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GuyGeorge a dit:On est sur qu'un agonisme prolongé de ce récepteur crée des valvulopathies. Est-ce que le risque de valvulopathies est dose dépendant? Est-ce qu'on risque plus à prendre une grosse dose ponctuelle, ou des petites doses répétées? Le problème c'est qu'on en sait rien, et j'arrive pas a trouver d'informations définitives sur le sujet (si quelqu'un en sait plus...). Une valvulopathie c'est un développement anormal des cellules cardiaques, ce qui à force conduit à une malformation. Les microdoses pourraient très bien faire cet effet délétère tout aussi bien qu'une grosse dose. De plus, pleins de substances habituellement consommé par le "psychonaute" jouent sur ce récepteur. Si tu te met à microdoser le LSD en te croyant safe, et qu'à coté tu tape des empathogènes régulièrement, des phénéthylamines, peut être que tout s'accumule et que dans 20 piges tu va te retrouver avec des problèmes cardiaques. Comme je ne suis pas médecin, encore moins cardiologue, avec les infos que j'ai je ne peux que t’exhorter à la prudence...
commentaire emprunt d'expérience et de sagesse et n'entrant pas en incompatibilité avec le témoignage de mon ressenti au LSD. Le terme de ma longue méditation pendant ma cure est que l'acide a une action ciblée sur certains endroits du for intérieur et donc du cerveau à contrario d'autres drogues s'étendant de façon plus généralisée dans tout le corps humain. Avec ces dernières l'addiction a les coudées franches. Elle est généralisée et reconnue comme telle. Pas avec l'acide. L'action ciblée de l'acide laisse permettre l'argument d'une tolérance psychique mais je crois qu'il s'agit d'une addiction physiologique définie à un ciblage précis. Un sevrage met mal à l'aise comme une désintoxication mais sur des zones cérébrales précises... Pourquoi le LSD, nouveauté chimique, n'aurait il pas un effet de ciblage à la différence des "vieilles" drogues "traditionnelles". Les médicaments, les produits chimiques, ont des effets ciblant variés selon leurs compositions et leurs dénominations et font pour cette raison le choix des médecins qui l"administrent dans le cadre de l'une ou l'autre affection à soulager et des actions recherchées. Il s'agit bien de la science pharmacopée en fonction du mal à cibler pour établir une ordonnance. Mais ludique ou non le LSD a des propriétés spécifiques lorsqu'il est ingéré en tant que produit chimique à l'instar des médocs et les prod. On devrait peut-être développer son ciblage pour mieux faire la part des choses entre l'intoxication physiologique (ciblée et définie) et la tolérance psychique. Tous les médicaments ont des effets secondaires et font la matière des prescriptions médicales composées avec le plus de pertinence possible (mais y a t il toujours mieux?). La valvulopathie serait donc un effet secondaire...
comme les médocs conditionnés et accompagnés d'une notice on pourrait faire une posologie avec le LSD
- que contient ce LSD
- les avertissements et préventions, (conduire, etc, ...)
- inter-action avec d'autres produits, incompatibilité, (alcool, médicaments)
- le mode d'administration
- les effets indésirables éventuels (le bad, etc...)
- effets secondaires (valvulopathie par exemple...)
- des notions sur la conservation, les limites, etc...
- aspect du prod au moment de la vente