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Poésie

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Strange
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Je l'ai un peu remanier j'aimerais ton avis.



La redondance illogique m'a trahie


" Cette nuit je Me suis mis en jeux , mon gain le plus précieux.
J'ai ecrit neuf poèmes, plein de sincères mensonges a demi pardonné, expié et recyclé.
Et j'ai découvert que la poésie est la plus belle cachette du monde, mais que sa profondeur l’empêche d atteindre la Franchise.
La double negation s' accentue , la triple se consume d'elle meme et les anagrames mathematique
sont les premieres echardes de la logique car la logique et la vie son antinomique.
Il est fou celui qui cherche la logique dans l'ame humaine , il est humain celui qui cherche la logique dans l' ame d'un fou,
Et le silence est la seul vérité entendue."




Y a encore trop de foix le mot logique dedans, une idée pour palier a ce probleme ?


Sinon j'aime comment tu a rebondi sur ma prose. Ca me donne envie d'alimenter ce topic
 
ambulance a dit:
Même question qu'à Schtroumpfette : pourquoi revenir à la ligne quand c'est pour ne pas faire de vers ?
Je crois qu'en fait c'est par soucis de lisibilité, parce que je sais que sinon j'ai tendance à m'embarquer dans des phrases interminables où le lecteur se perdrait à coup sûr puisque c'est déjà un petit peu mon cas... Mais j'vais travailler à ça plutôt, alors.

Quant à en faire un rap ou un slam, ouais j'y ai pensé (c'est en écoutant beaucoup de rap que j'ai pigé de quelle manière y avait moyen de jouer avec les mots, leurs sens et leurs sons), mais malheureusement pour moi mon flow est à chier...
 
Bwuh, j'ai le même problème Schtroumpfette. A une époque, j'avais un bon flow mental (mais je dois être affreusement rouillé dans ce style là aujourd'hui, ça doit bien faire trois ans que j'fais plus ça), j'avais des rythmiques, des sons qui me venaient facilement, mais vocalement parlant, c'est teeeeeellement dur d'avoir un vrai truc. Ça m'fait tellement marrer les gens qui disent que le rap c'est juste parler dans un micro, ahahah.

Le truc, je pense, c'est d'apprivoiser sa voix avant d'écrire quoi que ce soit, histoire qu'y'ait pas de contradiction entre ton flow mental et ton flow vocal. Enfin connaitre ton flow physique pour adapter ton flow littéraire en conséquence quoi. J'pense pas qu'y'ait de flow fondamentalement mauvais, juste des flows pas adaptés à leur texte. (Pour le coup, c'est moi qui ai beaucoup de flows écrits dans mon post, là, ahah)

Mais d'un point de vue strictement littéraire, j'aime beaucoup ton truc ! Y'a p'têt' juste ça qui me dérange :

"Ce carnet de voyage peint de souvenirs flous
dévoile l'âge et floute les vies sages"

(Edit : Et en relisant, je réalise qu'Ambulance t'avait déjà fait la remarque, bon, mieux vaut deux fois qu'une, hein !)

La répétition d'un mot, si c'est bien fait ça dérange pas (j'ai pas senti d'overdose de "logique" dans ton texte par exemple, Ouroboros, ils s'enchainent plutôt bien), mais quand c'est deux mots différents issus d'un même radical, ça a tendance à appauvrir le texte et c'est triste que ça vienne perturber le reste qui est à l'inverse plutôt riche et bien construit.
 
Hiiiiii j'ai fais ma petite trouvaille moi ce soir! =D
Aller je pose un truc tout frais.

Chaque nuit assis dans le vide, je suis face a trois sphinx. Mais il est etrange de s'apercevoir si on s'y attarde, qu'il ne font qu'un.
Le premier, la bouche plein de miel et de peut etre, me raconte des histoire fantastique, ou la gloire et le pouvoir, l e bonheur et l'amour ne font qu'un, et dans ses yeux pleins de rêves, j'aperçois un sombre reflet qui me renvoie a ma fin me poussant a avancer et a vouloir le dompter.
Le troisième, le ton grave, la cendre plein la bouche me raconte froidement des horreurs, mais quand de sa bouche on entend une belle histoire, sa splendeur n'a pas d'égale. Les yeux regardants aux loin brillent, d'une certitude et d'une connaissance que je choisi des fois, honteusement d'ignorer car je ne peux assumer.
Mais quand le deuxième vient a parler, je vois sa bouche bouger, je vois ces yeux pleins d'une violence insupportable et la bouche pleine de flammes, mais dans tout le bruit qu'il fait je ne perçois rien, et un jour alors qu'apeurer, je suis sur le point de partir comme a mon habitude, le passe et le futur le calme en prenant de moi ce j'ai appris et ce que je veux apprendre. Les yeux intense, il me regarde silencieux satisfait de ce que je suis et me dit: aujourd'hui tu entendra mon nom mais demain si tu ne revient pas comme tu est tu l'auras oublie, mon nom est le présent, le cadeau du temps.
 
C'est cool que ce topic vive ! Je repasserais faire une petite critique prétentieuse dans quelques jours, mais là pour moi c'est coupure d'internet pour 4 jours.

A Lundi !
 
petit poème pour le printemps qui arrive...

Délicieuse fraicheur... Il en est de cette fraicheur
S'emparant de mon corps, mes sens et de mon coeur.
Ces douces sensations qui jaillissent de vos fleurs
difficile il en est d'oublier l'exquise odeur
tout mon être en eveille et voici le bonheur
je n'eu la chance de m'en delecter par malheur
Que trop rarement à mon gout, voici l'horreur.

Mais j'espère reprendre de ce parfum légendaire
A plonger entre vos cuisses la tête la première
contempler le temple gardé par vos boutonières
apprécier chaque bouton qui m'éloigne de l'enfer
A prendre plaisir de vos culottes de les défaire
A enfin en prendre la toute meilleur bouffée d'air
Alors permettez douces créatures de l'univers
D'acceder a ces délicieuses fraicheurs printanière
 
Juste pour faire mon nazi (t'façon j'aime pas la poésie j'aurais pas grand chose à dire dessus)
ReductionDesJoints a dit:
Si t'aimes assez la langue française pour en faire des poèmes, s'il-te-plaît respecte nos jolies ligatures ♥
Je t'en met une ici, tu pourras la copier/coller : œ (et si tu es sous mac t'as juste à faire alt+o)
Et juste au passage (mais je dois être une des trois personnes sur internet à faire ça donc vous pouvez juste me jeter des cailloux en me traitant de maniaque), typographiquement les points de suspension sont censés être en un seul caractère (que je t'offre tout aussi gracieusement : … (et alt+. pour les macusers))

Enfin ce message est adressé à tous les gens qui écrivent cœur en cinq caractères en fait, le prends pas personnellement. D'ailleurs je sais pas pourquoi je prends la peine de parler de ça alors que ligature ou non la moitié du forum écrit sans accents ou sans majuscules :ninja:
 
Et sans points ?
:axe:
Je cours me cacher !

Ah non en fait je reviens pour signaler un "Je t'en mets", juste en douce ;) .

(C'est pour rire hein, vais pas me plaindre des gens qui écrivent bien tout de même, ce serait un comble !)
 
DasFrog a dit:
Et sans points ?
Ah non en fait je reviens pour signaler un "Je t'en mets", juste en douce

Pour le coup le post de Mario perd toute crédibilité, good kill mon négrito.
 
Aller un autre, vu que vous avez l'air d'avoir bouclé vôtre boucle.

Voici donc de quoi faire avec "fluidité" de quoi tenter de retrouver cultiver le bonheur, le garder, le trouver, le retrouver, s'y vous comprenez ;)

paix, amour, lumière, fluidité,
bien, être, bonheur, félicité,
partage, égalité, spiritualité, intégrité,
ainsi que la connaissance de la vie dans sa totalité

Vivre ainsi son ressenti
se laisser aller
bouger et se laisser apprécier
le monde en toute sincérité
comme un enfant en son sein
le mal ne devrait plus exister
agissez alors du meilleur de vous même pour l'entraver

d'abord chez vous puis vous VERREZ!!!

qu'il est aisée de s'y retrouver
vous mêmes puis chez les autres âmes égaré


de cultiver ce sentiment l'agrandir et le partager

et ainsi observer s'établir ou se rétablir,l'harmonie, la chaleur de la vie, le bien être, l'équilibre parfait.
 
Je m'suis régalé à vous lire, les amis!

Du coup ça m'donne envi de vous faire partager un p'tit poème que j'ai concocté en descente de truffes!

Poème, piège à pensée?
Pense bête sur du papier,
Pense à tue tête et décalquer,
L'air dans rien, confusion de psyché,
Qui saurait même tromper un œil habile,
L'ris en mydriase, le sensoriel en volubile.
Le vrai, plus vrai que nature réalité,
Elle même diffuse à apprécier.

Je ne peux, qu'à travers le parfum de mes sens,
Vous témoignez mes grâces, les plus parfaites et infinis,
Car vous êtes désormais, devenu, je pense,
Demoiselle d'honneur et dans mon cœur, élue.
Cela n'a l'air de rien et pourtant riche de Cela,
Cela va sans dire, y-a-t-il quelque chose à comprendre?
Car cela veux guérir sans peur d'apprendre, de devenir meilleur...

Je fus ravi de prendre ce que m'a donné Cela,
Sans pudeur, sans gêne et mon âme en émoi,
Cette chaleur, ô combien Naturel,
Qui goûte l'ivresse de la pur ambroisie.

J'ai donné quelques heures d'humains,
Contre une poignée du temps des dieux...

Depuis toujours et à jamais, tu resteras divine, psylocine.



 
Très belle ode :D

Juste un truc, le "Naturel" sans "-le" à la fin c'est voulu ou pas ?
 
Juste un truc, le "Naturel" sans "-le" à la fin c'est voulu ou pas ?

Bah non en fait. Je crois que c'était juste trop ENORME pour que je le remarque.

Tant pis!
 
j'aime beaucoup
 
Il y a pour moi ( et tout cela est extrêmement subjectif ) quelques problèmes.

Tout d'abord sur l'orthographe, et c'est un peu dommage, de lire de la poésie comme ça.

Les vers s'allongent dans la première strophe mais de façon étrange. Cet étirement couplé aux rimes suivies donne un effet de redondance que je n'apprécie pas réellement. Le rythme discontinu que prends ensuite la seconde strophe est à mon sens contre esthétique puisque ce sont comme des alexandrins qu'on aurait malmenés mais pour finalement n'en rien sortir.

"De la musique"... ! C'est pour moi ce qui manque cruellement ici : des vers pour les champignons se doivent d'être beaux puisque c'est la beauté que nous enseignent les champignons.
 
merci ambulance, ton coté très technique, j adore.
 
Héhé, merci Ouro.

Pour la peine je vous en poste un à moi :

"Le navire."

Le temps n'est pas devant, il est à nos côtés.
Il faut en faire vie, il faut le rendre beau.
Tout autour de nos sens - c'est là qu'il faut rester -
Tourne le monde humain qui s'estompe en lambeaux.

Je ne dirais pas nous, c'est bien moi qui vous parle.
Du début à la fin, on s'ennuie, on s'occupe,
Mais ce qu'il faut chercher, c'est la première perle
Venue des océans, hors de ce jeu de dupes.

A jamais dans le noir s'endormiront mes vers ;
Ils vivent sans destin pour les accompagner
Ils retombent sur eux, se tournent à l'envers,
Fiers d'avoir vécu en-dehors du panier.

J'ai le souffle du vent comme unique briquet.
Rien ne vit. Tout sommeille enlacé dans l'oubli
Qui lentement grandit à l'ombre des bosquets,
A l'ombre des regards ou caché sous le lit.

J'ai oublié d'avant les longues prairies brunes,
Le ciel peint de violet, l'eau fraîche sous les doigts,
Les tambours près du feu qu'on frappait sous la Lune,
Vrai ! C'était la beauté qui vivait sous nos toits.

J'ai fui le cours du temps, les froides turpitudes ;
De ceux qui vivait là je voulais tout ravir
Mais il faut du courage et de la solitude
Pour ne pas chavirer, pas quitter le navire.
 
La beautée vis toujours sous nos toit si je ne m'abuse.
 
Un poème un peu bâclé dans le sens où c'était de l'improvisation sans corrections, je fais ça exprès, ça laisse un charme comparé avec des poèmes qui ont le même nombre de syllabes, mais les rimes sont là, et je suis poète depuis longtemps !!!
Le voici, le voilà !


Il était une fois moi, un gars, qui se nomme grivois,
Il était inconscient, insouciant et n'avait pas la foi,
Un individu louche, friand de drogues dures et douces,
Et oui, mais rarement, les prods me donnèrent un coup de pouce.

Plus souvent la drogue me manipulais,
J'étais, sous les effets, plus ou moins consentent,
Avec les empathogènes que je connais j'étais content,
Mais c'était dur de tout stopper pour des questions de blé.

*Ne pas oublier de ne pas prendre la drogue comme amie intime*
Avec certaines, les graisses fondent, express le régime !
À coup d'amphétamines pour pêter le feu,
Puis à coup de calmants pour que la nuit, je dorme un peu,

Drogue, drogue, drogue, on navire sur ta pirogue,
C'est drôle, certaines s'achètent via le net, y a même des catalogues,
Semi-légal, des prods pour les hallus, stimulation, et autres,
Comme ça on a encore plus à acheter, moins cher que les autres.

Certains se le foutent dans le cul de manière astucieuse,
C'est plus sain, retardons tout de même la faucheuse !
Sinon fumer de la weed de compétition me plaît,
J'aime aussi par dessus tout sniffer des trais.

Ayant arrêté les opiacés, il me reste d'autres variétés à sniffer.
Comme par exemple, la MXE m'intéresse, ce RC.
Sinon je fantasme sur autre chose depuis mon enfance,
Je voudrais fumer la pipe à opium, en être en trance.

Voilà j'ai écris ce poème vite fait,
Ça fait longtemps que j'en avais plus écris,
Je suis un poète à mes heures perdues, et oui !
Sans brouillon tout de suite au propre, improvisation innée :)
 
hahaha , il a un titre ton poéme ?
 
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