le principe du nazisme était la supériorité de la Race avec un hédonisme cultivé à outrance, être fort pour dominer et... les moins forts étaient naturellement destinés à se placer en infériorité. Les Nazis avaient un intellect développé. Ils étaient intelligents en leurs grands quartiers généraux et par exemple des avancées techniques le démontrent. L'application psychologique, physiologique et idéologique du nazisme était le populisme pour flatter les instincts vils afin de se prévaloir vis à vis des opposants. C'était le meilleur outil imaginé par les guides du nazisme pour décupler la volonté et forcir le courage dans le feu de la guerre. Aujourd'hui on minimise cela par un office de censure parce que le citoyen lambda n'est pas prêt pour prendre connaissance de tout ça. Il n'est pas éduqué pour être détenteur d'une authenticité historique. Si on divulguait la vérité à tout un chacun, il y aurait de bêtes blagues méchantes, des réactions inaptes et primaires mêlées de réactions inappropriées... Il y aurait aussi une exploitation des vues de l'esprit jusqu'à un commerce malsain. Il y aurait naturellement injure de certains vis à vis d'autres. Ce serait un facteur de déstabilisation dans notre société de mettre au jour la réelle nature, les engouements, l'intérêt et les préoccupations de la société fasciste qui a existé. Par cette censure on n'ose pas dire certaines choses. Crois-tu vraiment que les opposants politiques, Juifs, Roms, résistants et autres ennemis du Reich étaient enfournés tout à fait morts? Allons, réponds moi avec un peu de culot !! Tout le nazisme n'a que ça !! Exploiter les instincts bestiaux de l'homme pour l'embrigader. C'est en cela que résidait "l'admiration" des adeptes pour les thèses nationale-socialistes. Ils étaient comme drogués et plus fanatiques que lors de la beatlemania !! Crois-tu vraiment que les cadavres des soldats allemands détenaient des photos de leur propre famille? Peut-être les nationaux et les patriotes allemands qui ont toujours été à la traîne du vrai nazisme mais autrement c'étaient des photos, des souvenirs de victimes, de familles assassinées dans les pires conditions que les cadavres ss tenaient encore dans leurs mains pck ils étaient irréductibles et se battaient jusqu'à la mort au nom de la Race. Par ce principe, tout produit, alcool, amphétamines étaient en contradiction avec l'intégrité de cette idéologie. Aimer tuer la créature devait suffire à vaincre. Je ne crois pas à cette niaiserie des amphètes aux Nazis. C'est un élément de censure flagrant. Je ne crois pas quand on dit que certains dirigeants nazis étaient homos. L'idéologie était inflexible à ce propos et si klkun dans leur hiérarchie était suspecté de déviance il était de suite mis à la question et destitué... Non. La vérité c'est que certains docteurs, certains éléments influents du parti n'étaient pas homosexuels mais ils collectionnaient chez eux des peaux humaines, des têtes en provenance des camps... Cela n'entrait pas en contradiction avec les thèses du parti nazi, toujours par l'association d'idées avec la suprématie. Ce genre d'intérêt malsain pour la mort était la déviance de ces fous, pas l'homosexualité.
La censure montre tjs les quelques mêmes images: prisonniers décharnés des camps, des tas de cheveux pour faire des matelas, des tas de dents en or récupérées des victimes... Cela on le montre pck il faut un minimum mais dis toi que ce n'est que un minimum. Si il y a ça alors il n'y a qu'un pas pour qu'il y ait eu plus...
Quand tu me dis que la pervitine était un support des Allemands de la 2de gm c'est comme si on disait que des Noirs africains étaient utilisés en nombre sur le front. Ce n'est pas intègre. Les Noirs étaient tenus dans un camp et se bouffaient entre eux. Cela c'est intègre. Cela fournit et entretient le préjugé discriminatoire. Jamais les puristes nazis n'auraient adopté des méthodes contre le concept ou favorisant l'addiction dans leur sang, ni usé de la facilité opportuniste des nations dégénérées. Si il y a eu usage d'amphétamine cela a du arriver après l'annonce de la forte éventualité d'une défaite à courte ou moyenne échéance. Si il y a eu usage de ces produits par des éléments rattachés à certaines factions politiques, des convaincus de la seconde heure, c'était dans le désaveu du pouvoir central et de son idéologie. Hitler ne disait pas de vaincre par des moyens synthétiques mais de mourir avec un panzerfaust pointé contre le premier char ennemi que le servant verrait apparaître. Il était plus important de mourir comme un être intègre que de vivre comme quelqu'un désavoué par l'idéologie de la Race.
Tout mon thème développe le sujet de la CENSURE !!! Faudra t il encore le lire et le relire ce thème pour percuter sur le fondement de sa signification?
Mon père était T.O. réfractaire à Hennigsdorf. Dans son camp il y avait un 2d camp interne avec des cas plus graves. Et... si tu veux en savoir plus tu n'as qu'à demander en M.P.
C'était situé au centre du Reich, à Berlin !!
Être T.O. réfractaire c'est comme une matière qui encaisse la chaleur d'un foyer, cet épicentre d'une religion qui serait la mazdéenne, imaginons. On se brûle au foyer du culte sans tomber dans les flammes, ni pouvoir s'en départir. On a l'interdiction de se consumer. On doit demeurer stationnaire. A distance. C'est une punition. Une méthode de déshumanisation. A ce stade, quoi qu'il nous arrive et que nous fassions n'est pas de notre fait ni de notre ressort. L'idéologie nazie est un syndrome mazdéen.
Les choses de là sont interdites à la diffusion.
Gentlemen, tant que votre nez n'aura pas été fourré dans la bouche d'autrui vous n'aurez pas la révélation sur les mots nazi, réfractaire, non-conformisme, censure... Vous ne pourrez jamais capter le thème ci-présent.
Faites l'expérience avec un pote ou une amie et vous verrez... C'est une authenticité pour apprendre le sens de l'historia. Essayer cela égale à acquérir plus de savoir que ce que disent les livres ou Wikipedia. C'est une méthode autodidacte. Or je ne reconnais rien dans ce que on voit au cinéma ou ce que on lit dans les livres. Mais on peut essayer d'en parler car autrement Hitler serait interdit au dico...
Un nez saisi en bouche entre les dents, est un prémisse de menace... mais c'est après... quand la victime retrouve l'air libre, et son nez privé du cocon chaud de salive ambiante du kapo, que ça commence vraiment... Et avec l'option d'arracher le nez si on ne se laisse pas faire comme un mouton, on retrouve une attitude brutale connue de l’oppression de certaines époques...
cette illustration un peu comme hommage à mon père.
Et aussi qu'est-il advenu du para britannique?
Après le rush sur Berlin par les Soviétiques, il a pris une moto de parachutiste anglais laissée dans une ornière de la route en Allemagne. Mon père avait été T.O. (réfractaire) et depuis la Libération il avait le but de rentrer chez lui, à Bruxelles. Je crois fort que la moto est comme ci-dessus d'après la description que j'en ai eue. Cette petite moto n'a pas la prétention des grosses Harley, BSA et autres Norton des Hell's Angels mais elle est pratique pour descendre les marches jusqu'aux pissotières des bistrots en un temps où l'Info de 12 H ne poussait pas son optique jusque là. Les gens mouraient enivrés quand les armes ont fini de tuer. C'est ainsi que se fait le désengagement d'une guerre terminée. Pour remonter les escaliers vers la fête, la petite moto était de bon allant.
extrait de "l'Après-guerre"
... Et aussi, aux moments les plus incertains des faits de guerre, les masses armées alliées ont fait de substances (héroïne) un fer de lance à la rencontre de l'orgueil exterminateur, galvanisé et combattant de la race. Les stupéfiants, furent les seuls à même de faire la différence sur le champ de bataille. Les atouts en lice, opposés jusqu'à leurs natures, étaient ainsi. Les indices établissant ce fait dans les médias sont sous contrôle et effacés du témoignage historique. Cette notion, au crédit d'une évidence naturellement transmise sur le terrain jusqu'à "l'hiver" de l'après-guerre, ne fait pourtant pas la teneur des textes dispensés par les disciplines du savoir. C'était donc donné et laissé à une culture non récupérée, celle dite "parallèle". Aujourd'hui la société s'applique à "récupérer" par la censure le caractère excessif des passions humaines... Pourtant si on veut être au fait d'une instruction responsable, on exploite toute optique envisagée à fournir le bagage intellectuel et à développer le jugement. Ceci étant destiné à mieux comprendre, mieux discerner, être à niveau avec les dossiers historiques et sociaux. On comprendra enfin que l'office de censure phénoménal se consacre à mettre un terme à la propagande libertaire engagée comme apologie onirique d'auto-destruction, cette face cachée du Monde libre.
Bref, lors de la fin de l'Après-guerre je me suis drogué, j'ai vécu en sphère parallèle comme suggéré dans l'extrait ci-dessus, puis j'ai été désintoxiqué mais je me rends compte que je reviens dans un monde à idées superficielles, crédule pour ce qui est placé devant le nez comme la carrotte mais ne voit rien d'autre... Quand j'étais stoned, la nature du nazisme, la sévérité de la société patriarcale originale étaient des choses couramment prise en considération pour analyse. Cela faisait encore le dialogue, la discussion courante des milieux branchés... On spéculait sur le passé et le futur. Faut-il absolument être un drogué pour émettre des notions humaines et historiques pertinentes?? Si elles ne te semblent pas pertinentes elle sont au moins plus plausibles, logiques, que tout ce qui traite de cette époque verrouillée.
faut il un traitement au LSD, tel une "bonne guerre", pour mériter de connaître la vraie nature du monde? De voir les choses de façon élitiste comme ceux qui ont vécu la guerre, et non de façon entartée comme c'est le cas pour la généralité de la masse? La connaissance au peuple !!