je suis content d'avoir trouvé au hasard du Web une représentation
assez fidèle de ce qu'est une vision psychédélique... disons... 120µg !!!
le LSD n'est interdit de jure que à partir de 1971. Avant cela il était absent des textes appliqués par les conventions internationales. Je me souviens d'avoir vécu mon tout premier trip encore sous cette égide. Il n'y avait que
un LSD, sans aucun doute possible. Il n'y avait que UNE série d'effets connus, sans légendes de rue (c'est un terme que on a inventé plus tard). Et après 1971 disons que la loi est entrée en vigueur de façon progressive avec une tolérance zéro perceptible aux mi-70.
Tout ça pour dire que mon 1er trip date d'un temps où il ne fallait pas encore contourner la loi avec des synthèses dérivées. Aujourd'hui c'est la foire avec des dénominations carabistouilles pour soi-disant étayer des notions doctes qui ne servent au final qu'à semer l'incertitude.
Malheureusement si on peut légiférer à l'interdiction du LSD il n'y a pas de loi contre le mensonge que la censure ne manque pas d'appliquer sans scrupules. Non seulement le LSD est interdit mais en plus il est censuré avec des références tronquées. C'est la guerre des institutions contre la drogue depuis Nixon. Voila le résultat quand on s’acoquine aux instances étrangères dans les accords géostratégiques. Suite aux tractations diplomatiques on fait des échanges standards de principes directeurs (j'aplanis mon protectionnisme par-ci et en échange tu deviens un peu facho par là)
Aux mi-70 le LSD a disparu un temps du paysage sociologique. Après, avec l'arrivée de nouveaux pays et de nouveaux principes dans l'U.E. il y eut des raves party avec l'irruption d'un produit nommé extazy que l'on surnommait aussi "acide" (comme avec le LSD des 60/70). La dénomination "acide" s'appliquait donc au LSD comme à l'extazy mais ils ont des effets différents. Quand on dit "acide" il faut savoir si on parle de LSD ou d'extazy (MDMA). Ces produits ont chacun leur caractéristique majeure. Le premier va plus avec les visions psychédéliques et le second plus avec une humeur enthousiaste débordante dans le comportement. De là viennent le quiproquo et l'erreur des témoignages descriptifs et des assertions parfois perceptibles sur l'Internet... Le terme "acide" a donc été gardé pour substituer le LSD (extatique = ancien, faible) à l'xtc (nouveau, actif, énergique, anti-passéiste). Ensuite il semblerait (d'après ce que j'en lis sur le Web) que le LSD ait fait un come back relatif dans les milieux festifs. Mais je ne sais pas. Je lis souvent le Web pour mieux comprendret... Parce que je n'ai plus rien à voir avec la drogue IRL.
ouuuuhh... !!! et avec 180 µg jusk'où ça peut aller le LSD..??? aaahh !!!
hé hé !! Je ne suis pas millionnaire mais je fais un voyage très riche...
Malgré ça, par exemple il faut pouvoir dire aux jeunes qui vont en teuf et qui côtoient une certaine sphère que le LSD (si il y en a) ou l'xtc est comme tout... L'alcool, la fume etc... Par exemple comme avec l'alcool, on veut des effets positifs pendant toute sa vie mais c'est trop difficile ça.
Prenons ce texte présent comme une méditation qui devrait faire un discours en alternance à la science jusqu'aux organismes psycho-sociaux informatifs subsidiés par les régions ou les états.
Le LSD original, comme dans les années 60 envoie des visus de ressenti similaire que sur les images du thread. Sinon, alors c'est que ce n'est pas vraiment du vrai de vrai LSD que t'a fourgué ton dealos. C'est peut-être une synthèse de molécule tendant à l'xtzy ou même autre chose de moins bon... Sorry.
Aussi je suis un peu perplexe par certains témoignages lus sur le Web. Probablement des affabulations ou des quiproquos. Pck pendant un (vrai) trip on ne peut pas courir, ni se battre contre des personnages avec une télécommande de jeu-video, ni dessiner ni composer de la musique... pck on est en pleine sidération. On peut faire klkes pas vers un point intriguant d'hallucination pour mieux discerner (enfin, c'est ce que on croit...) ou peut-être discerner klkchose dans l'hallu quand on est dedans, ou regarder à travers ses mains pour voir les couleurs de circulation sanguine, bref des choses qui n'engagent pas de grande intendance.
whoooppss !! il n'y a pas qu'un "style" éventuel...
Une autre légende, au sujet de la créativité artistique cette x, donne l'image d'artistes créant leur œuvre magistrale pendant un trip au LSD. Comme l'aurait fait les Pink Floyd ou les Beatles aux temps héroïques avec des titres à succès qui évoquent le LSD. Je crois que la phase créatrice dure un temps mais vient après quand on utilise le trip passé comme une ressource à laquelle on croit encore pendant tout un temps... Cela se place donc après la session et c'est imparti sur une période définie.
Quand on a commencé un cycle expérimental d'exploration psychonautique, il faut doucement aborder l'éventualité de stopper. Cette éventualité existe. Il faut donc l'envisager... A un moment on a fait le tour du domaine de la psyché et on reconnaît les mêmes choses, les mêmes impressions qui reviennent... Il y a klkchose qui est su et fini. On peut donc changer quand la découverte est consommée.
je crois que le LSD est un produit chimique "cibleur" comme peuvent le faire certains prods, médicaments en psychiatrie ou en médecine au niveau des cellules humaines...
En chimie on crée des produits qui ciblent tel mal, ou telle cellule cancéreuse, ou même tel endroit précis du cerveau pour corriger des attitudes caractérielles, des sentiments funestes... C'est le schéma des formes chimiques d'une molécule qui fait cela. Par cette forme la molécule "accroche" précisément au tissu selon sa composition. La molécule sera sympathique à être menée là où sa nature permettra l'association cellulaire. (tout se fait via la circulation sanguine véhiculaire). A l'exception de cette localisation accueillante, les autres parts du corps et du cerveau restent indifférentes au produit. Le LSD pourrait donc être une molécule qui se porte vers un endroit précis du cerveau, comme les médicaments cibleurs. Pour le LSD c'est là où réside la psyché. L'intoxication physiologique d'une zone cérébrale précise, bien délimitée, n'en fait pas moins une zone addicte. C'est ce que on appelle "psychologiquement dépendant" pour, selon la notion donnée aux gens par les structures citoyennes, contingenter le manque à une idée, fût-elle désagréable... Alors que en réalité il s'agit juste d'un certain endroit dans la tête sujet au vrai manque physiologique générant un mal-être, de la paranoïa à la longue...
Le LSD mute le cytoplasme des cellules comme toutes les drogues mais à un endroit bien défini. Avec le temps, l'épuisement de la drogue dans les cellules provoque un mal-être psychologique chez le sujet qui devient un mini-junkie du LSD. L'alcool ou le hash et la weed ont une action plus polyvalente sur les cellules du sang et des organes que le LSD. Celui-ci est plus sélectif quant à sa cible.
A comparer avec les manques de l'alcool ainsi que les drogues "classiques" (hachich, opiacés...), le LSD se situe plus précisément à l'endroit atteint par ciblage. Par cette différence de l'étendue très définie considérée on croit pouvoir parler d'une "dépendance psychologique" et de "tolérance".
wwowh !! c'est l'ogenblik... quand ça vient par vagues en regain... wwhhaaaâââââ !!!!!
Oui, cela se porte moins en étendue mais c'est localisé dans la fine "mécanique" cérébrale. Il est possible que l'intoxication se fasse donc de façon plus ciblée; vers le for intérieur de la conscience à un endroit du cerveau, à contrario d'une autre drogue plus grosse. Mais l'addiction physiologique en zone aussi ténue qu'elle soit, y est !! Pour la différence de proportions relatives aux matières physiologiques humaines affectées, imaginons klkun qui gèle dans le froid et klkun bien au chaud dont seul l'index sera maintenu par le trou d'une paroi au-delà de laquelle règne une température de gel. Est-ce que le deuxième homme n'aura pas une mésaventure même si elle est différente de celle du premier homme entièrement frigorifié?? Par cette métaphore de l'alcoolique et du "tripeur" je pose cette question.
Tant que le doigt reste gelé on ne sent rien. Mais c'est après, quand le doigt dégèle au chaud que ça fait mal !!
Le noyau de la cellule ne baigne dans rien après le retrait du LSD qui avait muté le cytosol... La douleur psychique prend une dimension réellement physique.
après 8 heures on est redéposé à terre... La réalité transparait progressivement au petit matin.
Ah oui celui-ci était réussi. C'est la perle que tout psychonaute essaie d'atteindre.
Le but d'information n'est donc pas atteint quand on affiche une tendance à embrouiller la vérité sur l'implication du LSD, ce produit cibleur qui fût à une époque l'accessoire des psychiatres, en toute légalité. L'usage du LSD a été relayé depuis la sphère médicale psy vers la foule des fêtes populaires lors des années 60. Il y a eu excès de consommation et dès lors le produit a été classé comme stupéfiant.
Le LSD est très hautement sympathique au niveau des cellules ciblées et il fait l'intoxication localisée. Une overdose de lsd donne la même semblance apparente d'attitude qu'une électrocution. Comme quand on reste bloqué. Avec le LSD c'est physiologiquement électro-chimique dans le cerveau qui est court-circuité. Il y a les électrocutions de différentes intensités, comme celles dont on se détache pour finir... mais aussi les plus fortes qui foudroient. Cela peut provoquer la mort. Oui, en toute logique il y a des overdoses de LSD mais il faudra comme un court-jus de cabine à haute tension pour en arriver là (par exemple avec un surdosage suite à une erreur). Je crois qu'il y a eu des faits divers de presse inspirés de ces accidents et qui sont depuis souvent sujets à polémique sans réponse vraiment définitive... C'est pck on ne peut pas préméditer de telles expériences en labo sur l'homme comme sur un cobaye (par exemple infliger un surdosage , etc...). La science est donc obligée de sa baser sur des faits divers survenus chez des particuliers.
et na !!! moi je prends de l'extazy !!
il y a trop de déclinaisons de synthèse pour être sûr que ce soit du LSD 25. En labo on change un des traits du schéma chimique du LSD (par exemple pour contourner la loi) et hop tu obtiens un prod assez cousin, certes, mais qui s'associe de façon nuancée aux tissus humains cérébraux avec des effets différents... Il n'y a qu'un seul schéma de synthèse moléculaire du LSD qui procure des visus psychédéliques. C'est le schéma du LSD 25 précisément. Donc il n'y a pas de discussion possible.
Chez les potes, les effets c'est selon chacun... Oui, mais en fonction de l'avancement de l'habitude. Par exemple avec un dosage à 120 µg pour un débutant, et là je reste intransigeant, soit il a des visus et c'est du LSD, soit il n'en a pas (ou un peu) et c'est un prod cousin au LSD mais pas du LSD. Ou alors c'est un habitué à qui cela fait moins d'effets.