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Poésie

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Strange
  • Date de début Date de début
Krix a dit:
Magnifique ce que tu as écris Phoenix, on sent les pensées sous-jacentes qui ont accompagner chacun de tes textes et je les trouve très jolie perso ! :heart:

Je m'y suis pas mal identifié par moment aussi.

Oh merci beaucoup à toi, ça fait plaisir ! Rien de mieux si on peut ressentir l'énergie des textes et possiblement s'y identifier. <3
 
Grande arène aux combats épineux,
L'échappatoire est mortelle.
Et la vie éphémère et pourtant perpétuelle
Me tire dans l'univers infini.

Infime poussière qu'est mon être,
J'épouse le vertige des tristesses du néant.
Le cosmos n'a jamais été aussi abyssal.

Cette nuit j'en appelle à mes froides angoisses,
Et je me noie dans leurs brûlures monotones.
 
Les bouteilles de Cola, sur ma table.
Je vois la paille, ouvrant une sardine
Je ne sais ou finira ma main méconnaissable.
peut être sur une carabine.

Oh toi, smartphone exorbitant
comment pourrais-je te voir
Quand je suis intriguant
et toi si pressé de boire ?

Est ce la lune, qui en mon coeur
Eclaire le peu de foie qui, autrefois
n'était qu'une simple joueuse
et aujourd'hui une simple oie.



Han pas bien de se moquer des cours de poésie moderne. (Beurk)
 
J'ai eu aussi le droit aux cours de poésie moderne... C'était vraiment particulier...
 
Un petit texte de rap qui résume bien mon état actuel. Ouais la structure est bizarre, j'avoue que j'ai pas fait trop gaffe à avoir une cohésion. Au pire s'il n'y en a pas ça ne sera que d'autant plus réaliste.


À force de jouer au petit con
On se prend le revers de la médaille
À force de finir les pochons
On se bousille soi-même les entrailles

J'vais sûrement disparaître
Là où les âmes sont
La Ké devient ton maître
Si tu mords à l'hameçon

De l'anesthésiant pour cheval
Parce que j'en ai marre de tiser
Ouais j'pourrais juste m'tirer une balle
Mais j'ai de quoi m'euphoriser

C'est triste à dire hein?
Mais faudrait djà que j'aie des émotions
Je dose comme un bourrin
Bourreau de toutes mes relations

Ouaip j'suis là pour rien foutre
Pour faire tourner la machine
Pour me tracer des putains de poutres
De RCs crades faits en Chine

RIP espoir
 
C’est à ce point du soir froid de l’hiver
L’hiver mourant l’hiver pardonnant tout
Triste hiver qui se meurt d’amour et fond sous l’amour
Il fond et sa robe trouée laisse apparaître les cyclamens
Il fond il se retire et le froid de la nuit
succède au froid de l’hiver
 
Cartésien-désabusinhibé


J'ai déjà bu les cartes en main
Vogué et vu désinhibé
Mouille en bouillie, le quotidien
Tranche de poisse, corps englué

Des humains boire sans fin l'abus
Buté sans but, sans lendemain
Tremper l'idée dans l'air imbu
Brimer la soif, blâmer la faim

Cartésien dés abusés,
baillant fermé l'infini nu
Car tes liens, la buse brisées
brûler braillant maigre destin

Brasser la brise, sans embrasser
Clair obscurcis, tes yeux de cire
En larmes acides crient blasphémer
Briguent le divin, brigands blasés

Tout t'accuse en brique, le cartésien
Tous pense en rond toi en carré
Gare à la claque, prie le destin
Sinon à dieu la vérité
 
Intéressant comme autoportrait surréaliste.
 
Il était une fois un homme qui a toujours été attiré par la drogue,
Il eu des aléas, des problèmes, sa vie était comme une pirogue,
Il se fit des Connaissances, qui avaient aussi des problèmes,
Il eu des affinités avec des gens qui vivait comme lui dans la bohème.

Il eu espoir dans des choses qui ne fallait pas,
Se fit des fréquentations qui ne le méritait pas,
Se voilant la face plusieurs fois amoureusement,
Il se trouva la plupart dubtemps dans le tourment.

Après chaque chute il se releva,
Et au fil du temps une sorte de sagesse se créa.
Il eu récemment un coup de coeur pour une personne,
Qui lui vendit du rêve un moment en somme.

Mais cela ne dura pas, il senti anguille sous roche,
Mais d'illusions il s'accrocha, pendant des années à l'écoute d'une personne.
Mais le sort contre lui comme d'habitude s'acharna,
Un concours de circonstances qu'il ne supporta pas.

Cet homme, qu'on nommait de jolis surnoms,
Eu des problèmes, à cause de la drogue d errection,
Mais il cru naïvement que son dernier amour était ce qu'elle prétendait,
Patiente, bienveillante, gentille, avec un charme à tomber.

Mais un grain de sable dans l'engrenage aura suffit,
Pour qu'on se foute malicieusement de lui,
Qu'on le rabaisse pour ce qu'il assumait et ne cachait pas,
Plus de libido que la drogue heroine rongea.

Une personne me promis de me soutenir,
Mais ses instincts primitifs la dépassa,
Et n'arriva pas à cacher totalement, et se mit à mentir,
Il aurait fallu que j'aille rapidement au CASPA.

Pour ne pas perdre cette personne que je chérissait,
Un jour s'en était de trop et il craqua,
Les nerfs à bout la méchanceté se pointa,
Maintenant il est montré du doigt de façon aisée.

Il est méchant, et cruel de souffrir et d'etre sorti de ses gonds,
Mais quand on provoque quelqu'un c'est un imbécile s'il ne réagit pas.
Il est dorénavant avec une grosse étiquette sur le front,
Ses oreilles narrererons pas de siffler parce dans les temps il ne le fit pas.

Pour certaines personnes le gris n'existe pas, juste le blanc et le noir,
Pour un moment de faiblesse, toutes les belles choses faites n'existent pas,
Il est méchant, et de savoir que des personnes pensent ça,
Me blessent encore plus que ce qu'il fit, et se trouve maintenant dans le désespoir.

Il ne s'en excusera pas, de savoir qu'on ne le pardonnera jamais,
D'un moment de faiblesse et de nervosité qui s'est maintenant déjà estompé.
De toute manière vieux garcon il finira,
C'est une fatalité méchant à ses yeux il restera.
 
Dreamea a dit:
La propreté dégueule d'être salissante.
On chie des pendules pour en percevoir la rente.
Les agents pullulent et le pouvoir tente.
Je vais finir seul, que mon ego me chante.


La salissure gerbe afin se rendre propre
Les pendules chient la perception du rendu
Et l'argent qui nous rend tout autre
Je suis, tu es , nous sommes... tous vaincus.


C'est parce que j'aime tes écrits que j'ose les réécrire....
Mea-culpa Dreamea :anal:;)
 
Mais je t'en prie, je trouve ça juste curieux m'en veut pas.
 
snap2 a dit:
Un petit texte de rap qui résume bien mon état actuel. Ouais la structure est bizarre, j'avoue que j'ai pas fait trop gaffe à avoir une cohésion. Au pire s'il n'y en a pas ça ne sera que d'autant plus réaliste.


À force de jouer au petit con
On se prend le revers de la médaille
À force de finir les pochons
On se bousille soi-même les entrailles

J'vais sûrement disparaître
Là où les âmes sont
La Ké devient ton maître
Si tu mords à l'hameçon

De l'anesthésiant pour cheval
Parce que j'en ai marre de tiser
Ouais j'pourrais juste m'tirer une balle
Mais j'ai de quoi m'euphoriser

C'est triste à dire hein?
Mais faudrait djà que j'aie des émotions
Je dose comme un bourrin
Bourreau de toutes mes relations

Ouaip j'suis là pour rien foutre
Pour faire tourner la machine
Pour me tracer des putains de poutres
De RCs crades faits en Chine

RIP espoir

A force de prendre mon rôle de modo au sereieux
Je deviens con ; con comme un vieux
Je fustige les RC alors qu’ils deviennent la panacée ;
l’élixir des jeunes , lucides et lassés des sales gueux
Alors je bannis, je joue dieu le père
Et par ma sainte voix je les libère
Enfin; je le crois,
Du moins j'espère....
 
Je t'en veux pas ! Je te disais de pas m'en vouloir de trouver ta démarche curieuse, ça m'intrigue c'est tout, je sais pas si tu le fait pour la provoc ou juste pour déconner gentiment.
 
Déconner gentiment dans une rubrique poésie c'est comme manger des fraises de chez LIDL :yawinkle:


Et je préfère bouffer des fraises avariées à la sortie des marchés...
 
Attention j'ai cru comprendre que l'avarice était un des sept péchés capitaux, c'est très sérieux tu risque de te frotter à de drôles de fraises en cultivant des m&#339;urs pareilles.
 
Dreamea a dit:
Attention j'ai cru comprendre que l'avarice était un des sept péchés capitaux, c'est très sérieux tu risque de te frotter à de drôles de fraises en cultivant des mœurs pareilles.

[Maitre Capello prend possession de mon esprit]

Et moi , dans un soucis de compréhension , je sais que "l'avarice" et que "l'avarie" découlent de deux définitions distinctement différentes.

[Maitre Capello sort de mon esprit]
 
Diego'n'co a dit:
A force de prendre mon rôle de modo au sereieux
Je deviens con ; con comme un vieux

Instaban.

vive l'auto-sarcasme ^^
 
IMMANENTE TRANSCENDANCE



Ciels bleus et océans azurs,
Étonnant reflet ou étrange perception apparente,
Métamorphose de deux matières transparentes
Selon l'humeur du temps changeant,
Troublant sentiment variant.

Écumes et nuages blancs miroitant au Soleil,
Myriade de scintillements éblouissant les sens en éveil.
Passions, désirs et imagination,
Impressions visuelles et plaisirs sensoriels.
Narcisse s'émerveille à la surface du moi,
De merveilleuses rêveries,
Croyances idéales à l'horizon d'une mer étal.

Embarqué dans l'existence absurde de la quête de son reflet,
Inévitable noyade dans l'auto-satisfaction d'une aliénante et superficielle destinée.
Souvenirs à demi endormi dans les remous infinis d'un sillage bouillonnant,
Temps et contre-temps s'écoulent au rythme des montées et descentes du cœur.

Miroir vertigineux d'une blanche trainée d'eau condensée,
Icare dans l'aéroplane d'un vertige dionysiaque.
Parcourant l'Azur à la recherche d'un espoir perdu,
Trace éphémère d'un éternel et insaisissable devenir rayonnant.

Extatique ascension portée par de puissant vents,
Icare locataire des cieux en vue de courants porteurs de plus de joie.
Lointains astres brillants et profonds, comme hors du temps,
Fondent les illusions au fil des âges.
Impulsive fusée expédiant dans l'espace éthéré,
Effleurant la voute céleste mais à court de carburant,
Survint l'inévitable chute abyssale.

Ego goûte la vie.

Naufragé d'un sous marin immergé en eaux glacées et troubles,
L'obscurité mystique illumine ses méandres.
Brouille des instincts et tendances qui s'embrouillent,
Icare et Narcisse se retrouvent, mythiques égaux du double.

Lumineux animaux éclairant l'abîme des êtres brillants,
A la surface se mêle grandeur et profondeur,
Des reflets des passions et désirs guidant notre vivant,
Dont l'essence s'emmêle les sens d'une raison toujours en quête de sens.










 
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