Du DSM-IV, p232-233 :
292.89 Désordre de Perception Hallucinogène Persistant (Flash-back)
La fonction essentielle du Désordre de Perception Hallucinogène Persistant (Flash-back) est la répétition passagère de perturbations dans la perception qui sont semblables à celles expérimentés lors de la ou des Intoxications aux Hallucinogène précédentes. La personne ne doit avoir eu aucune Intoxication aux Hallucinogène récente et ne doit pas être sous l?influence de drogue (ou médicament) (le Critère A). Cette ré expérimentation des symptômes percepteurs cause une détresse clinique significative ou des dommages sociaux, professionnels, ou d?autres aspect importants de la vie (le Critère B). Les symptômes ne sont pas dût à une condition médicale générale (par exemple, des lésions anatomiques, des infections cérébrales ou des épilepsies visuelles) et ne sont pas mieux désignés par d'autres troubles psychiques (par exemple, delirium, la démence, ou la Schizophrénie) ou par des hallucinations hypnopompique (le Critère C). Les perturbations perceptrices peuvent inclure des formes géométriques, des images sur la périphériques du champs visuel, des flashes de couleur, des couleurs intensifiées, des traînées persistantes des images figées dans la trajectoire d'un objet se déplaçant comme dans une photographie stroboscopique), des perceptions « d'objets entiers » ; des objets rémanent ("l'ombre" colorée ou complémentaire colorée d'un objet restant après le déplacement de l'objet), des halos autour des objets, macropsies et micropsies. Les perceptions incorrectes qui sont associées au Désordre de Perception Hallucinogène Persistant arrivent épisodiquement et peuvent être auto provoqué (par exemple, en y pensant) ou déclenchées par : l'entrée dans un environnement sombre, des drogues ou médicaments divers, l'inquiétude ou la fatigue, ou d'autre stimuli stressant. Les Flash-back peuvent diminuer après plusieurs mois, mais pour beaucoup de personnes sont persistant pendant au plus 5 ans. L?évaluation de la réalité reste intact (c'est-à-dire, que la personne se rend compte que la perception est due à une drogue et ne représente pas la réalité externe). A l?opposé, si la personne a une interprétation fantasque concernant l'étiologie (L'étude des causes, des facteurs associés à la condition pathologique) de la perturbation de la perception, le diagnostic approprié serait : Désordre Psychotique non spécifié autrement
Critères diagnostiques pour 29289 cas de Désordre de Perception Hallucinogène Persistant (Flash-back) :
A. La ré expérimentation, après cessation d'utilisation d'un hallucinogène, d'un ou de plusieurs des symptômes percepteurs qui ont été éprouvés pendant l'intoxication avec l'hallucinogène (par exemple, des hallucinations géométriques, les perceptions fausses de mouvement dans les champs visuels périphériques, les flashes de couleurs, intensification des couleurs, les traînées des images d'objets se déplaçant, des rémanences positives, des halos autour des objets, macropsies et micropsies).
B. Les symptômes du « Critère A » provoquent une détresse clinique significative ou des dommages sociaux, professionnels, ou d?autres aspect importants de la vie.
C. Les symptômes ne sont pas dût à une condition médicale générale (par exemple, des lésions anatomiques, des infections cérébrales ou des épilepsies visuelles) et ne sont pas mieux désignés par d'autres troubles psychiques (par exemple, delirium, la démence, ou la Schizophrénie) ou par des hallucinations hypnopompique.
Il est intéressant de noter qu'un grand nombre de gens qui n'ont jamais pris de drogues hallucinogènes, font l'expérience de ces flash-back (ou retour d'acide) ou de phénomènes analogues. Cela tendrait à prouver que de tels événements sont des manifestations normales du fonctionnement du système nerveux.? Le meilleur moyen de pallier ces retours d'acides est de se convaincre de leurs caractère anodin. Moins un individu s'inquiétera de la récurrence de ces symptômes hallucinogène, moins il y prêtera attention et plus vite ils disparaîtrons.