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La lyre du romantisme fanatique extrémiste

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion amicale_du_pc
  • Date de début Date de début
au delà de la Route 66, des communautés pour poser le sac
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oui, après la frontière tu fais étape...
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la renommée commu Hog Farm (Tennessee)
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continent européen
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au Japon, la lyre instaurée
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bribes de témoignages traduits de l'anglais (Commune Comes to America)
Pour Jamie et moi, il y avait des avantages et des inconvénients à vivre avec 20 adultes et huit enfants, ou plus, de moins de cinq ans. Jamie adorait parcourir les terres de la ferme avec ses Readymade 'frères et sœurs', et beaucoup de 'tantes et d'oncles' regardaient. Avec une telle grande famille élargie, je n'ai jamais eu ce sentiment de piège expérimenté par certaines épouses quand elles restent coincées à la maison seules avec des enfants.
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Les bons moments étaient merveilleux. Nous étions connus pour notre danse, etc...
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Il y avait des querelles calquées sur les styles parentaux traditionnels, aussi.
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Cuisiner, cultiver des légumes et traire des chèvres ne me satisfaisait pas. Il y avait aussi d'autres problèmes. Les inégalités financières entre les membres de la commune sont venues à la matière et beaucoup fatigués de grappiller. Nous avons fini par prendre des emplois normaux, payer des hypothèques, et acheter des séchoirs à linge coûteux, dit-elle.

le témoignage ci-dessus, c'est elle, de la Church Farm commune (Sotherton, England)
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Les épreuves pour les nouvelles communes sont souvent inhérentes à une gestion caractéristique appliquée intentionnellement en dissociation des principes directeurs de la société. Des visiteurs officiels, ou officieux, émanant des structures de l'establishment viennent observer pour faire des contrôles de conformité sociale, légale...

Des manifestations d'hostilité de la part de la population locale peuvent éventuellement survenir. La commune doit se faire accepter. Pour les nouvelles communes sises en latitudes semi-tempérées, l'hiver apporte une épreuve de plus.

Mais les communautés de groupe, en tant qu'initiative protestataire, sont bien une propagation intensive du florilège originaire des années 60. Quand on essaie d'évaluer l'ampleur du Mouvement on trouve des témoignages qui évoquent un nombre impressionnant de communautés... Cela se révèle progressivement lors d'une recherche dans les textes pck il n'y a pas de conclusion officielle développée à ce sujet. On remarque qu'il y avait des centaines, des milliers de commus aux USA et en Europe... Et que des membres issus de toutes les origines sociales ont pour le moins essayé, et au mieux, adopté définitivement ce style de vie. Certains pratiquaient la vie communautaire en dilettante car ils revenaient après des hésitations ou des échecs. Ou ils prenaient la route... Beaucoup sont aussi restés dans cet environnement marginal qui ne se départit pas d'une activité utile à la survie et la prospérité dans le meilleur des cas. L'artisanat, la culture de champs, de potagers, la récolte et la cueillette... On mène la vie d'un pionnier dissocié des objectifs de la société. L'idéalisme pur et dur couvre les natures d'activité de certaines communes. Pour d'autres, on ira jusqu'à la marge des mœurs.

dans Mainmise on trouve des idées attractives... surtout sur les pages des premiers n°s
avant la cens... oups, je voulais dire, et progressivement moins vers la fin.
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Une philosophie prenant source en la phase de célébration humaniste existentielle, plaçait les bornes de l'interdit au-delà des lois. Il n'y avait pas de mal. L'intimité, sa nature, comme vecteur médiatique 8 et super8 vint encore en regain lors du boom de la cassette vidéo. L'apport de revenus complémentaires permettait une allonge aux ressources des communautés les plus libérées en mœurs. Mais l'argent résulte en une perversion du bel idéal. Le commerce pornographique, tel qu'il existait lors des 70s prit fin car il fut mis sous contrôle pour être tronqué de certaines perspectives picturales et morales. Il fut conditionné, façonné par ceux qui ne sont pas consacrés. La pornographie actuelle est comme un trophée pris à un ennemi. Elle se fait cerbère anti-pornographique d'autres scènes intimes spontanées exprimées par une humanité à mille années lumières...

Lors de l'été des saisons philosophiques, la drogue était largement admise dans certaines commus. Les hommes et les femmes en ont besoin. Ce n'est jamais assez quand la similitude entre la tradition chrétienne de la famille et celle des communautés libérales pratiquant l'amour en groupe réside sur le nombre prolifique d'enfants. Sur toutes les photos de groupes humains communautaires hippy on ne peut pas ne pas remarquer les ribambelles de petits. Ce facteur de méditation a d'ailleurs amené les parents à prendre progressivement en considération l'avenir avec circonspection...

rien ne vaut un article de presse d'époque pour fixer klkes certitudes
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oui d'accord pour le LSD c'est tjs ça de lu...


Les commus évoluèrent.

Le réalisme spécifia la gestion de groupes pourtant tjs marginaux désireux de se désengager de la société établie. La modération de la drogue fut imposée. Même avec une sympathie morale pour un style de vie on s'est résolu à appliquer certaines mesures pour remiser un rêve à plus tard...

De la doc illustrée au hasard du Web. Ce ne sont que klkes exemples d'un phénomène remarquable en son genre...

Sunnyridge commune
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Quarry Hill commune
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Brook Farm commune
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Brotherhood of the Spirit commune
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la pièce centrale d'une commu des années 70. Ce n'est pas un niveau digital de jeu de rôle
ni une scène de ces sortes de feuilletons à épisode...
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etc... etc... (pas de nom précisé...)
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We Are Everywhere by Jerry Rubin (1971)
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Dans la presse // on parle de dope, de route, de musique mais il y aussi des pages pour le travail,
l'éducation des enfants, les cultures et les récoltes... Ce sont deux magazines distincts en un seul. C'est comme ça l'utopie.
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travailler à poil, qui a dit que l'imagination au pouvoir est utopiste?
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on s'organise pour subsister à la fin du monde:
la banalisation civique, une nouveauté en marginalité
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on s'organise pour subsister à la fin du monde:
on prépare la bonne soupe pour devenir fort
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on s'organise pour subsister à la fin du monde:
conseil d'administration à la Hog Farm commune
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Dernière édition:

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la pièce centrale d'une commu des années 70.
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une simple question: pourquoi on ne trouve pas de jeu vidéo 3D dont les personnages auraient des attributs hippy? Par exemple un parcours routier de l'auto-stoppeur ou du voyageur en magic bus avec plein d'étapes, le dealer (un peu comme un sorcier) avec évidemment de l'embrouille, le calibre 38 canon court qui sort du tiroir, le guru dispensant sa sagesse, les commus de ville et à la campagne avec l'élevage de moutons... des orchestres Rock, des maquillages assez space...

L'absence en virtuel d'un certain thème parmi ceux de la guerre, de l'aventure, de l'exploration est bien démonstratif d'une préméditation d'ostracisme
 
Dernière édition:
amicale_du_pc a dit:
une simple question: pourquoi on ne trouve pas de jeu vidéo 3D dont les personnages auraient des attributs hippy?

Il y a 20 ans, un jeu PC se passait dans le haight ashbury hippy de 1967. N'étant pas gamer, je ne peux pas en dire plus. Lee-O saura peut-être.
 
Les Anglais ont fait de leur métro un lieu de survie pendant plusieurs années où la culture populaire n'a pas manqué de créer un environnement bien folklo. L'Underground.

Le lien entre la culture underground (utopie, musique, drogue...) et la grande historia n'est pas entretenu dans les lettres du savoir donné à la connaissance du public. Et la transmission des notions laissée à une sorte de tradition orale n'a pas de valeur reconnue. Autant faire du vent avec un moulin hollandais. Au nom des intérêts et des futurs pactes géostratégiques, le grand lobby des affidés se délestera de son excédent de principes... On jette le passé par dessus bord pour aller au plus haut. En bas, parmi les restes et les vestiges, on trouve des miettes de cohérence par ci, des reliquats de logique par là... Des indices pour nous.

L'analogie "underground" entre le métropolitain et la philosophie est possible. Quand on sait que le concept de "metro" pour les choses clandestines était en cours déjà depuis avant la mode anglo-saxonne on ne peut que franchir le pas de la conviction:

Prenons à témoin la revue "Metro" créée en 1944 aux Pays-Bas. Il n'y avait pas de métropolitain de la mobilité dans ce pays. Le 1er métro à Rotterdam date de 1968. A Amsterdam ce sera en 1977. Pourtant la couverture montre bien une bouche de métro. Celle-ci est un monument mythique dédié à une conviction politique et humanitaire. Le métro de prime référence était celui de l'inssoumission

l'idée "metro" est la même avec "underground"

"U kunt er de (kachel) mee aanmaken"
"vous pouvez y faire avec le (poêle/four)"
le mot kachel a deux sens. Cela veut dire que on peut allumer le feu avec le journal
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La revue clandestine, à tendance politique de gauche, préserve une idée de libération... Il s'agit alors d'une idée souterraine, sous-jacente en le for intérieur, qui attend son heure pour sortir au jour. On voit donc bien que l'Homme de ce temps avait déjà en esprit l'underground avec des racines plongeantes dans la clandestinité.

dans le carré de gauche: "metro a le plus mauvais papier"
à droite: "metro est du plus petit format"
Il s'agit bien d'un ressentiment qui sourd du plus profond de l'être après des années de privation.

prototype de gauchisme, la revendication vise, entre autres, le fascisme espagnol en 1946 !!
"Weg met de resten van het fascisme" en quelques sortes: "Finissons-en avec les miettes du fascisme"
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Pour les prisonniers figurés ci-dessus, je n'ai rien trouvé concernant la Hollande. Si il s'agit d'anciens révolutionnaires de la République et des Brigades Internationales, c'est en Espagne que cela se passe... Pas aux Pays-Bas. A moins qu'il ne s'agisse d'un camp de prisonniers en Indonésie?? D'autant que le commentaire "de splinter en de balk" signifie "la paille et la poutre". On critique Franco ET le colonialisme.

Mais poursuivons: la revue de presse // n'affiche pas encore l'excentricité des ces années dites babyboom favorisées par la richesse économique qui ne manquera pas de caractériser l'Occident à tous les niveaux.

"nee, jullie mogen niet meedoen" "jullie zijn misschien niet zuiver"
"non, vous ne pouvez pas participer" "vous n'êtes probablement pas purs"

"op de sportfeesten: uit nu is de (uitslag) zeker... KABOUTER-GENEVER is niet te verslaan"
"aux fêtes du sport: désormais le (moisi/résultat) est sûr... le NAIN-JENIEVRE n'est pas à battre"
il s'agit bien d'un jeu de mots puisque en néerlandais le mot entre parenthèses peut avoir deux sens
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Le nain de Disney dopé au genièvre accomplit des performances pour gagner un challenge.
 
Dernière édition:
carré de droite, (hum le gage du goût salé quand même... non?)
"Door metro te lezen steunt gij de oogartsen"
"à lire metro on soutient l'ophtalmologie"

"de UNO - nu nog een luchtkasteel..."
"l'ONU - et encore un château des rêves..."
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"maar de poort staat er al"
"mais l'entrée est déjà là"

hypothèse

interprétation: tout le monde est dissocié à l'heure du rêve... C'est en 1946
 
D'abord les préliminaires:

le cannabis Sativa développé en environnement impropre produira une marijuana fadasse et différente de sa renommée habituelle. Sativa en latin signifie "cultivé" associé au sens de agricole pour les anciens, pck il s'agit de la fibre de chanvre au temps des voiliers. Il y a longtemps, la Sativa faisait le décor nord africain en certains lieux d'exploitation pour sa fibre utile aux pêcheurs et aux marins.

du chanvre textile mais actuel et en Wallonie
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le promeneur peut même le toucher autrement il y aurait du THC...
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Lors des premières explorations transméditerranéennes de l'antiquité, la fibre de cannabis Sativa faisait la technologie des navires et il fallait pouvoir en disposer aux points d'accostage, aux comptoirs commerciaux, comme matériau de qualité pour l'entretien des transports de mer. Ce cannabis là n'allait pas à la consommation extatique car la teneur en psychotropes était faible à contrario de la fibre forte.

ça semble être du bon cordage
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La variété Indica par le biais de l'Egypte commencera à se substituer à la Sativa au Maghreb et dans le Rif pour ses spécificités psychotropes aux environs de l'an 1300. La latitude, le climat, les sols en Afrique du Nord défavorisaient la Sativa à certains égards d'intérêt bien spécifique en comparaison de l'Indica plus psychotrope. Quant à la Sativa, par les sentiers de l'aventure, elle arriva en Afrique Noire sur les ans 1800... Comme si l'Indica en Afrique du Nord avait repoussé la Sativa ailleurs. Il s'agit bien d'une migration botanique de l'espèce Sativa au final. En Centrafrique (Oubangui-Chari), et dans les vastes régions voisines, elle s'est retrouvée en un environnement propice à une démultiplication exponentielle de ses caractéristiques herboristes désormais plus spéciales! Dans la jungle tropicale humide la Sativa trouve tout son potentiel de propagation et de croissance. Elle prend un caractère génétique s'ajoutant à l'exotisme luxuriant des essences végétales d'Afrique Centrale. Elle est chez elle, comme son aïeule ou sa cousine des jungles sud-asiatiques.

des pygmées en Ouganda mais ils sont aussi en Centrafrique par exemple...
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Bah le joint ce n'est pas mal non plus...
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L'Afrique du Nord est devenue le domaine de l'Indica avec sa résine conditionnée en plaquettes pour la distribution commerçante. La Sativa est moins chargée en densité résineuse à THC, ce qui explique l'habitude des fumeurs de consommer la marijuana simplement séchée plutôt que sous forme de pâte à chauffer pour la désagréger comme on fait avec l'Indica.

Une tête de plant Sativa est plus légère que celle de l'Indica mais la présence de THC se distingue de façon plus exclusive dans la composition entière relative aux cannabinoïdes. L'Indica, au contraire, rassemble plus de composantes cannabinoïdes "auxiliaires" à côté du principal: le THC. Donc l'Indica est mieux pour la production et le commerce par son abondance de résine mais la Sativa recèle une certaine valeur par son THC plus omnipotent.

C'est une piste pour expliquer l'effet clairement plus hard nuançant la Sativa de l'autre cannabis plus capiteux...

Cela se répercute au niveau sociologique comme décrit dans la rédaction "Comprendre les Américains" >>>(cliquer ici pour la rédaction). Ceux-ci avaient la Sativa (de Mexique, Colombie, etc...) comme cannabis lors des années 70.

je pique de la doc sur le Web.
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pour la petite info: dans le Sud des USA au début des 70 la marijuana (Sativa) coûtait à peu près une centaine de dollars pour un paquet d'environ un demi-kg

Et voila, le récapitulatif préliminaire à la matière principale est terminé. Après il s'agira de l'optique maçonnique sur les relations France - Centrafrique au temps de Bokassa.
 
Dernière édition:
J-B Bokassa s'engage sous le drapeau français de la coloniale en 1939... La tournure mondiale des évènements l'amène au grade de sergent des Forces Françaises Libres pour prendre part activement au conflit sur le sol français jusqu'à la fin...

Plus tard il reste dans la sphère militaire à divers alois, tel l'Indochine, etc... Des décorations distinguent sa carrière militaire française. J-B Bokassa quitte l'armée avec le grade de capitaine. Mais après, son ascension persiste sur les échelons de classe (colonel, chef d'état-major...) dans son propre pays nouvellement dégagé du statut de colonie (la République Centrafricaine date de 1960).

A la suite de quelques turbulences politiques:
* Jean-Bedel Bokassa devient président de Centrafrique un soir de 31 décembre (1965)
* s'auto-proclame président à vie en 1972
* Bokassa s'arroge le titre d'Empereur de Centrafrique en décembre 1976

Fin de l'empire le 21 septembre 1979


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Une biographie pointue de J-B Bokassa attirerait l'attention sur la francophilie du personnage ayant avalisé l'usage du français en Centrafrique. Sa progression dans l'historia est en phase avec l'esprit de Chauvin, grognard des armées du 1er Empire Français. Pour un Africain, sa crédibilité se place hors de portée du moindre doute quand il se sacre empereur lui-même !!! L'esprit de jeunesse engagé et formé par la garnison des trompe-la-mort se veut tjs en quête du gros coup. Il l'a fait. Devenir empereur: le rêve du fantassin...

Les années 60 égrènent une suite d'accords entre la Centrafrique et la France:
- pour la Défense dans le cadre d'une géostratégie commune en Afrique et partout, les matières 1ères et produits stratégiques (on pense à l'uranium),
- coopération culturelle
- coopération en matière de justice
- protocole domanial (les présences françaises peuvent garder leur immobilier en Centrafrique)
- assistance militaire
- Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre
- radiodiffusion
- enseignement supérieur (langue française)
- transport aérien (accord du 18mai 63)

Il y en a encore mais c'est le point du transport aérien qui touche la Lyre Romantique Fanatique Extrémiste.

je vois le rush !!
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Si il y a eu des sympathies à divers niveaux d'obédiences entre la France et la Centrafrique, ceci se déclinait vers les hommes d'affaire, les citoyens, les initiatives non officielles en expectative de l'opportunité. Quand les affaires marchent on est plus tolérant sur nombre de questions... Les petits trafics...

optimisme dans un accord officiel !!
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Et parfois les plus gros comme le commerce de marijuana Sativa communément dénommée "bangui" par les dealers et les consommateurs en France, Belgique, Pays-Bas, etc... Oui, oui, oui
"hey psssstt!! du bangui?"

mmh...
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une ligne quasi directe de Bangui pour le bangui ! youpie !!
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passages de l'accord récupéré sur www.diplomatie.gouv.fr

En conclusion:
[*]La France, in extremis, s'est obtenue une place au rang des décideurs mondiaux (grâce à de Gaulle)
[*]La France a fini par avoir la bombe nucléaire dans la foulée directe des géants de l'historia.
[*]La France suit dans le peloton des pionniers pour la course à l'espace
[*]Avec le support d'un pays ami, la France a eu son herbe Sativa en Europe, à l'image d'une grande civilisation qui en a vu d'autres...


nota: Bokassa a eu 18 femmes officielles et 40 enfants déclarés... Au pays de la Sativa ! Normal. D'autre part les aléas de cet état et de ses citoyens s'identifient apparemment à l'alternance de tempérament concrétisée par la Sativa sur le chef d'état.




"il ne faut jamais dire jamais..."
 
Dernière édition:
La paresse et l'audace, ces valeurs difficilement évaluables sur la même échelle du jugement, ont pourtant un dénominateur commun tel que le "je-m'en-foutisme" partisan, cet ingrédient de la témérité. Il s'agit d'une indifférence vis-à-vis de soi-même pour oser. Encore dans la foulée d'une déflagration mondiale: la jeunesse ne se préserve pas. Elle est alors moins précieuse vis à vis d'elle-même...

On ne veut plus jamais ça. Mais ce n'est pas une raison pour changer le passé.

Frijid Pink. House Of The Rising Sun
 
Dernière édition:
On ne veut plus jamais ça lol ! (j'y ai vu un combo de sarcasme et de cynisme)


Finit les pensées révolutionnaires,
Finit les idées anarchistes,
Non à l'expérimentation et oui à la norme.

Nous voulons être libre de ne pas choisir,
Précieux de se conformer dans la neutralité,
Ça vaut toujours mieux que la passivité ou la réactivité.

Il y en a qui disaient no future,
Maintenant on croit que le bonheur existera.
Douce illusion d'un idéal juvénile,
L'audace a laissé place à la peur, la paresse reste éternelle.
 
Dernière édition par un modérateur:
quand "faire la route" était attractif, les routards avaient une présence aux points de rencontre...

de mémo ce disque a eu sa place au chart radiophonique pck il faisait la circonstance du quotidien. Mtnnt on peut tjs aller fouiller dans les chiffres pour voir ce que je dis... et pouët !!!

La 4me saison
Black Swan - Echoes and rainbows '71.avi
 
Dernière édition:
Bethlehem steele c'est une industrie du métal au USA: ça veut dire metal rock en def.

Bethlehem Steele. Hold on to Your Mind

Estes Brothers. Tomorrow's Sunlight
 
Dernière édition:
Laura Zerty a dit:
On ne veut plus jamais ça lol ! (j'y ai vu un combo de sarcasme et de cynisme)


Finit les pensées révolutionnaires,
Finit les idées anarchistes,
Non à l'expérimentation et oui à la norme.

Nous voulons être libre de ne pas choisir,
Précieux de se conformer dans la neutralité,
Ça vaut toujours mieux que la passivité ou la réactivité.

Il y en a qui disaient no future,
Maintenant on croit que le bonheur existera.
Douce illusion d'un idéal juvénile,
L'audace a laissé place à la peur, la paresse reste éternelle.

On a fait de vous des héritiers de certains reliquats du fascisme pour résoudre l'épisode des 70 décadentes, parfois pouilleuses et lâches.

Le grand roque (comme aux échecs) s'est opéré à la fin de Franco quand l'Espagne (le Portugal, et puis tout le clan géostratégique latino des dictatures de droite en fait... ) a négocié la liberté avec la démocratie pour se garantir contre un conflit nucléaire mondial.

L'Europe de l'Ouest tenait compte des Pyrénées comme mur infranchissable des mentalités , un mur naturel entre deux structures d'évolutions politiques distinctes. A la frontière séparant deux humanités, on passait la check line en défilant devant des gendarmes armés de matraques XXL et leurs auxiliaires canins (des bergers allemands) dressés pour réagir au moindre signe. Bref, avec le fantôme de Franco en background on pressentait en 1976 que la "transition démocratique" dessinait une silhouette unique pour l'Europe naturelle et celle politique. Déjà, du jour au lendemain on planta un nouveau décor socio-politique qui renvoyait un écho direct depuis le détroit de Gibraltar jusqu'à la Scandinavie... Alors que justement ce genre de révolution ne peut pas se faire du jour au lendemain.

Comme exemple d'accord résultant de la diplomatie: les billets de train BIGE pour jeunes ayant désormais accès à l'Espagne malgré les différences de largeurs des charrois ferroviaires (la largeur des voies). En 1976 on pouvait aller jusqu'au Maroc avec le même ticket permettant des étapes à l'envi sur le parcours !! Le bref rush au kif marqua la fin d'une époque tolérante comme si les restrictions remontaient au Nord par le même moyen ferroviaire.


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Pour la collaboration européenne, les édiles de l'Ouest ont choisi le Sud plutôt que l'Est afin ne pas sombrer dans l'anéantissement. La démocratie occidentale a choisi un des deux autres systèmes pour l'alliance et éviter l'invasion par celui restant. On a donc adopté ici des traits de procédé inspiré du fascisme en échange de l’aplanissement des frontières. Ce sont les 2 composantes du grand roque sur l'échiquier géopolitique européen.

On a adopté en Espagne une forme de démocratie tronquée, un camouflage en fait. En Europe (le noyau des 6 premiers) on a fait un nettoyage rapide sans aucune formule de procès... à la mode expéditive fasciste. Plein de gens non conformes à la nouvelle société ont dû quitter le monde. Des faibles, ceux étiquetés "pédés", et encore des gens trop affranchis dans leur mode de vie, aussi des drogués, des gens qui plaçaient certaines mœurs en d'autres normes, etc...

Klke indices dans le monde de tout ça existe dans les archives comme faits divers (cette île avec plein de suicidés par exemple, des spécimens caractéristiques amenés plus vite en fin de vie dans les hostos, des endroits abolis, rasés sur leurs bases comme la fac de Vincennes, ...).

La musique actuelle des teufs se comprend pour une part avec les technologies digitales qui prennent le relais dans la création artistique mais pour l'autre part il s'agit vraiment d'une obédience étrangère qui s'en mêle. Elle se croit forte, exemplaire, la meilleure pour dominer les autres formes de pensée. La culture prospective en cours chez nous est mixée à une tendance qui n'est pas celle du patrimoine original. Il y a une faction culturelle orientée vers l'allégeance. On aime faire rentrer l'humanité au bercail. Il y a une tendance de musique-multi-klaxon de certaines teufs (est ce que c'est ça du hard house??) qui a un but social tacticien vers le rétrograde. C'est au détriment des bonnes teuf quand cet orphéon à klaxons veut s'imposer comme tête de proue du mode de pensée actuelle. Il y a une intention psychologique préméditée visant à faire muter les droits humains. Cela ressort d'une initiative ennemie de la Liberté... Cela s'entend dans cette musique sommaire faite pour forcer les esprits au manque de scrupules comme force de suprématie.

Un des autres reliquats de fascisme c'est lorsque tu dis que aujourd'hui on ne veut pas s'engager à choisir afin d'aplanir la polémique des tendances. Je l'ai remarqué quand l'effet de ce genre d'esprit résulte à se faire un selfie devant un incendie ou un accident. S'engager au nom d'un tiers est un acte gratuit désormais sans justification. On prend son pied avec la fatalité et la ségrégation des innocents qui sont victimes par leur croyance en l'amitié. Il n'y a pas de solidarité ni de camaraderie ni d'amitié complice ou partisane, celle qui faisait la valeur des rapports sociaux avant... Aujourd'hui c'est devenu trop humain, donc méprisable. Bref, tout ça ce sont des mentalités étrangères invasives qui ont pris le relais depuis les ans 80. Les 70 ne sont pas à regretter (mais elles me fascinent comme un poison de 1ère). L'homme des 70, cet être évolué à l'intelligence malade s'est nié lui-même pour mettre fin à son ravage. Comme si il avait changé son cerveau contre un autre en perdant ses expériences et ses idéaux.


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Dernière édition:
klk'un a dit: "il n'y a que la vérité qui est révolutionnaire".

Pour révéler la vérité il faut mettre au clair le déroulement des évènements depuis la création de l'ONU

Pour savoir comment on fait croire aux gens qu'ils inventent eux-mêmes les nouvelles tendances alors qu'elles sont étudiées, préméditées d'avance par des créateurs en stratégie psychologique sociale étant en symbiose avec les sphères des grands états majors, et tout ce qui fait le G7 ou 8... Ce sont en ces instances que on développe les éléments de repère en lesquels se reconnaissent les habitués d'une tendance soi-disant spéciale, originale ou d'avant-garde de la sphère "people"... Des sons digitaux, des façons de faire pour acter en une orientation d'insipidité.

Tout cela est l'objet d'une étude approfondie par ceux qui donnent expressément une image effacée de eux-mêmes pour détourner l'attention. Ils s'évertuent à paraître lourdement ennuyeux comme un champ répulsif alors qu'ils décident de la paix et des guerres, de ton sarouel, de la façon dont tu te trémousses devant le son, des limites de ton désordre et de quoi il sera fait, ainsi que tes habitudes... Cela ne me dérange pas que on soit une vraie mère pour moi mais pas pour m'étouffer avec mes possibilités. Pas pour me contrôler comme on fait dans les dictatures. Nos structures dirigeantes comme le peuple sont mal influencés par une pègre qui déborde de ses limites quand elle fait croire que le statut de la liberté s'acquiert par le courage et la force, seules valeurs garantes de la paix, alors qu'il ne s'agit que de mensonge et de désacralisation génocidaire marchandés dans le cadre des alliances actuelles.

Si on fait des choses pour mon bien ce n'est pas dans mon dos que ça se passe... Jamais. Ceux qui le croient se font pigeonner. Il y a une entourloupe.

la conscience
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Dernière édition:
Les années 50 et 60 se caractérisent par un désengagement progressif des métropoles européennes des colonies. Dans certains pays d'Afrique les colons, leurs descendants, ne se sont pas tjs résolus au sevrage des privilèges dévolus à la sphère humaine prédestinée des blancs. Plusieurs pays du sud de l'Afrique ont été concernés.

Le diagnostic des guerres de cette région produisait le même syndrome que les évènements du sud-est asiatique (Vietnam). C'était la même affaire internationale... Et l'intensité de cet embrasement dans le monde devait aboutir, selon un sens commun, à une guerre nucléaire mondiale (mi-70s).

Celle-ci n'eut pas lieu.

A la place, l'alternative fut donnée à la réaction politique et idéologique par un dénis envers le mode de vie civilisé mais gâté comme le fruit trop mûr. De droite ou de gauche, les instances s'accordèrent bien pour mettre en mire un mode vie sans contrainte mais pourtant alphabétisé, issu de la société dite civilisée et industrielle dans le monde. La décadence, ce débordement de l'évolution humaine désormais sujet à correction, a suffi comme prétexte pour détourner les prétentions bellicistes tendant à une 3me guerre mondiale.

Ce fut le fait d'une connivence au niveau des grands états majors.

Aussi, au civil, une sorte d'uniformisation des vues de différents partis politiques vis à vis de la marge tendit à aplanir le topo des tenants sociaux. Un tel "système D" politique à tendance populiste procurant une sorte de bonne conscience en l'utilité d'initiatives louables par les différents pôles concurrents.

En réalité et en damnant ses junkies lors de la grande réaction des années 70, la civilisation a signifié un holà parfois interprété comme habilitation à exercer la terreur.

Une déclinaison occidentale révolue: les colonies.

la politique d'établissement des colons avait cours au temps des "Blancs"
propagande ancienne britannique.
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le drapeau référencé à l'Albion ramené pour la dernière x avant l'indépendance
geste ultime accompli dans plusieurs colonies...
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les traces du colonialisme
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La Rhodésie était de niveau quasi officiel pour les évènements internationaux diplomatiques, sportifs, culturels... Les Blancs avaient tout en abondance pour leur représentation dans le monde ainsi que pour le développement de leur confort, leur niveau de vie et leurs privilèges dans le pays même. Si la diplomatie officielle se butait à l'éthique raciale, les richesses du sous-sol en métaux rares, indispensables pour les industries occidentales, était un atout pour la Rhodésie blanche.
.
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mémo: j'ai encore cette vue du calicot officiel "Rhodesia" dans le défilé des délégations à la TV lors d'un évènement sportif important... mais avec klkes slogans de protestation criés dans la foule...

même après l'indépendance, la propagande irrésolue pour l'établissement des pionniers se poursuivit officieusement...
ici un journal londonien
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progressivement, les coloniaux d'Afrique s'estimaient abandonnés par leurs anciennes métropoles. La réaction se durcit.
on voit Ian Smith donnant l'exemple à la manière de ses convictions.
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vente libre pour les Blancs aux pays des colons
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il s'ensuivit une guerre, si non géographiquement mitoyenne, au moins idéologiquement assez fort contiguë à celle du Vietnam...
.
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iIs sont nés dans ce pays, ils ne veulent pas partir
chez eux la volonté c'est dans la tête et pas ailleurs
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ceux-là sont aussi nés dans la région. Ils veulent leur propre pays.
Des mouvements de libération naquirent
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équipement pour combattre les mouvements de libération dans le bush, la savane
.genre Mad Max
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garde frontière sud africain
mmh physionomie d'origine portugaise on dirait...
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Communistes russes comme conseillers des mouvements de libération en Afrique
.
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Commando de l'UNITAS
avec le chef à la canne qui a étoffé la chronique de presse
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mais pour ce qui est du thème développé sur le sujet présent, voici ou je voulais en venir. La mode philosophique commune à l'Occident est arrivée jusque en ses provinces exotiques. C'est ici comme dans le monde entier.
L'invective est en afrikaans et ça signifie "garde à vous" je crois...
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A la croisée des chemins des privilégiés, le réalisme s'impose comme une nouveauté... Désormais comme partout, dans tous les pays, en route vers le centre de sélection pour séparer la graine de l'ivraie...
c'était au temps du service militaire obligatoire dans beaucoup de pays
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Les femmes blanches au temps de la mode occidentale du Monde libre jusqu'en ses marches territoriales exotiques. C'est pour montrer que mon thème en ce topic évoque peut-être ici un rêve brisé mais pas un mythe !!
cette photo n'est pas inventée
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amicale_du_pc a dit:
Comme exemple d'accord résultant de la diplomatie: les billets de train BIGE pour jeunes ayant désormais accès à l'Espagne malgré les différences de largeurs des charrois ferroviaires (la largeur des voies).

C'était également le début de la carte interrail dont j'ai bien profité, ça changeait du stop, j'ai aussi fait bénéficier quelques amis brésiliens et mexicains de cette merveilleuse invention française qu'était le Corector grâce à quoi ils ont pu littéralement vivre dans le train pendant plusieurs mois tout en parcourant l'Europe gratuitement.

kit de corector
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amicale_du_pc a dit:
L'Occident sociologique pionnier tenait compte des Pyrénées comme mur des mentalités infranchissable, un mur naturel entre deux structures d'évolutions politiques distinctes. A la frontière séparant deux humanités, on passait la check line en défilant devant des gendarmes armés de matraques XXL et leurs auxiliaires canins dressés pour réagir au moindre signe.

La matraque et la paire de ciseaux on ne les brandissait que pour te faire peur et que tu te tiennes tranquille. A la prison d'Ibiza, le vieux gardien descendait le ravitaillement dans un panier en osier au bout d'une corde, les portes des cellules étaient ouvertes, c'était alors si surprenant (comme dans Midnight Express !), au milieu du patio des sacs de couchage étaient mis à sécher et des freaks prenaient le soleil, loin du garrot.[/CENTER]
 
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Voici une anecdote historique sur l'opium.

En 1917, en prémices à la 3me bataille de Gaza comme épisode du siège de Jérusalem, un stratège britannique (Meinertzhagen) adopta une méthode psychologique de bienfaiteur pour inciter les Ottomans assiégés à incliner leurs aspirations guerrières. L'officier Meinertzhagen fit charger des aéroplanes avec des tracts invitant les Ottomans à finir la guerre. Comme argument déterminant, les tracts s'accompagnaient de cigarettes mixées à l'opium. Meinertzhagen avait visé juste!! La fatalité de l'opium s'identifiant si fort à l'esprit de l'Orient, les Turcs s'abandonnèrent en des promesses de félicité produites par la consommation des cigarettes, pour le moins, spéciales. C'est ainsi que les Britanniques investirent la place sans bataille. En fait de résistance ils trouvèrent une garnison stoned abandonnée aux rêves les plus sublimes...

avec de l'opium disponible partout, les Britanniques trouvaient l'ingrédient de la ruse.
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9 décembre 1917... Les Ottomans de Jérusalem se rendent aux Britanniques...
Sur la photo, une auto avec des officiers ottomans pour la reddition
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Ce fut l'épisode final de la Campagne de Palestine par le biais de l'opium.
 
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klkes rares "bonnes" photos quand même... Enfin des images qui rendent cash des scènes de rue non retouchées, sans inflexion de morale.

J'ai chipé ces photos sur le Web chez klkun sans demander pck c'est comme si je retrouve mes potes même si il s'agit de la Californie. Moi c'est en Europe.

(des frères jumeaux ..!?)
Le papier photo chiffonné appose une accentuation subjective au sujet il faut dire...

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des artisans. En français on les surnomme "tchouktchouks"
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Ils viennent visiter San Francisco et ont opté pour l'étape "on the go"
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encore des touristes de l'été comme ci-dessus.
On peut aller à l’hôtel mais on n'est pas obligé.
Même à Berkeley quand on dort la violence n'existe pas...

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un "clochard céleste"... pas comme avec les grandes références tronquées
de la vitrine de la culture occidentale

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quand il sera redescendu on lui coupera les cheveux.
C'est la condition sine quoi non pour se caser chez les Hare Krishna
et bénéficier de la soupe quotidienne. (A Paris aussi... et même à Bruxelles)

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hé oui. Faut se couper les tifs. On tourne la page à contrecœur parfois mais quand c'est time c'est time
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