Votre parcours avec les Prods.

[bibi690]

Baaaaam, 13 ans j'arrive dans un pension en angleterre --' j'parlais pas un foutu mot d'leurs langue... Beeeeeeeeeef, y'avait quelques francais plus agés dans cette pension jme suis vite mélé a leurs groupe et j'ai vite commencer a tapé dla Codé *edit* la clope et l'alcool (ce dernier innonde vite toutes nos soirée).. Au début j'en prenait 2-3 fois par semaine, puis c'est vite devenu incontrolable et j'ai commencer a a sombré ^^. Au bout de 3 mois de suspicions (pas infondées) jme fais cramé je me fait renvoyé. J'y es aussi fumé mon premier joint, mais ca ne m'as pas autant marqué que par la suite^^.
De retour a paris, j'etait completement paumé je me souvient pas vraiment de cette période ormis le fait que j'etait bien déphasé ^^. J'ai pas vraiment sentit de dependence au produit ormis quelque tentation que j' ai eu vite fait de surmonter .. Ouf !!
14 ans, 2eme joint avec deux meuf de l'endroit au jprenait des cours particulier, j'etait déscolariser(CNED), j'tire mes lattes et la .... BAAAAM . J'ai tellement kiffé ca que je me suis jamais arreté ^^(on m'avais fait fumé un jwh et dla laitue sauvage avec d'autre plante).A l'occase jfume de temps en temps un mix d'herbe qu'un pote ramene de dubai c'est dla dokha ca assome plus qu'autre chose mais c'est un sensation assez marrante .. Breeeeeeeeef, vers mes 18 piges jcommence a découvrir la Mdma jme lance a fond dedans ,tous les week end a balle a tapé des sale doses pretextant que sinon c'etait pas drole ^^(on tournais a minimum 1 g ) telement de fois c'etait délirogene.. jme suis surpris a parlé a des gens qui n'etait pas la, voir des truc bizare .. S'en es suivit grosse déprime evidemment J'ai découvert les champignons casiment en meme temps, au debut j'avais beau prendre 3gr sec je sentait rien apart une legere introspection, multiplies les prises avec de la Md et la barriere commence a ce casser, aprés un voyage a Meda prise de truffe j'entrevois le puissance délire avec des Mushrocks, et j'aime ca Biiiiiiiim, retour a Paname Kit en mains et psilo dragon en poche, GROSSE PERCHE. Jme suis calmé sur les champi et la D pour me preserver un peu pour DOUR FESTIVAL !!!!!! Dour m'as bien dégouté dla Md je sais pas pourquoi MAIS TANT MIEUX. A partir de la j'ai etait plutot raisonnable sur ma conso jusqua maintenant elle s'est limité a une prise de C, Psilo, Dxm et Md (pour me confirmer que j'aimais pas ca ^^) depuis le dours.
Jcrois bien que j'ai fait le tours.. que dire de plus, aujourd'hui j'ai 19 piges et j'suis paumé, désolé pour le zbeul du texte mais voila c'est tout moi ^^.
Ps: je vous aiiiiiiiiiiiiiime !!!

 

[Haiwil76]

Bon ben rien de bien original, je fais parti de ceux qui ne font pas mentir les textes poussiéreux affirmant que le joint est la porte d entrée à tous les vices chimiques ...

Je passe clope et alcool qui ne quitteront jamais ( mais à dose raisonnable)

15 ans, commence ma conso régulière de joints ( weed et reste ) jusque à l âge d environ 24 ans puis arrêt net suite à une parano exacerbée, coup de stress, bref plus aucun plaisir... Maintenant je fume vraiment de temps en temps avec des potes...


17 ans, première expérience avec les xtc en boîte. BIM BAM BOUM. Génial, whaou c trop bien, en plus ça fait trop cool au lycée...du coup, consommation de pas mal d xtc en soirée et en boites durant un bon trois ans (majoritairement xtc et occasionnellement speed et c). Jusqu a ce que la descente prenne le pas sur la montée. Quasi plus de montée, jambes lourdes, déprime. Ben, comme j aime plus, ben je prends plus quoi...et aussi, la "pression sociale", faut que je réussisse mes études, avoir un bon job, pas décevoir les parents... Plus envie pour plein de raison et c es temps mieux !
J ai aussi pris des champis mais j étais déjà sous xtc donc on peut pas vraiment parler d expérience. Et 3 buvards avec des potes ( pas en boîte cette fois ci). Vraiment super bien kiffé-génial-exalatant !


Aujourd'hui, Ben c plus qu occasionnel (une fois/an voire 2 grand Max). Mais on n oublie jamais vraiment la drogue quand on fut drogué )

J ai un voyage( un vrai avec un vrai avion) a faire, c est essentiellement pour ça que je me suis inscrite !

Biz a tous

 

[BrusqueArabesque]

Let's go ...

Cigares à 14 ans, Tramadol à 15 ans, Weed à 18 ans, tabac roulé à 23 ans, 4-ho-met, champis et combos tryptamine-DXM à 24 ans, 2-CP, Mipt et 3-meo-pcp à 25 ans (J'ai oublié la C aussi arf, pas plus de 5 sessions panzer). En espérant que le LSD sera à 26 ans, histoire de boucler un peu ...

 

[FunkyDuck]

Weed vers 13/14ans, alcool dans ces eaux la...

Arret de l'alcool a 17 ans
Une semaine après, premiere md et premiere teuf... Souvenirs

Puis bam, arrive le spam de md/tazs/speed, la lune de miel, j'en prends 8 fois en 4 mois, dans des dosages pas rdr, decouverte du trip et de la ké pendant les vacs de mai.

Alors que mes descentes deviennent ingerables, je me prends d'affection pour les trips, je teste aussi l'amt, la c, la salvia... Et j'arrete les trips qui deviennent trop forts dans ma tete.
Bref, 1 an après ma premiere prise jai déjà brulé la corde de tous les cotes... Et la je decouvre le nbome.

Je surkiffe cette substance, legere et festive, et commence a en consommer pas mal. J'en achete sur les internets, ce qui m ouvre la porte du monde merveilleux des rc: je teste le mpa, le dipt, le 5 meo dmt et recemment le mxm et ethylphenidate...

Aujourd hui je ne consomme plus trop de psychés, ni de stims, ni grand chose a vrai dire, mes descentes sont trop rudes pourtant j'ai que 19 pijes. Ma vie se passe tres bien, et même si elles ne sont pas le pilier de ma vie, j'apprecie toujours autant les substances psychoactives.

Un parcours donc assez atypique quand je vois ce que les prods ont fait a des gens qui ont consomme aussi tôt que moi... J'ai toujours evite l'addiction, malgre que les benzos et le tramadol ait essayé, mais vu la fragilite de mon organisme, je me vois plus vite décedée que junky.

EDIT: 20 ans: j'ai rajouté l'héro a mon palmarès, premieres IV aussi (et surement dernieres c'était pas si fou que ca)
Je consomme quotidiennement du cannabis mais jai envie d'arreter, je me perche assez souvent a la K et a l'opium aussi (ou codeine). Je retente l'alcool mais tjr pas mon truc.
A tester:dmt

 

[schtroumpfette]

Et voilà à mon parcours déjà bien rempli sur le chemin des prods faut désormais ajouter un chapitre "opiacés" à partir de mes 26 ans – je fête mes 27 dans 4 jours.
Entre temps j'ai si pas arrêté au moins considérablement diminué les stims (pendant de nombreuses années je consommais du speed quotidiennement, aujourd'hui seulement en weekend), les psychés (hormis pendant l'été, où je me lache un peu plus, je n'en consomme plus qu'à de rares occasions), et même les dissos (la ké ça ne me fait plus grand chose de toutre façon et la MXE j'aime moyennement ça). Quant aux benzos, je n'en consomme que si j'en ai à portée de main, et rarement jusqu'à l'excès.

Reste les opis, donc... Ca, c'est encore une autre histoire.

 

[M_K_]

Attention à toi.

De mon côté, découverte de l'alcool et de la weed à 16 ans. Pendant plusieurs années je tourne principalement à l'alcool, avec une période un peu noire et excessive entre 19 et 22 ans. Vers 21 ans je découvre et me mets à consommer occasionnellement de la mdma, puis teste par hasard la kétamine, les amphets et la cocaine. De 22 à 26 ans c'est principalement de la mdma que je consommerai, avec une grosse chute de consommation d'alcool que je limite aujourd'hui (par choix personnel) presque exclusivement à de la dégustation de bons verres. Test il y a quelques mois de la MXE, à laquelle je n'accrocherais pas plus que ça en plus de trouver cette substance horriblement addictive, du poppers et de la methylone (bof et bof), ainsi que des psychédéliques (4-ACO-DMT, 4-HO-MET, LSD, 2CB) qui sont aujourd'hui mes produits préférés (les tryptamines).

Concrètement aujourd'hui, je consomme un peu de weed (2-3 grammes par mois peut être), un peu trop de md (1 à 2 fois par mois, je vais réduire ça), un verre d'alcool de temps en temps, et des psychédéliques sur une base de 2 fois par mois (mais la phase de découverte étant passée, je pense réduire ma fréquence). Cocaine, kétamine, speed et autres ne m'intéressent pas plus que ça, une ou deux fois par an tout au plus et par grand hasard. La clope non plus, ça me fait déjà chier d'en fumer avec la weed (et je n'aime pas la vape).

 

[Tumbleweed]

-Première cuite à 12 ans, à la liqueur de fraise^^ J'ai bien aimé jusqu'à 15-16 ans puis ça m'est passé... Encore aujourd'hui je bois très rarement pour me saoûler...
-Premier joint 3 mois avant mes 14 ans, c'est très rapidement devenu une habitude, une à deux fois par semaine à 15 ans et à 16 je fumais plus qu'au bong et quotidiennement... J'ai arrêté les douilles vers 20 ans pour en revenir aux pétards qui m'accompagnent encore tous les jours à l'heure actuelle...
-Champignons hallucinogènes à 15 ans que j'ai consommé en très grosses quantités jusqu'à environ 18 ans (toutes les semaines et jusqu'à 12g de mexicains secs... le plus gros trip de toute ma vie)
-Premier acide quelques mois avant mes 16 ans au Paléo Festival en 1998, un Hoffmann... Ensuite j'en ai repris 3 jusqu'à 18 ans, c'était pas très disponible dans ma région...
-A 17 ans je commence à sortir en soirée et je découvre le speed, le N2O, la cocaïne, les ecstasy (jamais pris de MD en cristaux) et la méthamphétamine thaï (Yabaa) que je consomme en très grosses quantités pendant une année et demi...
- a 18 ans 1/2 on me fait découvrir la cocaïne freebase accompagné de l'héroïne pour la redescente, s'en suivra pour moi 7 ans de consommations régulière de freebase (2 à 3 grosses sessions par semaine) et une consommation quasi-quotidienne d'héroïne...
-En 2004 à 22 ans c'est officiel je suis accro à l'héroïne...
-En 2008 à 26 ans j'arrête la freebase et l'héroïne, je commence un traitement méthadone à 60mg...
-Je me contente des joints, de l'alcool et de quelques traces de cocaïne de temps en temps tout en suivant mon traitement méthadone jusqu'en 2013...
-En 2013 je m'intéresse à nouveau aux psychédéliques, découvre la Salvia Divinorum et le LSA et travaille avec pour m'aider à entamer un sevrage méthadone...
-2014 Grosse année : je continue mon approche avec Sally, redécouvre le LSD et m'ouvre pour les premières fois au DxM, à la kétamine, à la mescaline (un seul essai en demi-teinte) et à la DMT...
-En parallèle je continue mon sevrage de méthadone (baisse de 1mg toute les 2 semaines) et m'autorise une prise d'opium par baisse pour me soulager un peu quelques heures...

C'est la première fois que je tire une rétrospective, ça m'a demandé pas mal de remue-méninges...

To be continued...

 

[Moz09]

Première cuite à 12 ans, pas un souvenir des plus formidable. Deux lattes sur mon premier pétard ce même soir, aucun effet évidemment.

15 ans : premières clopes en loossedé je tombe accro assez vite. Je redécouvre aussi le cannabis qui me plait énormément durant cette année.

15-17 ans : je me prends plusieurs cuites, qui ne me réussissent. L'alcool c'est nul, en tout cas avec moi : envie de dormir, mal-être physique, et même mentalement l'alcool rend chiant, innintéréssant et beauf (sur moi et sur les majorités des personnes que j'ai pu observer sous alcool). Le cannabis par contre, c'est autre chose, c'est mon grand amour. Je fume presque quotidiennement à partir de mes 16 ans, mais sans aucune addiction pour le moment.

17 ans : j'arrives à Nantes pour les études et là c'est le début de tout. Je rencontre des gens qui me parlent du Floride, une boite techno vachement bien. Première soirée là-bas, premier taz : l'extase, sensation de bien-être intense, WAOUH alors c'est ça la drogue ! J'enchaîne les soirées sous taz toutes les semaines. C'est aussi à cette période que je devient accro au cannabis à cause de cet objet du démon : le bang. Je suis aujourd'hui toujours accro. Je teste aussi le LSD (génial pour quelqu'un qui aime réfléchir de manière absurde comme moi, d'ailleurs je pense à réduire ma consommation de taz au profit du LSD) à cette période (je vais en teuf) et le speed (bof car pas récréatif).

18 ans (actuellement) : accro aux douilles, avec la conscience que s'est mal mais pas plus l'envie de stop que ça, c'est trop bon ! Je me suis calmé sur le prods en ce moment pour bosse mes partiels mais je sais qu'aussitôt ceux-ci passés ça va repartir de plus belle. Je ne m'en fais pas tant que ça, car je pense que mon addiction au cannabis me met en garde : si j'ai réussi à tomber les deux pieds dedans avec un substance "douce", gaffe avec les trucs plus costauds.

 

[GuyGeorge]

Tu démarres fort! C'est pas un jugement, mais fait attention a toi

Je ne m'en fais pas tant que ça, car je pense que mon addiction au cannabis me met en garde : si j'ai réussi à tomber les deux pieds dedans avec un substance "douce", gaffe avec les trucs plus costauds.

Je pense que dire que tu "fais gaffe", et même l'écrire, suffi pas. C'est une façon de se dire que tu es conscient, mais ça t'évitera pas le risque de tomber dans le trou!

 

[Moz09]

Non mais c'est déjà mieux que de ne pas en être conscient.
Et j'ai lu suffisamment de trucs (notamment sur Psychonaut, merci les gars vous faites un travail de RDR formidable avec vos témoignages) sur des addictions bien plus vicelardes (coke, came,...) pour me tenir éloigner de ces produits.

 

[Plante Verte]

On peut pas faire mieux que "faire gaffe".

 

[nash78]

Si tu peux choisir de ne pas du tout commencer (même pour essayer) un produit qui pourrait t'interesser mais qui te parait trop dangereux pour toi.
Et ce pas forcément pour les effets du dit produit en eux même, mais aussi par ce quand dans le contexte social dans lequel tu es si tu commence tu auras trop d'occasion d'en consommer (pour sa que je n'ai jamais voulu essayé la C).

 

[Plante Verte]

Certes, mais on est sur un forum dédié aux personnes qui sont déjà tombé dans le vice non ? Alors on va pas se rappeler mutuellement que la drogue c'est mal car c'est une prise de conscience qui se fait individuellement, et l'écrire ne fait que nous éloigner de notre propre vérité intérieur en nous canalisant sur des mots bien trop radotés pour avoir encore un impact influant dans les choix des consommateurs.

 

[Enthéogène]

15 ans : Premières cuites (vraiment des grosses races quand j'y repense) durant un séjour de 6 mois en Allemagne (à la base c'était ''je boirai jamais d'alcool'', j'ai vite changé d'avis ^^), premières clopes aussi même si ça reste très occasionnel

16-18 ans : Retour en France, pas grand chose à signaler, j'continue à me mettre des cuites en soirée, j'suis pas capable de boire autrement qu'en finissant la tête dans les chiottes ; j'commence à fumer régulièrement des clopes vers 18 ans, les joints tardent pas trop à suivre, j'me prends peut-être la plus grande claque de ma vie quand j'mets un 10 balles de shit entier dans un yahourt avant de sortir en ville avec une tolérance de poussin ; j'teste aussi le LSA, je kiffe grave, le DXM aussi même si c'est un peu moins ''fun''

19 ans : Mes fréquentations changent peu à peu, j'découvre la MD pour ce qui restera encore la plus belle expérience de ma vie, mais qui me donnera aussi l'impression que quelque chose s'est cassé en moi, j'me reconnais plus trop, du coup j'augmente ma conso de cannabis, j'me replis peu à peu sur moi-même...

20-22 ans : S'en suivent trois années de conso quotidienne (et assez intensive par moment) de cannabis ; j'prends d'la MD de temps en temps (ça reste ma drogue ''préférée'' dans toutes celles que j'ai pu tester), du DXM exceptionnellement (j'aime bien le recul que ça permet de prendre), j'teste aussi la codéine (sympa mais pas vraiment d'intérêt), j'reprends du LSA sans retrouver le kiff de la première fois... A mes 21 ans arrivent mes premières teufs (oui j'ai mis du temps ^^ ) et avec celles-ci mes premières ''vraies'' consos de speed, j'aime bien ça me permet de m'lâcher devant le son comme pas possible, par contre les descentes sont assez horribles

22 ans : Là où j'en suis maintenant (je les ai eu début décembre)... j'ai arrêté ma conso de cannabis en début d'année (j'ai pas refumé sur un joint depuis le 1er janvier), j'me sens peu à peu ressortir du gouffre où j'm'étais enfoncé...

J'ai sûrement oublié 2-3 trucs, mais j'ai mis ce qui me semblait le plus important.
A suivre

 

[Calanonyme]

Parcours, je pense assez classique.

15 Ans : Découverte de la fumette, je fume mon premier joint roulé avec un vieux shit de cité bien dur, je n'apprécie absolument pas, je suis sur le point de vomir et je décide de ne pas me forcer à fumer cette "merde" (c'est le cas de le dire), je jette le pochon et termine le paquet de clope, je n'en rachèterai pas.

16 Ans : Première véritable cuite au Pastis durant l'été (aaaah... Le sud de la france... <3 ), je tombe amoureux de l'effet déshinibant de la subtance mais ne connaissant pas mes limites je force un petit peu trop la dose, je termine avec seulement 40% de la soirée en mémoire, les cheveux coupés, un t-shirt plein de sang, des petites plaies plein les bras, une petite brulure à la main et un t-shirt foutu tâché de sang et d'urine (j'ai appris par la suite qu'on m'avait bousculé dans un ravin plein de ronces pendant que j'effectuais la vidange :unibrow: ).

17 Ans : Je redécouvre le cannabis en fumant la sainte beuh. J'apprécie les effets relaxant et m'en met à en fumer régulièrement devant le lycée (cours de philo oblige, il fallait bien tuer le temps... :grin.
Je retente une expérience avec l'alcool et termine la tête dans la cuvette à vomir mes tripes (charmant... :retard, naissance d'un véritable dégoût pour cette subtance.
Lors du nouvel an, un ami rencontré sur le net vient passer quelques jours chez moi, on décide de marquer le coup en commandant des truffes psyché, expérience très forte mais mitigée, pas mal de bads pour mon pote, ma copine et sa soeur mais d'énormes fou-rires après que chacun ait raconté son expérience (il faudrait que je retrouve le TR, j'en avait rédigé un).
L'été arrivant, on retente l'expérience des truffes avec ma copine et sa soeur en pleine nature perdue pendant quelques jours de camping sauvage, beaucoup moins concluant, les truffes étant dégradées par la température et le temps (elles sentaient vraiment les cadavres, on a été très idiots d'avaler ça on aurait pu risquer l'intoxication alimentaire, vraiment... :?
J'ai aussi eu quelques expériences à la codéine, le tramadol & au protoxyde d'azote par simple curiositée, je n'ai trouvé que très peu d'intéret dans ces subtances (quoi que le protox a tendance à montrer quelques résultats rigolos mélangé avec le cannabis), je n'y touche plus.

18 Ans : J'ai eu une expérience très légère avec de la MDMA, la dose était trop faible pour me faire véritablement tripper (et c'était mon intention, je voulais tater la bête avant de me lancer dans un futur proche).Fumeur régulier de cannabis sans que ça soit une addiction (j'arrive à m'en passer sans trop de problèmes quand il y a pénurie) et quelques clopes par jour.
Un dealer rencontré dans un bus m'a aussi offert une trace de cocaine dans ce même bus, situation assez étrange, dans le feu de l'action j'ai tiré et à part un coeur qui bat la chamade et un anesthésie totale de ma narine rien de particulier, de la belle merde en soit :+1:
Concernant l'alcool, j'en consomme de manière très occasionelle (je vais rarement en "soirée", j'aime pas trop ce genre d'ambiance ou tout le monde termine ivre et ou ça dérape presque à chaque fois), pendant des fêtes de village par exemple, mais je connais maintenant les limites et je n'ai absolument AUCUNE envie de les dépasser, ça n'en vaut vraiment pas le coup.
J'ai actuellement une commande de Salvia en route, je n'ai aucune idée de quand je la consommerai, pour l'instant je ne me sens pas prês à me prendre une violente claque psychédélique signée dame Sally, j'ai toujours aimé expérimenté les choses dans un état d'esprit parfait.


EDIT : Ah j'ai aussi testé le LSA pendant mes 17 ans.
Les couleurs étaient légèrement plus vives, j'étais de très bonne humeur, mais le bodyload était trop dur à supporter. J'ai donné le reste de mes graines à un ami pour son anniversaire.



Si jusqu'à aujourd'hui j'ai su prendre toute les précautions nécessaires, c'est grâce à vous.
Depuis que je m'intéresse à la drogue je lis ce forum, j'en ai bouffé de la RDR et je ne remercierai jamais assez les membres de ce forum de m'avoir surement évité tout un tas d'ennuis et d'expériences désagréables, vous pouvez en être fier bande de sales drogués :unibrow:

 

[Yotna]

11 ans : Première clope derrière le gymnase du collège.

14 ans : Premier joint qui ne me fera rien, mais surtout le même soir première cuite, une teille de sky à deux, ça m'avait bien calmé.

16 ans : Première année de lycée, je tombe accro au clope très vite.

17 ans : Conso de plus en plus régulière de cannabis, puis hebdomadaire, puis quotidienne qui me suis toujours. Avec les potes on prend aussi du poppers de temps à autre pour rigoler.

18 ans : Première trace de coke qui ne me fera, bah pas grand chose .. Puis Mdma, j'adore ça, on enchaine les soirées, parfois 3 jours de suite. Avant le nouvel je test aussi les champignon, dissolution de l'égo, 4 TROP faya, grosse première aventure. Puis je découvre les Rcs par le biais d'un pote qui me fait gouter la salvia .. Dans la même année : Methylone, 5 apb, 4 Fa, Spice, etc.

19 /20 ans : RCs : Lsz, 5 Meo Dalt, 25C Nboh, allylescaline // 5 eapb, 5 mapb, 5-apb, ethylone, 3 mmc, Methiopropamine, ethylphenidate, NM2AI. & surement d'autre aussi .. Seul le 25c nboh m'accrocha un moment, la mpa un peu aussi. Mais la 3 mmc fut/est toujours ce dont je raffole le plus.
Je test aussi le Lsa qui me file juste une grosse gerbe.
Premiers benzo aussi, et je kiff ça un peu, je test tetrazepam, bromazepam, tranxene, clobazam, nifoxipam. Gros potentiel addictif, moins que les stims chez moi, mais quand même. Je tente d'en rester le plus loin possible.

Edit : + 4-mec & speed

N'empêche, putain ça va vite ! :Oo:

 

[bloup9]

Personnellement je n'ai pas encore testé tellement de prods mais je reste très attirée par tout ce monde malgré le fait qu'il y a à peine 4 ans, je disais "la drogue c'est mal" (clope et alcool compris)
C'est à cette période (14ans allant sur mes 15) que je suis sortie avec un teufeur. Bon inutile de vous dire qu'il était vachement penché là dessus. Fumeur régulier, et kiffant pas mal l'acide, champis et md. Bon à cette époque je n'y connaissais rien, pour moi weed et md à quelques petites choses près, c'était pareil ! (haha la naïveté, j'en rigole maintenant). Bref je vous passe les détails, j'ai fini par rompre et c'est donc l'été de mes 15 ans que j'ai testé l'alcool. Première cuite, soirée mémorable j'ai adoré. Avec mes deux meilleurs potes on a voulu refaire ça quelques semaines après. On a largement abusé, on a vomi tous les trois, dodo, gueule de bois et petite pause de 2 mois. Entrant au lycée, j'ai connu le monde du cannabis car en seconde il y avait beaucoup de consommateurs. Avec toujours mes deux meilleurs potes on décide de tester, on prend un petit 10b pour notre soirée. On fume puis ça commence à faire effet et c'était franchement génial. Même si ce n'était que de la weed, on ne captait plus grand chose et partait super loin. Bref, toujours pareil, pause de 2 mois et arrive le nouvel an. Weed, Vodka, sans abuser c'était sympa. Peu de temps après je me prends une cuite phénoménale en abusant de la dite vovo et en la combinant avec notre cher cannabis. Cette expérience m'a d'ailleurs totalement dégoutté de l'alcool et je n'en bois plus ou TRES rarement.
Bref, courant avril j'ai commencé à fumer régulièrement. L'été arrive, je décide de me calmer et commence bêtement la cigarette. Mon année de première j'ai finalement continué à fumer la cigarette qui fait rire mais tout arreter en Terminale pour assurer mon bac. Chose faite, j'ai enfin décidé de me consacrer un peu plus à ces drogues qui m'attiraient. La number one fut la MD, je sais pas trop pourquoi mais c'est vraiment celle qui m'attirait le plus. Avec mon copain et deux autres potes on a donc décidé de test. On a finalement trouvé de l'ecsta, des Chupa Chups rose clair, miam. Très bon trip qu'aucun ne regrette. Maintenant, en attndant de pouvoir en reprendre (on tient à respecter un certain délai) nous sommes partis en quête de champis qu'on prendra probablement dans les jours ou semaines à venir. J'espère pouvoir tomber sur des jolis cristaux de md en teuf histoire de bien profiter de l'experience. J'ajoute une belle attirance pour le LSD et peut être un peu la C. Malgré ça, on y va doucement car ça serait bête de provoquer des bad ou tout le tralala.
Légère expérience avec la keta, c'était sympa mais sans plus. Avec ma meilleure amie, nous avions pris ça vers 14h ayant soirée à 21h. On a un peu fumé calées dans mon canap. Au bout d'1h30 (ce qui me semblait à vrai dire) je me relève pour regarder l'heure car le temps passait """lentement"""". Finalement il était 20h, on a rien vu passer et c'était très troublant même si amusant haha !
Voilà ma petite expérience

 

[Sludge]

Je vais mettre à jour mon "parcours avec les prods" car le premier post n'était pas très bien rédigé et surtout j'ai pas mal parcouru de prods depuis.

Première cuite à 16 ans donc. Dès lors les soirées arrosées d'alcool fort où le but n'est ni plus ni moins que d'être vite bourré et de faire le con deviennent une habitude. Le problème c'est que cette habitude peut durer longtemps pour certains. Après quelques années et pas mal de grosses conneries faites par mes potes (comme ruiner une piscine en faisant tomber une table de ping pong dedans ou repeindre un salon avec les ingrédients pour faire un gâteau), pour ma part, ça m'a saoulé.

Mon premier pétard je l'ai fumé à 18 ans, alors que je disais depuis toujours que je ne fumerai jamais. Ça a été une grosse baffe, l'effet était super psychédélique quand j'y repense, distorsion totale du temps et de l'espace. J'ai pris cher. Après ça j'ai quand même commencé à fumer régulièrement avec les copains, en écoutant du son, en se bourrant la gueule, pendant les répétitions de théâtre au village, à la sortie du lycée (avec option gerbe dans le bus le visage jaune et les oreilles qui grésillent). Le problème quand tu ne fumes qu'occasionnellement mais toujours avec des gros fumeurs, c'est que tu prends cher à chaque joint. Au point d'avoir la gerbe, de flipper ta race en rentrant chez toi en vélo ou de comater sévère après deux verres.

Je voulais depuis longtemps tester des drogues psychédéliques, notamment le LSD. Les films et autres &#339;uvres qui en parlaient ont attisé ma curiosité à ce sujet. Quand j'ai commencé à aller en festivals l'été, ça m'est arrivé que quelqu'un me propose de lui en acheter, ça ou des Exta. Chaque fois, évidemment, je me suis fait arnaquer, aucun effet. N'achetez pas à des vendeurs ambulants, sauf à la limite en festival Psytrance à l'étranger.

A une soirée d'anniversaire, il se trouve que du protoxyde d'azote tournait. J'ai testé vite fait, ou pas, je sais plus. J'ai plutôt testé ce soir là le Poppers qu'un copain avait acheté dans un sex shop. On s'est tapé des fous rires monstres. Mais je n'avais aucune idée des risques (bon c'est pas non plus un truc de ouf mais bon). En fait à cette époque, je voulais me défoncer mais je ne me renseignais pas plus que ça. Ce qu'on me disait éventuellement, c'est sûr que ça ne valait pas tripette.

Un copain m'avait parlé du fait qu'il sniffait de l'eau écarlate parfois. J'ai testé à quelques reprises, notamment en concert. Comme j'avais testé peu de choses, ça m'a fait bien planer lors de quelques concerts (Aphex Twin et Brain Damage). Je ne connaissais pas non plus la toxicité de la chose.

En 2011 sans plus d'informations que ça, on me fait tester la MDMA. On trempe un doigt mouillé dans le pochon et on se met ça dans le bec. Arrrgh, pas bon. On prend une super perche, on a eu beaucoup de chance de ne pas en prendre trop. C'est une très belle expérience (mais la magie a disparu au bout de 2 fois) surtout que je trippe devant deux artistes que j'adore et avec un bon copain.

Je m'inscris après ça sur Psychonaut pour en parler. J'ai vraiment envie d'aller plus loin dans mon exploration des produits mais à partir de là je me renseigne sur ce que je fais, on répond à mes questions, j'apprends plein de choses et je peux faire des choix réfléchis.

Je trippe au DXM que je découvre via le forum et plus tard je fais ma première commande sur Internet, du 2C-D avec lequel je trippe beaucoup de fois.

Puis je commence à aller en teuf Psy, ça fait longtemps que j'en rêvais aussi mais je fais cette fois les bonnes rencontres en Bretagne.

C'est l'occasion de tester des produits classiques et mieux connus. J'explore les champignons, le LSD, etc. J'ai écrit pas mal de Trip Reports sur cette période là.

Je cède à la curiosité en testant les stimulants plus tard. Enfin, j'avais déjà testé la MDMA, sans doute l'amphétamine vite fait, mais je commence à acheter des RC stims sur le net. D'abord des empathogènes, puis plus tard, ne comprenant pas l'attrait des gens pour les dopaminergiques purs, j'en essaie quelques-uns. Ne comprenant toujours pas, je continue. Et je me retrouve avec une addiction au cul. Addiction que je tolère, je n'ai pas envie d'arrêter, mais addiction quand même avec pas mal d'aspects qui sont bien loin de ceux que j'attendais de mes premières expériences : craving, effets secondaires désagréables, irritabilité, pulsions d'achat, etc.

La grande différence entre les stimulants dopaminergiques c'est qu'on n'y devient pas accroc parce que l'effet est cool. C'est dix fois moins cool que n'importe quel empathogène et cent fois moins cool qu'un psychédélique. Mais on y devient accroc parce que son effet modifie le cerveau, progressivement, pour y associer une forme de plaisir très éphémère et facile, ou un rituel particulier. En clair, on le consomme pas parce que c'est cool, mais surtout parce que le cerveau a appris à le vouloir.

 

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Et tu consommes quoi à quelle fréquence maintenant ?

 

[Sludge]

Je consomme des produits chaque semaine : de la beu quand j'en ai de façon épisodique et irrégulière, de l'alcool (bière, vin) une à trois fois par semaine en quantité très raisonnable (quelques verres sans être plus qu'éméché), un psyché ou un empatho de temps à autre (une fois par mois environ, parfois beaucoup plus : festivals, etc.), de la 2-FMA une à deux fois par semaine mais avec 1 à 2 mois d'espacement entre chaque pochon.

Mais au final beaucoup moins d'alcool que quand j'étais au lycée donc je ne sais pas si je me cartouche plus la santé qu'à l'époque. C'est sûr que ce serait plus sain que j'arrête de consommer des stimulants aussi fréquemment par contre.