la carrière du hacker a commencé en 2005 avec le piratage de sites web de différents candidats à des élections, le vol de données et d'informations. Au fil des années, une véritable équipe de hacker a été constituée pour ce genre d'espionnage et leurs services étaient monnayés au prix fort.
Andres Sepulveda indique à Bloomberg avoir mené également des «campagnes sales» pour des partis conservateurs lors des élections présidentielles de nombreux pays d'Amérique latine : Nicaragua, Panama, Honduras, Salvador, Colombie, Costa Rica, Guatemala et Venezuela.
Si toutes les opérations du hacker n'ont pas toutes été synonymes de victoires pour les «clients», Andres Sepulveda met en avant un grand nombre de succès et se targue d'avoir changé la face politique de l'Amérique Latine moderne : «Mon travail consistait à rendre public les actions sales des candidats, à mener des opérations psychologiques, de la propagande noire, à lancer des rumeurs, finalement, tout le côté sombre de la politique que personne n'imagine».