D
Deleted-1
Guest
Sortez de votre nihilisme les gars !
Et comprenez qu'à chaque élection passée depuis une cinquantaine d'année, l'UMP et le PS dominaient l'environnement politique en jouant à un jeu d'élimination fonctionnant en trio, que ça soit avec les communistes quand ils était en vogue dans les 70's, ou avec le FN jusqu'à aujourd’hui. Le but étant d'éveiller les consciences en brandissant une fausse menace provenant d'un méchant parti, et de s'assurer un vote pour un parti bien sage, parce que moins extrême (ce qui rassure les gens apeurés). Mais le premier revirement de cette tendance a eu lieu en 2002 quand la gauche s'est faite doubler par le FN, et que la France s'est mobilisée contre le FN pour assurer une victoire UMP avec Chirac (même si la plupart n'aurait jamais voté à droite).
Depuis le PS s'est effondré sur lui-même, l'UMP idem au vu des clivages internes et la naissance du groupe LR, qui aujourd'hui encore est corrompu et perd en crédibilité. Tout ce bazar a néanmoins permis l'élection de Hollande suite au mandat de Sarkozy, donc on était toujours dans une optique de PS/LR, mais Hollande a fait plus de libéralisme que de social pendant cinq ans, et comme plus personne n'y comprend rien et n'a plus confiance en des politiciens véreux, menteurs et narcissiques, le nihilisme s'installe avec la méfiance et les extrêmes montent dans un climat de tension.
D'où la prise de pouvoir progressive du FN surfant sur ces tensions (qu'ils récupèrent pour vomir leur idéologie identitaire et l'imposer dans le débat), et d'un autre côté l'émergence du Front de Gauche, puis de La France insoumise avec Mélenchon qui s'est maintenant définitivement séparé des cocos et du PS. Et la blague sur le gâteau étant que Macron le suprem' narcissique, trahit le PS pour fonder son propre parti En Marche, en intriguant la populace avec sa tête de premier de la classe, sa culture et présence d'esprit, et sa réussite dans le système. Bon il en profite pour tromper son monde en se faisant passer pour un révolutionnaire qui est en fait un pur produit du système vu son parcours, mais il ne fait que surfer sur la vague de contestation anti-élites comme les autres, et jusque là ça semble lui profiter, même si derrière ses apparences il est creux comme son programme...tout ce qu'il veut c'est le pouvoir, pour retrouver son omnipotence d'enfant roi.
Au final finit l'assurance de voir au pouvoir le PS ou LR comme d'habitude, les règles du jeu ont changé et on n'est plus dans le trio de base Donc il se peut qu'un revirement majeur se produise dans le visage politique français comme je le disais. Ce qui ne changera pas notre quotidien c'est sur, mais cela pourrait entrainer de nouvelles réformes et mesures, aussi bonnes que mauvaises selon le parti qui prendrait le pouvoir. Il faut comprendre que les gens lambdas ne s'intéressent plus trop au contenu des programmes politiques, mais bien de plus en plus à l'apparence des politiciens, et cela se voit dans les sondages, qui en fonction d'une annonce quelconque d'un candidat, témoignent de leur affectivité ou mépris à l'égard de celui-ci. Et si les sondages racontent trop souvent n'importe quoi en faisant du buzz, ils façonnent pourtant une certaine vision de la politique, à laquelle les gens qui n'y comprennent rien ou qui n'ont rien suivi en préférant dédaigner la politique vont se rattacher, quand au dernier moment ils se diront qu'il faudrait quand même voter, parce qu'ils ne veulent pas voir le FN au pouvoir par exemple.
Et comprenez qu'à chaque élection passée depuis une cinquantaine d'année, l'UMP et le PS dominaient l'environnement politique en jouant à un jeu d'élimination fonctionnant en trio, que ça soit avec les communistes quand ils était en vogue dans les 70's, ou avec le FN jusqu'à aujourd’hui. Le but étant d'éveiller les consciences en brandissant une fausse menace provenant d'un méchant parti, et de s'assurer un vote pour un parti bien sage, parce que moins extrême (ce qui rassure les gens apeurés). Mais le premier revirement de cette tendance a eu lieu en 2002 quand la gauche s'est faite doubler par le FN, et que la France s'est mobilisée contre le FN pour assurer une victoire UMP avec Chirac (même si la plupart n'aurait jamais voté à droite).
Depuis le PS s'est effondré sur lui-même, l'UMP idem au vu des clivages internes et la naissance du groupe LR, qui aujourd'hui encore est corrompu et perd en crédibilité. Tout ce bazar a néanmoins permis l'élection de Hollande suite au mandat de Sarkozy, donc on était toujours dans une optique de PS/LR, mais Hollande a fait plus de libéralisme que de social pendant cinq ans, et comme plus personne n'y comprend rien et n'a plus confiance en des politiciens véreux, menteurs et narcissiques, le nihilisme s'installe avec la méfiance et les extrêmes montent dans un climat de tension.
D'où la prise de pouvoir progressive du FN surfant sur ces tensions (qu'ils récupèrent pour vomir leur idéologie identitaire et l'imposer dans le débat), et d'un autre côté l'émergence du Front de Gauche, puis de La France insoumise avec Mélenchon qui s'est maintenant définitivement séparé des cocos et du PS. Et la blague sur le gâteau étant que Macron le suprem' narcissique, trahit le PS pour fonder son propre parti En Marche, en intriguant la populace avec sa tête de premier de la classe, sa culture et présence d'esprit, et sa réussite dans le système. Bon il en profite pour tromper son monde en se faisant passer pour un révolutionnaire qui est en fait un pur produit du système vu son parcours, mais il ne fait que surfer sur la vague de contestation anti-élites comme les autres, et jusque là ça semble lui profiter, même si derrière ses apparences il est creux comme son programme...tout ce qu'il veut c'est le pouvoir, pour retrouver son omnipotence d'enfant roi.
Au final finit l'assurance de voir au pouvoir le PS ou LR comme d'habitude, les règles du jeu ont changé et on n'est plus dans le trio de base Donc il se peut qu'un revirement majeur se produise dans le visage politique français comme je le disais. Ce qui ne changera pas notre quotidien c'est sur, mais cela pourrait entrainer de nouvelles réformes et mesures, aussi bonnes que mauvaises selon le parti qui prendrait le pouvoir. Il faut comprendre que les gens lambdas ne s'intéressent plus trop au contenu des programmes politiques, mais bien de plus en plus à l'apparence des politiciens, et cela se voit dans les sondages, qui en fonction d'une annonce quelconque d'un candidat, témoignent de leur affectivité ou mépris à l'égard de celui-ci. Et si les sondages racontent trop souvent n'importe quoi en faisant du buzz, ils façonnent pourtant une certaine vision de la politique, à laquelle les gens qui n'y comprennent rien ou qui n'ont rien suivi en préférant dédaigner la politique vont se rattacher, quand au dernier moment ils se diront qu'il faudrait quand même voter, parce qu'ils ne veulent pas voir le FN au pouvoir par exemple.