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Juste pour dire

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion josé
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C'est vraiment réducteur je trouve. Et le mec avec la moitié de la gueule cramé ? Ou le masturbateur compulsif ? Ou le drogué ? Eux aussi ce sont des cis blanc hétéro, mais tu crois qu'ils ne vivent pas à leur manière l’oppression sociale systémique ?
Et que donner du crédit à un groupe plus qu'a un autre c'est bidon.

Ben non justement je hiérarchise pas. C'est tout comme dit Zarutas et même toi quand tu dis :
on est tous unis dans la souffrance
Je dis juste que je m'intéresse particulièrement à ces gens là parce qu'ils enrichissent ma vision du monde.

Le problème c'est que les gens se sentent insultés qu'on leur dise qu'ils ont des privilèges vis à vis de certains aspects et veulent ramener leur souffrance sur le tapis comme pour dire "je n'ai rien à me reprocher, je souffre moi aussi". Parler des privilèges, ce n'est pas reprocher à quelqu'un quelque chose, qui ne peut se juger que sur ses actes.

Jamais je ne me suis senti coupable d'être un homme blanc cis. Par contre ça m'engage à écouter les autres quand ils m'expliquent en quoi eux vivent mal le fait de ne pas l'être, parce que le monde, comme il est fait actuellement, les considère comme des personnes de seconde zone. ;)
A partir du moment où tu écoutes les autres, sans te défendre de choses dont on ne t'a pas accusées, tu peux créer un type de relation où tu vas pouvoir aussi évoquer des choses intimes. En fait, on est d'abord dans un type de relation sans intimité, où les personnes assument que la société inégalitaire les met forcément en conflit, alors que c'est invisible pour les autres. Puis, si le respect mutuel s'installe, on peut passer à une discussion égalitaire, respectueuse, amicale même.

Et c'est tellement, putain de beau de voir qu'on peut se reconnaitre les uns les autres comme ça, et aborder ce type de relations avec tant de gens, dans un monde où c'est aussi rare et où la grande majorité des relations que tu as avec les gens est plutôt de l'ordre du cynisme et d'une forme de mensonge qui consiste à ne jamais se dévoiler et à profiter de toutes les failles des autres pour asseoir ta domination, ou tout du moins, à essayer de ne pas te sentir dominé. En fait, quand quelqu'un de dominé commence à assumer le conflit, à gagner en puissance, les gens tendent à croire qu'ils veulent dominer à leur tour. En vérité, rien n'est plus faux, ils essaient juste de lutter contre les privilèges des autres et se respecter eux-mêmes. Et pour les autres, ça semble un truc de ouf, tu le constates bien. D'où ce phénomène de male/cis/white tears, du type qui croit qu'on est en train d'organiser le génocide des blancs parce qu'on fout un costume tradi à un gosse noir (bon là c'est le cas extrême mais c'est hallucinant de voir ça). Ou ceux qui parlent "d'identitaires racialistes" ou de communautarisme quand des racisé.es organisent des trucs non mixtes, ou de sexisme inversé quand des femmes font de même. Alors que la réalité permanente (et donc rien à voir avec un atelier ou une conférence ponctuelle à but organisationnelle), c'est justement le communautarisme et même le suprémacisme d'un groupe dominant (avec des lieux de pouvoir uniquement remplis de vieux hommes blancs riches).

Si je dis de la merde, hésitez pas. :D

Bon après je comprends qu'on parle de gens qui viennent hurler à l'oreille de gens qui n'y connaissent rien qu'ils les méprisent en oubliant de genrer de manière non binaire une phrase sur un powerpoint qui parle de la culture du couscous en Alaska, mais je pense que ça marche aussi avec eux. Ils sont peut-être pas juste "en manque d'attention". Ils/elles commencent à se saisir de leur vie et du conflit, face à la violence qu'ils ressentent au quotidien. Bref, après à chacun de voir midi à sa porte, j'ai commencé à aller dans un autre sens pour pas juste se moquer d'eux et contribuer à forger une image d'eux essentialisée ou pas forcément fidèle à la réalité. Ou juste parce que voir ça me fait avoir de la sympathie pour eux. ^^
C'est sûr que je me serais joint à vous si vous parliez des fafs susmentionnés qui hurlent au génocide blanc parce qu'on a proposé un menu sans porc à la cantine.
 
Des événements organisés à la loupe en fonction de l'aspect intégrable, ou non, de l'individu à la culture dont il veut participer à la lutte, je trouve ça limite et contre-productif. Mais le progrès social il se fait pas en usant des mêmes méthodes xénophobes que celle employées de haut en bas. C'est justement de voir un melting-pot de cultures en faveur et soutien de la spécificité d'une autre qui peut permettre (et qui a permit) d’asseoir sa légitimité et sa place au sein de la société. Ça rend le phénomène contre-communautariste au contraire, et ça témoigne d'une ouverture d'esprit globale qui est en lutte direct avec cette tentative de fragmentation imposée par les structures du système, et donc probablement de l'oeuvre de l'élite.

Ça renvoie un peu à la notion de bottom-up, où comme tu l'as évoqué Zarutas, par exemple, il y a tout un marché qui s'est créé autour de la culture LGBTQ, qui n'aurait sûrement pas vu le jour sans l'avènement de certaines libertés. Et c'est là où je diverge par rapport au point de vue "il n'y a pas de révolution via la consommation". Alors certes je pense pas que changer ses habitudes va changer la façon dont tourne le monde - ça peut changer le temps qui reste à beaucoup de gens et à leur descendance de vivre cela dit - mais ça permet d'avoir déjà un background plus solide pour une révolution plus radicale sur la façon dont tourne le monde, si tant est qu'elle est possible.
 
Plutôt que de lâcher un chapelet de likes j'vais vous dire que c'est intéressant tout ce que vous dites, notamment le récit d'expérience mais les réflexions depuis vos points de vue aussi. En fait, je suis d'accord avec vous tous ^^
 
Des événements organisés à la loupe en fonction de l'aspect intégrable, ou non, de l'individu à la culture dont il veut participer à la lutte, je trouve ça limite et contre-productif.
J'ai pas compris ici.

Mais les évènement non mixtes pour moi c'est un outil primordial pour découvrir ce que c'est d'être dans une atmosphère de liberté. Ca permet de comprendre le chemin à parcourir, de s'organiser sans avoir à se taper les gros relous de service qui monopolisent la parole et l'intention pour se faire mousser en faisant chier tout le monde, etc. Se faire une bulle, un univers temporaire où on comprend ce qu'est la liberté, l'égalité, etc. C'est trop bon quoi. On peut reprocher ça à personne. Dans le monde idéal, on pourrait vivre comme ça tous ensemble, parce que les autres auront accepté de respecter les premiers, et d'être à égalité avec eux. ;)

Un peu comme une gros teuf psy pour les chéper. HAHAHA
 
C'était pour rebondir sur ce que tu disais par rapport à des mouvements qui excluent ceux ou celles qui ne rentrent pas dans les critères dont la légitimité est à revendiquer. Pour dire que je pense que ça affaiblit l'impact du mouvement d'un point de vue de la tolérance et du nombre de participants.

Je pige pas, t'assimile l'absence de mixité à de la liberté ? Donc en gros liberté = homogénéité ? Désolé mais je vais devoir te contredire là, si je suis d'accord que le cœur de la tolérance c'est le respect des différences mais aussi la conscience des ressemblances, je pense que l'intolérance c'est forcément tout l'inverse, dénigrement des différences et déni des ressemblances. En gros la liberté ça serait plus une homogénéité et une hétérogénéité, un paradoxe ou une synergie quoi, mais à partir du moment où c'est collectif c'est forcément mixte.
 
La non mixité c'est pas pour rester entre gens de même condition sociale tout le temps. C'est des temps dédiés pour se retrouver à l'abri, et tripper, discuter, s'organiser sans avoir à être emmerdé par d'autres. Par exemple, des ateliers vélo pour femmes. Parce que quand t'inclus des hommes t'as des comportement systématiques. Or t'as pas tout le temps envie de prendre du temps pour débattre, discuter, etc. Bref, c'est du domaine de la liberté, parce que t'es pas obligé d'accueillir n'importe qui à tout moment. C'est comme organiser un évènement privé en gros. Tout n'a pas pas à être public tout le temps.
 
Je comprend le principe, et c'est pas pour promouvoir l'avènement du transfert du domaine privé au domaine publique, mais je trouve malgré tout que ce genre de délire, comme l'exemple que tu pose, part d'une forme de discrimination. Je suis assez borné là-dessus mais c'est du communautarisme, de l'élitiste, à partir de ce constat je trouve qu'il y a pas grand chose à dire de plus, je cherche pas à me faire mousser ou je sais pas quelle connerie. Et puis bon prédire d'un comportement en partant du sexe de quelqu'un, c'est sexiste gros désolé.
Bref c'est triste de voir des concepts comme la liberté empiéter sur l'égalité et inversement sans se compléter.
 
Je viens de retrouver le pochon qui m'avait fait partir en psychose... dans ma bagnole par hasard.
 
MydriHaze a dit:
Je comprend le principe, et c'est pas pour promouvoir l'avènement du transfert du domaine privé au domaine publique, mais je trouve malgré tout que ce genre de délire, comme l'exemple que tu pose, part d'une forme de discrimination. Je suis assez borné là-dessus mais c'est du communautarisme, de l'élitiste, à partir de ce constat je trouve qu'il y a pas grand chose à dire de plus, je cherche pas à me faire mousser ou je sais pas quelle connerie. Et puis bon prédire d'un comportement en partant du sexe de quelqu'un, c'est sexiste gros désolé.
Bref c'est triste de voir des concepts comme la liberté empiéter sur l'égalité et inversement sans se compléter.
Bien sûr que tu ne peux pas savoir le comportement d'une personne à l'avance. Mais... C'est un principe de respect de laisser les gens faire ce qu'ils veulent tant qu'ils ne font de mal à personne. Je ne serai pas invité à aucun de ces trucs, et je vois pas en quoi ça devrait me poser un problème. Je veux dire, y'a plein de trucs où des personnes refusent d'aller parce qu'elles SAVENT qu'elles vont se faire emmerder. Même si pas tout le monde, c'est quand même des gens qui te feront chier systématiquement.

Pour une fois, t'as un endroit où personne va te faire chier. Figure-toi que c'est le privilège de plein de gens tout le temps ou presque. Personne ne m'a jamais fait chier à aucun évènement de ma vie. Pourquoi des personnes n'auraient pas le droit à ça quelques fois dans leur vie ?
 
Même dans un mouvement comme Nuit Debout (qui se revendique à la pointe de l'égalité), le temps de parole était significativement beaucoup plus élevé du côté des hommes. Soit que les femmes étaient moins présentes à un évènement public en plein air (pourquoi? Entre autres, j'ai entendu pas mal d'histoires d'attouchements place de la République. Les filles ont l'habitude de ne pas traîner dans les lieux publics, on leur inculque ça dès l'enfance), soit qu'elles avaient plus peur du ridicule, qu'on les juge à leur tenue ou simplement sur leur sexe (voir à ce propos les différences de perception qu'on a d'un discours en fonction du sexe de l'orateur).
Donc je peux comprendre que des filles aient envie d'expérimenter la prise de parole en publique dans un espace où les discriminations genrées n'auraient plus de raison d'être. Car il y a une différence entre avoir la bonne surprise de constater qu'un certain lieu n'est pas oppressant, et savoir d'avance qu'il ne le sera pas.
De plus certains sujets ne peuvent pas, ou pas uniquement, être abordés en présence du groupe responsable du problème (et oui, généralement ça se passe comme ça, un groupe chiant et un groupe subissant, même s'il y a des exceptions on va pas nier que c'est surtout les hommes qui sifflent les femmes et les cis qui humilient les trans). Les victimes n'ont pas pour but dans la vie d'éduquer les curieux, elles ont aussi besoin de place pour s'exprimer sans jugement. Dans un espace mixte t'as toujours le lourdingue-pas-sexiste qui veut expliquer qu'un regard c'est pas grave et que dire bonjour c'est de la drague. Et comme ça ne peux pas se prévoir, et que le bien-être des concerné(e)s passe en premier, ça donne des espaces non-mixtes. T'imagines, à l'entrée d'un talk sur les agressions sexuelles, un filtrage à l'entrée basée sur des tests de personnalité, casier judiciaire...
 
Enfin chez moi, pfiou !

Je vais pas réagir à tout le débat mais juste apporter mon grain de sel au sujet des réunions non-mixtes : au début ça avait tendance à me poser problème, je trouvais le principe absurde parce que ça me semblait recréer le même genre de schéma d'exclusion/domination que les groupes oppressés combattent justement. Et en plus ça me piquait dans ma fierté.
Puis avec un peu de recul j'ai réalisé combien ça pouvait être salvateur pour les groupes oppressés d'avoir un espace uniquement pour eux, où ils peuvent tout exprimer sans aucune crainte de jugement de la part d'un représentant du groupe dominant. Parce qu'il est évident que la seule présence d'UNE personne associée au groupe dominant (hétéro, blanc, bourgeois, noir, jaune, etc...) va nécessairement amener un changement dans l'expression du groupe dominé, même si cette personne est considérée comme une alliée.
D'ailleurs il me semble que des sociologues avaient largement travaillé sur la question des groupes non mixtes du temps de l'apartheid, et avaient fortement constatés l'impact de la présence d'un blanc lors de réunions entre noirs pour lutter contre le racisme.

Perso la seule chose que je pourrais reprocher aux militants de certains mouvements comme le féminisme, c'est la puérilité qui s'en dégage parfois, parce que la moyenne d'âge des activistes comme j'ai pu voir à Nuit Debout est assez basse (autour de la vingtaine). Nécessairement, à cet âge là, on est pas tout à fait débarrassé des élans émotionnels de l'adolescence et l'esprit juvénile tombe facilement dans l'orgueil et des biais de simplifications face à des sujets aussi complexes, l'effet de groupe aidant (je le sais pertinemment j'ai 20 ans lol).
Ce qu'il manque à mon avis c'est des leaders plus âgés, qui de par leur expérience savent un peu mieux faire la part des choses. Mais pour que de tels leaders émergent, il faut laisser le temps aux groupes de se réunir, et si possible dans un contexte non-mixte ;)

Et pour terminer en rigolant :
[video]
 
Bonsoir,


Comment ont peut appeler cette émotion :

Le fait d'être perdue dans sa vie décision et choie de vie orientation professionnel social et ce sentir tout le temps confronter a cela sans cesse sans jamais avoir le temps de souffler un seul instant même lorsque l'on ce rend compte que l'on profite ont ce retrouve a pensez que c'est trop peut et trop court je ne le cache pas j'ai encore trop peut parcourue mais est ce vraiment cela la vie être sans arret en train de ce remettre en question ?

Être seulement une ame errante comme toutes autres marchant dans les rues du monde arpentant ses 7 péchés favoris avec soit constament et ce rendre compte qu'un humain est sale et que soie même ont ce rend compte qu'on est un parasite dans cette grande sphère ? J'ai envie de faire des choses de mes mains mais le monde ne me donne aucun espoir de lui apporter mon aide sachant que je ne suis moi même rien qu'un foutue problème existensielle quand tu nous tiens jusque sous délire psilocybien..

Pardon de ce récit corrosif si quelqu'un a une lanterne ou un avis bien éclairer pour éviter de ne m'égarer dans la pénombre qui est la vie je suis preneur Salutation Nocturne : [YOUTUBE]
 
Koztek a dit:
Bonsoir,

Comment ont peut appeler cette émotion

On appel ça "branler le chevreuil"

Enfin ça dépend des régions, par chez moi on dit plutôt se carabistouiller la pleurote.
 
Bien sûr que tu ne peux pas savoir le comportement d'une personne à l'avance. Mais... C'est un principe de respect de laisser les gens faire ce qu'ils veulent tant qu'ils ne font de mal à personne. Je ne serai pas invité à aucun de ces trucs, et je vois pas en quoi ça devrait me poser un problème. Je veux dire, y'a plein de trucs où des personnes refusent d'aller parce qu'elles SAVENT qu'elles vont se faire emmerder. Même si pas tout le monde, c'est quand même des gens qui te feront chier systématiquement.
Ouais je suis d'accord quant à la notion de respect que se doit de s'appliquer tout le monde à soi-même et aux autres. Et être exclu d'une randonné vélo discriminante me poserait pas vraiment de problème non plus, pas parce que je trouve le principe discriminatoire, mais parce que je m'en fout du vélo et de la cohésion identitaire, mais ça c'est mon côté semi-égoïste assumé ^^. Sinon c'est quand même intéressant de voir cette notion de liberté, soumise à condition, justifiée. Ou plutôt ce manque de liberté, car si je t'accorde que l'élitisme peut permettre des libertés à ceux et celles qui en profitent, il entrave celles de ceux et celles qui ne peuvent pas en profiter juste à cause de leur marginalité vis-à-vis du groupe, même si un désir de sortir de cette marginalité et de s'intégrer au groupe naît et se retrouve de fait tué dans l’œuf.

Pour une fois, t'as un endroit où personne va te faire chier. Figure-toi que c'est le privilège de plein de gens tout le temps ou presque. Personne ne m'a jamais fait chier à aucun évènement de ma vie. Pourquoi des personnes n'auraient pas le droit à ça quelques fois dans leur vie ?
J'en ai bien conscience, et comme tu le souligne il est question de privilèges ici, ce que t'as l'air de vouloir combattre, pas de liberté. La liberté, si elle existe (par ce que c'est pas la société et ces normes qui ont l'apanage du viol des libertés, la nature aussi a ses codes, ses lois, ses entraves bref je divague), elle se doit d'être généralisée, démocratisée ou popularisée si tu préfère.

Ce qu'il manque à mon avis c'est des leaders plus âgés, qui de par leur expérience savent un peu mieux faire la part des choses. Mais pour que de tels leaders émergent, il faut laisser le temps aux groupes de se réunir, et si possible dans un contexte non-mixte ;)
Euh... Ba restons en à l'élite de vieux blancs chrétiens alcoolisés mentionnées plus haut alors, parce que c'est exactement le même procédé que tu propose là.
 
Koztek: ce que tu décris n'est pas vraiment une émotion mais plus une situation je dirais. Après l'émotion qui en découle je sais pas peut-être la tristesse la colère la frustration ?
Enfin tu déprimes quoi en te donnant des raisons de penser que tu es insignifiant et que le monde est pourri je connais bien.

De mon expérience le mieux dans ces cas la c'est de faire quelque chose qui te sort de ta zone de confort. Ca veut dire te confronter à une situation inhabituelle qui ne correspond pas à ce que tu attends. Tu peux soit aller quelque-part, ou mener une activité différente que d'habitude. Plus ce que tu feras sera éloigné de ton quotidien et plus tu auras des chances d'amorcer quelque chose de différent dans ta vie.
Les rencontres humaines sont la plus grande richesse dans la vie alors si tu peux te donner l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes fais-le toujours et intéresse-toi aux autres, c'est la meilleure façon de sortir de sa zone de confort. (A moins que tu sois extraverti et que passer du temps seul sois pour toi une façon d'expérimenter quelque-chose de nouveau et inatendu).

Puisses-tu trouver la lumière sur ton chemin (ouais rien que ça)

Peace!
 
Joyeuse fête les lurons !
Je vous souhaite une bonne année dans cet univers !
 
Ouai ouai joyeuses nouvelles années depuis les univers d'à côté !
 
[video=youtube;ZaYqg5TedpQ]

Je vous souhaite que le LSD coule dans vos veines en 2017.
 
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