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La lyre du romantisme fanatique extrémiste

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Vanishing Point était un truc de stimhead (speedfreak on disait alors).

Un de mes films préférés reste Midnight Cowboy, je l'ai vu à sa sortie en 1969, c'était dingue: des gens croyant être venus voir un western se levaient au milieu de la projection et quittaient la salle en gueulant.

[video=youtube]
 
Vanishing Point je l'avais déjà vu :giggle: mais fallait dire Limite point zero et j'aurais compris de suite
Midnight cowboy la musique qu'y y a dedans ça fait très célébration et c'est ça:

Elephant's Memory. Old Man Willow
 
Dernière édition:
ah ouaih Vétéran t'as raison on reconnait son nez ... le visage a déjà plus de vies que l'autre film mais c'est le même

vies.jpg


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Malheureusement le verrou historique posé sur la phase de ce temps là impose un caractère hypothétique à ce que porte l'intuition. Un acteur "nouvelle vague"...

Il s'agit du film "de l'or pour les braves".
or.jpg


Mais quand est ce que on révélera les vraies archives de l'historia? Avec le mode de fabrication, d'application de l'héroïne comme moyen de guerre? La logistique, toute l'organisation... J'espère voir un jour des photos des labos alliés. Toutes ces facettes fonctionnelles mais aussi socio-philosophiques de l'époque... Ensuite la lente récupération d'un phénomène pour le commerce, une culture, une philosophie... Et ensuite un passage à d'autres temps... Aujourd'hui il n'y a plus que les bonzes qui usent d'héroïne comme arme secrète médiatique pour s'immoler stoïquement... Militairement c'est une arme désuète vu qu'elle n'est plus l'exclusivité d'une armée...
 
Dernière édition:
L'étendue originale du pavot est beaucoup plus ancienne que le Triangle d'Or du Sud-Est asiatique. Pour définir le domaine archaïque terrestre et temporel du pavot, on peut dire que son exploitation fut relayée depuis l'antiquité par les Grecs puis les Ottomans... Ainsi que les Perses (puis les Iraniens), et aussi les Afghans et les Indos-aryens (ce qui équivaut aux Pundjab, Rajhastan, etc...). Quant à savoir quelle partie distribua initialement le pavot dans le reste de cette grande zone géographique, les textes sont nuancés. Dans l'antiquité, Pline parle du pavot somnifère qui de l'Inde était passé dans la Perse et la Grèce... Mais certains textes contemporains définissent l'origine du pavot en Mésopotamie (Irak) parce que c'est là que fut trouvé la plus ancienne représentation picturale du pavot (comme accessoire d'une divinité). Au final la polémique ne tend qu'à nous éclairer sur l'association très ancienne du pavot avec la sphère humaine. Le rythme du cheminement des caravanes marchandes sur les routes de la soie couvre une ligne de temps sur des siècles. Mais le boom exponentiel de l'opium dans un monde de plus en plus petit et plus dense est tout à fait moderne pour ajouter une dimension géopolitique à la tradition.

L’appellation récente "Croissant d'or" pour la zone traditionnelle ancienne (Iran, Afghanistan, Pakistan) est calquée sur celle de "Triangle d'or" (Birmanie, Laos et Thaïlande). En effet celle-ci date de 1971 lors d'une conférence de presse officielle U.S. (haut fonctionnaire d'état) traitant de la production phénoménale d'opium comme nouveauté dans le Sud-Est asiatique. Mais peu après le Croissant d'Or supplanta encore le Triangle d'Or dans les chiffres du trafic de l'opium... Et de l'héroïne !!

Aux yeux de l'homme citoyen, l'opium fait l'image exotique orientale ancienne... Par exemple, pendant la seconde moitié du 19me s la Perse était exportatrice avérée de son opium. Ce commerce faisait la tradition comme le tabac, les tapis, la soie ou le coton... En Inde aussi... D’après les relevés statistiques des douanes impériales chinoises pour l’année 1863, il a été importé de l'opium de Malva (Inde centrale, Madhya Pradesh) et de Patna (Bihar Nord-Est), et de Bénarès, mais aussi de Turquie ottomane et de Perse.
Les statistiques iraniennes montrent que en 1936 les revenus du commerce extérieur sont caractérisés par l'opium à concurrence de 15% (= 1350 tonnes)
Dans la décennie des années de 1940, la manie opiomane caractérise la Turquie, l'Iran et l'Inde. En Iran par exemple, 11% de la population de l'an 1949 est addict à l'opium, sans rémission possible (junkies), et les fumeries fleurissent dans le pays et à Téhéran.
En 1955 interdiction par le Shah = disparition des cultures mais en 1969 légalisation de l'exploitation de l'opium sous licence d'état pour endiguer le trafic des pays voisins (dont la Turquie). En Iran il y eut dès lors des consommateurs légalement déclarés et les clandestins. Les coupons pharmaceutiques de l'état ne suffisaient pas à contingenter le nombre total réel des opiomanes = marché noir par trafic étranger et explosion de l'héroïne s'ajoutant au crescendo de la drogue par les autochtones et les visiteurs (hippie trail).

Au début des 70s l'Afghanistan produisait de 100 à 300 tonnes/an.

La production en 1971 du Pakistan était de 90 tonnes mais monta à 100 et 200 tonnes par la suite.

On voit que avant de devenir le "Croissant d'Or", toute cette part de l'Orient était déjà le laboratoire de la drogue. Pendant la 2de gm, tout ce même Orient se trouvait sous contrôle interallié (à part la Turquie demeurée politiquement neutre). La puissance fasciste avait des atouts technologiques mais ne détenait pas cet opium surabondant, ni l'héroïne, cette sorte d'arme secrète alors que depuis l'antiquité les auteurs mentionnent l'opium pour forcir l'audace des guerriers...

en Turquie Ottomane (on remarque les drapeaux ottomans hors champ visuel mais qui viennent en partie s'inclure sur les bords...), la photo d'équipe pour les employés d'une manufacture de tabac près de la mer Noire...

la pipe à eau pour fumer l'opium comme indice inscrit au folklore de l'Orient.
staff.jpg

 
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Vétéran a dit:
Ton analyse drogocentriste est parfois pertinente, souvent douteuse, mais toujours intéressante. N'ayant pas ton talent pour jongler avec les mots j'essaie juste d'apporter un peu de précision à ce beautiful fatras. En 65-66 les cravates mods voisinaient encore avec les barbes beatnicks, je revois ces barbus qui se ressemblaient tous...

Vétéran d'habitude on est en phase à 99% mais le dernier me reste coincé en travers... Mes vues ne sont pas subjectivisées. Tu te fais récupérer jusqu'au trognon quand tu radies (ou que on a radié) de ta mémoire quelque chose. C'est comme une boussole sans un des 4 points cardinaux... Oui c'est cela, on a aboli quelqu'un dans nos vues pour changer le passé. Ce klkun a été gommé quand il faisait la spécificité principale du Mouvement. Les illustrations comme ci-dessous sont ignorées alors qu'elles devraient faire le vrai témoignage du voyage qu'il soit cosmique, sur la route ou dans les nuages... Je ne trouve qu'une image alors qu'il devrait y en avoir 1000...

Les autorités ont eu peur d'un folklore concurrent au devoir patriotique. Elles ont eu peur d'une musique, de la drogue, comme arme psychologique.


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L'image vient d'un n° de Mainmise que j'ai eu en main en 1972 si ma mémoire est bonne et elle est généralement celle d'un éléphant effervescent. Pour le reste on ne sera pas en phase à 100%. Dire que l'héroïne est l'arme secrète qui a gagné la 2e guerre mondiale ? Bien sûr que les drogues faisaient partie de l'arsenal, les Allemands n'étaient pas en reste, sur le front des amphets leur pervitine avait même de l'avance, par contre pour les opiacés ils savaient qu'ils auraient des difficultés d'approvisionnement et c'est ce qui leur a fait inventer la méthadone. Les alliés ne semblent pas avoir eu le problème puisque ces dosettes de tartrate de morphine que tu montres ont été distribuées largement et tu as raison de t'interroger sur la provenance. Y a-t-il eu utilisation de diacétylmorphine, autrement dit d'héroïne ? Tu peux mieux que moi le savoir. Je n'ai aucune expérience personnelle de l'héroïne, le seul opiacé pour lequel j'ai un peu d'intérêt est l'opium lui-même mais je le considère comme une gâterie réservée aux vieux et j'estime que je n'ai pas encore l'âge.
 
le principe du nazisme était la supériorité de la Race avec un hédonisme cultivé à outrance, être fort pour dominer et... les moins forts étaient naturellement destinés à se placer en infériorité. Les Nazis avaient un intellect développé. Ils étaient intelligents en leurs grands quartiers généraux et par exemple des avancées techniques le démontrent. L'application psychologique, physiologique et idéologique du nazisme était le populisme pour flatter les instincts vils afin de se prévaloir vis à vis des opposants. C'était le meilleur outil imaginé par les guides du nazisme pour décupler la volonté et forcir le courage dans le feu de la guerre. Aujourd'hui on minimise cela par un office de censure parce que le citoyen lambda n'est pas prêt pour prendre connaissance de tout ça. Il n'est pas éduqué pour être détenteur d'une authenticité historique. Si on divulguait la vérité à tout un chacun, il y aurait de bêtes blagues méchantes, des réactions inaptes et primaires mêlées de réactions inappropriées... Il y aurait aussi une exploitation des vues de l'esprit jusqu'à un commerce malsain. Il y aurait naturellement injure de certains vis à vis d'autres. Ce serait un facteur de déstabilisation dans notre société de mettre au jour la réelle nature, les engouements, l'intérêt et les préoccupations de la société fasciste qui a existé. Par cette censure on n'ose pas dire certaines choses. Crois-tu vraiment que les opposants politiques, Juifs, Roms, résistants et autres ennemis du Reich étaient enfournés tout à fait morts? Allons, réponds moi avec un peu de culot !! Tout le nazisme n'a que ça !! Exploiter les instincts bestiaux de l'homme pour l'embrigader. C'est en cela que résidait "l'admiration" des adeptes pour les thèses nationale-socialistes. Ils étaient comme drogués et plus fanatiques que lors de la beatlemania !! Crois-tu vraiment que les cadavres des soldats allemands détenaient des photos de leur propre famille? Peut-être les nationaux et les patriotes allemands qui ont toujours été à la traîne du vrai nazisme mais autrement c'étaient des photos, des souvenirs de victimes, de familles assassinées dans les pires conditions que les cadavres ss tenaient encore dans leurs mains pck ils étaient irréductibles et se battaient jusqu'à la mort au nom de la Race. Par ce principe, tout produit, alcool, amphétamines étaient en contradiction avec l'intégrité de cette idéologie. Aimer tuer la créature devait suffire à vaincre. Je ne crois pas à cette niaiserie des amphètes aux Nazis. C'est un élément de censure flagrant. Je ne crois pas quand on dit que certains dirigeants nazis étaient homos. L'idéologie était inflexible à ce propos et si klkun dans leur hiérarchie était suspecté de déviance il était de suite mis à la question et destitué... Non. La vérité c'est que certains docteurs, certains éléments influents du parti n'étaient pas homosexuels mais ils collectionnaient chez eux des peaux humaines, des têtes en provenance des camps... Cela n'entrait pas en contradiction avec les thèses du parti nazi, toujours par l'association d'idées avec la suprématie. Ce genre d'intérêt malsain pour la mort était la déviance de ces fous, pas l'homosexualité.

La censure montre tjs les quelques mêmes images: prisonniers décharnés des camps, des tas de cheveux pour faire des matelas, des tas de dents en or récupérées des victimes... Cela on le montre pck il faut un minimum mais dis toi que ce n'est que un minimum. Si il y a ça alors il n'y a qu'un pas pour qu'il y ait eu plus...

Quand tu me dis que la pervitine était un support des Allemands de la 2de gm c'est comme si on disait que des Noirs africains étaient utilisés en nombre sur le front. Ce n'est pas intègre. Les Noirs étaient tenus dans un camp et se bouffaient entre eux. Cela c'est intègre. Cela fournit et entretient le préjugé discriminatoire. Jamais les puristes nazis n'auraient adopté des méthodes contre le concept ou favorisant l'addiction dans leur sang, ni usé de la facilité opportuniste des nations dégénérées. Si il y a eu usage d'amphétamine cela a du arriver après l'annonce de la forte éventualité d'une défaite à courte ou moyenne échéance. Si il y a eu usage de ces produits par des éléments rattachés à certaines factions politiques, des convaincus de la seconde heure, c'était dans le désaveu du pouvoir central et de son idéologie. Hitler ne disait pas de vaincre par des moyens synthétiques mais de mourir avec un panzerfaust pointé contre le premier char ennemi que le servant verrait apparaître. Il était plus important de mourir comme un être intègre que de vivre comme quelqu'un désavoué par l'idéologie de la Race.

Tout mon thème développe le sujet de la CENSURE !!! Faudra t il encore le lire et le relire ce thème pour percuter sur le fondement de sa signification?

Mon père était T.O. réfractaire à Hennigsdorf. Dans son camp il y avait un 2d camp interne avec des cas plus graves. Et... si tu veux en savoir plus tu n'as qu'à demander en M.P.

C'était situé au centre du Reich, à Berlin !!
arbeitskarte.jpg


Être T.O. réfractaire c'est comme une matière qui encaisse la chaleur d'un foyer, cet épicentre d'une religion qui serait la mazdéenne, imaginons. On se brûle au foyer du culte sans tomber dans les flammes, ni pouvoir s'en départir. On a l'interdiction de se consumer. On doit demeurer stationnaire. A distance. C'est une punition. Une méthode de déshumanisation. A ce stade, quoi qu'il nous arrive et que nous fassions n'est pas de notre fait ni de notre ressort. L'idéologie nazie est un syndrome mazdéen.

Les choses de là sont interdites à la diffusion.

Gentlemen, tant que votre nez n'aura pas été fourré dans la bouche d'autrui vous n'aurez pas la révélation sur les mots nazi, réfractaire, non-conformisme, censure... Vous ne pourrez jamais capter le thème ci-présent.

Faites l'expérience avec un pote ou une amie et vous verrez... C'est une authenticité pour apprendre le sens de l'historia. Essayer cela égale à acquérir plus de savoir que ce que disent les livres ou Wikipedia. C'est une méthode autodidacte. Or je ne reconnais rien dans ce que on voit au cinéma ou ce que on lit dans les livres. Mais on peut essayer d'en parler car autrement Hitler serait interdit au dico...

Un nez saisi en bouche entre les dents, est un prémisse de menace... mais c'est après... quand la victime retrouve l'air libre, et son nez privé du cocon chaud de salive ambiante du kapo, que ça commence vraiment... Et avec l'option d'arracher le nez si on ne se laisse pas faire comme un mouton, on retrouve une attitude brutale connue de l’oppression de certaines époques...

cette illustration un peu comme hommage à mon père.
Et aussi qu'est-il advenu du para britannique?
paratrooper.jpg


Après le rush sur Berlin par les Soviétiques, il a pris une moto de parachutiste anglais laissée dans une ornière de la route en Allemagne. Mon père avait été T.O. (réfractaire) et depuis la Libération il avait le but de rentrer chez lui, à Bruxelles. Je crois fort que la moto est comme ci-dessus d'après la description que j'en ai eue. Cette petite moto n'a pas la prétention des grosses Harley, BSA et autres Norton des Hell's Angels mais elle est pratique pour descendre les marches jusqu'aux pissotières des bistrots en un temps où l'Info de 12 H ne poussait pas son optique jusque là. Les gens mouraient enivrés quand les armes ont fini de tuer. C'est ainsi que se fait le désengagement d'une guerre terminée. Pour remonter les escaliers vers la fête, la petite moto était de bon allant.

extrait de "l'Après-guerre"
... Et aussi, aux moments les plus incertains des faits de guerre, les masses armées alliées ont fait de substances (héroïne) un fer de lance à la rencontre de l'orgueil exterminateur, galvanisé et combattant de la race. Les stupéfiants, furent les seuls à même de faire la différence sur le champ de bataille. Les atouts en lice, opposés jusqu'à leurs natures, étaient ainsi. Les indices établissant ce fait dans les médias sont sous contrôle et effacés du témoignage historique. Cette notion, au crédit d'une évidence naturellement transmise sur le terrain jusqu'à "l'hiver" de l'après-guerre, ne fait pourtant pas la teneur des textes dispensés par les disciplines du savoir. C'était donc donné et laissé à une culture non récupérée, celle dite "parallèle". Aujourd'hui la société s'applique à "récupérer" par la censure le caractère excessif des passions humaines... Pourtant si on veut être au fait d'une instruction responsable, on exploite toute optique envisagée à fournir le bagage intellectuel et à développer le jugement. Ceci étant destiné à mieux comprendre, mieux discerner, être à niveau avec les dossiers historiques et sociaux. On comprendra enfin que l'office de censure phénoménal se consacre à mettre un terme à la propagande libertaire engagée comme apologie onirique d'auto-destruction, cette face cachée du Monde libre.

Bref, lors de la fin de l'Après-guerre je me suis drogué, j'ai vécu en sphère parallèle comme suggéré dans l'extrait ci-dessus, puis j'ai été désintoxiqué mais je me rends compte que je reviens dans un monde à idées superficielles, crédule pour ce qui est placé devant le nez comme la carrotte mais ne voit rien d'autre... Quand j'étais stoned, la nature du nazisme, la sévérité de la société patriarcale originale étaient des choses couramment prise en considération pour analyse. Cela faisait encore le dialogue, la discussion courante des milieux branchés... On spéculait sur le passé et le futur. Faut-il absolument être un drogué pour émettre des notions humaines et historiques pertinentes?? Si elles ne te semblent pas pertinentes elle sont au moins plus plausibles, logiques, que tout ce qui traite de cette époque verrouillée.

faut il un traitement au LSD, tel une "bonne guerre", pour mériter de connaître la vraie nature du monde? De voir les choses de façon élitiste comme ceux qui ont vécu la guerre, et non de façon entartée comme c'est le cas pour la généralité de la masse? La connaissance au peuple !!
 
Dernière édition:
tu remplaces le mot pervitine par le mot sadisme sur tout ce qui relate la 2de gm et tu reçois la révélation sur la censure. On ne peut pas en parler de ce phénomène. Il touche la nature humaine. On ne peut pas. C'est simple à voir paraître. On a mis un produit à la place de la réelle nature de l'ardeur des conquérants nazis. Mais j'aime moi aussi être intègre à ma façon Si il y a eu usage de pervitine alors c'est par le fait d'Allemands moins proches du parti et contre le principe directeur au pouvoir. D'ailleurs d'après les témoignages même de ce qui est trouvé sur le Web si l'armée allemande avait usé de pervitine de façon généralisée, elle aurait été mise en indisposition pour cause d'addiction et les sanas auraient enchaîné avec ces nouveaux camés après les alcolos, les handicapés et débiles mentaux... Il n'y aurait plus eu d'armée allemande en peu de temps. Sauf si la pervitine avait été planifiée en état-major pour l'intendance d'approvisionnement et la relève des troupes menées au bout du rouleau. J'attribue plutôt cette méthode aux Alliés avec l'héroïne.

trouvé sur le Web
Mais il en faut toujours plus, car lorsque les effets de la drogue nazie disparaissent, les soldats s’effondrent. Ils doivent dormir jusqu’à trois fois plus que la normale. En état de manque et face à la réalité de la guerre et de leur existence, les soldats tombent souvent dans la dépression et souffrent de graves psychoses…

"Mais il en faut toujours plus..." c'est puéril et contradictoire ce texte... On se fout de la gueule du monde.

et aussi
... Ce n’est un secret pour personne, la presse (allemande du IIme Reich) en parle ouvertement...

ouaih lors de l'élan, le peuple nazi a parlé ouvertement de certaines choses mais la pervitine est mineure en regard d'autres sujets...

L'explication de ce qui se trouve au-delà de notre conception est la suivante:
Si par le passé l'Homme peut s'être laissé aller aux extrêmes criminels inconcevables, aujourd'hui l'Homme devra désormais se laisser aller à se faire berner par la censure parce que dans un cas comme l'autre il s'agit de stéréotypes pour faire la masse d'un troupeau.

dans l'absolu, le potentiel docile est pareil à l'ensemble de l'Humanité... Les aléas font les différences par la suite.
 
Dernière édition:
9782707193179.gif


Ce bouquin est bien documenté même si on n'échappe jamais complètement à la fantasmagorie, c'est là qu'est le 1%: je ne crois pas que la Vérité soit dans la grille de lecture 70's, encore moins dans la tronche des joyeux compagnons du tarpé que nous étions alors.
 
j'ai compris
Et c'est sympa de donner ce titre... Je v peut-être l'acheter.

Pour ma part je ne cherche plus à te convaincre, je ne tiens pas à perdre le seul interlocuteur suffisament à la hauteur pour s'avancer à me répondre, mais je continuerai à transmettre mes idées pour le thème.

Mis à part les dirigeants (n'en parlons plus) envisageons plutôt la hiérarchie en descendant jusqu'à la troupe... On peut voir l'usage de dopants dans l'armée allemande comme celui de l'héroïne pendant la guerre du Vietnam. L'héroïne n'était pas mise au briefing mais bien que officieuse, elle était en usage au front.

Ce que je connais de mon père, son éducation familiale de cette époque et ce qu'il m'a dit et refleté de l'Allemagne, des principes, etc... Avant tout, un guerrier allemand était orgueilleux d'être lui-même (sans drogue), arrogant, fier de mourir en tuant le plus possible de dégénérés.

Le capo administrait des baffes à croire que les les arbres se déracinaient, que les portes sortaient de leurs gonds...

Donc sans être officielle, la drogue aurait pu pourtant être bien connue dans l'armée... Du moins au Vietnam c'était le cas. Pour ce qui est de la pervitine je peux croire que les nationalistes de la seconde heure (les patriotes) aient pris l'initiative d'user de moyens artificiels pour assumer leur présence en prévoyant un ratage éventuel accentué par une dépression psychologique pour bien marquer leur opinion vis à vis des entraîneurs qu'étaient les nazis. Prendre des dopants pour un converti de la seconde heure c'est quand même participer pour mettre le paquet... Après si il y a défaite, celle-ci consacre un plan foireux des maîtres du Reich et le ressentiment sera encore plus signifié.

C'est dommage que tu n'aies plus ton non-conformisme d'antan vis à vis des idées reçues, Vétéran. Parce que, plus que jamais, il aurait été un bon guide, un ange gardien, pour trouver des vérités...

On osait tout remettre en question.

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next thread:

extrait MainMise
"Trente-cinq des gardes affectés à l'Ambassade américaine à Saïgon prennent régulièrement de l’héroïne" (Le "Hong Kong Star" du 31 octobre 1972). Un des problèmes que va causer dans les mois à venir le rapatriement des troupes américaines d'Indochine sera celui de l'héroine et de l'opium. On estime, en effet, qu'un nombre assez important des braves et courageux Marines a pris l'habitude de l'héroine-et de l'opium durant la guerre qui ne vient pas de se terminer.
De récents rapports ont également montré que les accusations portées par les fascistes contre les ' ' Communistes" qui envoient l'opium et l’héroïne en ce brave Occident capitaliste pour le détruire sont fausses. En fait, en Chine communiste les trafiquants d'héroïne sont tout simplement fusillés.

ce texte récupéré de la presse // montre l'usage de drogue généralisée quand celle-ci n'est pas avalisée par les états majors américains. Mais il y a aussi une autre information dans ce texte. On stipule bien que une politique suivie comme ligne directrice par un peuple peut abolir la drogue de son concept. Les communistes chinois étaient un régime sévère. La drogue était un reliquat des pays décadents dans l'idéologie populaire, prolétaire et communiste. Je crois que l'Allemagne nazie, après avoir réduit les effets décadents des Années Folles avait la même considération envers la drogue... Au niveau de l'idéologie, elle était rejetée comme attribut d'une sous-humanité. La pervitine était en usage comme l'était l'héroïne en d'autres lieux, d'autres temps... Et de même je crois fort que sous le napalm, l'usage d'opium était courant sur les pistes Ho Chi Min même si dans les théories il était proscrit.

VIETNAM
depuis, l'info ne passe plus et tout est censuré partout
vietnam.JPG

 
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amicale_du_pc a dit:
C'est dommage que tu n'aies plus ton non-conformisme d'antan vis à vis des idées reçues, Vétéran. Parce que, plus que jamais, il aurait été un bon guide, un ange gardien, pour trouver des vérités...

On osait tout remettre en question.
Non-conformisme ? L'époque était grégaire aussi exhaltante fut-elle, tu le sais puisqu'il est ici question de fanatisme. Je crois que tu as mal encaissé la glaciation de 76, moi aussi: la fin des années 70 a été une période déprimante, tout était devenu sinistre, crétin et froid. Puis la distance m'a donné de la critique. En fin de compte sur la route des 70's je n'avais été qu'un suiveur, souvent en porte-à-faux. J'ai donc tracé mes propres itinéraires et je m'y suis retrouvé. Notre jeunesse prétendait tout remettre en question, il fallait bien qu'elle y passe elle aussi.

Be seeing you.

be_seeing_you.jpg
 
@ Vétéran la lyre romantique et bohème sur la plage porteuse philosophique d'Après-guerre était victime de son succès. C'est devenu un ennemi de l'intérieur et le souci majeur de la Défense. C'est cela que tu as difficile à créditer.

Une initiative majeure au nom de l'ordre a été engagée pour réduire la nature d'un mode d'existence aujourd'hui aboli. Il s'est agi d'une opération de nettoyage psychologique préméditée par ceux qui organisent les états et les guerres... Les références d'une culture ont été falsifiées. Le passé a été changé. Les mesures appliquées par les structures d'états sur conseil géostratégique et politique ont opéré sur un phénomène social et humain d'envergure. Les administrations des présidences se sont senties obligées de faire ça pour ne pas plonger. Surtout après le Vietnam.

Tu ne veux pas reconnaître ce fait parce que ce sont justement les conseillers, les stratèges, les indicateurs policiers, les chimistes, les médecins et psys militaires qui ont donné le meilleur de eux même à leur lobby. Ils ont entamé leur mouvement réactionnaire et fait ce qu'il fallait pour mettre un terme à la décadence, posé des bornes là où le champ d'existence était hors contrôle. Oui, toutes les images, les témoignages sont prises à l'attention de structures de censure. Minutieusement. Depuis longtemps. Aux yeux de certains, ce n'est qu'une disposition d'usage parce que nous vivons dans une société avec des organisations dont c'est le rôle et le but: nous retirer une évidence de la vue. Cela sert à ramener moralement les limites de l'excès dans la conscience citoyenne. Résultat: on croit ne pas rester dans les cordes en des occasions fréquentes. On est impressionable.

Quelque chose de ce genre était prévu quand le monde tournait comme un pneu usé jusqu'à la corde... Cela devait cesser. Mais ce que je ne comprends pas c'est le pourquoi du mensonge? Pourquoi ne pas faire la même chose au clair? Mettre de l'ordre simplement? Je crois que c'est parce que la jeunesse engagée et contingentée reçoit une instruction spécifique. On doit présenter un front homogène avec les forces d'autres pays aux cultures différentes. Chez eux on a la pratique d'ourdir pour tirer les ficelles. Or, par des accords internationaux il faudra généraliser et uniformiser un modus de vie. Soit on ourdit, soit on s'émancipe. Dans les armées on ne se prend pas la tête. On apprend le schéma humain pour en devenir le tuteur. Mais quelle forme prend donc ce schéma?? Les carrés en milices et disciplinés sont la nouvelle sphère dirigeante après les seigneurs, les religieux et les grands bourgeois... Parce que la troupe (et sa hiérarchie) envoyée au sacrifice durant les guerres d'antan, a désormais appris la leçon afin d'envisager, ordonner, organiser, juger, séparer ce qui semble néfaste à la stabilité. C'est une forme de révolution dans l'institution et du même coup cela explique pourquoi les armées se font professionnelles. Aujourd'hui c'est la sphère gendarme la bonne société. Et comme une sphère privilégiée elle est bien protectionniste quand ceux jugés mal orientés dans leurs aspirations ne se voient pas attribuer la dignité suffisante pour être clairvoyants.

Des mods mais plutôt des pseudo-mods. Pourquoi on ne dit pas "des jeunes qui se destinent au métier des armes"? C'est quand j'ai étudié la photo que j'ai compris qu'ils ont des têtes de futurs militaires de carrière. Le mouvement figuré sur l'image ne rassemble pas les représentants de toutes les professions et de toutes les classes sociales. Ce ne sont pas des représentants de la société humaine dans sa grande ampleur mais un des noyaux de celle ci. Je comprends donc leurs petites vespa de la guilde des vendeurs de spaghettis à l'allure surfaite. Les cités pionnières seront précipitée en un grand laboratoire de contrôle des destins. On laissera ainsi faussement deviner que tout le monde est comme sur une certaine image. Tout ça dans mon dos. Mais est-ce que on me veut tellement de bien dans mon dos? Pas très limpide tout ça.

L'image du passé a été changée. Mission accomplie pour les... "mods"!!!.
mods.JPG


Donc après une désintoxication suivie d'une longue léthargie je suis encore avec un topo d'une époque (pas le topo imposé dans les médias comme sur la photo). Je vois les différences entre les prévisions d'antan et ce qui a été réalisé, comme dans un jeu des 7 erreurs... Le topo, c'est qu'il y a des sociétés où on peut choisir sa vie mais ici il faut s'améliorer sans cesse, être performant, et aimer ça !! Il faut viser juste... pour cela il ne faut pas perdre son temps à être en désaccord ou à contester.

d'ailleurs sur ce je conseille au lecteur de se faire un petit punching ball pour positiver et se défouler...
 
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amicale_du_pc a dit:
sur ce je conseille au lecteur de se faire un petit punching ball pour positiver et se défouler...
Pour le défoulement j'ai eu une petite bagarre hier soir (comme quoi on peut encore se faire plaisir après 60 ans) et pour le reste ne m'étant toujours pas fait sucer le pif je n'ai pas eu de révélation. Ce que tu dis du changement qui a suivi les 70's est vrai mais je n'adhère pas à l'idée qu'il est issu de directives ministérielles, je pense que la réaction s'est faite toute seule d'une manière quasi-organique et je crois moins à la censure qu'à l'amnésie (c'est pire). On en a parlé ici :

https://www.psychonaut.fr/threads/contre-culture-et-ingenierie-sociale.28137/
 
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amicale_du_pc a dit:
ouaih le peuple nazi a parlé ouvertement de certaines choses mais pas de la pervitine...

Tu as vu ce reportage Amicale ?


Ça pourrait t'intéresser au cas où...
 
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l'administration Nixon a appliqué le napalm, les défoliants et promulgué le développement des systèmes automatiques de détection et d'anihiliation pour donner la rétorque au Vietnam. Ils ont fait ça. C'était leur méthode contre l'ennemi extérieur. Ils y avait aussi l'ennemi intérieur, la décadence d'une société qui se défilait à l'appel du drapeau. Et tu ne peux pas croire que des dispositions majeures des ministères ont été appliquées dans les années 70? Il y avait en France les opérations coups de poing. Et aussi des opérations de commandos para-militaires dans les boums, les endroits publics, les temples de la drogue et les commus. Les portes de tous les endroits marginaux ont été fermées.

Vétéran a dit:
Paradoxalement, les seuls pour qui je garde du respect sont les premiers hippies, ceux de la génération beatnick, des types alors plus âgés que moi capables avec deux francs - 30 cent - de faire le tour du monde, qui avaient une sagesse réelle et une bonté sincère sans se prendre pour des saints ni des héros de la Révolution, peut-être existent-ils encore au Mount Shasta ou ailleurs.

pour ça on est tjs d'accord... J'ai vu ça aussi. L'attitude était réflechie, pondérée alors qu'il s'agissait d'une gestion journalière en parallèle à la drogue quand même... C'est cela qui déférait l'attitude responsable... Une attitude philosophe était possible pck à ce moment là les fournitures étaient abondantes, peu onéreuses. Et surtout, le manque n'était espéré par personne...

J'espère en tout cas que on mettra une petite phrase de notre affaire dans les livres scolaires. J'espère que on ouvre les archives pour permettre aux gens de voir et comprendre. Je trouve que la théorie du complot et la loi du silence deviennent inutiles.




merci Jhi-dou

il y a des indices intéressants à glaner dans cette vidéo. C'est sûr que la pervitine comme moyen d'exception pourrait cadrer en certaines situations expérimentales ou certaines innovations de pointe encore peu rodées, comme les raids aériens sur Londres ou les sous-marins de poche armés de torpilles. La pervitine s'encadrerait bien dans un record expérimental humain et technique à atteindre. Mais le record idéologique passe avant la pervitine pour faire les preuves du nazisme. La pervitine du Nazi c'est la foi en la Race supérieure par des élans d'instinct vil. Et aussi même si la pervitine était connue de la société allemande, elle est invoquée aujourd'hui comme seul et unique moyen pour justifier l'élan à la guerre. Trop!! Pas une x on ne parle d'exploitation des instincts vils au service de l'ardeur comme élément subjuguant, pck on ne peut pas et on ne veut pas. C'est pourtant une prédisposition psychologique qui fait la particularité du 3me Reich à l'instar de certaines armées dans le Monde mais on ne peut plus en faire le porte-drapeau. L'esprit et la lettre du Tribunal de Nuremberg pose un interdit... La flatterie de l'instinct vil existe aussi chez les Alliés de façon, disons, moins "industrielle". C'est plus un artisanat bien rôdé. Chez les Alliés l'instinct vil n'est pas mis dans la Constitution. Ce serait plutôt la drogue. Le président Roosevelt a mené derrière lui des générations or il était junkie. La pervitine a bien existé chez les Allemands mais elle est utilisée aujourd'hui comme notion de substitution à l'ardeur des instincts vils... D'autre part gober tout ce que on met dans les témoignages neuneu ce n'est pas mieux que de fouiller la merde comme je le fais. C'est même dangereux pour la postérité d'écarter une vérité. C'est fait pour encore tomber dans le panneau. On commence progressivement à faire croire que la déportation menait à des camps de vacances... (il y a même eu un film). Mais bon dieu il faut faire gaffe !!

La pervitine était en usage en certaines situations mais la flatterie de l'instinct vil faisait le sens commun. C'est la clé de cette guerre. C'est une authenticité dérangeante et j'en suis désolé mais c'est comme ça. C'est quand on veut en savoir plus au sujet de la Guerre Mondiale.

Moi ce qui me rend mal à l'aise c'est que le sujet de la pervitine est intervenu ici en réponse à mon hypothèse de l'héroïne comme fer de lance allié.
Ouaih, je commence à dépeindre un usage allié très fort probable d'héroïne et je vois en réponse la spécificité de la drogue attribuée à l'armée allemande comme une masse de zombies... On rejette sur les nazis et la wermacht l'aura de la drogue que je voulais donner aux Américains et aux Anglais comme une mise en action d'une défense de la réputation historique. Pourtant moi je me suis drogué et je le dis. Si l'héroïne a été un moyen de pointe pour débloquer la situation sur certains champs de bataille, je trouverai bien des certitudes à ce sujet. Ensuite si c'est le cas on comprend mieux l'usage de stupéfiants après la guerre comme une exaltation de la Victoire.

Si la censure dissimule le vecteur majeur du nazisme (ce qui est fort compréhensible) alors la mise en clandestinité médiatique de l'héroïne comme élément premier du côté allié devient tout autant imaginable. Le sadisme peut être introduit dans une psychologie et l'héroïne peut se prémediter en état-major. Ces particularités majeures antagonistes sont à valeurs d'importance sociologique égales pour expliquer des faits de guerre. Je sens que je me rapproche des certitudes recherchées.
 
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Dans les films, les quartiers "rouges" inaccessibles comme sanctuaire du vice et de la marginalité traduit une psychose du Rêve (mythe) américain virant à l'excès, et exploité à des fins cinématographiques... Et aussi les zombies qui s'approchent inéluctablement pour tuer... sujet de thriller pour plusieurs séries télévisées. Même des graphismes et des jeux digitaux reprennent encore ce thème... Beaucoup d'oeuvres en tout domaines artistiques exploitent les stigmates des 70s à des fins commerciales. Ces vestiges culturels parsèment notre environnement civique. Il faut pouvoir les discerner. La BD pas moins que certaines disciplines créatives majeures, colporte jusqu'à nous ce qui transparait comme syndrome de la drogue. On peut commencer par les 1ers du genre...

duplication d'un texte déjà donné ailleurs
On connait les gentils chiens de salon et les fidèles compagnons du berger, du veilleur de nuit ou du fermier... Même des héros décorés, comme Rex ou Lassie... Mais l'historia a déjà connu les chiens faméliques, agressifs, qui se multiplient en des temps d'anarchie jusqu'à attaquer l'homme en meutes dans les campagnes et les villes... propageant la rage et les maladies... (à titre d'exemple ce fut le cas en Arménie dans les années 80). Les structures institutionnelles réagissent alors en des opérations de nettoyage et d'élimination jusqu'à retrouver un environnement assaini. Après ça il n'y a plus de traces!!! La marginalité humaine est un peu pareil. Elle peut émettre une attraction mais aussi un péril.

La BD colporte jusqu'à nous ce qui transparait comme syndrome de la drogue.
en expression caricaturale, un junkie c'est comme cela
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à l'été de l'Après-guerre mondiale la drogue se propageait en rue comme en intérieur
1) en rue
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2) en intérieur, on voit que certains se déchainent sur la transe...
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tous les participants ressortent au petit matin criminels mordus fanatiques...

ici on assiste en gros plan, pour la science, aux phases
de la transcommutation d'un nouvel adepte de drogue
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des junkies en manque surgissaient des buissons des parcs subitement pour attaquer le bourgeois et le détrousser de sa bourse.
Cela pouvait survenir partout à l'instar de Central Park ou du Vondel Park...
Pour finir la police intervint avec une nouvelle arme, des sprays de gaz paralysant.
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il y eut des confrontations entre des comités d'honnêtes citoyens
et des bandes de zombies en expansion comme un chancre social
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les gens irréprochables de leur personne (comme si ils avaient tjs le derrière propre et parfumé) réagirent à cette invasion...
l'extrême-droite ressuscita de ses cendres
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Par cette démonstration on peut observer jusqu'où peut aller une obsession rendue dans les médias. Tout, à cette lecture de BD émane la drogue comme phénomène social. Je trouverai bien encore ce genre de preuves que j'afficherai...
 
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encore un indice sociologique de la drogue par le domaine créatif de la BD. Ici il n'y a pas de parabole pour le message comme avec les schtroumpfs. Non, on aborde le sujet en plein. Remarquez comment l'imagerie populaire figure les hallus du LSD. C'est plein de bonne volonté touchante et on peut remercier ces auteurs vertueux qui n'ont fort probablement jamais tâté la drogue (considérant la représentation de l'hallu bizarre mais marrante) et qui développent un sujet qui passera ainsi, à sa façon, le verrouillage de l'historia

le mec au Bd des Allongés il passe un bad un peu comme ceux que j'ai eus...
valentin.jpg

la musique qui va avec tant que on y est

The Bogus Man. Roxy Music
 
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