Juste pour dire
- Auteur de la discussion josé
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bah, quand il reviendra il pourra encore venir saloper la Lyre si ça peut l'aider...
Morning Glory
Holofractale de l'hypervérité
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Il va s'en remettre j'en suis sure. Courage, Para!
Hyosciamus
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Oui. Ça sert pas a dormir. Mais juste après.
J'ai dormi.
PSYCHOCRACK
Mikrane
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T
TRAB
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xyzt_ a dit:
Haha le Rimbaud des solanacées, j'aime beaucoup aussi, je ressens une intelligence différente de ce que l'on entend par intelligence.
Tridimensionnel
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T
TRAB
Guest
Aujourd'hui je faisais la vaisselle, et la je vois 5 biches, magnifiques, courir d'une foret à l'autre.
Merci pour ça.
Merci pour ça.
Skruffy
Holofractale de l'hypervérité
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Hyosciamus a dit:
Je crois qu'on a trouvé un ambassadeur au cas ou il faut envoyer un membre de psychonaut en délégation pour discuter avec l'Etat. Il a la fibre avec les autorités, une bonne dose de lyrisme, et surtout il peut se transformer en dieux, en sanglier et en ver!!!
Du très haut niveau, c'est pas donné à tout le monde bravo.
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Foi de Biquette, une soirée galopante qui ne manquait pas de picotin !
http://www.legorafi.fr/2021/01/07/une-immense-rave-party-reunit-plus-de-quarante-chevres-en-lozere/
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Tridimensionnel
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La dernière phrase m’a fait grogner de dégoût à haute voix
Trickster
Holofractale de l'hypervérité
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Aujourd'hui j'ai appris que le mec qui avait inventé le caisson d'isolation sensorielle était également à l'origine du projet SETI et qu'il avait aussi créé une maison pour vivre en harmonie avec les dauphins tout en leur leur donnant du LSD pour communiquer avec eux. Et ça c'est les expériences les moins bizarres qu'il ait fait.
https://en.wikipedia.org/wiki/John_C._Lilly
Je regrette vraiment de pas avoir connu les années 60
https://en.wikipedia.org/wiki/John_C._Lilly
Je regrette vraiment de pas avoir connu les années 60
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des savants originaux mais excentriques usant de LSD25 et encore d'autres moyens sur les dauphins...
Margaret Howler et Peter John Lilly étaient collègues...
<cut 20min.ch>
Au départ, Margaret Howe Lovatt devait apprendre l'anglais à Peter le dauphin. C'était du moins l'objectif d'une étude scientifique financée par la NASA dans les années 1960. Mais la relation entre la chercheuse et le cétacé a pris une tournure pour le moins inattendue. Dans un documentaire qui sera diffusé sur la BBC le 17 juin, l'Américaine, aujourd'hui septuagénaire, révèle enfin son histoire, après des décennies de silence et de mystère.
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En 1963, Margaret crée un delphinarium dans les Iles Vierges américaines, relate le «Daily Mail». C'est là qu'elle rencontre Peter, un dauphin adolescent à qui elle est censée apprendre à parler l'anglais. Mais rapidement, la relation entre la jeune femme alors âgée de 23 ans et le mammifère marin s'emballe. Peter tombe littéralement amoureux de la scientifique, pour qui il semble ressentir une attirance physique très forte. Dans un premier temps, le comportement de l'animal inquiète Margaret: «Ses désirs entravaient notre relation. Il se jetait encore et encore contre mes jambes, il faisait des cercles autour de moi, il avait envie de mordiller et était généralement si excité qu'il ne pouvait plus contrôler son attitude envers moi,» raconte-t-elle dans le documentaire appelé «The Girl who talked to Dolphins» («La Fille qui parlait aux Dauphins»).
«Pour lui, c'était sexuel. Pour moi, c'était sensuel»
Prise de panique, la scientifique place Peter dans un aquarium avec deux dauphins femelles en espérant le calmer. La stratégie se révèle payante puisque, à son retour, le mammifère marin se montre moins brutal. Margaret a l'impression qu'il lui fait la cour à sa manière: «Il me présentait son ventre et ses parties génitales pour que je les caresse. C'était peut-être sa façon de m'impliquer dans une forme de jeu sexuel sans me faire peur. Peter aimait être... avec moi. Il se frottait à mon genou, mon pied et ma main et je le laissais faire. Je n'étais pas gênée, tant que ce n'était pas trop brutal. Pour lui, c'était sexuel. Pour moi, c'était sensuel», confie la scientifique.
Peu à peu, l'Américaine se sent tout à fait à l'aise avec le dauphin, avec lequel elle passe le plus clair de son temps. «J'aimais être avec lui, je voulais être avec lui et il me manquait quand il n'était pas là», raconte-t-elle.
Mais petit à petit, la nature de la relation entre Margaret et Peter fait naître un scandale. De plus, des rumeurs laissent supposer que les animaux du delphinarium sont drogués au LSD pour des besoins scientifiques. Le laboratoire ferme et les deux compagnons sont séparés. Inconsolable, Peter se laisse mourir et Margaret apprendra sa disparition, quelques semaines plus tard.
</cut>
<EDIT>
c'était une "sorte" de savants, académiciens, chercheurs... Ils ne sont pas représentatifs de toute la sphère scientifique. Il y a aussi plus "grave", sans références... et ceux moralement plus "polyvalents" dont on essaie de faire des références...
Les originaux des années 60 on les laisse encore relativement "transparaître..."
Margaret Howler et Peter John Lilly étaient collègues...
<cut 20min.ch>
Au départ, Margaret Howe Lovatt devait apprendre l'anglais à Peter le dauphin. C'était du moins l'objectif d'une étude scientifique financée par la NASA dans les années 1960. Mais la relation entre la chercheuse et le cétacé a pris une tournure pour le moins inattendue. Dans un documentaire qui sera diffusé sur la BBC le 17 juin, l'Américaine, aujourd'hui septuagénaire, révèle enfin son histoire, après des décennies de silence et de mystère.
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En 1963, Margaret crée un delphinarium dans les Iles Vierges américaines, relate le «Daily Mail». C'est là qu'elle rencontre Peter, un dauphin adolescent à qui elle est censée apprendre à parler l'anglais. Mais rapidement, la relation entre la jeune femme alors âgée de 23 ans et le mammifère marin s'emballe. Peter tombe littéralement amoureux de la scientifique, pour qui il semble ressentir une attirance physique très forte. Dans un premier temps, le comportement de l'animal inquiète Margaret: «Ses désirs entravaient notre relation. Il se jetait encore et encore contre mes jambes, il faisait des cercles autour de moi, il avait envie de mordiller et était généralement si excité qu'il ne pouvait plus contrôler son attitude envers moi,» raconte-t-elle dans le documentaire appelé «The Girl who talked to Dolphins» («La Fille qui parlait aux Dauphins»).
«Pour lui, c'était sexuel. Pour moi, c'était sensuel»
Prise de panique, la scientifique place Peter dans un aquarium avec deux dauphins femelles en espérant le calmer. La stratégie se révèle payante puisque, à son retour, le mammifère marin se montre moins brutal. Margaret a l'impression qu'il lui fait la cour à sa manière: «Il me présentait son ventre et ses parties génitales pour que je les caresse. C'était peut-être sa façon de m'impliquer dans une forme de jeu sexuel sans me faire peur. Peter aimait être... avec moi. Il se frottait à mon genou, mon pied et ma main et je le laissais faire. Je n'étais pas gênée, tant que ce n'était pas trop brutal. Pour lui, c'était sexuel. Pour moi, c'était sensuel», confie la scientifique.
Peu à peu, l'Américaine se sent tout à fait à l'aise avec le dauphin, avec lequel elle passe le plus clair de son temps. «J'aimais être avec lui, je voulais être avec lui et il me manquait quand il n'était pas là», raconte-t-elle.
Mais petit à petit, la nature de la relation entre Margaret et Peter fait naître un scandale. De plus, des rumeurs laissent supposer que les animaux du delphinarium sont drogués au LSD pour des besoins scientifiques. Le laboratoire ferme et les deux compagnons sont séparés. Inconsolable, Peter se laisse mourir et Margaret apprendra sa disparition, quelques semaines plus tard.
</cut>
<EDIT>
c'était une "sorte" de savants, académiciens, chercheurs... Ils ne sont pas représentatifs de toute la sphère scientifique. Il y a aussi plus "grave", sans références... et ceux moralement plus "polyvalents" dont on essaie de faire des références...
Les originaux des années 60 on les laisse encore relativement "transparaître..."
