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Non c'est bon tu peux, c'est d'ailleurs préconisé de scinder un carton en 2 (voir 4) quand tu débute ou quand t'es pas sur du produit ou de la quantité/qualité.D'ailleurs est-ce que la tolérance au LSD se fait directement.
Genre si je prendre la moitié d'un buvard et que 1h-130 plus tard je souhaite redrop, ça sert à quelque chose où je vais juste utiliser une moitié de buvard pour rien ?
Porygon a dit:@l'ancien: J'ai vu que tu avais testé le 5-meo-amt
C'était comment ?
Porygon a dit:Est-ce que tu as testé l'amt (sans le 5-meo quoi)
Mhhh non rien à voir, les effets n'ont rien à voirl'ancien a dit:Je ne savais pas que ça existait Vraiment pas dans mon domaine. Je comprends vaguement que c'est cousin du DMT, que tu places un C ou H ou que tu enlèves un N sur la molécule pour en faire une autre tryptamine.
Ce que je comprends, c'est que toute la gamme ..mt te fais faire un yoyo délirant avec ta sérotonine ou je sais pas quoi parce que l'aya me fait l'effet d'un jokari cosmique, comme si tu partais et que tu revenais.
Aid3nPearce a dit:C'est mon anniversaire !! 29 ans !!
Ghikal a dit:Les tribus qui utilisent l'ayahuasca en filent à leurs enfants en bas âge....
Sebastien Baud a dit:Associé au yáji ou à la chacruna, le breuvage obtenu est absorbé, le plus souvent, par le seul chaman chez les Aguaruna tandis qu’il l’est par celui-ci et ses patients parmi les métis qui vivent dans les régions de l’Amazonie péruvienne, parmi les Yagua et parmi les Huni Kuin. Lors de la cure aguaruna donc, si le chaman prend l’ayahuasca, c’est pour lui le moyen de contacter ses esprits auxiliaires (pásuk ) et de voir, dans le corps de son patient, les agents pathogènes (tséntsak) qu’il extraira ensuite. Dit autrement, il procède, grâce à l’ayahuasca, aussi bien au diagnostic qu’à la cure. Si la maladie demande la prise d’un remède, celui-ci sera prescrit. Parmi les métis, conduit par un ayahuasquero (image 9), chacun va prendre un peu du breuvage. Le chaman, ivre, entonne alors le chant d’appel destiné aux mères de quelques plantes maîtresses, plantes absorbées lors de retraites en forêt, et à ce titre aussi celui de l’ayahuasca. Il leur demande aide et participation aux soins qu’il procure. Il souffle parfums et tabac sur certains points du corps, sommet du crâne, dos, poitrine, paume des mains notamment et il joue de sa shacapa, ce hochet fait de feuille qui imite, lorsqu’on l’agite, le bruit du vent dans les arbres. L’ayahuasca est, dans ce contexte, un remède valorisé.
Ghikal a dit:je pense que le problème viens de l’absence de cadre mis sur l'expérience psychédélique qui peut avoir un effet dévastateur pour le morveux occidental moyen. Tout comme sa version plus agée d'ailleurs ^^
Sebastien Baud a dit:l’ayahuasca ébranle ainsi nos défenses psychiques, nous rendant perméable à notre environnement et nous rendant vulnérable à la parole du chaman instructeur ou guérisseur
Éleusis a dit:Ça ne m'étonnerait même pas que le concept de bad trip n’existe même pas chez eux.
Sebastien Baud a dit:La prise engendre un effroi. Comme précédemment, deux cas sont présents, selon que le chaman intervient directement ou non : protégé par le rituel, le malade va apprendre à surmonter sa frayeur lors de l’ivresse et par-là, se détacher, progressivement, de l’emprise de l’événement originel ; ou le chaman recherche l’âme égarée et/ou prisonnière et la réintroduit dans le corps.
j’ai parlé avec plusieurs spécialistes indigènes. Ils affirment qu’il faut de longues années de pratique, jusqu’à 25 ou 30 ans, pour atteindre une vraie maîtrise de l’ayahuasca et pour être à même de l’ administrer dans de bonnes conditions. Les bons ayahuasqueros sont donc rares. Ils disent aussi que l’ayahuasca n’a pas que des utilisations positives. Les avoir/pouvoir auquel il donne accès peut aussi bien être utilisé à des fins négatives que positives. Dans ce sens, les indigènes avec qui j’ai parlé confirment tous la réalité de la sorcellerie.
Ghikal a dit:Je vais t'expliquer le problème ! Pour mettre une molécule sur le marché, il faut qu'elle passe l'autorisation de mise sur le marché. Pour qu'elle puisse passer l'autorisation de mise sur le marché, elle doit passer des tests qui sont de plus en plus pointus (et c'est tant mieux !!!) car on met plus n'importe quel obscure molécule comme ça sur le marché de nos jours. Il faut une batterie de tests pré-cliniques et cliniques. Un médicament prend maintenant en moyenne 10 ans a être conçus et testé, et cela coute plusieurs millions d'euros à chaque fois. Ducoup, l'industrie pharmaceutique veut absolument gagner l'argent investi pour le développement du médicament, d'ou le système de brevet.
Thalidomide, Distilbène, Vioxx, Dépakine... La liste des médicaments et des scandales associés qui s'égrènent depuis l'après-guerre semble une sinistre ordonnance, au vu des victimes qui s'additionnent. Mais c'est en décortiquant les ressorts de chaque affaire, en analysant les cas d'autres molécules, comme la paroxetine (Deroxat), antidépresseur suspecté de risques suicidaires aux Etats-Unis mais toujours top des ventes en France, ou du dernier coupe-faim (Mysimba) américain, dont les gendarmes du médicament français (ANSM) ne veulent pas mais que l'Agence sanitaire européenne autorise, que se dessine la réponse...
Liens d'intérêts obligent : « En 2013, le Conseil économique et social européen se déclarait inquiet de voir que 85 % du budget de pharmacovigilance de l'Agence européenne est... financée par les labos », relève Jean-Christophe Brisard.
Le 17 janvier 2016, Guillaume Molinet, 49 ans, trouvait la mort après avoir pris à cinq reprises 50 mg d'une molécule pour le système nerveux fabriquée par le portugais Bial. C'est l'entreprise rennaise Biotrial qui avait en charge les investigations chez les volontaires.
des groupes précédant celui de Guillaume Molinet et ayant pris une dose moindre de la molécule. Il en ressort que, dès 10 mg, on observe des effets indésirables, mais qu'ils ne sont pas tous notés...
...Tout d'abord, l'histoire des animaux décédés aux cours de ce que l'on appelle les essais précliniques. Des singes et des chiens sont morts, d'autres ont survécu mais ont eu des séquelles neurologiques et pulmonaires (lesquelles peuvent être d'origine neurologique). Les essais précliniques étaient-ils suffisamment complets? L'Agence du médicament a-t-elle eu raison de donner son accord pour cet essai chez l'homme? Autre question qui agite les membres du conseil d'administration: que s'est-il passé avec le rapport de l'ancienne évaluatrice de l'agence Cécile Delval? A-t-il été opportunément caviardé, comme le laissent entendre les procès-verbaux réalisés par les officiers de police judiciaire dans le cadre de l'instruction consultés par Le Figaro ? L'évaluatrice avait mis en garde «sur un effet neuro-système nerveux central en raison notamment des lésions»observées chez le chien, la souris, le rat et le singe. Mais l'alerte n'avait pas empêché l'évaluation clinique de l'ANSM de conclure que «la sécurité des patients est bien assurée dans cette étude».
MydriHaze a dit:Je te demanderais bien ce que tu veux comme cadeau mais t'es déjà en âge d'avoir le RSA, you lucky bastard
l'ancien a dit:Ceux qui ne [post=938176]LIKE[/post] pas ne t'aime pas. [thread=55065]CQFD[/thread]. :toimonster:
PaRaLLeL a dit:Merci a krix pour l'air frais qu'il apporte en tant que modo. Ça fait toujours plaisir de voir quelqu'un s'investir.