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Poésie

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Strange
  • Date de début Date de début
Désolé pour les fanatiques de la rime ; Ici, c'est prose.

Ainsi se fanent-ils, souvenirs d'autres vies.
Prisonniers de marbre dans un donjon dont le geôlier ne sait même plus qui il est, ils végètent.
Ainsi donc, ils nous quittent.

Flot incessant, ces regards d'ailleurs, impassibles et figés,
Nous pourrissent et nous rongent.
Peu à peu, ils sombrent dans l'oubli,
Ne laissant de traces que celles de l'inachevé.
Le temps creuse les sillons du manque,
Y déposant les graines de l'amertume et nous passons,
Ivres d'instants disparus.

Ainsi donc, elles s'enlacent et s'échouent,
Multiples vies futures et passées,
Aux doux rivages de la nostalgie.

Qu'ils sombrent,
Avant que la découverte de ces rivages ne les empoisonne.
Étriqué par le voile opaque du passé,
Charmé de ses promesses illusoires,
Le présent se fais rare.
Qu'ils sombrent.

S'intitule "Fannées".
 
Du 15ans d'âge pour les pauvres by ChapelierFou


Alors ouais on fait d'la prose, Alors moi vas y j'm'impose. Regarde mon flow ouais, T'as rien vu de tel, même à Châtelet.


Christina a froid.
Christina est froide, gelée,
de la tête aux pieds.
Elle a la peau gercée,
les lèvres bleues,
le regard hagard,
l'expression figée.

Christina a froid.
Elle cherche un château comme humble refuge.
Elle trouve une bâtisse,
rangée de pierre, rangée de lys,
Elle s'y installe, respire à plein poumons,
cet air qu'elle pollue,
qu'elle rend amère,
cet air qui la fait naître puis,
cet air qui la fait enfin disparaître.

Christina n'est plus.
Entrée dans moi, elle se mélange à mes effluves,
A enfin trouvé son refuge
et de sa clareté me montre le chemin,
de sa sagesse me corrige
et de sa puissance me colle face contre terre.

J'ai a peine le temps de crier :
"non, je ne l'ai pas refait, excepté une fois au châlet".
 
wép je fouillait mon PC

pas vraiment de la vraie poésie c'était plutôt des trucs qui me venaient comme ça au début de mes années champis
des fois quand je relis j'peux "voir" des liens entre des trucs écrits ou des manière de raisonner et soit le déroulement de ma vie, soit d'autres "écrits".

Quand je relis celui là aujourd'hui j'y vois des allusion anticipée a des conséquence de cet manière d'écrire même
Silence , mon ami, sénile démence s'élance, hurlante.
Je discernais la main d'Ôm, saisie d'encre, elle me plu ,me contraints.
Peau d'homme à fleurs.
les yeux scellés, je les essuyais.
Le silence m'attend, palais ouvert, langue tendue.
tapis gastrique aux mots odorants;
Silence, il me prend sur le bout de la langue les poèmes nauséeux.
;défilé crasseux des maux dormants.
Bouquet écœurant, il me prend par le nez les feuilles asexuées,
entonnera mélopée, résonnante, fusillée.
Silence, beuglant, bougeant, englobât mon haleine fertile
Versification flétrie, Ivrognerie
or vierge, vieil or.
Orties du désert résident ourdies.
Le silence me pique et n'équipe,
le siècle des phrases qu'au fil du temps ciselé.
Le silence, des amplitudes suréquipas mon âme.
Dernières flâneries houleuses, soûlées au touché
Coulées, mon ancre enfilera ces nécromants.
Scènes de romans ces veines malsaines
ensaisinées de pieds nous dépliâmes
Le vers solitaire qui isolerait tes verres

vers 2006 début de mes années champiis

Je te surprends

Je méprends ce que tu apprends
Je prétends au vol
Je tends ma toile
Univers cérébral
Je m’étends et je respire
contemplatif
Ces vers unis a l’envers
J’aspire a cet univers
Quand je suis démuni de mes vers
Je reprends, j’expire
pour toi de pire en mieux
Je bâti ton empire
Je dois tuer des vampires
Pour que leur sang coule
Je te surprends à comprendre
Ce qui n’est pas de moi
Je m’attends au tournant
Je m’entends quand tu mens
Et la encore je te surprend
A me pendre dans la toile
Tu reprend mes mets et tu les épices
Respire donc mon haleine fertile
Versatile
Volatile à dires
Eternelle satire mentale
Je te surprend a suspendre
Respire donc ton haleine perfide
Père avide performatrice
Et las encore je tu surprend
Hélas encore tu te méprend
Comprend donc !
Je reprends cette clé haleine
Qui ne m’ouvre aucune porte
Et pour l’instant peu m’importe.
Je voyage et j’exporte.
Ces mots tu aurais pu t’en saisir
Mais ils sont trop lourds pour toi
Tu les loue aux anges
Je te surprends !
Et si tu savais l’heure qui m’inspire ces mots…
Doux leurres incurables.
Je te prends ce que tu croyais avoir
Car il y a tant de chose à voir !
Que je tu te surprendrai encore.
Je pèse met mots
Puis je les jette dans ta marre.
Je te surprends !

mé c'est du viiiieux, je vais voir la semaine qui vient si la 4-aco-dmt pourrait me donner envie d'écrire
 
J'ai retrouvé des vieux écrits d'avant que je commence a prendre des psyché (sauf canna)

Reflets mélancoliques

Lorsque l’horloge rayonnante
octroie le répit aux âmes innocentes,
le cœur mélancolique dévoile sa chevelure timidement incandescente.
Cesse l’éblouissement, s’avive l’ivresse transcendante
délivrant ses vérités ardentes

L’œil mutilé de l’humanité offre son intimité.
Elevant parmi les veilleuses
l’âme bercée par l’inspiration rêveuse
contemplant l’éternité en un instant de sérénité

Le cœur révèle par à-coups douloureux
ses aveux chaleureux sous silence ténébreux.
Laissant choir son hôte en l’absence d’exutoire,
espérant l’abandonner à son écritoire.
Ses déboires inscrits dans les veines
Esquissent l’échappatoire de ses peines.

Le temps vieillit

J’ai assassiné le bourreau du peuple
celui qui de son aiguille arrache nos cœur
celui qui inflige et dévoile les rides abjectes de l’âme
celui qui nous dépossède de ce qu’il n’à point offert
celui qui enfante le doute et cultive la souffrance,
celui qui jouit des regrets et contemple l’ennui ,
celui qui noie ses victime dans l’oubli de leurs tortures futiles ,
et qui sans cesse nous rassemble dans le seul but de nous séparer.

Et maintenant.
Maintenant je ne dois plus t’aimer qu’un instant
mais celui-ci demeure désormais éternel.
Chaque jour unis par l’amour,
maintenant se confond avec toujours.

Pour les amants, un moment le temps cesse,
comptant sur une séparation emplie de tristesse
Sa cruauté ne vaincra jamais l’amour passionné
Il ne reprendra jamais la seule chose qu’il aie donné.

C'est marrant mais a l'époque ça venait tout seul et je trouvais çà pas terrible (j'avais une certaine répulsion face a ce style qui a une teinte plus académique et moins sauvage que mes autres textes. Avec le temps (?) je l'apprécie plus en profondeur j'ai l'impression que je ne pourrais plus arriver a ça aujourd'hui , parce que avant je m'écrivais avec une certaine "inconscience" des processus qui se déroulaient en moi, alors que ultérieurement ben (oops, trouve plus ses mots)

en fait 'j'ai du mal a écrire a nouveau comme ça depuis mon premier trip au lsd (Que j'ai vécu comme une Mort), il faudrait que j'introspecte encore sur ça, je mets toujours les écrits , des fois ça me trouble ce que j'ai pu écrire a cette époque :

désolé pour la 'tite digression ici c'est du texte brute pas vraiment de la poésie :

en fait lors de ce trip , qui s'est prolongé par insomnie sur quelques jours, j'ai "sauvé" les idées que je pouvais parce que le trip était tellement incroyable qu'il me fallait l'assurance de m'en souvenir, les notes collectées pendant le trip ssont intitulées "I'm your insane child"

insanity - A game, my beautiful game
Code:
Avant propos : C'est seulement un joke, c'est rien et tout a la fois. Un petit clin do'eil abstrait a moi même. Tout est a prendre au -infini-eme degré ! La forme et le fond ne sont eux même que leur propre forme ou leur propre fond. La joie de contempler l'infini sans se perdre dans la confustion, c'est de toujours contempler cet infini sans désirer se l'attribuer. Je m'octroie le droit de délirer perpetuellement et le devoir d'être conscient qu'il ne s'agit que d'un délire. Il peut influencer ma vie mais pas la dominer.

Ahh il a fallu que j'arrive au LSD pour comprendre ce que sont les paradis artificiels dans lesquels j'ai manqué de m'enfermé -(voici un délire:)- tandis que l'ouvrage éponyme tentais de me privé de cette expérience enrichissante qu'est la visite guidée du paradis sous l'oeil simple d'un homme qui n'aspire pas au paradis mais y travail.
Introspection et remise en question du principe et de la valeur de la remise en question.., Ne te laisse pas guider par la pensée du LSD, considere la comme lumiere, non comme chemin.

"edit a moi meme: aucune hallu? ah! tu t'es offert la plus voluptueuse des hallucination ! celle qui s'émancipe d'elle même, la bouche qui se mange. Tu t'es offert l'illusion de la désillusion !". (Comme Homere dans ses vers,heureux éphemere, trop peureux pour se taire)

C'est ma passion, il me plait de m'étudier moi même ! Et la passion s'émancipe de toute raison. Je ne suis pas ma passion, elle est, m'accompagne et nous sommes des amis incompris. 

De la philosophie de l'intérieure, philologie passionelle, tristement appelée folie, (Eloge de)
Ah que je m'evertue (en virtuose de la prose! j'ose;)) a lire les vers qui m'auront mangé bien avant de m'avoir enterré

N'est fou que celui qui crois le devenir ! Est guérri celui qui est sur de l'avoir été. 

... L'hiver
..1
a la question fatale qui suis-je quand je m'interpelle ?
Travaillez et goutez au volupté d'avoir trop !
Mon regard ne se veu si dieu ni esclave, je veux juste etre
Acceuilir des yeux ce que je vois comme le miel que j'aime et dont je jouit par.
Et quand bien meme cela paraitrais achevé, je jouirait de redecouvrir que je ne suis pas Dieu
que je peux jouir plus encore !

add: je pourrait jouir en esclave si l'on me pretais une seconde les yeux de mon architecte.

...2
C'est un jeux, je ne suis pas dupe
du contraste , une limite floue
borderline romantique, assurément!

add: vous me direz... oui mais non ne vous inquietez pas cette pensée a aussi suivi la mienne , j'e l'ai prise en consideration aussi.

..2.5
Je voudrais me liberer de moi même quand je regarde cette personne a qui tu semble étranger (ceci est intemporel et constant dans le temp)
Comment ces mots qui m'offrent la richesse que tu ne leur a pas dévoué.
La soupe dont tu ne jouit pas, les mots dont tu ne connais pas le sens
Et puis existe il seulement un autre sens que celui que tu coincoi?
La vérité absolue n'est que relative a elle meme
C'est le néant affiné par vos chaotiques totalités relatives.
Ah, la faim qui ne sait plus où elle à commencé, et se signe d'elle même (add se mange elle meme)


...3
Je n'ai aucun but qui soit assez beau pour commencer à oeuvrer
il n'y aura de but qu'une fois l'oeuvre finie
La question vient avant la reponse ! (add: je suis nait avant de me demander quoi que ce soit)
Oh, une revellation ne nécéssite par sa nature aucune question...
(rien ne se crée , rien ne s'est créé. Rien ne se perd)

add: il est evident que je fait abstraction d'un nombre infini de voies de pensée afin de tiré le rien du tout et vous le montrer tel quel

... Le Printemp
..4
Par contre se perd tout ce qui ne s'est pas créé !
Tout ce qui n'a pas été pour autre que pour lui même*

*lui étant le créateur

add: ah le plaisir de se retrouver en les autres, pour un moment au moin.

..5
(par rapport a "payerais tu pour ce que tu as deja recu")
Es tu pret a payer maintenant ce que tu aura plus tard ?
(add si tu l'es pour l'un tu l'es logiquement pour lautre si tu considere ton etre comme unique sur ta vie ... la main sur le probleme? ou sur le coeur)
Acheter moi, offrez moi le gout du beurre et l'argent du beurre !
Je me gorge de malice a l'idée que vous vous contentiez de ce qui n'est que matiere
Tant parfois cela m'eu affecté...

..6
Choisir m'apparait comme rennoncer a l'infini
(add quoique pas rennoncé dans l'absolu)
Je choisi de choisir
Car devant l'infini
Choisir une fin c'est au moin détruire l'idée d'infini.

... L'Ete
..7
Le fous , vous le soignez
L'assacin, vous le fusillez (add suicidez vous depuis adam et eve , crétins!)
N'a t il point été fou d'abord ?
Et n'etes vous pas certain d'etre assacin avant d'etre incertainement fou?
Ou reconaissez vous avoir été fou de les fusiller?
et etes vous maintenant fou et soignés !

...8
Ressembler a quelquechose?
C'est par un nombre de détails etre semblable a une idée clairement insaisissable

...9
Le temp offre l'existence a l'infini (add ?)

...L'Automne
..10
Est-ce que je reste ?
Ou est-ce que tu part ?
Peu importe nous serons séparés

Il faut que quelquechose soit défini par une détache absolue (add une unité)
pour permettre ensuite a celui qui a défini l'unité, de marier (et non mélanger!) ces unités.
Unités finies de l'infini, oeuvrant pour une oeuvre infinie

add:ne somme tous un seul infini et chacun peut s'en rendre compte par le fait qu'il a besoin de plus de temp que sa vie pour se réaliser...
mais la mort rappel que la bulle n'existe que dans l'eau. Je suis néant, je ne suis qu'eau, mais je rouille voluptueusement votre matiere infinie
vous etes de fer, je suis de vers. (add -pr le simple jeux- Vertues et fer tuent?)

Art imaginaire... imaginé ...
Il y a des choses qui se gagnent par non-convoitise
J'essai à m'esquisser dans le rien du tout littéraire !

La poule ou l'oeuf ? La reponse ou la question ? Peu importent , mais pas un coq ! non, pas un coq !

..11
Je me veux de l'extérieur
Quand je trip je devient le moi conscient de son oeuvre finie, l'oeuvre de sa vie.
Rapports intemporels avec moi-même !
Aux limites de la folie ? (add Existe t elle seulement ...)
Auto-dérision critique (add qui se jutifie par elle meme) , ou schyzophrenie (add qui se justifie par les autres) ?
Où pourquoi les malins sont minoritaires et connus d'eux seuls !

..12
Pauvre amnésique qui n'oublie que les joies
-add il ne se remémore que ses paines
mais se souvients qu'elles s'inscrivent dans le bonheur...-
Je dois me reconquérir sans cesse de cet amour
...
Et cette soupe dont je ne jouit pas ! (Et la sienne dont je ne jouit plus ?)
Et ces mots dont j'ignore les sens (add ainsi que l'essence)
...
Ces reponses auquelles personne ne pose leurs question !
Parce que je l'ignore cette question naitra lorsque je me coucherai
et enfantera son pere.

... La saison imaginaire.
..13
Cette nuit tu t'es aimé!
Qui s'octroie la liberté s'y contraint par l'éternité
Prouve moi que je suis bete (add ou fou) et tu sera plus vertueux (add moin fou ou plus méritant) que moi!
(add: adhere, complete notre liberté, et tu sera aussi unique que moi.)

add: je m'assacine la ? ha ha.
add: le silence c'est le néant qui jouit avant de se soumettre a l'infini. (sens d'idée esthetique).

Long monologue abstrait qui se lève quand vous vous couchez,
(add et cela parce que vous ne l'avez pas choisi autrement ...)
Qui se voit quand vous vous oubliez.

Un début est toujours absolu
une fin toujours relative.
C'est le sens de la vie de l'etre
(add L'essence de l'avide lettre.)

Je ne dit ni vérité ni mensonge
je vous apporte ma lumiere pour votre vérité !


/// a vouloir ecrire je n'écris que trop peu,à la folie d'un homme qui apporte la reponse a la seule question qu il ne se pose pas
/// Alors que ce soit dans un sous marin espganole, par des portes, une caravane jaune, devient ce que tu sera ! Vit toi.

With love
xxx

__________________________________autre vague__________________________________
---
(tt au début du trip apres le dessin)
Je souffre de nêtre personne.
Les heures ce qui compte c'est de les aligner (sinon elles se perdent).
---
Je cherche une raison.
D'être ?
Hm, pour... ?
Vous !

add: Je veux être pour m'être, me devenir.
---
Je me veux de l'extérieur,
(add: ah il est bien instinctif de vouloir ce qu'on ne peut acquierir, tout en etant conscient qu'on ne le peut!)
(quand je trip je deviens le moi conscient de l'oeuvre de ma "vie" , son dessein fut la mort)

Rapports intemporels avec moi meme ? (add rapports intimes... -tel le nom de mon dessin sous trip-)
(add Sur la diagonale,) Aux limites de la folie !
Auto-dérision critique ou schyzhophrenie ?!
Où Pourquoi les meilleurs sont solitaires et connus que d'eux même. Deux mêmes.

(info: partie retouchée apres)
---
Seul un homme heureux peux afficher sans crainte ses paines,
ses intimes  et nécéssaires laideurs.
Et en ses maux vous vous retrouverez celui qu'il s'était perdu.
Seul a jouir ou plusieurs a soufrir.
---
Je suis un coq.
Mais je pondrai l'oeuf,
et la poule,
en ayant désiré l'oeuf.

Je suis enfant et j'enfenterai le pere de mes freres.
Juste en faisant l'amour.
Littéralement parlant ?
Ben c'est ca !
---
Et tu jouira d'avoir oublié, je te le promet, encore et toujours plus, tu jouira
(add: ref posthume sur pourquoi jouir plus quand on peut jouir mieux)
---
Tu aura mis une vie entiere pour mourir !
Que reste t il ?
Qu'a tu offert au monde sinon un trait rhapsodique?

Je t'ai enfin trouvé, infini !
Non, me dis tu?
Q'ouis-je, c'est vous même qui m'avez trouvé ?
(add M'avez vous seulement cherché ?)

Ah, je cherchais en vain le titre d'un roman que je n'ai guèrre écrit !
(add: ou a m'attribuer le titre , sans vivre le roman et decouvrir que je suis celui qui y réagit en choisissant un titre, et non celui qui découvre le roman)
---
__________________________________...autres horizons et autres points de vues__________________________________
---
En me reposant,
en édifiant le néant,
j'ai compris que j'étais fatigué.

Tous les chemins menent au paradis
pour peu qu'on le suive jusqu'au bout
et peu importe lequel
vous avez le choix ! (add Choisissez!)
Car il n'a pa de sens pour vous
Il n'en a que pour lui même.
(add ou sans doute en cherche-til un , a son niveau, toujours le chemin de quelqu'un, toujours l'aventurier d'un monde)

Me mouvoir pour m'émouvoir
J'ai compris que pour l'être le temp n'existe pas
et que je suis tout ca a la fois, foie!

L'avoir
L'etre
Le devenir
Le paraitre
L'aspiration a ... (add etre inspiré ?)

Et l'équilibre hasardeux de tout cela (add ces chose individuelles)
fait la beauté infinie de l'être entier.
Le bonheur d'être uni a sois même
Et d'être malheureux pour se faire plaisir!
                                        _____________________ reflux de quelques vagues idées ... (add: incontinent!)___________________
---
Le panseur de moi même
le penseur de mois m'aime
Pauvre fou !
Je me suis compris dans moi même
Uni ! Ainsi Sois-je.
---
le jeux, aka l orgasme
je me profâne, fleur soumise a la beauté.

Ah l'amer , la mere... salée !
L'amende... mmm sucrée :)

J'ère dans l'ombre de mes vers
a quel droit me donnera droit ce devoir?
---
ahh, la regle , les mots se lisent de gauche a droite pour etre compris ! Ce n'est même plus la une regle puisque je vous autorise a me lire dans tous les sens et de tous vous sens !
---
           _____________
---
Il n'y eut de fou que pour les fous eux mêmes !
Mais en fait ... ("?" ! ?)
On s'en fou ! ("?" ! ?)
Je sais. (si!)

Ce n'étais qu'un pôeme destiné a moi même.
Y a til un ocean assez vaste et acceuillant pour moi poisson vert luisant ?
Déboires tout ca ! Je me tuerais...
Je veux tuer ce poisson
mais seulent quand il aura bu son ocean.
---
____________________
---
Que la langue francaise soit embras(s)ée !
(info: rapport esthetique avec le précédant "En faisant l'amour , littéralement parlant...")
Ardente !
(Allegro pianotante aussi par moments, grave à presstisimo)
Tanto esseulée tanto saisie de mon amour.
Comme moi, je me reconnais en elle.
---
                                        _____________________ j'ai revé que je me réveillais, et je n'ai pas peur d'encore me réveiller de ce reve imbriqué

J'ai laissé joué un autre enfant fou, (add: alice ma fille)
qui s'est amusé a enterré émilie.
Que serait-elle encore aujourd'hui?
Que serait elle devenue si elle ne s'était pas éteinte a son apogée ?

J'ai rêvé (tu!) que je rêvais hier !
Ah je me tue, toi, tait.
Je redecouvre pourquoi le silence, quand j'oublie pourquoi les cris.
(ces cris pour mieux me taire, ces silences pour mieux crier)

Fucking Walls ..
All in all you're just another wall in your house

Quelque chose à rajouter ?
Rien ?
Et pourtant je rajoute !
J'aime m'offrir a vous
The rest is the best, la fin du début s'ignore elle meme.

C'est l'instinc et la raison qui s'unissent pour disparaitre fougeusement...
Et pourtant j'en rajoute ! =)
J'aime m'offrir a vous
J'aime
J'aime
J'aime !
Learn'in the game
Code:
Insanity on prescription you said ?
---
Enfin je me suis posé
J'ai donc une question
pansée avant l'émoragie
La mort agit !
---
The last one seemed to be the best one, and the best one seem to wanna be the last one.

Le gai savoir est intemporel,
c'est savoir tout a un instant
comprendre chaque point qui compose une ligne infinie dans sa continuité intemprelle

Savoir qu'un jour
tout ce que tu vis tu l'appréciera ou l'aura apprécier pour ce que c'est !
Pas pour ce que ca t'apportais.

Tu tirera un jour bénéfice pour avoir mis des années a apprendre tout ca
pour rien du tout au final.
Continue a me lire et lie moi sans me comprendre
Le temp te cultivera, tu l'assimilera et le jugera
Lumiere à votre vérité !
(play the game of your gods, love and have fun. This is deep peace).
Tu sai que le but est éphemere...
Peu Importe puisque toi aussi !
Ainsi la mort rend ta vie belle (add au moin aux yeux de celui que tu étais)
Elle la rend regardeable.
(add completer la pensée c'est empieter sur les chants/champs du passé, mais je ne demande que ca, marchez sur mes pas)
Que je serais triste de ne jamais mourir !
Comme j'aurait pu etre triste de ne jamais etre né. (add avoir commencé a devenir)
---
Si la mort te voulais du mal
elle t'arracherais la vie sans attendre que tu lui offre.
La logique s'émancipe de sa question. (add ou celle ci menera la logique dans le gouffre, à suivre les chef qu'elle s'est créé)
Perpetuelle joie de redecouvrir avec d'autres yeux.
De comprendre le vécu en s'en détachant.
Et je veux remplir le vers de c'oeufs qui le voient déja a moitié plein.
Je remplirai ma tombe de ces vers ! Avant de la creuser.
---
Ah, je ne suis pas triste, d'ici, de voir que je serai plus malheureux la bas
je sai que cela me motivera pour revenir ici !

Quel bonheur
maintenant que je pourrais tout.
Je sai que je ne me dois rien de précis.
Je suis libre dêtre le travailleur miné de mon monde... pour un moment !
Pour m'y sentir acceuilli et respecté,
épanoui, entier.
Uni.

Now I know...
Ne fait de ce trip qu'une seule chanson.
(music lsd ds une semaine tu ébauche et entre temp tu te libere de la pensée et tu aprécie le calme chargé d'émossions lentes)
.. et de questions qui ne sont plus que des questions,
Et que le silence, aussi égoiste soit-il, ne te posera pas (add dans son verre...)
(pas oublier de reposer la question trouvée... pour lui découvrir de nouvelles reponses)
Manger quand je pensais ne pas avoir faim fut aussi douloureux que d'avoir faim quand je ne pouvais pas manger.
(découvrir une paine sans en connaitre les joies).
(add choisi de faire le tri dans ce que tu pensais ne pa vouloir)
---
Mais pourquoi vous montrerais-je ce que vous savez vouloir ?
L'apétit vient en me mangeant... je voeux vous surprendre !
---
Décline toi, ton empire
dans l'aversion qui tue toi.
(add décidé de publier la version qui tue! un peu plus concret!)

remember... "quand tu comprend pas quelque chose écrie le ca aide !" ... remember ... "calm morning, green sky and warm chocolate, simples things"
---
A la fin du roman "Rien" (add mec ta choisi une fin)
en fait plutot "Rien du tout, ni rien, ni tout"
J'ai un but mais pa de sens.
Et l'étude du délire ne fut qu'un délire.
(ce fut une vague).
Mon oeuvre est la tienne aussi.
Je te l'offre en procesus pas figé.
Art mouvant (et motifs immobiles)
Eprouvant.
Fais de toi l'assacin de ton fou.
Cela me dépasse aujourd'hui et je me suis dépassé demains ! 
(semble semble bien sêtre passé de mains!)
---
(Acheminement, assurément, je me chauffe au milieu des retombées de ces fumées qui me mutent ...)
---
Ami schyzo débattons jusqu'a être d'accord.
(add: tien que le poisson aime remonter l'océan qu'il s'est créer ! et qui l'a créé lui même)
Debattons juqu'a être d'accords tel une mélodie, pas un vulgaire bruit sans intentions.
Jamais,
Trompe toi !
Et si aucun n'avais raison et aucun faux ?
(comment je gere leur coéxistence)
Leurs tour à tours de fous.
Oh, leure (vaux l'heure.)
Je me retouche (à l'émoi)
M'approfondis...
---
Je me relêve chaque fois (mes propres erreurs) pour vous voir autrement !
Je suis le même mais je comptemple.
Je me suis.

Retour d'un début à Syd...

""Etre saint d'esprit et dieu en même temp c'est pas poss car c'est tlm tlm surpersonne.A-personne.
Les heures ce qui compte c'est de les faire d'affiler sinon elle sont perdue"".

""je souffre de n'être personne, l'antéschyzo où tout le monde a la fois (info: dans le sens croire en ..)
etablir piliers : bien , volupté (et volupté tiré du bien -bien en tant qu'idée pas objet) , image de soi, honeur, conscience,consideration d'autrui)""
A fight for another freedom
Code:
You know something is true
But you have to repeat it to yourself !
So, really sure it’s true ?
---
Tu es allé jusqu’au bout
Jusqu’où tu devait aller
Mais ce n’est qu’un bout,
Pas un tout
Tu as été jusqu’aux bouts
---
Attendre d’avoir faim pour apprécier l’infecte ?
Qu’en est-il si je goûte maintenant le délicieux ?
Quel grandeur infecte atteindrait ce volupté ?
Valeurs ?
---
Dans quoi t’es têtu enfermé ?
Dans ma tête entêtée !
---
Mettre de l’ordre dans l’infini
Ramassez  tous les morceaux, et puis on en reparlera.
---
La folie vaut la raison .
Right way wrong directions !
Keep me a way from what I want.
But lets me see some parts before the end.
Take the best from the rests.
---
Are you affraid to become crazy ?
You won’t care when you’ll be !
---
Es-ce beau …
Avec tes yeux ?
Cela m’a effleuré !
---
à l’art que j’aime a la folie…
Passion auto animée. 
Quand t’a un problème avec ta femme, tu divorce pas !
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Plus tard libre.
Soigné,
Je jouirai mieux !
Noblement.
De ces choses dont je ne jouit pas assez.
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Fini en avec l’infini,
Avant qu’il ne te finisse.
Accorde toi, le choix de la simplicité.
Aime toi par le bonheur des autres.
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S’ils me disent que je ne me perdrai pas…
Qu’ils me soignent !
Qui me dit que je ne me serais pas perdu tout seul…
Je vous aime
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L’infini mes vers tuera.
Tueront mes vers.
Tu la regrettera aussi cette fougueuse folie habile
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Je ne joue qu’en diagonale
Mais je suis la même règle !
Qui veut que le fou ne se déplace qu’ainsi.
Mais il joue,
Et peut gagner !

Je suis votre fou,
Votre matière à penser.
Aurais-je suivi le roi de trop près ?
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Invitation Denied
I don’t want to play your game called go insane.
Now, Apocalypse,
Sleep sweet insatinty.
Stay in nothing for no one !
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Leader killed his unknown solider again.
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deleteD
 
Mots révisés changés

Une fois mon labeur maîtrisé et fait merveilleusement,
Mon propre chef émérite devient érémitique.
Les flemmes errent en brumes incertaines.
La Leffe amère m’achève et mon corps tangue de l’effet mer.
Les Fées mères m’emmènent au fond du ciel.
La Nef émerge, en cœurs inondés de mots.
Tout en haut les faites méritent étoiles et Noir majestueux.
Ces fêtes m’hérissent le poil et m’irisent l’esprit.
Elles passent et s’en vont, éphémères.


Là, la, las

Maintenant, tel un mirage, fil au vent.

Les plus hautes montagnes, les richesses de Cocagne,
Le soleil ardent et les amours impudents
Comme la bulle d’eau disparaîtront bientôt.

Les forteresses pareilles aux châteaux de sables,
S’évanouiront dans le ventre de leurs mers.

Du dehors comme du dedans, rien ne reste dans l’instant.
Tournent les pages du rêve et le livre s’achève.
Pourtant aucune fin n’échappe au début,
Et la recherche des buts reste sur sa faim.

Eternel et immuable hommage aux phénomènes-nuages !
 
THC :

Toi ma lumière, toi mes séjours
Et mes fébrilités ! Evasion
Terrifiante de nos anciens jours,
Révérence rendue, convulsions.


Assis près des Rois, j'ai fait l'époque
Hybride du Poème Magique.
Yémen magnifique et léthargique,
Des sept points cardinaux je me moque !


Regarde ! Vois ces quatre pupilles !
Où que tu sois — vrai ! — oublie la Terre
Car craquent encor les creux cratères
Au doux chant un peu lassant des filles.


Non, je ne suis plus fou ! Plus fou, non !
Né dans les jardins fleuris d'Absinthe
A toi ces vers ! A toi ces sept pintes !
Brûlant pour ton souffle et tes chansons.


« Influence néfaste au poète »
Nous disent encor les gens heureux
Ô ce son ! Passe dans les luettes,
L'air condense mes vers : un mot ? Bleu.





Quelqu'un y verra-t-il quelque chose ?
 
Les premières lettres de chaque mot ;)
 
Je me joue des jeux de maux qui se cachent dans ma tête ;
Me plains de mal au crâne mais me complais dans cette peine...
Des jours que cela dure, sur un nerf rock la pierre s'émousse à vif
Comme moi je coule à pic dans la cristalline haut de Roche©
Je joue ma tombe à « pique, nique, coule une douille et cool un gramme ! »
Témoigne du passage à vide d'une jeunesse avide d'ivresse
Qui lève son verre à la vie ... et le vide à rats morts. Le'haïm!

Ça vient tout droit du core - et des trips :wink:
 
Je me permets d'apporter ma petite contribution.
Tant qu'à être sur psychonaut et s'appeler Tirésias, voici un petit poème surréaliste écrit dans un état entre le rêve et la réalité:


Au plus ventable de la nuit
j'entends clore des chansons
j'entends venter mes oeufs au coeur de l'océan
je suis un saint, on vient de le dire
les flammes s'enguenillent de rêves
 
J'ai envie d'écrire quelques réflexions sur l'existence de l'homme.

Est-ce que j'existe ?
Un homme croît exister car l'autre croît qu'il existe à travers l'autre.
C'est cette impression qui nous fait croire qu'on existe.
Car on existe seulement pour quelqu'un.
Je ne peux écrire que ce que me permet mon cerveau.
Je sens que je suis prisonnier de ma pensée, et pourtant j'en suis conscient.
Comme je suis conscient d'être conscient que je suis prisonnier de ma pensée...
Je sais qu'il y a quelque chose qui me dépasse.
Quelque chose que je ne peux pas penser, ressentir.
Je sais que je ne sais pas mais je ne sais pas ce que je ne sais pas.
Je doute que j'existe.
Je doute que je doute que j'existe.
Je doute que je doute que je doute que j'existe.
Je doute que je doute que je doute que je doute [...] que j'existe.
L'homme peut-il s'extraire de lui même ?
Je ne crois pas.
Nous sommes prisonnier de nous même.
De notre perception du monde.
Car le monde n'est que la représentation que nous en avons.
L'homme façonne le monde au fur et à mesure qu'il le ressent.

Voilà j'ai fini pour ce soir.

Et n'oubliez pas, ce que j'ai dis je doute que je doute que je doute que je doute [...] que je doute que ce soit moi qu'il l'ait dit.

Jooeee
 
Compt(in)e à rebours avant l'aube


Cinq heures, Paris s'éveille
Quatre à strophe : j'ai pas sommeil
Trois petits points ... Deux suspensions
Un somme me nie - Nique ta lope !
 
Bagdad'boum, journal de bad :
Bienvenue à bord d'Air-Lines,
dans les vaisseaux fantômes d'un cerveau spatial.
Ce carnet de voyage peint de souvenirs flous
dévoile l'âge et floute les vies sages
d'un bout d'femme haut comme trois " ॐ "
Ecriteaux écrits très tard par une fêtarde automatique,
Auto-stop-tamponneuse synaptique
à l'envers l'Ouest ; allant droit dans le mur ;
Fille bâtarde de l'air, du temps et de la joie ;
Enfant naturelle chimiquement altérée ;
Fumeuse chimère au jardin d'Eden,
faisant feu d'artifices et de toute joie.
 
schtroumpfette a dit:
Bagdad'boum, journal de bad :
Bienvenue à bord d'Air-Lines,
dans les vaisseaux fantômes d'un cerveau spatial.
Ce carnet de voyage peint de souvenirs flous
dévoile l'âge et floute les vies sages
d'un bout d'femme haut comme trois " ॐ "
Ecriteaux écrits très tard par une fêtarde automatique,
Auto-stop-tamponneuse synaptique
à l'envers l'Ouest ; allant droit dans le mur ;
Fille bâtarde de l'air, du temps et de la joie ;
Enfant naturelle chimiquement altérée ;
Fumeuse chimère au jardin d'Eden,
faisant feu d'artifices et de toute joie.

Ecrire en prose ne serait pas plus adapté ? Car ici je vois les vers mais je ne les comprends pas : on se perd dans la lecture d'un pour s'étonner de la petitesse du suivant.
Il y a cependant de jolis jeux de mots (auto-stop-tamponneuse, ecriteaux écrits très tard...) mais ils ne sont pas assez mis en valeur à cause du rythme qui les écrase. Il y a au début une répétition de "flou" qui peut-être choisie mais selon des critères pas forcements esthétiques.

Donc mon avis est que tu peux faire quelque chose mais il serait vraisemblablement plus intéressant de le faire d'une belle manière puisque le fond en est digne.
 
Merci pour la critique constructive! Effectivement la poésie n'est pas l'élément dans lequel je m'exprime le plus aisément. D'autant que les tentatives ci-dessus ne sont quasi exclusivement que le produit de consommations plus ou moins déraisonnables d'amphet' et de psyché...
 
Je l'avais posté y'a longtemps mais j'y repense ces derniers temps.


La redondance illogique m'a trahie

" Cette nuit je Me suis mis en jeux , mon gain le plus précieux.
J'ai ecrit neuf poèmes, plein de sincères mensonges a demi pardonné, expié et recyclé.
Et j'ai découvert que la poésie est la plus belle cachette du monde, mais que sa profondeur l’empêche d atteindre la Franchise.
La double negation s' accentue , la triple se consume d'elle meme.
Les anagrame mathematique sont les premieres echardes de la logique.
La logique et la vie son antinomique.
Il est fou celui qui cherche la logique dans l'ame humaine , il est humain celui qui cherche la logique dans l' ame d'un fou.
Le silence est la seul vérité entendue."


je precise que j'ai ecrit sa pendant un gros binge de ké.
 
Ah, Schtroumpfette, c'est la première fois que je te lis et les jeux de mots sont bien sympas. comme le dit ambulabnce, les vers sont pas forcément bien exploités, c'est vrai... A la limite en prose ça pourrait passer mieux.

Ou alors fais en de l'espèce de slam/rap/ambient/expérimental :D
 
Ouroboros a dit:
Je l'avais posté y'a longtemps mais j'y repense ces derniers temps.


La redondance illogique m'a trahie

" Cette nuit je Me suis mis en jeux , mon gain le plus précieux.
J'ai ecrit neuf poèmes, plein de sincères mensonges a demi pardonné, expié et recyclé.
Et j'ai découvert que la poésie est la plus belle cachette du monde, mais que sa profondeur l’empêche d atteindre la Franchise.
La double negation s' accentue , la triple se consume d'elle meme.
Les anagrame mathematique sont les premieres echardes de la logique.
La logique et la vie son antinomique.
Il est fou celui qui cherche la logique dans l'ame humaine , il est humain celui qui cherche la logique dans l' ame d'un fou.
Le silence est la seul vérité entendue."


je precise que j'ai ecrit sa pendant un gros binge de ké.
Même question qu'à Schtroumpfette : pourquoi revenir à la ligne quand c'est pour ne pas faire de vers ? Comme :

Cette nuit j'ai tendu la main
Qui s'en allait flatter mes yeux ;
Je m'offre à moi-même le gain
Des gains : celui le plus précieux.

Quand j'ai expié mes mensonges,
J'ai mis mes poèmes au noir
Pour en offrir neuf à mes songes
Sans le pardon - sans l'entonnoir.

'fin j'sais pas y a moyen de faire un truc sympa nan ?

Sinon le fond est très vecteur de réflexion, et ça fait - parfois - du bien !
 
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