La lyre du romantisme fanatique extrémiste

[Lee-O]

@Revenant, alors là, mon bon camarade baby boomer, nous retrouver entre passionnés à vie de notre même premier ordinateur, 35 ans plus tard, sur le grand "21st Century-"forum néo-psy français, ba ba ba, ça rapproche encore plus !

Le mien est au grenier et il fonctionne toujours (à peu près) fidèlement, au bout de 34 ans -- classe ! :

Mon Apple //e de 1983, avec bouquins techniques et quelques jeux.
À noter la boîte de disquettes souples 5"1/4 160 Ko à gauche et les deux lecteurs sous l'écran.

Patron, sorry, 773 px de large, j'ai jugé que ça le méritait et je sollicite ton indulgence
note d'Amicale: je suis intervenu pour modifier les dimensions​

@Dreamea, c'est méritoire de venir ici te cultiver parmi "les anciens", respecte et assimile, ;> Ce que tu vois là, c'est le premier micro-ordinateur pour tout le monde, créé en 1977 par 2 Californiens, Steve Wozniak et Steve Jobs, fondus de bricolages de cartes électroniques (visant à en faire quelque chose d'utile, of course) à base des différents "circuits intégrés" qui venaient d'être mis au point par des constructeurs pionniers tels "Fairchild Semiconductors" et ouvraient grand le champ de l'informatique.

À l'époque, le tout nouveau "Apple Computers" avaient pour concurrents dans ce nouveau domaine de l'informatique personnelle les boîtes "Tandy Radio Shack", qui proposaient le "TRS-80", et "Commodore", qui proposait le PET (non, rien à voir directement avec la beuh). Mais c'est Apple qui débute là une trajectoire impressionnante depuis 40 ans, jusqu'à devenir, aujourd'hui, la plus grosse "capitalisation boursière" au monde. Les soi-disant concurrents, c'était peanuts.

D'un autre côté, il y a cette période marquante du début, avec cet Apple ][ et ses évolutions (celui-ci, le //e, de 1983, c'est le plus abouti de la série), et la suite ; et l'esprit de ces 2 époques est bien distinct, ces deux esprits correspondant aux personnalités au départ complémentaires mais bien différentes des 2 fondateurs.

L'Apple II, c'est la création de Steve Wozniak, le passionné d'électronique, le petit génie du "Homebrew Computer Club". Il en fait d'abord un prototype non commercialisé en 1976, l'Apple I, sans chichis, juste pour montrer aux potes fondus d'électronique-informatique au Club. Et puis il bosse comme un malade pendant des mois pour en faire une machine commercialisable, "fouetté" par Jobs, qui est le visionnaire "commercial" (et conceptuel, soyons justes) de l'entreprise. C'est assez prodigieux, la façon dont Wozniak crée ou adapte tout ce dont il a besoin, et écrit en langage d'assemblage du microprocesseur Motorola 6502 tout le système d'exploitation.

Les bouquins "Beneath Apple DOS" (description du "Disk Operating System" dans tous ses détails profonds) et "What's where in the APPLE" (catalogue de tous les sous-programmes système de Wozniak et de leurs "points d'entrée", qui peuvent être exploités par un programme utilisateur), sur ma photo, rendent compte de l'engouement des "hackers" de l'époque que nous étions pour vraiment "mettre les mains dans le moteur".

Ça me fait penser à une analogie : sur ma première caisse achetée d'occase, une fourgonnette Renault 4L (aménagée à l'arrière pour y dormir, etc. ), tout était simple, on pouvait sans beaucoup de difficulté et aidé par la "Revue Technique Automobile" du modèle, faire presque toute la mécanique courante soi-même et pour vraiment pas cher. Sur l'Apple II, même esprit. À comparer avec les caisses et les ordis d'aujourd'hui : non seulement c'est beaucoup moins accessible à l'utilisateur tellement c'est devenu sophistiqué, mais en plus -- pour un gros effet de ciseaux -- le niveau de culture et de curiosité techniques a chuté grave !

Bref, Wozniak, c'était l'authentique, esprit de partage de tout, esprit gratuit. Après que l'Apple II a fait la première fortune d'Apple, c'est Jobs qui a dominé, pris la barre (Wozniak n'en voulait pas), et c'est devenu beaucoup moins "for the rest of us", beaucoup plus élitiste, avec dégradation croissante de l'esprit, jusqu'à arriver aujourd'hui à une énorme boîte faisant tout dans l'urgence, qui traite ses utilisateurs et clients comme des vaches à lait en tout cynisme, et dont le but essentiel est de ramasser le plus d'oseille possible sans conscience. (Grrr...)

D'un autre côté, on peut se dire aussi que si l'esprit de Wozniak avait prévalu, ça serait resté artisanal, local, entre potes, sans cette manière d'universalisation impulsée par l'obsession de Jobs de "réussir" (et gros de chez gros, puisqu'il avait été abandonné par ses parents tout bébé -- genre le mec qui en a très gros sur la patate !)

oOo​

@amicale_du_pc (t'aurais pas un prénom, pour les potes, ça fait bizarre de t'appeler comme ça ! -- moi, c'est Lionel), c'est évidemment très stimulant, tous tes visuels d'époque ! c'est issu de ta collection perso énorme, ou c'est butiné sur le Web, en majorité ?

Il y a de chouettes pièces dans mes archives à moi, mais j'en ai sans doute beaucoup moins. Quelques pièces classiques mais sympathiques :

Un des numéros des "Freak Brothers", par Gilbert Shelton

La 4 de couv' hilarante avant/après
pour Fat Freddy, Phineas, et Freewheelin' Franklin

Le n°1 de Zap Comix, auto-édité par le génial Robert Crumb,
avec un de ses personnages, "Mr. Natural" en couverture

La 4 de couv' sur le même modèle avant/après
(tristement straight -> joyeusement dépravé) que Shelton

Quatre ans à peine après Hector, Edouard ridiculise déjà ce genre de démarche !

Verso avec les 4 titres - J'ai même pas voulu réécouter

​

Bon, et puis vu où nous sommes, un grand classique des visuels d'époque, piqué chez Shelton pour faire la couv' de ce numéro 20 de Mai 1972 d'Actuel :

"Vas-y, vas-y, Actuel, dis-nous tout là-dessus !"

oOo
​

C'est fou comme tes musiques d'époque YouTube sonnent vraiment d'époque. Est-ce que c'est le vécu subjectif d'un baby boomer qui fait que même pour des dizaines de "suivistes" sans grande créativité propre, ça sonne encore bien plus agréable que les suivistes des musiques d'aujourd'hui, ou est-ce que ça a une bonne part d'objectivité (ou de subjectivité consensuelle, on va dire) ?

Tu peux me passer ler code pour faire afficher un player YouTube directement en ligne, please ? J'ai un truc du tonnerre à faire écouter.

Bon, voilà, j'ai fait ce que je m'étais dit en me levant que je ne ferais pas : "Bon, Lionel, aujourd'hui, tu vas chercher du boulot, c'est urgent, donc tu ne contribues dans aucun forum, hein ?!" ! Chassez le naturel, il revient au galop ! Chuis tombé dedans il y a des décennies et je viens de prendre 1h30 pour contribuer "à hauteur", camarade(s) !


[PS : Fais gaffe, t'as liké un robot (Thymotylem) venu te proposer d'améliorer tes talents de rédacteur grâce à son produit ou service ! ]

 

[Revenant]

Fais gaffe, t'as liké un robot

HA ! HA ! HA ! HA ! HA !

@Dreamea

Le Parapluie était un de ces journaux de la presse "parallèle" qui existaient au début des 70's et traitaient des thèmes de la "contre-culture": la musique, les drogues et tout le reste. Souvent ils n'étaient accessibles que par correspondance, j'en recevais beaucoup. Je rêve encore parfois que ma boîte-à-lettres en est pleine, qu'ils s'y sont accumulés depuis plus de 40 ans.

@Revenant je reprends les principaux pavés que on reçoit trop en pleine poire. C'est le #67 le #117 Le #84 ptn il va d'un mur à l'autre de ma chambre et le #149 bon on sait que c'est une mention spéciale mais quand même tu y vas plein pot même si je te respecte et que je respecte ton chemin...
Comment on peut faire pour arranger tout ça?

Désolé je n'y ai plus accès, et si j'avais le pouvoir de rectifier le passé j'aurais d'autres priorités. Il faut demander à un administrateur de supprimer ces messages, à condition que la refonte du forum lui en laisse le temps...

@Lee-O

On s'est peut-être croisé à la 1ère Apple-Expo, j'étais à la conférence de Wozniak. Il a tout claqué pour organiser son festival, il espérait refaire Woodstock.

 

[Lee-O]

@amicale_du_PC et @Revenant

Ha ha, vous êtes marrants, tous les deux :

Extrait de contrib' #149 de chez Amicale
(Chuis pas sûr que j'avais déjà vu un nom d'utilisateur barré )

​

Cher "taulier" du sujet, je te trouve un poil trop perfectionniste sur les tailles des images, d'autant qu'on a tous tendance à avoir des écrans à définition HD (moi, c'est même plus grand : 2560 x 1440, un superbe Iiyama de 27"), où il y a un max de place. J'ai été voir, et OK, aux #67 et #84, les images sont vraiment trop grosses, mais, mais, mais...

...en #61 (de toi), je vois pas une, pas 2, pas 3, mais 6 (six) personnes en train de s'immoler par le feu, et franchement, ça m'agresse DIX fois plus qu'une image de 1500 x 1000 n'ayant rien de l'horrible que ces six-là véhiculent. Je trouve que ça relativise tes griefs contre le vétéran revenant. D'autant que c'est ton principal interlocuteur ici, j'ai eu l'impression.

@ Lee-O
On s'est peut-être croisé à la 1ère Apple-Expo, j'étais à la conférence de Wozniak. Il a tout claqué pour organiser son festival, il espérait refaire Woodstock.

Ba ba ba !
Écoute, c'est bien possible, puisque j'y étais aussi, en effet.
Mais pas complètement probable, parce que j'y étais sur un stand d'exposant, je ne me souviens pas d'avoir vu une conf' de Wozniak, et ça doit vouloir dire que j'étais pris par ces obligations. Je me souviens pas non plus du festival pop qu'il voulait organiser, mais ça résume bien le personnage, baba cool, dans tout ce qui est gratuit, n'en ayant pas grand chose à cirer du business.

Mais on n'était pas tant de milliers de visiteurs et participants que ça à la 1ère Apple Expo de 1984, et en plus, je ne saurais dire combien cumulaient passion de l'informatique et passion des substances psy, mais ça faisait encore moins, donc c'est mimi comme tout de nous retrouver ici, camarade !

 

[amicale_du_pc]

@amicale_du_PC et @Revenant

Ha ha, vous êtes marrants, tous les deux :

ppouffff moué... ah ah ah ah

bien, bien, bien, poursuivons le cours de notre réflexion...
Larzac 1973: il y a un dossier fait il y a longtemps et même avec le film "les raisins de la mort"

​

 

[amicale_du_pc]

@amicale_du_pc (t'aurais pas un prénom, pour les potes, ça fait bizarre de t'appeler comme ça ! -- moi, c'est Lionel), c'est évidemment très stimulant, tous tes visuels d'époque ! c'est issu de ta collection perso énorme, ou c'est butiné sur le Web, en majorité ?

cut cut cut ... gnagnagna...
et
C'est fou comme tes musiques d'époque YouTube sonnent vraiment d'époque. Est-ce que c'est le vécu subjectif d'un baby boomer qui fait que même pour des dizaines de "suivistes" sans grande créativité propre, ça sonne encore bien plus agréable que les suivistes des musiques d'aujourd'hui, ou est-ce que ça a une bonne part d'objectivité (ou de subjectivité consensuelle, on va dire) ?

appelle moi Prof Saturnus !!

presque toute la doc sur la Lyre provient évidemment du Web. C'est le résultat de recherches réalisées pour récupérer les miettes malgré la censure en application depuis la fin de la guerre du Vietnam.

la musique: elle est souvent associée au contexte du LSD. Il y a une vibration comme un panneau indicateur avec LSD écrit dessus qui pointe sur cette musique. A mon sens on n'exploite pas la fibre créatrice pendant un trip mais c'est après...

le suivant: lessivé ! mais pour le hobby voila quand même alors...

The Whether Bureau. White and Frosty

le suivant idem...

Mr. Elevator & The Brain Hotel. Right Where You Ought to Be

Tu peux me passer ler code pour faire afficher un player YouTube directement en ligne, please ? J'ai un truc du tonnerre à faire écouter.

[video=youtube]https://www.youtube.com/xxxxxxxxxxxx[/video]

[PS : Fais gaffe, t'as liké un robot (Thymotylem) venu te proposer d'améliorer tes talents de rédacteur grâce à son produit ou service ! ]

t'occupes!!!

@Revenant je reprends les principaux pavés que on reçoit trop en pleine poire. C'est le #67 le #117 Le #84 ptn il va d'un mur à l'autre de ma chambre et le #149 bon on sait que c'est une mention spéciale mais quand même tu y vas plein pot même si je te respecte et que je respecte ton chemin...
Comment on peut faire pour arranger tout ça?

Désolé je n'y ai plus accès, et si j'avais le pouvoir de rectifier le passé j'aurais d'autres priorités.... cut cut berdouille... etc...

merci quand même pour tout le reste...

 

[amicale_du_pc]

extrait de la rédaction "l'Après-guerre"

... L'authenticité du modus vivendi fasciste n'est jamais rendue dans les médias, les archives, la documentation, pas plus que ce qu'il y a eu après la Libération. On ne dira jamais tout parce qu'il y a censure. Pour faire ici une démonstration avec un échantillon de l'historia (lat), prenons les autodafés de Nuremberg en 1933. On cite les auteurs littéraires associés dans l'idéal nazi au matérialisme, à la décadence et à la corruption morale. On ne cite, dans le matériel documentaire mis à disposition du grand public, que les feux avec des livres dedans... Non. L'élan d'un peuple sur la voie de l'arbitraire allait plus loin.

En réfléchissant bien il ne s'agit pas que de "classiques" issus de la méthode, sur le thème de la psychologie, la politique ou de l'humanisme jetés aux flammes mais aussi de la pornographie, de tous les éléments d'un commerce opportuniste des Années Folles, d'œuvres imaginatives prospectives (par ex des BD de science fiction décadentes), de la recherche intellectuelle, de ce qui a trait à la culture dégénérée (le jazz)... Le tout mixé par les flammes et livré à la destruction dans le Reich entier, comme dans la future "Forteresse Europe" déjà collaboratrice, en une ambiance hystérique du fanatisme. Là on perçoit toute la dimension de l'historicité quand la facette de l'authenticité omise dans les enseignements de l'historia est soumise à censure.

les Années 30...​

2 femmes amies au Monocle à Paris en 1932.

ptn dans un an Hitler arrive au pouvoir !!

​

on se sent un peu bête de devoir traiter des photos à titre de censure...

Sur une des photos: la tire du dimanche pour les sept jours de la semaine.

le Actuel des années folles?

​

En régime totalitaire organisé, nul ne peut tancer pour son compte propre personnel mais au nom du parti, de la nation, de la patrie et il faut être commandité par elles, avoir un statut. Le Jazz c'est le contraire, c'est une musique de sauvages !!!

musique dégénérée

​

 

[Dreamea]

@amicale : je parlais du domaine de la comprehension pour repondre dans le meme domaine que tu avais amorcer. J'idealise l'art comme etant interpretatif a tous niveaux et connivent a beaucoup d'autres. La comprehension reste une idee vachement surfaite qui n'est en somme guere plus que la somme de la conscience et du raisonnement non ? @Lee-O : j'ai pas tout lu encore c'est une sacree source d'information a laquelle je n'ai pas toujours l'entiere partie de ma tete a deleguer. Je te suis gre de me trouver du merite, merite que j'assimile etrangement a la notion de respect qui dans une manie de reciprocite demeurera dans mon esprit toujours mutuel pour ne pas s'effacer. Je n'ais pas encore lu tout ton post et je ne suis pas encore a jour dans la lyre d'amicale que je suis de temps en temps, a distance respectable mais toujours respectueusement, si un aspect aurait échappe a ma curiosite alors que je le survolais je te prévient

 

[amicale_du_pc]

@amicale : je parlais du domaine de la comprehension pour repondre dans le meme domaine que tu avais amorcer. J'idealise l'art comme etant interpretatif a tous niveaux et connivent a beaucoup d'autres. La comprehension reste une idee vachement surfaite qui n'est en somme guere plus que la somme de la conscience et du raisonnement non ?

Parfois on aime un cognitivisme sans définitions attribuées aux nouveautés... Comme une exploration psychonaute profonde ou un voyage cosmique lointain... C'est une ressource brut de l'Art.

Parfois on veut aussi établir des certitudes, poser des repères, pouvoir émettre un jugement clair sur l'Art pour une valorisation réaliste.

Je trouve que un gentleman doit pouvoir développer une compréhension entière basée sur l'ensemble de ces deux attitudes de l'esprit pour prédisposer la conscience et le raisonnement à une certaine maturité.

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la synesthésie en recours lors des mauvaises phases...​

Une méthode d'initiés "très avertis"... La Lyre, avec ses textes, les photos, la musique, ses repères, comme support synesthésique pour les grandes amnésies de masse...

la muse amuse...

​

 

[amicale_du_pc]

K.O. c'est Knock Out !!

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O.K. c'est le contraire de K.O.

O.K. c'est... un symbole par transcription de l'oral "All Correct". C'est ce que on donne partout sur le Web comme explication... L'intuition donnerait plutôt "Opened Key" non?? Il n'y aura jamais de preuve bien arrêtée. Mais dans quel monde vivons-nous exactement...

Quand klkun est jugé OK il peut vaquer à son bizness. Autrement... ce sera KO ! Mickey ne peut plus être l'objet désigné du dénigrement propagandiste mais sera désormais le copain des enfants. Allez on enchaîne en vitesse sur le sujet du Plan Marshall... le chocolat, les 1ères bananes et les Lucky Strikes...

Le phénomène Mickey, d'accord, mais avec sa dimension historique... et pas que la version neuneu. L'idéal facho version années 30 caricaturait les opposants en des représentations débiles vecteurs du dédain. Ce procédé populiste apposait une vue de l'esprit sur la réalité des visages des camps de prisonniers par exemple... Aussi, les territoires du globe à prendre, ce vivier quasi inépuisable de la culture dégénérée.

une main à 4 doigts telle caricature dégénérée
pourtant elle s'imposera plus tard comme objet de sympathie

aujourd'hui, de quoi justifier une collection

les metits miquets !

ouaih !

pas pour les tristes sbires...

​

des anims et vidéos FB. Cliquer dessus.

https://www.facebook.com/video.php?v=10154783608364927

https://www.facebook.com/video.php?v=10155387410694927

https://www.facebook.com/video.php?v=1952706058284850

https://www.facebook.com/video.php?v=1954343574787765

 

[Revenant]

Prochaine étape : DONALD va sonner à ta porte.

 

[Lee-O]

@ Lee-O
Je te suis gre de me trouver du merite, merite que j'assimile etrangement a la notion de respect qui dans une manie de reciprocite demeurera dans mon esprit toujours mutuel pour ne pas s'effacer. Je n'ais pas encore lu tout ton post et je ne suis pas encore a jour dans la lyre d'amicale que je suis de temps en temps, a distance respectable mais toujours respectueusement, si un aspect aurait échappe a ma curiosite alors que je le survolais je te prévient

Super harmonieux et consciencieux, camarade, merci, on est dans le même esprit, et chuis là quand tu veux pour préciser quoi que ce soit s'il y a lieu !

oOo
​

Saturnus : ( ) ce qui compte c'est la sublimation du graphisme... le langage du délire... on comprend tout...
Dreamea : Pas sûr, amicale, tu vois, je crois comprendre mais ca me fait pas comprendre pour autant
Saturnus : Pour le reste qu'est ce qu'il y a à comprendre? Le délire? On sait qu'il peut être celui de l'amour, celui dangereux du criminel, violent, ou doux... Dans une certaine mesure il s'agirait assez bien ici d'un doux délire...
Dreamea : je parlais du domaine de la comprehension pour repondre dans le meme domaine que tu avais amorcer. J'idealise l'art comme etant interpretatif a tous niveaux et connivent a beaucoup d'autres. La comprehension reste une idee vachement surfaite qui n'est en somme guere plus que la somme de la conscience et du raisonnement non ?
Saturnus : Parfois on aime un cognitivisme sans définitions attribuées aux nouveautés... Comme une exploration psycho-nautique profonde ou un voyage cosmique lointain... C'est une ressource brut de l'Art.
Parfois on veut aussi établir des certitudes, poser des repères, pouvoir émettre un jugement clair sur l'Art pour une valorisation réaliste.
Je trouve que un gentleman doit pouvoir développer une compréhension entière basée sur l'ensemble de ces attitudes de l'esprit pour prédisposer la conscience et le raisonnement à une certaine maturité.

Je compile, parce que c'est un débat intéressant mais qui est plus dur à suivre quand il est un peu éparpillé sur plusieurs jours. En relisant, je trouve qu'il y a du juste dans chacune de vos propositions à chacun, que j'agrée. Mais il y a apparemment matière à débat et ça fait même des siècles que ça dure !

1) La plupart des grands philosophes modernes (Kant, Hegel, il me semble que Shopenhauer aussi, etc.) ont jugé que le Beau était une catégorie tout à fait distincte du Mental. Moi, ça fait un moment que je trouve que ça se discute. A minima, il y a obligatoirement l'intuition (c'est-à-dire l'intellection automatique, qui se passe du conscient qui rentre en jeu pour reconnaître quelque chose qui touche et avec quoi du vécu intérieur rentre en résonance ; c'est ce que tu veux dire par interprétatif et connivent, je pense, Dreamea.

À partir du moment où on admet ça, rien ne s'oppose à ce que l'acte d'entrée en résonance ne soit pas uniquement intuitif, mais conjuguant intuition et raisonnement. D'autant plus qu'on est là dans la réception et non dans la création.

2) J'ai de cette problématique une expérience particulière et forte : mes parents étaient de grands amateurs d'art, et ma mère une "pointure" comme on en rencontre assez rarement dans ce domaine : École du Louvre, conservatrice-adjointe de musée pendant un temps, professeur d'art, puis d'art du costume au Louvre... Wo !

Mon frère cadet et moi étions amenés à visiter, dans leur sillage, quantité de musées, d'églises et autres lieux culturels. Moi, j'étais très curieux de tout ça, je posais plein de questions, et ma mère avait toujours une réponse éclairante ! De l'analytique, bien sûr. Ça pouvait être pour me situer l'oeuvre dans l'histoire de l'art (Ex : "Tu vois, mon chéri, on en était arrivé à l'épuisement des représentations classiques, la photographie était là pour reproduire le réel, alors les peintres ont commencé à puiser dans leur ressenti intérieur pour représenter les choses non plus au mieux comme elles étaient, mais dans les "impressions" singulières qu'elles leur faisaient" ).

Ou bien pour décrire les formes peintes et pourquoi elles étaient susceptibles de nous toucher (lignes de perspectives, traits cohérents, géométrie, cadre, etc.).

3) Évidemment que j'aime bien ta conclusion provisoire, Saturnus (le dieu bougon qui est retiré sous les mers, c'est ça ? ), je suis sur le même principe "du gentleman" -- j'appelle plutôt ça "Honnête homme du 21e siècle" --, et j'ai bien envoyé dans ce sens dans ma dernière contrib sur le sujet "Afterglow, Pleine conscience et Masturbation intellectuelle" avant-hier soir.

Mais j'objecte un peu que tu cantonnes l'intérêt de la compréhension, de l'intellection face à l'Art à la seule nécessité d'une "valorisation réaliste". Et là, quant à moi, j'essaye de faire valoir au mieux à Dreamea que le volet "compréhension" n'est pas "surfait". Si l'on me "comprend" ci-dessus, il permet une pédagogie de l'inscription de l'oeuvre dans l'histoire de son art ET de manier avec le conscient les éléments psychologiques ou graphiques qui participent à nous faire entrer en résonance avec l'oeuvre, pour être mieux éclairé sur ce qui s'y joue.

oOo
​

Merci pour le code d'insertion YouTube, camarade. Tu es un tel explorateur de la Toile qu'il y a des chances que tu connaisses déjà ce que j'avais envie de poser ici, mais peut-être pas.

C'est un ami californien qui m'a passé ça vers 1995-1996. Pour quiconque a vibré intensément à la musique d'Hendrix (et on est un paquet !), il me semble, ça se présente immédiatement à l'oreille comme une géniale re-présentation très fidèle à l'esprit de Jimi. Le promoteur du projet, Du Kane, n'aurait pu le mener à bien sans le concours et les encouragements du "curateur" de l'oeuvre et producteur posthume, Alan Douglas -- qui lui a filé les enregistrements originaux isolant chaque prise voix, guitare, etc. dont il a remarquablement samplé des extraits --, et de la famille de Jimi.

Certains déplorent que Du Kane n'en ait pas gagné plus de reconnaissance ; j'ai pu me dire moi-même, au fil des 20 ans écoulés où je réécoute ça régulièrement, "Roh, c'est pas juste que le mec n'ait pas été mieux gratifié pour cette oeuvre dérivéez remarquable". En fait, maintenant, je comprends que c'est un gage supplémentaire de la gratuité au sens fort ("grâce") du mec, comme l'est le fait qu'il n'ait pas du tout mis son nom en avant sur le disque, qu'il ait été totalement fidèle à l'esprit 60s en se coulant dans un collectif s'affichant comme les "Beautiful People". C'est fort !

[video=youtube]

Je viens de trouver récemment cette proposition YT de l'album, et elle est extra, parce qu'il y a tous les détails, pour chaque chanson, en commentaire du clip.
Mes titres préférés, ceux que je me passe tout le temps quand j'y reviens, ce sont :

01 - "Comin' to get you" - 00'00"
Extra pour rentrer dans le truc, "just right" ! On est encore au début du sampling tous azimuts, et tout de suite, on peut apprécier le soin, l'esprit et la musicalité avec laquelle ça a été réalisé. L'oeuvre dérivée pousse à son extrême logique l'attrait fort de Jimi pour les lignes "pulsatives" qui s'installent dans ton corps, dans une tonalité très funky génératrice de joie physique. Bien sûr, on est tellement là dans le principe des boucles pulsationnelles qu'on peut se dire par moments à l'écoute, "Bon, celle-là, c'est peut-être un peu exagéré de la faire tourner 5 minutes sans grand changement", mais pffff... arrête de te plaindre, jouis !

03 - "If 60s was 90s" - 10'16"
C'est aussi le titre de l'album, qui est réjouissant de "reprise de balle au bond" juste, puisqu'il calque un titre fort de Jimi, "If 6 was 9", en sautant sur l'occasion d'exploiter l'écart de 3 décennies et le numéral de ces décennies. En plus, dans ce titre, Jimi parle d'inversion généralisée, du "6" qui "marche sur la tête" et devient "9", et de tout ce qui est susceptible de s'inverser ("If the Sun... refused to shine"), pour en appeler à la paix intérieure quoi qu'il arrive ("...I don't mind, I don't mind"). Et enfin, donc, clin d'oeil un peu grinçant de la réalité : à partir des années 90, les inversions sociétales de tous ordres s'amplifient, les utopies des 60s sont de plus en plus démenties, et il est plus coton d'être dans la paix intérieure face à tout ça. ;->

05 - "Rilly Groovy" - 19'43"
Oh punaise, comment il est "groovy", çui-là, ça pulse !! Les phrases parlées emblématiques de Jimi sont ici plus nombreuses et nous le rendent étonnamment présent dans sa grandeur simple et sympathique de grand écartelé entre la timidité candide de sa personne et la mise en scène puissante de son message musical.

07 - "Sock it to me" - 29'36"
Ce que j'adore, dans celui-ci, c'est le sample répété tout au long de sa phrase "Sock it to me... one more time!", extraite d'un grand titre, "Foxy Lady", que j'ai joué et chanté des centaines de fois, et la petite magie, c'est que Du Kane a pu prélever juste la phrase sans la musique autour, pour la composer avec une nouvelle composition.

09 - "The Sea... eventually" - 39'08"
Mmmm... Ce titre utilise les principaux riffs, paroles et ambiances de l'album posthume "The Cry of Love", qui nous avait beaucoup impressionné, mes potes de l'époque et moi, parce qu'on entendait bien que sa musique se complexifiait, évoluait vers du beaucoup plus composé sans rien trahir. Et, bien malheureusement, il n'allait plus pouvoir évoluer après ça.

C'est là encore très harmonieux que ce soit ce titre qui referme ce prodigieux hommage à Hendrix qu'est "If the 60s were the 90s"

ENJOY !

 

[amicale_du_pc]

Lee-O j'ai écouté jusqu'à la fin donc pour moi ça passe.

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Lors des années 20 les techniques, les métiers, l'Art se développent. Les maisons de maître et les demeures bourgeoises aux architectures de palais, avec du marbre, des vitraux, des mosaïques murales Art Nouveau, allégoriques, font étalage et exposent spontanément le meilleur de la civilisation. Lors des années 30, les boulevards et les belles avenues sont comme un décor avec les façades cossues mais pleines de fantaisie, les audaces architecturales...

Sur ces épreuves académiques professionnelles en préface d'un catalogue de décoration et papiers peints des années 20, les corporations et les métiers en un temps de Renaissance annoncée par le hobereau à cheval symbolisent le travail, les activités florissantes...

et aussi c'était déjà bien fun et plein de malice.

​

Les 2 illustrations au thème des corporations sont de valeur exemplaire. Oui mais elles sont égocentriques dans leur message... C'est ce qui fera le défaut majeur malgré la qualité. En outre le message manque de prévision. Ces illustrations sont une célébration narcissique de l'Occident (années 20), qui se reflète en une complaisance vis à vis de lui-même, pour lui et à son avantage. Etant privé de ce "biotope" civilisé originel, j'exploite le psychédélisme pour m'y retrouver.

le damoiseau blond !!

​

C'est une histoire qui a été trop loin... Par exemple sur le même schéma d'idées, que deviendra avec le fascisme le salut hiératique de la Grèce classique?

Le salut de l'Olympe ! Le salut de la civilisation première ! La nôtre !

​

Le narcissisme a donné sa pleine mesure. La civilisation a manqué de prévision en cédant le pas à la mégalomanie politique et militaire.

le Reichstag en 1945

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en conclusion

La culture psychédélique c'est klkchose de populaire... Elle n'est pas limitée à une identité comme l'étaient pourtant les attributs de la civilisation. La culture psychédélique est compatible pour l'entièreté du globe... C'est actuel.

Le psychédélique mal compris, mal interprété, doit rester sur sa réserve au lieu d'influencer le présent par le relais de maîtres talentueux en diverses spécialités (hormis la drogue de préférence).

 

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Group 1850. Friday I'm Free

 

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Prochaine étape : DONALD va sonner à ta porte.

edit: je lui dirai: -"peace and love man !"

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la commune mesure d'une expression de l'été: le peuple des fleurs et des soleils...

ô peuple du labeur, ô peuple de la route aux heures denses... peuple des chaumières sous la quiétude des aurores, ô peuple des songes, peuple des flots et frères de la côte par la remue des beaux jours, peuples des nues, du ciel et de la terre... ô peuple du réseau, aux 1000 visages orientés au jour artificiel de ton écran informatique...
Lis ce témoignage:

C'était encore à l'été des fleurs... Pour rien au monde le petit groupe de 3 ou 4 potes ne voulait laisser passer la journée du 14 juillet sans faire acte de présence aux abords du défilé. Cet évènement les concernait au 1er chef, puisqu'ils étaient des vétérans de la guerre mondiale. Je crois fort que l'un d'eux avait acquis un statut de major britannique, ou quelque chose de la sorte, du fait de son service actif dans la division blindée constituée par le général Leclerc.

Un des camarluches, celui avec les tirets noirs tatoués autour du cou, avait roulé sa bosse ça et là, pendant et après la Libération. L'un et l'autre avaient bien été en Inde. Pour le signifier, on disait alors, "j'ai traversé l'empire" (le réalisme nous ramenant à l'Empire Britannique évidemment).

Ainsi, ces détenteurs de clés des portes annexes de certaines ambassades dans des pays, vivaient souvent sur le champ, même en temps de paix... Peu ou pas récupérés... Les bracelets artisanaux de ces poilus tintaient aux poignets. Pour l'un d'eux, la tignasse sauvage finissait sur une chemise à volants en mousseline de soie comme aux siècles passés. Et comme au temps des corsaires, le torse révélait une pilosité opiniâtre (bonne défense anti-moustiques d'ailleurs).

Pour être les premiers sur les Champs Élysées, ils dressèrent une petite toile de camping, un peu chiffonnée, mal tendue, sous laquelle ils passèrent la nuit en devisant de choses qu'ils étaient seuls à pouvoir comprendre entre eux... La police fit bon cœur contre mauvaise fortune à la vue de nos patriotes de choc. Des démonstrations de sympathie des uns mais aussi certains jugements méfiants d'éléments un peu craintifs dans la foule arrivée sur place, fusèrent sans toujours savoir de prime abord qui ils visaient exactement...

L'un des potes dit alors "on va allumer un pétard pour fêter notre 14 juillet". Quelqu'un répondit "un pétard va effrayer du monde par la détonation et la police viendra". Notre Pied Nickelé répondit "non, pas ce genre de pétard, il ne s'agira pas d'un pétard exemplaire". Et le défilé altier, à la publicité des valeurs de la France, passa.

Et voila une petite histoire basée sur des faits authentiques que l'on ne diffuse pourtant pas habituellement. Verrou de la censure.

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free spirit propaganda

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ppfff en comparaison, Rudolph Valentino pour le doux tourment, du pipi de nonne...

Things To Come. Hello

 

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The Shells. Whiplash

Planons un peu: en ces temps de Noël et de fêtes... une image de paix et de sérénité.

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un sous-marin dans le ciel c'est space !!

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The yellow submarine? Et la chanson en high??
La réponse c'est:
"The blue blue Submarine" (prononcer bloubloub submarine)

In the town where I was born
Lived a man who sailed to sea
And he told us of his life
In the land of submarines
So we sailed up to the sun
Till we found the sea of green
And we lived beneath the waves
In our blue blue bloub submarine
We all live in a blue blue submarine
blue blue submarine, blue blue submarine
We all live in a blue blue submarine
blue blue submarine, blue blue submarine
And our friends are all on board
Many more of them live next door
And the band begins to play
We all live in a blue blue submarine
blue blue submarine, blue blue submarine
We all live in a blue blue submarine
blue blue submarine, bloub bloub submarine
{Full speed ahead, Mr. Boatswain [pronounced bo'sun], full speed ahead!
Full speed it is, Sgt.!
Cut the cable, drop the cable!
Aye, sir, aye!
Captain, captain! [pronounced cap'n, cap'n]}
As we live a life of ease (A life of ease)
Everyone of us (Everyone of us) has all we need (Has all we need)
Sky of blue (Sky of blue) and sea of green (Sea of green)
In our blue bloub bloub (In our blue blue ) submarine (Submarine, ha, ha !!!)
We all live in a bloub bloub submarine
bloub bloub submarine, bloub bloub submarine
We all live in a bloub bloub submarine
bloub bloub submarine, bloub bloub submarine
We all live in a bloub bloub submarine
bloub bloub submarine, bloub bloub submarine
We all live in a bloub bloub submarine
bloub bloub submarine, bloub bloub submarine

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La chanson inavouée des Beatles pck il est impossible qu'ils n'y aient pas pensé... Et il n'y a aucune preuve mais la chanson donne le pouvoir à l'imagination. Le blue blue submarine dans le ciel et les nuages... Avec un fils de Noé, le drogman et les blue meanies font de ce sous-marin une exception. Embarquera qui veut dans le blue submarine.....

 

[Dreamea]

Le jaune peut symboliser la lumière et en particulier le soleil, si mes souvenir sont bon dans le dessin anime qu'ils ont réalisé, les Beatles sont en plongée dans les fonds marins, le sous-marin, leur musique, leur message apportant donc la vérité/lumière dans le fief de l'obscurantisme. Yellow étant aussi une manière une peu jouasse de dire Hello, on pourrait aussi l'interpréter par Salut la taupe ! Comme une nique a la face des systèmes de contrôles intrusif, comme le FBI, dont ils ont fait les frais a l'époque ou les artistes étaient humainement scrutés de près par les outils du pouvoir. Vivant tous dans ce sous marin, nous n'en voyons pas le rayonnement extérieur et nous somme complices a la fois de l'enfouissement de la verite que de son épanouissement.

 

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Le jaune peut symboliser la lumière et en particulier le soleil, si mes souvenir sont bon dans le dessin anime qu'ils ont réalisé, les Beatles sont en plongée dans les fonds marins, le sous-marin, leur musique, leur message apportant donc la vérité/lumière dans le fief de l'obscurantisme. Yellow étant aussi une manière une peu jouasse de dire Hello, on pourrait aussi l'interpréter par Salut la taupe ! Comme une nique a la face des systèmes de contrôles intrusif, comme le FBI, dont ils ont fait les frais a l'époque ou les artistes étaient humainement scrutes de près par les outils du pouvoir. Vivant tous dans ce sous marin, nous n'en voyons pas le rayonnement extérieur et nous somme complices a la fois de l'enfouissement de la verite que de son épanouissement.

oui le yellow submarine signifie tout ce que tu as dit et il suggère le blue blue submarine qui est la vraie marginalité. Tu parles de la couleur jaune pour la lumière, et le bleu se visualise comme la complémentaire. Le jaune pour l’œuvre apparente, commerciale, officielle des Beatles et le bleu pour le vrai panorama non récupéré du Mouvement philosophique en cours sur le globe...

On ne peut pas esquiver le blue blue submarine qui rime aussi bien si pas mieux avec une chanson de sous-marin. Le sous-marin symbolise (comme tu le disais aussi) l'élément clandestin...

le sous-marin jaune est la face commerciale officielle du sous-marin bleu qui suggère la transmission légendaire d'une épopée dans les villes et sur les routes...

La rime sonne juste avec blue blue quand elle se prononce bloub bloub... ce qui correspond bien à un sous-marin qui va en plongée... Il s'agit de klkechose comme une sphère humaine secrète... L'underground? Tu me diras que pour un sous-marin c'est paradoxale mais il ne coule pas... Il file en plongée et se défile des contingences matériellement réalistes... bloub bloub le sous-marin... Il débouche sur fond d'azur le sous-marin bleu quand on l'imagine dans le ciel... C'est un principe utopique qui s'impose en vue de l'esprit.
L'ovni bleu, le ciel et les nuages... c'est la <censuré>... enfin bref, ça va quand on est high.

 

[Dreamea]

J'ai pas vraiment parler du bleu qui serais, en suivant cette logique, l'eau, le substrat obscure de l'ignorance, et/ou le ciel, le substrat clair de la vérité et du savoir, l'eau et le ciel qui n'échappent pas aux contingences physiques. Réalistes ? Peut-être oui mais le domaine de la réalité est ambivalent comme tu l'a un peu exprimer dans ton post en abordant la double face que te dicte ton interprétation. Une phase commerciale en surimpression du subliminal bleu nuit de l'undergound, pourquoi pas, la Beatlesmania était déjà lancée, il y avait des exigences commerciales a remplir au travers d'un message qui ne semblerait pas suggérer d'ambivalence en apparence, et s'il fallait les croire un système contre lequel lutter aussi mais lequel ?

 

[Lee-O]

Joli "boeuf" là-dessus, les copains, c'est sympa à lire avant de se coucher !