Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Note: This feature may not be available in some browsers.
Aid3nPearce a dit:Ah bah si les tribus le font tout va bien alors, allons-y prodons les gosses !! Putain mais arrêtez de croire qu'un morveux occidental est moins solide qu'un autre ou quoi c'est juste des immenses bullshit, stop idéaliser des cultures et des peuples dont vous ignorez absolument tout, ça me fait penser a un genre de racisme inversé c'est très malsain et dangereux.
Le principal problème de psychédélique et jeune age c'est que le cerveau est toujours en phase de croissance et ce même jusqu'au tout début de la vingtaine et qu'il n'a pas les même armes qu'un cerveau mature pour se remettre et assumer ce genre d'expérience.
Ghikal a dit:Ce n'est pas de "solidité" dont j'ai parlé. Mais d'une structure sociale à même d'accepter et de recevoir l'expérience psychédélique pour qu'elle soit bien intégrée dans la psychée. Les psychédéliques augmentent la plasticité neuronale ce qui crée un choc qu'il va falloir digérer, intégrer. L'intégration, c'est ce qui se passe après le trip. Et je pense que c'est le seul problème des psychédéliques étant donné qu'ils ne provoquent rien d'autre de dangereux au niveau physiologique (enfin pour les champis/LSD tout du moins). Le danger d'avoir une plasticité neuronale négative par une mauvaise intégration de l'après trip. Un traumatisme. Et je pense que ce qui est crucial pour la bonne intégration d'une expérience psychédélique, c'est d'avoir un cadre/une structure a cette expérience. Ce qu'ont les tribus avec leurs shamans, ou la prise encadrée par un psychiatre compétent dans le domaine des psychédéliques, ce qu'ont pas les morveux occidentaux.
l'ancien a dit:overdose de noix de Muscade à 11 ans qui vais te dissuader de quoi que ce soit.
Les psyché n'augmentent pas la plasticité neuronale, la plasticité neuronale c'est la capacité du cerveau a se réparer en cas de certaines lésions ou boulversement ainsi que celle de s'adapter pour faire face a de nouvelle contrainte/nécessité. Il n'ya pas plasticité neuronale négative c'est un truc que tu viens d'inventer.
Par ailleurs je ne vois absolument pas pourquoi il nécessaire d'avoir une structure sociale/cadre pour intégrer une expérience psyché, certes ça peut aider pour certaines personnes mais ce n'est pas une obligation et cela peut même a mon sens être un danger. Il y'a des tas de gens qui ont beaucoup tripper seul, sans soutiens social et qui s'en sortent très bien.
La psychoménagère reviens !Sans parler scientifique,
je pense qu'éviter au jeunes tout contact avec les psychédéliques et aussi du simple bon sens, on évite au gosses toute situation de stress et de perte de de repères car l'on sait instinctivement que cela est nocif, Y'a pas a chercher plus loin, et penser le contraire c'est juste jouer a l'apprenti sorcier avec des justifications totalement hasardeuse.
Bref tu m'as tout l'air de quelqu'un qui parle sans savoir et qui adapte son discours pour coller avec ses fantasmes, c'est nul.
FunkyDuck a dit:Les gamins à qui on donne de l'aya restent sûrement adaptés à leur vie 'sauvage' mais je les imaginerais pas dans notre société
Notre vie urbaine est pas adaptée au chamanisme, cest clair
FunkyDuck a dit:Notre vie urbaine est pas adaptée au chamanisme, cest clair
l'ancien a dit:J'imagine au Lycée les matières optionnelles, ce bordel, avec ceux qui boivent de l'aya, d'autres qui maŝtiquent de l'iboga, ceux qui chiquent la coca ou la salvia, les shiloms remplaceraient les flutes, les buvards seraient de vrais buvards, des seringues dans la trousse à côté du compas. Demain, calcul mental sous LSD, vendredi matin, interro sur les différentes couleurs de la soupe. N'oubliez pas, la semaine prochaine, sortie scolaire dans une pépinière à peyotl.
FunkyDuck a dit:Cours de rdr puis faut passer son baccalauréaya.
l'ancien a dit:Le thème d'une société moderne dont l'accès à la citoyenneté requière la prise de drogue lors d'un rituel unique ou quotidiennement a déjà été traité dans des films de SF, quelques uns récents.
Sans partir dans le délire, je ne serais pas contre des thérapies comportementales, pour faire large, qui emploieraient de puissants psychédéliques chez l'adulte et pouquoi pas l'adolescent. C'est un peu ce qui se fait déjà avec des produits de synthèses remarque... ben ouais... en fait on prescrit des drogues dures chez l'enfant ! Société d'apprentis sorciers qui n'a aucun bon sens ! Des antipsychotiques, des amphétamines, de puissants régulateurs de la recapture de la sérotonine, de la mélanine artificielle... nous sommes des monstres ! Nous droguons nos enfants !
Heureusement que ça se résume à enculer des mouches. J'imagine si nous étions au pouvoir, tiens, en charge d'une grande réforme sur la légalisation des drogues.
l'ancien a dit:Tout dépend de l'intégration sociale de la prise de drogue. Quelque part, mettre des gouttes de vin sur les lèvres d'un très jeune enfant qu'on baptise, au-delà du sang du Christ, c'est bien de l'alcool et c'est bien un rite avec une drogue... non ? Chez le catholique, les différents rites initiatiques se feront, à tous les âges, au moyen de l'alcool. Ce sera accepté socialement. Pas besoin de se cacher et d'inventer des rites avec l'alcool, ils existent déjà.
Rien qu'au Maghreb, il n'est pas rare de donner du cannabis à des enfants en bas âge pour les aider à dormir... du majoun... Quel scandale ! Donner du cannabis à des enfants, vous n'y pensez pas, leur développement cérébral ! Oui mais si tout la société accepte ce vers quoi l'enfant va se développer...? Si le cannabis n'est pas un tabou ? Ou l'ayahuasca ou l'iboga ou la coca ou n'importe quoi d'autre n'est pas tabou dans la société ? Il demeure les risques liés à la santé, au développement cérébral, au système immunitaire, le risque intrinsèque au produit consommé, les risques de trouble à l'ordre public.
L'interdiction globale est la solution de facilité et de salut public à moindre coût.
l'ancien a dit:C'est mieux que de foutre nos gamins sous Ritaline ?