papi
Psycho disparu·e
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Bon vous imaginez bien que j'ai pas lu les 9 pages (peut-être le ferais-je plus tard), mais je me permets de réagir.
J'ai commencé à consommer très tôt.
Et j'ai pris des champis pour la première fois à 15 ans.. 2,5g de cubensis alors que je devais peser tout au plus 50kg. Une dose énorme donc. He bien j'ai fais un énorme badtrip, c'était prévisible. Surtout que je n'allais pas super bien mais j'essayais de me faire croire que ça allait.
Ca m'a bien retourné sur le coup et les jours qui ont suivi et j'ai fais une pause de quelques années avec les psychédéliques.
Vers 18 ans je m'y suis remis, puis après j'ai refait une pause. Et je m'y suis remis bien des années plus tard.
Voila le contexte.
Ce que je pense de tout ça :
Quand j'étais ado on pouvait me dire ce qu'on voulait je n'en avais rien à foutre, voire ça m'incitait à le faire quand même. Et je l'ai fait. En connaissance de cause.
Pour autant, je ne pense pas que ce soit hyper pertinent de prendre des psychédéliques quand on est jeune. Mais pas plus que quand on est vieux dans certains cas... J'y reviendrai.
De mon côté j'ai fait pas mal de psychothérapie, lu beaucoup de philosophie (et d'autres choses aussi : socio, psycho), je me connais beaucoup mieux qu'avant et je sais identifier si le moment pour prendre des psychédéliques est approprié ou non.
En fait ce que je pense de tout ça, au delà du fait d'être ado ou pas, c'est surtout une question de rapport à soi-même et au monde. Quand je vois des posts sur les forums de gens qui ont des attentes vis-à-vis des psychédéliques en termes de soins ça me fait un peu flipper pour eux.
Je pense qu'il faut d'abord être au clair avec soi-même, savoir identifier ses états, etc... Et c'est pas forcément évident quand on est jeune, mais je connais certains adultes pour qui c'est pas évident non plus et je n'irai pas m'amuser à leur foutre un buvard dans la bouche.
Je ne doute pas qu'il existe des adolescents sur terre qui sont capables de prévoir, d'anticiper une prise de psychédéliques, mais perso je ne crois pas en avoir rencontré et clairement ce n'était pas mon cas.
Donc dans le doute si une personne de jeune âge me lit, sait-on jamais... Bah je l'encourage à reporter cette expérience à plus tard.
J'ai commencé à consommer très tôt.
Et j'ai pris des champis pour la première fois à 15 ans.. 2,5g de cubensis alors que je devais peser tout au plus 50kg. Une dose énorme donc. He bien j'ai fais un énorme badtrip, c'était prévisible. Surtout que je n'allais pas super bien mais j'essayais de me faire croire que ça allait.
Ca m'a bien retourné sur le coup et les jours qui ont suivi et j'ai fais une pause de quelques années avec les psychédéliques.
Vers 18 ans je m'y suis remis, puis après j'ai refait une pause. Et je m'y suis remis bien des années plus tard.
Voila le contexte.
Ce que je pense de tout ça :
Quand j'étais ado on pouvait me dire ce qu'on voulait je n'en avais rien à foutre, voire ça m'incitait à le faire quand même. Et je l'ai fait. En connaissance de cause.
Pour autant, je ne pense pas que ce soit hyper pertinent de prendre des psychédéliques quand on est jeune. Mais pas plus que quand on est vieux dans certains cas... J'y reviendrai.
De mon côté j'ai fait pas mal de psychothérapie, lu beaucoup de philosophie (et d'autres choses aussi : socio, psycho), je me connais beaucoup mieux qu'avant et je sais identifier si le moment pour prendre des psychédéliques est approprié ou non.
En fait ce que je pense de tout ça, au delà du fait d'être ado ou pas, c'est surtout une question de rapport à soi-même et au monde. Quand je vois des posts sur les forums de gens qui ont des attentes vis-à-vis des psychédéliques en termes de soins ça me fait un peu flipper pour eux.
Je pense qu'il faut d'abord être au clair avec soi-même, savoir identifier ses états, etc... Et c'est pas forcément évident quand on est jeune, mais je connais certains adultes pour qui c'est pas évident non plus et je n'irai pas m'amuser à leur foutre un buvard dans la bouche.
Je ne doute pas qu'il existe des adolescents sur terre qui sont capables de prévoir, d'anticiper une prise de psychédéliques, mais perso je ne crois pas en avoir rencontré et clairement ce n'était pas mon cas.
Donc dans le doute si une personne de jeune âge me lit, sait-on jamais... Bah je l'encourage à reporter cette expérience à plus tard.