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Psychédéliques et jeune âge

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion DasFrog
  • Date de début Date de début
Perso je sais que je prendrait jamais de drogue dur ou alors plus tard quand mon cerveau sera arriver à maturité et encore pas sûr,
Mais si j'étais amené à en prendre jeune, voilà les raisons qui m'y pousserais :
- Bon déjà quand vous dites attendez quelles années... c'est long quelques années ! Si j'était dans le truc maintenant j'aurais pas forcément envie d'attendre aussi longtemps
- D'autre part je me dis que peut être quand je serais un peu plus vieux j'aurais pas forcément autant d'occas' que maintenant (en imaginant que j'en ai), que j'ai pas le temps, que ça soit plus mon truc...
- Mais surtout le trip... ça à quand même l'air d'être le pied total (quand c'est pas un bad en tout cas ^^) sachant que les ado sont très curieux ça ne m'étonne pas que beaucoup veulent tenté le coup

Enfin bref personnellement j'ai été un peu attiré par les psychotropes au début mais en approfondissant mes recherches et en tombant sur ce forum je suis redescendu sur terre ^^ Merci à vous pour la prévention et pour le fait de faire partager vos expérience à tout le monde ! :D

cordialement gorake
 
Prend ton temps avec les psyché. Moi perso ça fait des années que j'en prends et des fois c'est pas évident.
Un conseil si tu en a jamais pris et bien accroche ton slibar car tu va voyager loin loin loin du moins ca la été pour moi .
 
DasFrog a dit:
Originally Posted by QuetzalUn autre point important, outre la maturité mentale et physique, c'est que c'est une periode truffée de choix capitaux!
Tu va devoir choisir des études, changer de vie, au final, c'est sans doute le moment (un peu avant et aprés la maturité) ou le plus de gens "foirent"... se perdent dans leur projet et n'arrivent a rien. Vrai non?

Mauvaise idée de t'encombrer de choses qui t'apparaitront tellement essentielle (qui le sont a mes yeux également), comme l'essence de toi même, ta relation au monde et sa complexité...

Entièrement d'accord !
Les petits tracas que génère l'arrivé dans le monde "adulte" peuvent vraiment se faire ressentir violemment.

Les décisions importantes et autres responsabilités en tout genre refont surface de manière très intense pendant certains voyages.

Même si je ne suis pas très expérimenté au niveau de la prise de psychédélique, je peux vous assurer que ce n'est pas à prendre à la légère, j'en ai fait l'expérience intime lors de ma première prise de truffe. Heureusement sans soucis particulier pour moi puisque je n'ai fais que caresser le bad-trip.

Il est vivement conseillé de: n'avoir aucun soucis particulier lors de la prise de substance; de ne pas avoir de décision importante à prendre dans les jours qui suivent; d'être dans un environnement agréable et sans risque. Alex
 
mon expérience personnelle et mon avis!

alors moi j'ai commencé le pétard à 15-16 ans, vite suivi par divers opiacés et opioïdes (héro, rache, opium, subs...), puis divers psychédéliques, mais très rarement. j'ai eu la chance d'avoir la conscience d'arrêter assez vite l'héro et les subs, avec des p'tites écartades pour la rache et l'opium, mais très rarement. par contre j'ai pris de plus en plus de psychés, pour arriver dans une période salvia vers la fin de mes 17 ans. et là, une soirée, tranquille, j'allais à un petit festival, je passe chez un pote, et on se coule une douille. je ne me rends pas compte sur le coup, mais je suis complètement défoncé. je sors de chez mon pote, et me dis qu'en fait je suis dans le même état qu'avec un bon trip (sans hallu, je n'ai jamais eu d'hallu sous trip): je n'arrive pas à lire une carte d'un arrêt de tram, sur mon vélo j'évite les "ennemis" (comprendre: les voitures), je suis dans un film (déréalisation/dépersonnalisation). je me dis que c'est pas normal, que je deviens fou. montée d'angoisse. bref, urgences psy, le lendemain, avec le sommeil et les médocs, tout va bien. quelques jours plus tard, avec des copains, je tente de refumer un pétard. grosse montée euphorique, je dis à une copine: "j'me suis pas senti aussi bien depuis longtemps", puis "oh merde c'est la même chose que l'autre fois!". urgences psy de nouveau, suivies de 2 mois de déréalisation intense (j'étais un personnage jouant dans le film de ma vie), mal être insupportable, désorienté tout le temps, impossible de suivre plus d'une trentaine de secondes en cours, impression de ne pas connaître ses proches, même ses parents, le tout assaisonné d'un traitement au risperdal (effets secondaires, pour moi: dépression, démotivation totale, fatigue intense mais insomnies, impossible de bander etc...). puis 3 mois de retour progressif à la réalité. quelques séquelles, mais rien de grave. quelques mois plus tard, je tape une petite trace de speed (eh oui la drogue, tu l'oublies pas comme ça...). voyant que tout se passait bien, j'ai repris de plus en plus de trucs, progressivement, sauf le pétard et la salvia, plantes desquelles je pensais qu'était venu mon problème. j'ai commencé à aller en teuf, et à faire du son. aimant de plus en plus la drogue, j'en suis venu à plein d'abus, par exemple 6 mois où je prenais de la MD tous les 2-3 jours (aucune dépression, ni bad, ni rien). puis une nuit, en tawa, je prends une goute assaisonnée de MD, speed et air sec. 2-3 heures après avoir pris la goute, mon esprit commence à sortir de mon corps, et à planer au dessus (effet ké non-visuel). mon corps était un pantin que mon esprit devait diriger, galère... je me ressens marcher comme le dernier des bourrés, avec l'esprit totalement clair. trip assez intense, surtout avec une dizaine de kilos de goa. puis je commence à m’inquiéter, du genre "je vais pas redescendre, je vais pas redescendre...". j'essaye de dormir dans le camtar d'un copain, impossible. un pote se décide à me raccompagner chez moi, en train car je n'étais pas en état de faire du stop. après avoir dormi, plus rien. je me décide à ne plus prendre de drogue. mais un mois après, je remonte, et là, parti pour 8 mois en décorporation plus ou moins intense, avec des remontées violentes, des moments ou je me mets en boule dans un coin et n'ose plus bouger pendant un temps inévaluable, difficultés à parler, vertiges, de nouveau sous risperdal (que je ne supportai vraiment plus et que j'ai arrêté, trop hard à vivre). avec un verre de bière j'étais éclaté comme avec une goutte, sans l'effet agréable. les clopes aussi me faisaient faire des petites remontées pendant les 2 premiers mois. être perché 8 mois, c'est long... surtout quand tu ne peux plus boire, que tes amis prennent des distances parce que tu es dur à vivre etc... ça fait quelques moi que je ne fais presque plus de remontée, mais je sais que je ne percevrai plus jamais la réalité, mon corps et mon esprit comme "avant". j'ai conscience d'avoir perdu des facultés mentales, je n'ai plus beaucoup de motivation, j'ai des gros troubles de mémoire proche, surtout quand je bois, ce qui est, mine de rien, très gênant: se souvenir de seulement quelques instants de sa soirée de la veille, alors qu'on se rappelle qu'on a même pas été saoul, c'est vraiment badant. surtout à 20 balais. je ne prends plus aucune drogue ou médoc psychotrope (valium, somnifères etc...).
bref, pour conclure, je pense que l'idéal, si l'on prend des drogues, c'est de commencer après 17-18 ans, voire après 25 ans, quand le cerveau est vraiment bien formé, qu'on est relativement bien das ses pompes, qu'on est plus dans l'indécision de la post-adolescence, niveau famille, études, orientation etc...
car, à court ou long terme (vécu):
-quand on est jeune, on a tendance à abuser, à tout gober, à tout essayer etc...
-on y perd tout son fric
-on va plus en cours
-on perd ses amis qui se défoncent pas
-on a des emmerdes avec les condés -> les parents (ils comprennent souvent assez vite qu'on consomme)
-on a plus que ça dans la tête, vu qu'on est chez les parents et qu'on a quasi pas de responsabilité
-on ne s'amuse plus sans prod
-on peut se bousiller le cerveau et le corps (et ce que j'ai vécu c'est largement pas le pire, j'ai un pote qui a perdu la vue, plusieurs qui sont allés en HP, des gens qui sont restés collés genre "légume", un pote qui ne savait plus lire, plusieurs connaissances qui ont fait des OD/crises cardiaques/morts à cause de coupes mortelles, des copains qui ont à tout casser 3 dents...)

après il y en a qui "gèrent" bien la drogue, savent se modérer, etc... mais moi aussi, je "gérais bien", et les copains aussi, mais personne n'est à l'abri du pétage de câble (pour moi, juste une douille la première fois)

mais je sais aussi que quand on a envie d'essayer, et plus encore quand on a déjà essayé, on passe au dessus des gens qui disent "ne commence pas, arrête de taper..." (je l'ai fait, comme beaucoup). alors, quelques conseils:
-se modérer (et s'y tenir, éviter de se dire "allez, j'déconne un peu mais tant pis")
-savoir refuser de taper (genre passer des soirées sans consommer)
-ne pas trop boire en tapant (plus t'es bourré plus t'as envie de prendre, et tu risques de finir complètement éclaté, blackout et compagnie)
-bien se renseigner sur ce que tu prends, et ne pas commencer avec une grosse dose (le pote qui a eu de la mort-aux-rats dans sa poudre s'en serait p'tet sorti, par exemple)
-espacer les prises (si t'es juste en montée, tu risques de te prendre une sale perche)
-ne pas se dire que tu vas rester bloqué, c'est le meilleur moyen de bader et de pas redescendre
-éviter de (trop) mélanger (surtout speedant/calmant)
-éviter de taper seul, mais aussi éviter de taper des psychés quand y'a trop de monde, surtout les premières fois avec le produit
-être avec des gens de confiance, qu'on aime
-savoir apprécier les défonces légères (mon meilleur trip à l'acide, c'était avec un demi carton, un peu de punch et des gens vraiment super)
à compléter...

pour conclure (enfin!), personnellement je m'amuse bien avec l'alcool, pis j'ai fait des tawas sympas sans même boire pendant 6 mois
du coup, je ne dis pas NON à la drogue, mais faire bien gaffe parce que c'est pas anodin, qu'on risque tout de même sa vie
 
(et euh juste, jte connaitrais pas toi ? strasbourg, le squat, odin toussa..?)

En tout cas, j'espère que ton témoignage servira à d'autres!
 
pense avoir vécu a peu pres ce que tu decris, grosse prises de lsd pour la première fois a 16 pige, fauché en pleine immaturité, longues depersonnalisation/derealisation sentiment de perte de controle de soi, dissociation etc.. mais ca aussi ca apprend bcp, a etre humble et modeste surtout, face a sa psyché que l'on peut bien prendre comme une entité a part dans certaines circonstances, il ft savoir se faire du bien et prendre soin de soi c'est ca aussi aussi etre mature..
 
C'est pas une question d'age mais de maturité.
Je suis désolée de vexer certain, mais j'ai quelque pote mineur (17 ans) qui ont pris du psyché avec moi. Ils sont pas rester perché, ils ont meme pas "badder". (ou très peu)
Alors que certain "adulte" on badder comme des porc car ils ont redrop ou surdoser..

Le tout c'est de préparer psycologiquement, etre sur d'etre bien dans sa peau. Le vouloir vraiment, préparer une journée exprès pour, expliquez que on fait pas sa comme si on roule un joint ou on se fait une cuite. Faut avoir un petit rituel quand meme et des mec pour observer.
Et pouvoir se renseigner comme j'ai fait sur ce forum. Bloquer les renseignement aux mineur est une très mauvaise idée.

Si ils veulent test ils testeront, c'est meme pire ils testeront sa dans une soirée, pas clean, ne savant meme pas ce qui gobe. Gober quelque chose sans savoir ce que c'est, c'est le meilleur moyen de partir en couille.


Le risque d'accident avec les mineur ai du surtout à leur immaturité et leur manque de renseignement, mais bloquez l'information c'est pas
le meilleur exemple à donné, sa donne des dérives un peu comme shanoar nous donne dans son témoinages.
 
Etant majeur depuis très peu de temps. J'aimerais donner mon avis même si il risque d'en "vexer" plus d'un. J'ai eu ma première expérience au psyché à l'age de 17 ans et l'âge ne veux rien dire (certe, 15 c'est jeune) mais je vais très bien à l'heure actuel. Tout est une question de maturité, si le "jeune" (j'aime pas ce terme car il généralise mais bon...) ce sent prêt, qu'il se prépare psychologiquement, qu'il se renseigne énormément pour pas avoir cette fameuse "claque", qu'il respect les psychés, qu'il a un bon set&setting et qu'il n'a pas un dosage élevé. il y a AUCUNE raison de "badder", de se perturber mentalement, louper les études etc... Je dis pas qu'il faut inciter les "jeunes" a en prendre. Mais qu'il faut pas non plus faire des spitch sur les blocage, psychose latente etc..., un jeune qui veut en prendre VA en prendre. Donc, mieux vaut les guidés.
 
Mais ces jeunes messieurs ont toutes les informations disponibles pour s'informer. Et je ne vois pas pourquoi tu vexerais quelqu'un.

C'est déconseillé, c'est tout.

Ici on respecte juste une politique éditorial, les membres mineurs sont banni jusqu'à leur mois d'anniversaire de leur majorité. Mais ils peuvent continuer à lire et utiliser le forum.
De plus les assos RDR donne des fly info sans se soucier de l'age, donc dans le dur les jeunes ont leurs info si ils les veulent.
 
Ouais enfin ton cerveau reste pas formé complètement, donc, maturité ou pas...
 
un jeune qui veut en prendre VA en prendre. Donc, mieux vaut les guidés.

Et un "jeune" qui ne veut pas s'informer n'écoutera pas les conseils de ceux avec plus de recul :D. Y'a beaucoup derrière les psychés et se croire "au dessus" c'est jouer avec le feu ... et pas sur que ça soit preuve de maturité. T'façon c'est du cas par cas et impossible de faire les choix des autres :)
 
Outre le fait que ça peut-être dangereux pour la santer, il faut ce sentir prêt avant de tester toute drogue et ce dire que une fois la substance prise on ne peut plus faire marche arrière, ce qu'y n'est pas si facil pour les plus jeunes personnes consommatrice
 
Yo les psychonautes, je vois ce forum et j'ai juste envie de vous dire que la première fois que j'ai pris de la dure, j'avais seulement 15 ans, et aujourd'hui encore je n'en ai que 16.. Mais en 1 an, ou plutôt durant ces 3 derniers mois, beaucoup de choses ont changé pour moi.
J'ai touché a la MD et aux ecstas, c'était notre petit kiff ces temps, sauf qu'il y a maintenant 2 semaines c'est parti en couille dans ma tête.. :/
La descente de la D a été particulièrement mauvaise (crise d'angoisse, stress, panique, peur de rester bloqué) mais elle ma ouvert les yeux, ça a ouvert des portes dans mon inconscient qui auraient dues rester fermées, ma vision du monde est maintenant changée a jamais, et croyez-moi je regrette amèrement d'avoir voulu passer une bonne soirée..

Donc quand les "anciens" si je peux dire, nous disent de pas toucher a des substances, il faut les croire.
 
Magnifique de ce dénoncer comme ça.

Tu viendras en reparler dans 2ans du coup!
 
ma vision du monde est maintenant changée a jamais, et croyez-moi je regrette amèrement d'avoir voulu passer une bonne soirée..
Ne regrette pas d'avoir voulu passer une bonne soirée, mais peut-être de ne pas avoir fait les choses comme il faut. Peut-être n'avez-vous pas fait attention au dosage ? Dans tous les cas, prends soin de toi, mange bien, n'hésite pas à en parler autour de toi aux personnes de confiance.

Désolé mais l'inscription sur le forum est réservée aux personnes majeures. Par souci "légal".

Prends le temps de t'informer et de faire les choses bien si tu veux absolument consommer des substances à risque.
 
Hello! J'ai tout lu (Wouhou!) et je voudrais apporter un témoignage.

J'ai pour ma part essayé les drogues très très tard (autant l'alcool, la weed, que les prods), en réalité j'étais complètement en décalé par rapport à l'ensemble des jeunes et je ne m'en trouve pas plus mal aujourd'hui ( 24 ans ). J'ai une consommation raisonnable et ça me convient.

Je fais partie aussi de plusieurs assos de musique, et suis souvent bénévole sur des événements et j'ai été confronté beaucoup de fois à la prise de MDMA par des jeunes ( 17, 18 ans voir 16 quand ils ont réussi à rentrer je sais pas comment).
Malheureusement j'ai l'impression que la prise de prods est devenue complètement banale pour ces tranches d'âge et ça m'attriste complètement. Et je parle tout particulièrement des jeunes filles.
Je ne compte plus le nombre de fois où une fille arrive près du bar parce qu' "elle a vu de la lumière" et que "j'ai l'air gentille". Un petit coup d'oeil à ses pupilles et ça se confirme: Elle a prit de la MDMA et pas qu'un peu. Et le pire, c'est qu'elle est seule!
Dans le cadre d'un festival gratuit où il y a vraiment n'importe qui je trouve ça irresponsable de la part de ses potes que je retrouve souvent 1h plus tard allongés dans leur vomi. En plus, je suis dans une ville où une fois par an l'électro Tchek Tchek Boom boom est très à la mode et où la ville organise des "apéros sonores". Résultat, on croise régulièrement des jeunes aux pupilles écarquillées à 15h de l'aprem en plein soleil. Evidemment tout le monde les regarde, et évidemment ça n'arrange pas la construction de leur image ( car quand on est ado, on se construit une identité et c'est normal).

Donc, sans être réac ( même si j'en ai l'air ), je souhaite à tous ces jeunes de pouvoir faire ces expériences en dehors de ce genre de contexte et en y ayant réfléchi car ça peut vraiment faire mal à leur identité et à leur confiance en eux( on vit dans un monde d'images, faut pas le nier).

Et puis pour les jeunes filles qui viennent me voir au bar en général je les garde avec moi toute la nuit jusqu'à ce que ça passe ( je me balade avec une ribambelle de minettes, c'est rigolo 2secondes). Après dans un autre contexte et dans une soirée chez moi ( c'était un grand chez moi avec genre 200 personnes), j'en cherchais toujours un/une ou deux dans le groupe qui me promettaient de ne rien prendre et toute la bande revenait plus tard me remercier ( sur le coup ils me disaient plutôt que je faisais chier ).
Au fond ils sont pas cons, ils veulent juste tellement "vivre à fond", "s'éclater à fond" et ils ont toujours tellement peur de ne pas vivre "assez" ou profiter assez qu'ils ont des comportements complètement débiles.
 
J'ai l'impression que les filles se laissent aller plus vite vers la MD enfin du moins c'est une impression que des copines mon confirmer, et cela tous niveau social confondu ...
 
J'ai cette impression aussi que les filles consomment plus de Mdma que les gars, où en tout cas poussent le vice plus loin. :paranoid:
 
Les filles sont également plus disposées à partir en bad, après je n'accuse paaaaas du tout leur image au yeux de la société.

C'est intéressant que tu soulève le point des différence de consommation entre garçons et filles car je le pense assez révélateur.
 
Prendre de la MD ok, mais quand je suis allé en free la majorité du temps les gens n'étaient pas love du tout devant le son. C'est le comble de l'individualisme, quand je pose la question aux gens si ils regardent les minettes, bah c'est souvent "Non, moi je suis là pour faire la fête devant le son et m'éclater." chacun son point de vue mais la fête, c'est pas d'être sous un prod empathique et de ne pas pouvoir profiter des effets sociaux de celui-ci en restant devant le son toute la nuit.

J'ai capté pleins de délires d'apparence (je sais pas comment dire) chez les gens qui utilisent des amphetamines, des mimiques, des stéréotypes... Je trouve que les gens se copient de plus en plus, veulent tous être integrés à un "clan" (une autre chose que j'ai capté aussi.) je ne critique pas la MDMA, mais j'ai l'impression que souvent ce que l'on vis avec les empathogènes est faux.
 
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