La lyre du romantisme fanatique extrémiste
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Je kiff trop
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faut voir avec quoi on écoute: un casque, la sono bidon d'un portable, une tablette, etc... et ça vaut pour tous les sons... pas que les "vieux". Si on écoute avec un iPad ça va dans une certaine mesure. Avec un laptop il y a quiproquo et on n'a rien compris au sujet. Moi pour dépenser le moins possible et avoir le moins mauvais j'ai pris un casque sur mon PC tour. Parfois ça bouge au niveau du mini-jack et je deviens violent avec le fil. Quand le contact est bon alors c'est ok.
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Indica a dit:
je ne sais que répondre... ah mais si, je v en placer tout simplement de cette vieille musique de vieux groupes...
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Ceci est une hypothèse: (bien que une photo pareille, une telle posture, ne s'oublient pas).
Sans aucune info pour cette photo, on ne peut que faire appel à notre propre intuition, et par recoupages mémoriels on peut proposer une explication. D'abord précisons qu'il s'agit du magazine underground OZ n° 13. C'était en 1968... La photo se place en page n° 43. Les métropoles se dévelopaient alors que les ex-colonies renaissaient indépendantes.
Pour la photo il s'agit de l'Inde. Cette prise de vue date probablement du temps de l'Empire Britannique, quand la polémique jetait toutes sortes de considérations en confrontation: le devenir des peuples, de l'Humanité, les races, la montée des Forces de l'Axe, le rôle du colonialisme en ces remous politiques, etc... Les exceptions ethnologiques posaient un nombre de questions supplémentaires. Dans quel camp situer les sujets en marge de l'évolution ? Leur devenir inféodé au dénouement final de la guerre mondiale annoncée, postpose alors la réponse.
En attendant, l'esprit organisateur britannique délègue son anthropologue explorateur pour réaliser la photographie au nom de l'administration. Pour les archives.
L'image ressurgit maintenant via la presse parallèle et nos écrans pour révéler un être à l'ADN en pleine ascension sur l'échelle de l'évolution. Comme nos ancêtres. Ou plutôt comme les ancêtres des Indo-européens en ce cas précis.
Par exemple Gandhi incarne l'avènement évolué et bien abouti de ce cousin homo habilis nu, au type transitoire préhistorique. Sur la prise de vue on distingue un outil (lame) en pierre taillée, à l'indice du Paléolithique. Ou plutôt une persistance du Paléolithique.
Sur la page du magazine on peut lire: " The burden of conciousness has grown heavy upon us. We watch the stars. But! The signs are uncertain. We uncover the bones of the past and seek for our origins. There is a path there... But it appears to wander the vagaries of the road may have a meaning. However it is thus we torture ourselves."
Un essai (laborieux) de traduction donne: "Le fardeau de la conscience a grandi lourdement sur nous. On regarde les étoiles. Mais les signes sont incertains. On découvre les os du passé et cherchons nos origines. Il y a un chemin là... Mais il semble que à errer aux aléas de la route, cela peut prendre un sens. Cependant c'est ainsi que nous nous torturons nous-même." (nota: style encore plus givré que ma façon d'écrire !)
Plus sérieusement, la gageure incertaine de "l'homme de l'Inde" a certainement dû traverser des remous existentiels à une époque où les passions couvaient. Des regards en expectative de toutes les natures ont envisagé "l'homme de l'Inde" de mille façons contradictoires. La tournure des évènements historiques a probablement donné un recours ultime à la créature de dieu parce que tout acte envers sa personne s'inscrivait en des circonstances idéologiques alors en lice pendant les années 30 et après. On trouve là peut-être une des spécificités de l’appellation "indiaman".
Oui, avant l'apposition du verrou de censure sur le vrai visage du Monde Libre, le mystère et l'exotisme donnaient toute la mesure. On se sent mieux de le savoir. On se sent libre. On ne saura peut-être pas ce qu'est devenu la lignée "indiaman" aujourd'hui. Ce qu'il en a été fait. C'est qu'il vaut mieux pour le moment. Les décisions ont perdu le sens de l'enseignement, de la foi et de la compassion. Pourtant la photo est là. Elle témoigne.
<copy>Par exemple Gandhi incarne l'avènement évolué et bien abouti de ce cousin homo habilis nu, au type transitoire... etc... </copy>
Gandhi était un sage idéaliste avec un Q.I.: Mohandas Karamchand Gandhi est né en 1869 dans une famille aisée de l’Inde. Il se lance dans des études de droit à Londres en 1888, car il est très attiré par l’étranger. Une fois son diplôme obtenu, il exerce le métier de conseiller juridique en Afrique du Sud et découvre les conditions de vie déplorables des Noirs et des Indiens dans ce pays.
L'indiaman
Sans aucune info pour cette photo, on ne peut que faire appel à notre propre intuition, et par recoupages mémoriels on peut proposer une explication. D'abord précisons qu'il s'agit du magazine underground OZ n° 13. C'était en 1968... La photo se place en page n° 43. Les métropoles se dévelopaient alors que les ex-colonies renaissaient indépendantes.
Pour la photo il s'agit de l'Inde. Cette prise de vue date probablement du temps de l'Empire Britannique, quand la polémique jetait toutes sortes de considérations en confrontation: le devenir des peuples, de l'Humanité, les races, la montée des Forces de l'Axe, le rôle du colonialisme en ces remous politiques, etc... Les exceptions ethnologiques posaient un nombre de questions supplémentaires. Dans quel camp situer les sujets en marge de l'évolution ? Leur devenir inféodé au dénouement final de la guerre mondiale annoncée, postpose alors la réponse.
En attendant, l'esprit organisateur britannique délègue son anthropologue explorateur pour réaliser la photographie au nom de l'administration. Pour les archives.
moi je l'aime... Et vous?
il arrive en son temps...
il arrive en son temps...
L'image ressurgit maintenant via la presse parallèle et nos écrans pour révéler un être à l'ADN en pleine ascension sur l'échelle de l'évolution. Comme nos ancêtres. Ou plutôt comme les ancêtres des Indo-européens en ce cas précis.
Par exemple Gandhi incarne l'avènement évolué et bien abouti de ce cousin homo habilis nu, au type transitoire préhistorique. Sur la prise de vue on distingue un outil (lame) en pierre taillée, à l'indice du Paléolithique. Ou plutôt une persistance du Paléolithique.
Sur la page du magazine on peut lire: " The burden of conciousness has grown heavy upon us. We watch the stars. But! The signs are uncertain. We uncover the bones of the past and seek for our origins. There is a path there... But it appears to wander the vagaries of the road may have a meaning. However it is thus we torture ourselves."
Un essai (laborieux) de traduction donne: "Le fardeau de la conscience a grandi lourdement sur nous. On regarde les étoiles. Mais les signes sont incertains. On découvre les os du passé et cherchons nos origines. Il y a un chemin là... Mais il semble que à errer aux aléas de la route, cela peut prendre un sens. Cependant c'est ainsi que nous nous torturons nous-même." (nota: style encore plus givré que ma façon d'écrire !)
Plus sérieusement, la gageure incertaine de "l'homme de l'Inde" a certainement dû traverser des remous existentiels à une époque où les passions couvaient. Des regards en expectative de toutes les natures ont envisagé "l'homme de l'Inde" de mille façons contradictoires. La tournure des évènements historiques a probablement donné un recours ultime à la créature de dieu parce que tout acte envers sa personne s'inscrivait en des circonstances idéologiques alors en lice pendant les années 30 et après. On trouve là peut-être une des spécificités de l’appellation "indiaman".
Oui, avant l'apposition du verrou de censure sur le vrai visage du Monde Libre, le mystère et l'exotisme donnaient toute la mesure. On se sent mieux de le savoir. On se sent libre. On ne saura peut-être pas ce qu'est devenu la lignée "indiaman" aujourd'hui. Ce qu'il en a été fait. C'est qu'il vaut mieux pour le moment. Les décisions ont perdu le sens de l'enseignement, de la foi et de la compassion. Pourtant la photo est là. Elle témoigne.
<copy>Par exemple Gandhi incarne l'avènement évolué et bien abouti de ce cousin homo habilis nu, au type transitoire... etc... </copy>
Gandhi l'intellectuel aux lunettes rondes cerclées...
Gandhi était un sage idéaliste avec un Q.I.: Mohandas Karamchand Gandhi est né en 1869 dans une famille aisée de l’Inde. Il se lance dans des études de droit à Londres en 1888, car il est très attiré par l’étranger. Une fois son diplôme obtenu, il exerce le métier de conseiller juridique en Afrique du Sud et découvre les conditions de vie déplorables des Noirs et des Indiens dans ce pays.
Gandhi est né klkepart sur la gauche de la zone indo-européenne...
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l'harmonium, les séraphins et les alcôves...
Blessed End. Someplace To Hide (1971)
il a du glaire ce chanteur !! Comme Joe Cocker.
Joseph. Trick bag (1970)
rouîkh ptiouhh, aaaaaah!! ah ah!
Joseph. I Ain't Fattenin' No More Frogs For Snakes
il a du glaire ce chanteur !! Comme Joe Cocker.
rouîkh ptiouhh, aaaaaah!! ah ah!
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Avant la mise aux normes des mobile-homes (sortes de grands cubes en plastique blanc parcourant les routes aujourd'hui...) les semi-nomades de la civilisation roulaient longtemps à vitesse modérée et constante pour ménager la mécanique et le carburant afin d'aller plus loin...
En quoi c'est particulier? Ah ah... Les Français disaient "vonn vaguènn" (woon wagen) pour désigner toutes ces camionnettes VW qui faisaient la composante folklo du trafic routier sur les longues distances et les premières autoroutes. Il y avait aussi des fourgons Mercedes, Citroën et surtout des Barkas transformés en camp de base à roulettes... J'ai retrouvé une photo tout à fait fidèle à la circonstance.
Et l'ultime question: en France la prononciation "vonn vaguènn" c'est devenu un attribut folklo du passé avec la mondialisation? Je propose un questionnement méditatif profond sur notre voie sacrée du devenir, de l'Europe et de tout...
The Mystic Moods. Honey Trippin'
En quoi c'est particulier? Ah ah... Les Français disaient "vonn vaguènn" (woon wagen) pour désigner toutes ces camionnettes VW qui faisaient la composante folklo du trafic routier sur les longues distances et les premières autoroutes. Il y avait aussi des fourgons Mercedes, Citroën et surtout des Barkas transformés en camp de base à roulettes... J'ai retrouvé une photo tout à fait fidèle à la circonstance.
Et l'ultime question: en France la prononciation "vonn vaguènn" c'est devenu un attribut folklo du passé avec la mondialisation? Je propose un questionnement méditatif profond sur notre voie sacrée du devenir, de l'Europe et de tout...
... thé au lait?
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comme suite à "L'indiaman" (klkes cases plus haut)
La mythologie sacrée de l'Inde interprète des faits historiques réels du passé (-2200 ans) pour les poétiser en une épopée rédigée dans le "Mahâbhârata". Ce livre, avec le "Ramayana", fait la littérature de référence hindouiste.
La matière sublimée renseigne néanmoins sur la tournure politique, sociale (les castes) et religieuse en cours dans l'ancien temps...
On relate les dieux, les rois, les princes, les princesses, les héros, les guerriers, et... les singes !! Oui, des créatures sur le cheminement de l'évolution, mi-hommes, mi-singes, semblent s'intégrer dans le mode de vie, la stratégie de guerre, les évènements... A se référer à des représentations puristes et originales du 16me s par exemple (comme l'image ci-dessous), on reconnaît notre indiaman. On le voit participer aux épisodes de l'Inde traditionnelle.
Aujourd'hui on s'affaire aveuglément sur des fossiles, des fragments d'os mis au jour pour échafauder des théories sur l'origine de l'homme et de sa conscience. On pose le cheminement de l'évolution en mystère scientifique alors que des créatures de dieu semblables à nos ancêtres ont été photographiées, sont intégrées dans les mythologies et résolvent le chaînon manquant de l'identité humaine... Si cela échappe au regard actuellement, ce ne peut être que le résultat d'une préméditation politique, humanitaire, qui nous surpasse. Quand la culture parallèle demeure notre recours, alors c'est que les conditions de notre épanouissement sont biaisées.
La mythologie sacrée de l'Inde interprète des faits historiques réels du passé (-2200 ans) pour les poétiser en une épopée rédigée dans le "Mahâbhârata". Ce livre, avec le "Ramayana", fait la littérature de référence hindouiste.
La matière sublimée renseigne néanmoins sur la tournure politique, sociale (les castes) et religieuse en cours dans l'ancien temps...
On relate les dieux, les rois, les princes, les princesses, les héros, les guerriers, et... les singes !! Oui, des créatures sur le cheminement de l'évolution, mi-hommes, mi-singes, semblent s'intégrer dans le mode de vie, la stratégie de guerre, les évènements... A se référer à des représentations puristes et originales du 16me s par exemple (comme l'image ci-dessous), on reconnaît notre indiaman. On le voit participer aux épisodes de l'Inde traditionnelle.
Aujourd'hui on s'affaire aveuglément sur des fossiles, des fragments d'os mis au jour pour échafauder des théories sur l'origine de l'homme et de sa conscience. On pose le cheminement de l'évolution en mystère scientifique alors que des créatures de dieu semblables à nos ancêtres ont été photographiées, sont intégrées dans les mythologies et résolvent le chaînon manquant de l'identité humaine... Si cela échappe au regard actuellement, ce ne peut être que le résultat d'une préméditation politique, humanitaire, qui nous surpasse. Quand la culture parallèle demeure notre recours, alors c'est que les conditions de notre épanouissement sont biaisées.
ces indiamen là n'ont pas l'air commode avec le gourdin...
ils sont juste ici, tout en bas
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R2d2
Elfe Mécanique
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Oui les textes comme le mahabharata sont intéressants pour comprendre la façon dont l humain a interprété à un moment donné son évolution, son devenir. Un peu comme si les textes mythologiques permettaient une photographie de l inconscient collectif à un moment donné.
Par ailleurs, les études paléontologiques, archéologiques ont un rôle d objectivation, de rationalisation de ces interprétations subjectives.
Par ailleurs, les études paléontologiques, archéologiques ont un rôle d objectivation, de rationalisation de ces interprétations subjectives.
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Parfois le courant intellectuel "sous-terrain" reste le seul garant d'objectivité.
On doit être prêt à se méfier de notre propre confiance aveugle en des points de référence et de théorie qui vont jusqu'à l'intime conviction. C'est pour être un peu plus adulte et surtout moins cabot...
Il y a enjeu sur l'avenir disputé entre plusieurs camps. Et ça continue !! C'est une déferlante depuis que les études, les théories scientifiques classifiant les races, les origines et l'évolution de l'homme n'ont fait que entraîner des facultés universitaires et même des administrations dans l'anéantissement de la guerre. Pourtant en Europe on y croyait dur comme fer.
Où se trouve alors la petite flamme d'objectivité?? Et bien elle est dans le développement de l'imagination au pouvoir. Ceci ne signifie pas n'importe quoi n'importe comment... Il ne faut pas être stupide. Mais détecter des vérités.
On doit être prêt à se méfier de notre propre confiance aveugle en des points de référence et de théorie qui vont jusqu'à l'intime conviction. C'est pour être un peu plus adulte et surtout moins cabot...
Il y a enjeu sur l'avenir disputé entre plusieurs camps. Et ça continue !! C'est une déferlante depuis que les études, les théories scientifiques classifiant les races, les origines et l'évolution de l'homme n'ont fait que entraîner des facultés universitaires et même des administrations dans l'anéantissement de la guerre. Pourtant en Europe on y croyait dur comme fer.
Où se trouve alors la petite flamme d'objectivité?? Et bien elle est dans le développement de l'imagination au pouvoir. Ceci ne signifie pas n'importe quoi n'importe comment... Il ne faut pas être stupide. Mais détecter des vérités.
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La vérité en place ce sont les idéologies capitaliste et libérale qui régulent le lien social et oriente l'humanité dans une direction où la guerre est impérative pour entretenir le système marchand, la monnaie, les structures étatiques laissant de plus en plus le privé gérer les affaires du monde. L'humain s'externalise via internet, transformant la planète en un cerveau géant où des câbles transfèrent des milliards de données d'un data center à l'autre, pour générer toujours plus d'argent automatiquement. Se faisant dans X années l'humain n'aura plus de raison d'être, sa conscience uniformisée et devenue une sera autonome au travers du grand réseau, et des intelligences artificielles multiples et diverses se pérenniseront jusqu'à ce que la Terre soit détruite. Ce monde sera on ne peut plus objectif, puisqu'il n'y aura plus aucune subjectivité, rien du mystère qui fait que l'humain est trop humain.
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@laura c'est une vision de golem bionique avec un cerveau d'hippie mad baignant dans son aquarium, ça !!!
Si l'avenir c'est comme tu dis et bhain tant mieux !!! Il n'y aura plus de souffrance et les victimes seront exaucées. No Futur !!!
Si l'avenir c'est comme tu dis et bhain tant mieux !!! Il n'y aura plus de souffrance et les victimes seront exaucées. No Futur !!!
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Lol, je suis parti loin ouai 
Généralement plus on anticipe l'avenir, plus on est sur de se gourer...
Sinon j'ai rematé ce doc hier, ça donne matière à réfléchir même si y a des trucs complètement barrés :
Généralement plus on anticipe l'avenir, plus on est sur de se gourer...
Sinon j'ai rematé ce doc hier, ça donne matière à réfléchir même si y a des trucs complètement barrés :
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avec mes spécialisations rongées, le profil de l'emploi qui me botterait ce serait balayeur hi-tek (combi supernaute genre papier aluminium et balai electro-statique) dans une station spatiale klkepart en milieu céleste sans pesanteur...
Sinon oui dans la vidéo on se demande si on est encore en face ou dans les circuits
Sinon oui dans la vidéo on se demande si on est encore en face ou dans les circuits
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Lorien commune, New Mexico, 1969... exactement comme au Snark à La Louvière au début de son existence.
C'est une photo d'une commune aux USA, mais c'est trop comme en Wallonie.
extrait de presse
Jacqueline, Roudoudou, Zoltane, Douchka, Béatrice, Jacques... Le psycho thrill des éducateurs c'était la question de l'obtention des subsides de l'état... et aussi un peu les pensionnaires... Pour dormir sur leurs deux oreilles les éducateurs emmenaient les filles chez un docteur pour leur administrer des piqures contraceptives...
C'est une photo d'une commune aux USA, mais c'est trop comme en Wallonie.
stéréotype d'un mode de vie en expansion...
extrait de presse
Jacqueline, Roudoudou, Zoltane, Douchka, Béatrice, Jacques... Le psycho thrill des éducateurs c'était la question de l'obtention des subsides de l'état... et aussi un peu les pensionnaires... Pour dormir sur leurs deux oreilles les éducateurs emmenaient les filles chez un docteur pour leur administrer des piqures contraceptives...
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j'aime bien pck c'est sirupeux et un peu écœurant...
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bah ce qui compte c'est l'erreur corrigée. Et au fait Rasfhoo merci pour la remarque
