentrations were comparable with those measured in the mainstream smoke of Indian cigarettes (Pakhale & Maru, 1998).

[color=#ff6633]In conclusion, because of their higher content of nicotine than in cigarette tobacco, and their similar or higher nicotine and TSNA deliveries in the mainstream smoke, bidis cannot be considered less harmful to health than regular cigarettes. [/color]

Kreteks: Eugenol, a natural compound found in high concentrations in clove buds, is the active ingredient that distinguishes kreteks from conventional cigarettes (Guidotti, 1989). In addition to eugenol, other constituents of clove and clove cigarette smoke include eugenol acetate, β-caryophyllene and α-humulene (LaVoie et al., 1986).

Chuttas: The nicotine content of chutta tobacco is comparable with that of bidi tobacco — 35 mg/g versus 38 mg/g. However, the nicotine level in mainstream smoke from chutta is higher (7 mg/product) than that from bidis (1.9 mg/product) (Pakhale & Maru, 1998). The quantities of NNN and NNK in chutta tobacco were reported to be extremely high (from 21 100 ng to 296 000 ng and from 12 600 ng to 210 000 ng/g, respectively).

The reverse smoker inhales both the mainstream and sidestream smoke. The NNN and NNK levels in the mainstream smoke of chutta ranged from 289 ng to 1260 ng per chutta and from 150 ng to 2651 ng per chutta, respectively (Nair et al., 1989)

en belge on aurait dit que ces compositions sont pleins de "brols" chimiques qui se tassent au fond des poumons comme de la poix... suffisament dense pour donner le change au cannabis lors d'un sevrage. Le tout est de préparer son coup. Evidemment si on fume des bidis toute sa vie c'est autre chose...

Pour rendre la mesure au cannabis, on peut émettre l'hypothèse que la satiété procurée par la bidi provient d'un apport physiologique aux admissions simultanées par l'inhalation pulmonaire mais aussi par la fonction de digestion. Les bronches prennent la fumée vers les poumons alors qu'un extrait sirupeux du bidi poursuit son chemin plus bas... vers l'estomac !! Les 1ères bidis comme substitut au cannabis sont déterminantes par leur impact encore entier sur la personne... Car c'est propice à relayer de sérieux coups de frein à la consommation de cannabis avant arrêt total.

Au plus fort soit la poix goudronnée de la bidi, au plus radicale soit-elle...

La qualité "alchimique" d'une bidi s'expose sur un foulard placé, en guise de test, entre la bidi et la bouche. La présence de goudron sirupeux dans la fibre témoigne d'ingrédients en bonne quantité pour notre initiative de sevrage du cannabis.


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joli !! Mais est-ce vrai??
PhilipMorris.jpg


Cette photo d'un paquet de cigarettes à l'eucalyptus semble provenir d'un exercice de style d'un dessinateur publicitaire... Donc un fake au final. Sur le net, la mention de Philip Morris accompagne cette image mais on se dit que c'est un faux.

Pourtant sur une propagande pour TAAT (produit récent) du "journalduvapoteur.com", on affirme que Philip Morris International Inc aborde le principe de la cigarette sans tabac. On cite des noms, des statuts... Cette photo représenterait-elle un produit ayant vraiment existé... A base d'eucalyptus? On a connu les NTB aux herbes mais les initiatives pour des cigarettes différentes furent évincées des pharmacies avec l'arrivée de la eCig (environ 2000)

ci-après le link qui appelle une attention d'expertise lors de la lecture.

le journal du vapoteur
 
Dernière édition:
<copy wikipedia>
...etc Il semblerait qu'à l'origine on ait considéré l'ouroboros comme marquant la limite entre le Noun et le monde ordonné ; entourant la totalité du monde existant, il en vient tout naturellement à symboliser le cycle du temps et de l'éternité etc...
</copy>

ouroboros
ouroboros.jpg

 
Dernière édition:
un son de Igorrr & Ruby My Dear

Cohn-Bendit Pédophile [Réupload]

On t'oublie pas :

 
Dernière édition par un modérateur:

Djarum-blacks-kretek.jpg

Cool ton post sur les bidis, après il faut vérifier aussi comment est produit l'eucalyptus. Parce que si c'est du bidi indien, ya de très fortes chances que l'eucalyptus le soit aussi et qu'il soit pas mal traité -rien qu'à voir ce qu'ils foutent sur le thé °_°)

Et pour le côté sevrage, ça semble quand même un peu chaud. J'en ai fumé énormément en Inde et au Népal (flex), et que ce soit avec ou sans tabac, pour l'habituel fumeur de tiges il faut tirer comme un fou dessus pour avoir ce sentiment chaud de la fumée qui te prends la gorge et les poumons. De même, les faibles taux de nicotines semblent pas forcément convenir, même comme ersatz.

Après, pour le folklore (si t'es étranger) et pour le prix (c'était une roupie le bidi, soit 0,01 euro selon un convertisseur sur la toile), c'est imbattable. Et tant qu'on est dans l'exotique, t'as les clopes aux clous de girofle (aka kretek), ça a un goût funky, ça crépite quand tu les fumes et ça donne l'air chic quand tu les crames dans leur emballage noire.
 
Dernière édition par un modérateur:
merci pour le témoignage Payere

à ce jour je n'ai pas tout à fait fini l'article du 25/08/2021 22:36 pck je cherche à retrouver sur Google les bidis que j'ai fumées tout à la fin de mon épisode drogue.

Je ne les retrouve pas mais je me rappelle du sirop goudronneux lourd... en même temps son effet boeuf allait au niveau ORL et aux poumons comme un produit de sorcier. J'étais un vrai fumeur de tabac et les bidis d'eucalyptus m'ont fait du bien (dans un premier temps) pck c'était âpre comme on aime et en même temps il y avait klke chose d'inhabituel sans être de la drogue. Il y a plein de composants exploités en phytothérapie (donc de façon propre et nette). Mais j'étais inféodé aux méthodes de sorciers à cette époque...

Edit: la fumée va aux poumons mais du sirop descend à la digestion. La satiété s'expliquerait de cette façon...
 
Dernière édition:
Un succédané du tabac ne peut polariser de faveur sans la condition de sensation "cash" à l'inhalation. C'est ce que aime un vrai fumeur. Un nombre infini de recettes aux herbes et plantes, furent mises en chantier mais avec un résultat non convaincant. On a même essayé avec de la laitue !! Ce serait bon pour un non-fumeur qui veut apprendre à fumer comme un lapin. En tous les cas, inapte dans le cadre d'un sevrage...

Il y a eu des demandes de brevets en nombre faramineux pour des cigarettes aux compositions fouillées depuis que le dépôt juridique existe... Des demandes ont été refusées, ou acceptées mais souvent sans lendemain commercial. Mais bon si il y a eu quelques trouvailles relativement intéressantes, elles tiraient quand même sur le folklore...

Par curiosité j'ai cherché un dépôt légal effectué pour la cigarette à l'eucalyptus et en voici un (France) de 1927 !! (répertorié par Dr. A. Cuenot)

Code:
Succédané du tabac : Eucalyptus citriodora Hook (Myrtacées) à la délicate odeur de citron.

Les espèces les plus utiles sont les Eucalyptus citroodora, dives, Phellandra, australiana, globulus et polybractée contenant de l'eucalyptol et de la pipéritone.

Préparation. — Récolter les feuilles fraîches sur l'arbre. Les sécher à l'air jusqu'à ce que les feuilles restent encore molles, les écraser avec un rouleau, puis macération dans une solution aqueuse de glycérine (10 %) et de salpêtre (10 %), avec ou sans miel pendant trois heures.

Après égouttage, on comprime les feuilles et on chauffe les blocs ainsi constitués entre 38° C minimum et 93° C. maximum pendant trois heures également.

La masse, mise en tonneau et laissée sous une pression de 142 kg contient 1,1 g par kg de glycérine et 1,1 par kg de salpêtre. On laisse refroidir en laissant la pression pendant plusieurs semaines à la température ordinaire.

Le produit n'a plus qu'à être coupé et consommé.

Ce type de recette s'applique à enlever son âpreté à l'eucalyptus quand on le fume. C'est pour le "civiliser". Cela n'est pas commun aux bidis autrement différentes .

Essai au shillum avec de l'eucalyptus pur:
première impression, ça arrache. A l'excès, cela doit provoquer des lésions. J'ai pris qu'une latte... (hé hé je n'ai pas toussé)

L'eucalyptus au shillum procure certaines impressions alchimiques du bidi, mais pas le sirop goudronné. Cela ne vient donc pas de l'eucalyptus. Il faudra trouver des feuilles de kendu pour essayer. C'est cette poix saturée de principes actifs qu'il faut retrouver... (pck perso ça m'a aidé à arrêter les joints de cannabis)

Pour adoucir l'eucalyptus il y a le cacao. Outre le fait que c'est utilisé par l'industrie du tabac dans les cigarettes "bien de chez nous" pour procurer un goût agréable, il y eut au début du 20me siècle des cigarettes au cacao (recherche de la recette). Il paraît que c'est doux et que la cendre est bien ferme (elle "tient"). On peut croire qu'il s'agit de fausses cigarettes au chocolat pour les enfants mais il semble que ce soit authentique quand même !!

Du coup on pense à un mix eucalyptus / kendu / cacao !! :idea:
 
Dernière édition:
Les Rolling Stones trouvèrent une rémission à leur déchéance par des passages onéreux en désintoxication... Avec procédés médicaux de pointe mais aux honoraires communément inabordables. Cela peut paraître inique à certains égards mais c'est tout cela le Monde Libre...

En d'autres circonstances, la sphère sociale ambiante n'eut pas laissé une telle chance.

Antonin Artaud est un modèle d'artiste au talent sensationnel dont le succès et la renommée amplifiants s'enfoncèrent à mesure en des circonstances contraires... En France lors des années 30, les démarches artistiques surréalistes, les tendances visionnaires aux drogues, les modes de vie trop caractérisés, étaient serrés par les administrations. Une personnalité comme Antonin Artaud, malgré sa renommée, ne put passer à la rédemption par des soins onéreux. Son épisode théâtral, littéraire et cinématographique enchaîna, vers 1937, à celui des camisoles de force, des collocations psychiatriques... Naturellement il en devint dangereux pour son entourage et fut déclaré comme tel dans les diagnostics médicaux de l'époque... Il s'agit de circonstances "proto-concentrationnaires".

A. A. subit des électrochocs lors des années 40. La technique de ce traitement issue du conseil médical du IIIme Reich fut importée en France à ce moment. Des Français appliquèrent sans prévention ni anesthésie les électrochocs sur des animaux, puis quand même sur des patients au final.
A. A. n'y a pas échappé... Son état général se dégrada lors de ces années de guerre.

Dans la biographie de A.A. sa renaissance correspond à l'an 1945. Sans plus. Évidemment puisque le Monde idéologique, politique, bascule diamétralement. Pourquoi ne pas le préciser?

Après son retour à Paris A.A. parait publiquement et voici un témoignage d'André Gide:

Code:
Il y avait là, vers le fond de la salle [...] qui pouvait contenir environ 300 personnes, une douzaine de plaisantins venus à cette séance avec l'espoir de rigoler [...]. Mais non, après un timide essai de chahut […] nous assistâmes à un spectacle prodigieux, Artaud triomphait, tenait en respect la moquerie, la sottise insolente, il dominait […]. Jamais encore Antonin Artaud m'avait paru plus admirable. De son être matériel plus rien ne subsistait que d'expressif […]. En quittant cette mémorable séance, le public se taisait.
<avenger liberator>

oui, tout cela... des notions sans base concrète pour nous. Or voici que en 1946, le peintre Pierre Courtens (un artiste d'origine belge titré baron en 3me génération) rend visite à Antonin Artaud juste avant que celui-ci ne quitte son séjour carcéral révolu...

Code:
<copy wikipedia>
C'est en 1946, à l'âge de 25 ans, que Pierre Courtens rencontra Antonin Artaud. Rencontre choc. Rencontre approche-recul. Rencontre contact-épreuve de l'in/tact. Rencontre hiatus, heurtement au cri et au manque. Rencontre torse et torturante. Rencontre en abîme. Rencontre interférence de l'œil naissant du peintre et du regard mortifère du poète. Rencontre si intense que Pierre Courtens, trente ans après, n'a pas fini d'en épuiser le sens. 

Combien de visites Courtens fit-il à Artaud dans son pavillon d'Ivry sur Seine ? Le temps d'exécuter 40 portraits d'Artaud, une trentaine de dessins sur le vif, une dizaine de toiles de mémoire. 
(...) Dans les années qui suivirent, Courtens peignit à l'huile huit autres "Visages Intérieurs" d'Artaud. Il y aurait de par le monde, (en Allemagne, Amérique du Sud, Angleterre, Belgique, Canada, États-Unis, France, Hollande, Suisse, Turquie), disséminés dans des collections privées, près d'une cinquantaine de Portraits d'Artaud, peints ou dessinés par Courtens.
Michel Camus. 
</copy>

une de ces œuvres en question justement
AAparPCpx600.jpg


Il s'agit d'un grand panneau en bois de la dimension d'un être humain... Il semblerait que la longue chemise soit celle du service psychiatrique ? (A.A. avait un passé hétérosexuel). Mais à détailler le tableau on remarque la main droite... Comme une main de boxeur qui a tapé dur. On peut faire l'hypothèse que en 1946 A.A. a retrouvé son caractère turbulent et chicanier.

puis encore une doc
d'abord A.A. au temps de son charisme, puis plus tard
AA.jpg

 
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Dimitri's Song (feat. Gaston The Bandit)
 
Dernière édition par un modérateur:
Artaud c'est quelque chose quand même, un peu comme lire dans les tripes et la chair.
 
oui chair et tripes c'est une vue de l'esprit bien dite et il y a aussi en live pck si la main droite est tuméfiée il y a en plus la main gauche avec une fourchette... Ce n'est pourtant pas une motion gastronomique dont il s'agit là !!
 
Dernière édition:
Ça m'a pourtant bien ouvert l'appétit et ressorti les Tarahumaras de l'étagère, les limbes m'ayant fait de l’œil j'ai détourné le regard.

Pour résumer grossièrement à ceux qui ne connaitrait pas, les Tarahumaras c'est la tribu que va rejoindre Artaud au Mexique pour échapper au rationalisme européen et renouveler son âme, sa quête d'impossible.
En voulant se rendre réceptif au maximum à sa prise de peyotl que les Tarahumaras utilisent, il fait un sevrage sec d'opiate qu'il consomme trop, ce qui le met dans un état quasi-hallucinatoire.
Des montagnes il en a ramené quelque chose c'est certain, il dira plus tard que "les envoûtements, voilà quelques onze ans, depuis mon voyage au Mexique, que j’en remue."
Tout un programme avec la verve d'Artaud.
 
Il y a une hypothèse que Artaud n'ait jamais été au Mexique. Ou peut-être au Mexique mais pas chez les Indiens... Ceci ne signifie pas qu'il n'ait pas fait des trips même déjà en France. Son voyage au Mexique serait un scenar issu d'une synthèse psycho alimentée par la mescaline...

Puis c'est bizarre que le ministère alloue à un marginal les subsides pour aller se percher dans la jungle amazonienne chez des naturels ethniques. Tout ça en pleine montée de l'intransigeance politique avec dans le pays voisin l'exécution de Lorca ou Mussolini au top en Italie, et de l'autre côté un Furher accédant au pouvoir??

Par contre des ethnologues, des médecins, des observateurs nazis ont porté leur attention sur la mescaline avec la fonctionnalité d'un sérum de vérité. Les nazis, froidement pointilleux, ont fort probablement étudié la culture intellectuelle du peyotl avec minutie comme ils l'ont fait avec le mode de vie bohème ou le Surréalisme.

Cette époque voit l'écroulement de la médecine dite d'Hypocrate. Ne JAMAIS l'oublier !!

ci-après un extrait de Wikipedia:
<copy wikipedia>
De ce séjour dans la Sierra Tarahumara, on ne dispose que des témoignages d’Artaud et on n’a aucune certitude sur son initiation au rite du peyotl. On n’a pas non plus la certitude qu’il ait effectivement assisté aux danses des indiens, ou même qu’il soit réellement allé dans ce territoire d’accès difficile : s’est-il inspiré des récits d’explorateurs ? En 1932, il avait déjà publié dans le magazine Voilà deux articles sur des régions où il n’était jamais allé : Galapagos et les îles du bout du monde et L’Amour à Changaï. Pourtant selon J.M. Le Clézio la question de la véracité anthropologique des textes d’Artaud n’a guère de sens : « Ramener cette incantation, cet appel, au néant d'une relation de voyage en y cherchant l'authenticité serait absurde et vain75. »


Outre le récit de son périple au Mexique, il y a encore beaucoup d’autres textes d’Antonin Artaud intitulés Textes Mexicains, ainsi que les textes de trois conférences données à l’université de Mexico, reproduits dans l’édition Arbalète par Marc Barbezat en 1963. Le premier Surréalisme et révolution daté Mexico, 26 février 1936, le deuxième L’Homme contre le destin daté Mexico 27 février 1936, le troisième Le Théâtre et les Dieux daté Mexico 29 février 1936
</copy>

Par exemple je n'ai pas lu le livre de Artaud chez les Tarahumaras, mais est ce qu'il donne des détails concrets? "J'ai pris un bateau de <telle> ligne maritime" "je suis descenu à l'hotel <nom précis> et le tarif payé était <d'autant>. La nourriture mexicaine servie se composait de <ingrédients cités>... etc... Tous les extraits de son livre sur internet font la description de sensations sous l'emprise du peyotl, des choses abstraites ou des vues réduites à la spécificité d'un rite mais sans mise au point sur les contingences matérielles que nécessite une telle exploration vécue dans la jungle...

Est ce que klk'un a lu ce livre?? Est ce que on peut me détromper SVP ? je ne prétends pas avoir raison mais juste mon avis à parier.
 
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ici du substantiel plus vrai que nature:

Il voyage deux mille kilomètres en train : une cinquantaine d’heures pour traverser à petite vitesse tout le Mexique jusqu’à la région frontière avec les États-Unis. À Chihuahua, il prend un autre train, plus lent encore, à travers les cols de la Sierra Madré occidentale, jusqu’à la station de Bocayna.

« Allant chez les Indiens, je savais que je ne rencontrerais plus d’opium »,
écrit Artaud, et ailleurs :
« Arrivé au pied de la montagne, je jetai dans un torrent ma dernière dose d’héroïne, puis je montai sur un cheval. »

« Au bout de six jours, mon corps n’était plus de chair mais d’os, sédiments de la multitude de litres d’excréments liquides que j’avais perdus. Le départ de l’opium resserre les fibres, ouvre d’arides courants de vide dans la peau, et l’épiderme n’est plus qu’une énorme gencive irascible, une mâchoire comme à fleur de peau. Je connaissais tout cela — mais sur la montagne, cet état revêtit des proportions inaccoutumées. »

« Le cinquième jour, je crus entrer en enfer. » C’est un homme pétrifié qui a besoin de deux personnes pour le mettre en selle,
« une espèce d’automate paralysé » à qui il faut fermer les doigts sur les rênes de sa monture, qui chevauche à travers la sierra en plein été, en proie au manque et à cette diarrhée déshydratante et épuisante qui s’empare à divers degrés de tous les Européens qui voyagent au Mexique et que l’on appelle, à Mexico, la revancha de Moctezuma.

PRINTEMPS 1995 - CHIMERES 165
JOANI HOCQUENGHEM
 
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Samsara a dit:
blabla etc...
Des montagnes il en a ramené quelque chose c'est certain,
etc...

entre ce qui est donné comme notion établie (l'initiation chez les Tarahumaras) et l'hypothèse que AA n'a jamais été dans ces contrées sauvages, il y a une constante qui se maintient. C'est la prise de mescaline comme substitut à l'opium. Cela oui.

De ses trips, AA ramène l’expérience psychédélique dans le cadre d'un sevrage.
 
Je ne me rappelais plus de la polémique et puis avec le temps c’est un peu rentré dans le cadre de la légende cette aventure.
Tu peux lire le bouquin c'est pas très épais, je te laisse mener l’enquête l’Amicale !

Ps: Attention tout de même à na pas trop s'engluer dans la matière et de passer à coté de la poétique.
 
les paris sont ouverts !! Parce que quand il y a suspicion de verrouillage historique nous devenons les cobayes de notre lucidité.

Si je devais inventer un déroulement de faits crédibles ce serait AA au Mexique mais avec retour en France dès que la nouvelle de l'exécution de Lorca arrive par télétype à Mexico. Une version laissée à ma perception. Livré à moi-même je dois bien m'y tenir... (un peu comme AA avec tous ses "trucs"...) Mais l'invention est-elle bonne?

Avec l'annonce par télétype, les arcanes synergiques, les sympathies, se nuancent en un temps d'hésitation autour d'Antonin pour amorcer un revirement vers la France. Et dès lors ce que le ministère a octroyé ne crédite pas la valeur intellectuelle et artistique mais les services psychiatriques à des fins de redressement social. Cette hypothèse (de ma part) peut concilier le peyotl (mescaline) avec les traitements psychiatriques quand il s'agit d'un élément de développement d'une médecine montante, obscène, flattant la politique populiste.

Nous sommes tenus hors de ces circonstances qui font pourtant la clé de L'Historia. Nous sommes issus de ces circonstances (le Monde en est issu) mais nous sommes tenus à l'écart des faits parce que cela ne nous regarde pas. Nous n'avons pas à porter des regards exogènes ou inaptes sur des passions d'autrui.

Pour terminer, il faut préciser que Antonin Artaud a eu sa revanche au final. C'est précieux. La finalité de ce personnage devient encore plus exceptionnelle que sa réputation artistique. A partir de 1945 on voit en lui une étoile comme une supernova sociologique avant de s'éteindre.

Samsara a dit:
xxx xxx
xxx
Ps: Attention tout de même à na pas trop s'engluer dans la matière et de passer à coté de la poétique.
j'ai fait mon choix d'être un peu rêche parce que je voudrais trouver des vérités et des certitudes en réaction à l'errement. Je crois ne jamais y arriver par des considérations postiches de sociabilité en un lieu de réflexion.
 
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