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Un peu des deux je crois ^^Groovie a dit:Oui le survivalisme c'est un truc de flippé ou un manque de naïveté.
C'est même une question de cas par cas. Autant peut y avoir un "violeur fou", autant y'en a beaucoup qui font ça pour des raisons culturels, mépris de la femme, système qu'ils se sont créés eux-mêmes où la femme qui couche est une traînée et pourtant eux ont besoin de sexe et de tendresse. Donc viol avec mépris de la femme, c'est leur manière de faire une tambouille de tout ça, je pense qu'il sont tout à fait conscient de la souffrance et de leur choix. Bref, je pense que la question est du cas par cas, pas épineuse car globale.Sandman a dit:Je ne sais pas si un violeur à "le choix" conscient de commettre l'acte ou même si il à réellement conscience de la souffrance qu'il inflige à ses victimes. C'est une question épineuse.
Sandman a dit:Cependant pardonner son geste reviendrait à nier complètement la souffrance de la victime, en plus de la plonger dans une insécurité totale.
Lotre a dit:C'est même une question de cas par cas. Autant peut y avoir un "violeur fou", autant y'en a beaucoup qui font ça pour des raisons culturels, mépris de la femme, système qu'ils se sont créés eux-mêmes où la femme qui couche est une traînée et pourtant eux ont besoin de sexe et de tendresse. Donc viol avec mépris de la femme, c'est leur manière de faire une tambouille de tout ça, je pense qu'il sont tout à fait conscient de la souffrance et de leur choix. Bref, je pense que la question est du cas par cas, pas épineuse car globale.
Oui tu as raison.
Sérieux, elle est pas hyper connu la phrase "I forgive but don't forget" ? Pardonner est sûrement quelque chose que je ne fait pas assez, je me place pas en fer de lance du pardon, mais je vois pas du tout en quoi le pardon est une négation de la souffrance. Au contraire, c'est parfois la seule porte de sortie à cette souffrance. La rancune est quand même un poison, quelque chose du passé qui vient polluer le présent. On ne décide pas forcément pour la victime dans quoi on la plonge. C'est à chacun que revient le choix individuel de pardonner, donc la victime a ce choix aussi. C'est sûr qu'un système "judiciaire" qui dirait "ok c'est cool on pardonne automatiquement à tous les violeurs" mettrait les victimes et potentielles victimes en insécurité, mais c'est un autre niveau de lecture.
On ne peut pas pardonner à la place de quelqu'un, c'est quelque chose que l'on fait pour soi.
je pense qu'il sont tout à fait conscient de la souffrance et de leur choix.
Si tu parle dans la première phrase d'une conscience de la souffrance d'autrui, alors je me dois de soulever une contradiction là :?On ne décide pas forcément pour la victime dans quoi on la plonge.
Si tu parle dans la première phrase d'une conscience de la souffrance d'autrui, alors je me dois de soulever une contradiction là
Car s'il y a effectivement choix derrière l'acte violent, et conscience du mal qu'il peut engendrer, il y a forcément une part de décision, après les implications futures décèlent peut-être forcément une part d'inconnu, mais ça n'efface pas l'acte.
un fusilMydriHaze a dit:Réponse bête : c'est quoi un 12 de chasse ?
MydriHaze a dit:En fait Lotre tu m'a foutu un vent :crybaby: