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Juste pour dire

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion josé
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Pourquoi tu te trouve pas un gentil monsieur irl ?

Dans notre societé c'est un des seul avantage à être une femme, pouvoir pécho qui tu veut.
 
Mr Sandman a dit:
Pourquoi tu te trouve pas un gentil monsieur irl ?

Dans notre societé c'est un des seul avantage à être une femme, pouvoir pécho qui tu veut.

Je veux juste un câlin grosse nouille -_- jai pas demandé un rapport sexuel
 
J'ai pas parlé de rapports sexuels. Je te parle de te trouver un mec. Pour avoir autre chose que de l'affection virtuelle.

Un gars qui te serre dans ses bras et qui te fait te sentir bien quoi.

Après si t'as pas ça tu dois être en manque de sexe aussi. Mais de toute façon c'est pareille c'est pas ici qu'il faut chercher ça.
 
Mr Sandman a dit:
J'ai pas parlé de rapports sexuels. Je te parle de te trouver un mec. Pour avoir autre chose que de l'affection virtuelle.

Un gars qui te serre dans ses bras et qui te fait te sentir bien quoi.

Après si t'as pas ça tu dois être en manque de sexe aussi. Mais de toute façon c'est pareille c'est pas ici qu'il faut chercher ça.

Non non et non merci tes plans foireux tu te les garde ... Je préfère l'amour virtuel . Ou l'affection virtuelle si tu préfères. Tu n'es pas obligé de m'en donner si tu veux pas x)
 
De toute ma vie je crois que je n'avais JAMAIS entendu une fille dire "je préfère l'amour virtuel" haha
 
Indica a dit:
De toute ma vie je crois que je n'avais JAMAIS entendu une fille dire "je préfère l'amour virtuel" haha

Manquais plus que toi mdr 

Bin ici la plupart consomment des substances illicites moi je consomme des mots u.u je suis pas prête a voir entrer un autre boulet dans ma vie x) un petit rien peut tout changer comme il peut tout détruire...
 
Mais je consomme de l'amour IRL en plus des drogues
 
L'amour virtuelle n'existe pas.

C'est le principe de la virtuallité.

Mais je comprend. Moi aussi je prefère l'illusion. L'illusion du virtuelle est plus tentante que le risque d'un énième plantage dans la vie.

Mais le virtuel n'existe pas et ses émotions toutes sociales quelles soit sont factices.
pour exister il faut passer un pacte de tolerance à la souffrance avec la vie. Ou alors tu t'absorbe dans la non existence...Dans le néant douiĺlet de l'écran. Mais la tragédie dont personne ne parle, c'est que si tu change d'avis, tes années passées dans le néant y resteront. Une vie humaine est courte et le temps est précieux.

Après c'est pas une leçon de sagesse hein. Je témoigne seulement de mon expérience. Ça marrive quand je vois des posts qui ressemblent à mes propos il y a quelques années. Voila. Je n'ai pas de plans foireux ni d'amour pour toi. Juste ça. C'est peut être mieux d'apporter ce qu'on a les capacités d'apporter avec sincerité.
 
Je veux pas vivre mais on veut pas que je me donne la mort alors oui je préfère la non existence.


Indica a dit:
Mais je consomme de l'amour IRL en plus des drogues

Si tu le dis...


Indica a dit:
Mais je consomme de l'amour IRL en plus des drogues

Si tu le dis...
 
@Cookies j'avais quelques choses à rajouter sur mon sujet moi :( bref j'ai copié collé ce que je voulais dire et je vais le mettre ici.

snap2 a dit:
Wowow HibouMéchant tu lâches un seul nom de tes produits soi-disant "non-addictifs", que ce soit du jus de licorne ou un médicament pour Schtroumpf et on te ban direct te voilà averti.
Juste pour le rappeler, toute drogue récréative sans descente va forcément donner envie à l'utilisateur d'en reprendre.
Pour rappel c'est ce qu'on appelle l'addiction psychologique et elle existe pour absolument toutes les substances qui apportent un quelconque bien-être. C'est tout à fait logique.

C'est bien ce que je me disais x) 

En parlant de médicaments pour schtroumpf, je sais comment en devenir un ! Il suffit de manipuler de l'argent pendant trop longtemps (ou d'être longtemps en contact avec) pour que la peau devienne bleue ! C'est impressionnant o.o un célèbre monsieur du nom de Paul Karason a subit ces effets justement, et c'est pour cela qu'on l'appelle l'homme schtroumpf. Cette maladie s'appelle l'argyrie.
 
Ok, pour info, j'appelle les trois drogues que j'ai parlé des médicaments et j'emploie à tort le mot drogue pour tout, à partir du moment à ça modifie l'état de conscience.
Et quand je dis que c'est anti-addictif, c'est à dire que ça repousse/démotive /dégoûte à la prise, bien que ça soulage la maladie qu'elles soignent.
Il s'agit d'un antidépresseur, d'un neuroleptique, et d'un médicament pour l'hyperactivité que même un accro au speed trouvera dégueulasse, sauf que ça soigne les symptômes.
Mais je me tais.
 
Si on locke un topic c'est pas pour le continuer sur un autre thread...
faceplant
 
Acope a dit:
J'aimerais que personne ne sache rien de moi. J'aimerais disparaître. Vivre mes derniers souffles maintenant pour en finir avec ce qu'ils appellent "la vie". Qui n'est au final qu'un amas de problèmes dans lequel on se fourre. Et tout ça pour crever seul à la fin. 

Avoir un enfant, décider d'avoir un enfant, c'est un acte égoïste. On ne pense pas à l'avenir de l'enfant. On ne pense pas aux problèmes qu'il va rencontrer. On ne pense pas que finalement il serait mieux de le laisser là où il est parce que "c'est joli un bébé", "c'est mignon", "former une famille c'est génial".

Ah ce n'est pas parce que j'ai passé une mauvaise journée que je dis ça , ni parce que j'étudie le naturalisme où les personnages principaux crèvent dans la plus totale des indifferences. 

Des fois je suis "dans la lune" ou plutôt dans une partie de mon cerveau que j'appelle "la porte vers le néant" parce que là bas je ne ressens rien, je ne vois pas de choses particulières, le temps en vrai passe et je suis ailleurs dans un endroit où rien n'a d'importance. Il y a rien. Pas d'objets, pas de couleurs,(je sais que ça peut être dur a imaginer) rien. Physiquement je suis là mais ma pensée n'y est pas. Ça m'aide à tenir cette porte derrière laquelle je me réfugie. Parfois c'est vrai j'aimerais y rester plus longtemps au lieu de me reconnecter avec le réel, le quotidien, la routine. Bref j'y retourne, je vais dormir il n'y a qu'en dormant que je peux vraiment y rester plus longtemps.

Salut Acope,

Je m'identifie complètement à ce que tu vis.
La vie c'est de la merde, y'a rien de vraiment intéressant.
Je me suis réfugié dans la drogue pour ça.
Je n'aurai probablement jamais de copine parce que je suis trop religieux, et que je prends de la drogue
Pendant que les gens "normaux" ont l'air d'être heureux, et à mon avis le sont, parce que justement ils n'ont jamais touché à la drogue, ils vivent dans une illusion la plus totale parce qu'ils bougent et ont des activités, ils ont réussi à s'accrocher au matérialisme d'une vie normale, travailler, se doucher, faire la vaisselle, pendant que nous on pense qu'à penser, et qu'on se retire peu à peu de la réalité et qu'on perd pied

Mais dis toi bien que dans la vie y'a des haut et y'a des bas.
 
Mr Sandman a dit:
L'amour virtuelle n'existe pas.

C'est le principe de la virtuallité.

Mais je comprend. Moi aussi je prefère l'illusion. L'illusion du virtuelle est plus tentante que le risque d'un énième plantage dans la vie.

Mais le virtuel n'existe pas et ses émotions toutes sociales quelles soit sont factices.
pour exister il faut passer un pacte de tolerance à la souffrance avec la vie. Ou alors tu t'absorbe dans la non existence...Dans le néant douiĺlet de l'écran. Mais la tragédie dont personne ne parle, c'est que si tu change d'avis, tes années passées dans le néant y resteront. Une vie humaine est courte et le temps est précieux.

L'amour virtuel existe autant que l'amour "réel" en tant que concept. Dans les deux cas, c'est une construction de désirs s'élaborant à partir d'émotions et de sentiments qui amènent à ressentir une attirance pour quelqu'un ou quelque chose qui nous le rendrait bien, dans le sens où cette chose ou cette personne aimée peut satisfaire nos désirs.

Donc le virtuel existe en tant que réalité humaine, puisque les émotions que la virtualité nous procure sont vécues et ressenties réellement sous formes de sentiments divers et d'idées vraies (dans le sens où on les ressent/pense vraiment), bien que ses sentiments puissent être interprétés comme factices par la suite (dans une auto-critique pessimiste mais tendant à l'objectivité). Bref les idées, les interprétations qu'on se fait de ce que l'on ressent dans le réel ou le virtuel, se basent bel et bien sur des émotions et sentiments avérés, existants.

C'est comme pour les mondes parallèles dans lesquelles les drogues nous amènent, ils sont artificiels puisque imaginaires, mais pas inexistants pour autant. Ils existent en nous, individuellement et collectivement, puisqu'on partage et véhicule au travers de multiples supports nos imaginaires, nos inconscients collectifs, récits et autres fantasmes/désirs réels ou virtuels.

Autre exemple, la sensation de vertige ressentie lorsque l'on revêt pour la première fois un casque de réalité virtuelle est on ne peut plus saisissante et selon moi révèle l’existence d'une virtualité que nos sens perçoivent objectivement, bien que l'interprétation qu'on en aura puisse être subjective et erronée (si l'on confond virtuel et réel, ou si l'on nie l'existence du virtuel, dimension existant parallèlement au réel =) Idem pour les conversations téléphoniques, lorsque nos voix se perdent dans la virtualité d'impulsions lumineuses réfléchies dans des fibres optiques, portant virtuellement des messages qui font sens en nous puisqu'ils nous touchent réellement).
 
Ca fait plaisir de te revoir dans les parages toi, tu vas remonter le niveau un peu !
 
De 1 on est forcé à aller à l'école quand on naît parce que notre société est devenu un mode de vie obligatoire
De 2 y'a rien d'intéressant dans notre temps libre.
On peut s'amuser un peu au début de sa vie, avec les manèges, les tirs à la carabine à la fête foraine, les jeux vidéos, le sport si on aime, avoir de vrais amis, mais tout devient alors rébarbatif et chiant, on a plus envie de rien faire, alors la drogue ça devient comme une deuxième vie, un paradis, et au bout de 10 ans la drogue nous fait plus rien (parait qu'il y en a qui arrêtent à ce stade et retrouvent le goût de la vie mais j'y crois pas)
Plus rien à faire, plus rien à goûter, je sais tout, je vois tout et je sais que la vie c'est de la merde.
J'ai envie de mourir dans un crash d'avion ou un accident de la route, mais je peux pas me suicider, j'ai ni la force, ni le droit dans ma religion.

Moi je me demande pourquoi y'a des sectes qui font des suicides collectifs.
 
Indica a dit:
Ca fait plaisir de te revoir dans les parages toi, tu vas remonter le niveau un peu !

On doit le prendre comment ?


HibouMechant a dit:
Acope a dit:
J'aimerais que personne ne sache rien de moi. J'aimerais disparaître. Vivre mes derniers souffles maintenant pour en finir avec ce qu'ils appellent "la vie". Qui n'est au final qu'un amas de problèmes dans lequel on se fourre. Et tout ça pour crever seul à la fin. 

Avoir un enfant, décider d'avoir un enfant, c'est un acte égoïste. On ne pense pas à l'avenir de l'enfant. On ne pense pas aux problèmes qu'il va rencontrer. On ne pense pas que finalement il serait mieux de le laisser là où il est parce que "c'est joli un bébé", "c'est mignon", "former une famille c'est génial".

Ah ce n'est pas parce que j'ai passé une mauvaise journée que je dis ça , ni parce que j'étudie le naturalisme où les personnages principaux crèvent dans la plus totale des indifferences. 

Des fois je suis "dans la lune" ou plutôt dans une partie de mon cerveau que j'appelle "la porte vers le néant" parce que là bas je ne ressens rien, je ne vois pas de choses particulières, le temps en vrai passe et je suis ailleurs dans un endroit où rien n'a d'importance. Il y a rien. Pas d'objets, pas de couleurs,(je sais que ça peut être dur a imaginer) rien. Physiquement je suis là mais ma pensée n'y est pas. Ça m'aide à tenir cette porte derrière laquelle je me réfugie. Parfois c'est vrai j'aimerais y rester plus longtemps au lieu de me reconnecter avec le réel, le quotidien, la routine. Bref j'y retourne, je vais dormir il n'y a qu'en dormant que je peux vraiment y rester plus longtemps.

Salut Acope,

Je m'identifie complètement à ce que tu vis.
La vie c'est de la merde, y'a rien de vraiment intéressant.
Je me suis réfugié dans la drogue pour ça.
Je n'aurai probablement jamais de copine parce que je suis trop religieux, et que je prends de la drogue
Pendant que les gens "normaux" ont l'air d'être heureux, et à mon avis le sont, parce que justement ils n'ont jamais touché à la drogue, ils vivent dans une illusion la plus totale parce qu'ils bougent et ont des activités, ils ont réussi à s'accrocher au matérialisme d'une vie normale, travailler, se doucher, faire la vaisselle, pendant que nous on pense qu'à penser, et qu'on se retire peu à peu de la réalité et qu'on perd pied

Mais dis toi bien que dans la vie y'a des haut et y'a des bas.

Un religieux qui se drogue? C'est quel genre de religion ça ? J'en connais aucune qui prône l'utilisation des drogues x)
 
Un genre de paganisme je crois.
Sinon je suis juif, chrétien, et musulman à la fois, mais en fait aucun des trois, mais je me décris plutôt comme jésuite si on me demande, parce que Jesus est le meilleur.


Dieu n'interdit pas la drogue en entier, il en interdit certaines.


En fait, je viens de faire une recherche, c'est pas du paganisme, c'est juste que je ne crois qu'en Dieu, les religions je m'en fous
 
Je suis perplexe '-' 

Comme lorsqu'on a passé plusieurs heures a m'expliquer que les créateurs du porno sont des juifs '-'
 
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