Mr.G
Holofractale de l'hypervérité
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Il m'est alors arrivé cette-fois là, l'espace de plusieurs minutes, peut-être même une heure entière où. Fixant l'écran de ma télévision et adosser contre le mur, à moitié allonger dans mon lit. Ma pensée et les reliefs des murs ondulants sagement dans un chaos organisé, ma pensée boucler et boucler encore. J'étais témoins et acteur de cette inlassable retour arrière et éternel recommencement de ma pensée à partir d'un certain point.
Les truffes étaient fortes, il était certain maintenant que j'étais prit dans le trip. Chaque sensation engageant une autre sensation, s'engageant toujours plus loin dans le bagage émotionnel qui compose mon être. Chaque boucle, bien que similaire, était tout de fois différente, j'arrivais à des conclusions miracle mais elle était brisé dans l'instant par une nouvelle émotion pirate, sabordant la précédente par de nouvelles émotions elles aussi chargées et fortes.
Chaque boucle était plus plongeante, je le remarquais car j'avais au tout début, un léger retour a la réalité, oui j'étais sous un produit induisant des hallucinations et des illusions, je devais juste rester calme et attendre de voir où tout ça me mènerai. Tout en ayant la certitude qu'en ne bougeant pas et en restant calme, il ne m'arriverait rien de mal.
La fin de chaque boucle, le moment où la pensée s'enroule sur elle-même devenait assommante ou presque. Les visions et les couleurs, la musique. Tout devenait trop coloré et trop lumineux. Tout devenait blanc pour ainsi dire, tout se confondant. Mon corps n'était plus qu'une sensation lointaine, j'étais toute chose dans la pièce. Et il y eu alors comme un flash et tout était blanc. Ça ne dura qu'un instant et je recouvrais l'usage de la vue. Tout était harmonieux et chaud. La musique était elle aussi proche de la perfection.
Mais comme à chaque fois, dès lors que je me tenais près de ce gouffre, pourtant tout près a tomber. Je retrouvais une certaine part de lucidité. Je fixais toujours l'écran de télévision qui me servait d'écran d'ordinateur. Quel est cette musique que j'écoute déjà. J'ai l'impression de la connaître mais pourtant elle me semble comme nouvelle.
J'écarquillais les yeux de plus en plus et la musique devenait plus lointaine.
Il n'y avait en réalité aucune musique. L'écran afficher l'image de la dernière chanson écouter mais la barre rouge était à son terminus. Depuis combien de temps regardais-je un écran en pause? La musique se stoppa net. Les visuels et ma non sobriété mental était toujours présente mais à présent je ressentais le vide dans la pièce, tout juste troubler par le grésillement des objets ménagers et de ma propre respiration. J'avais le souffle court et j'étais comme estomaqué. J'avais écouté de la musique qui était dans ma tête, pendant presque une heure entière. Et soudain le début de ma boucle était alors d'une simplicité évidente, d'une naïveté même. Je voulais me trouver une bonne tracklist pour faire le trip, j'avais commencer à écouter un set puis une amie m'avait proposé d'écouter cette chanson, me sachant dans un état alternatif. Je m'étais arrêter à cette chanson. Prit par le trip et les émotions qu'elle m'avait insufflé, j'étais rester ainsi jusqu'au climax, soit presque 54min après la fin de la chanson.
Je reconnaissais maintenant les effets du plateau et la légère re-descente. Ma lucidité, bien que relative, était revenu a un niveau appréciable et mon jugement retrouvé une certaine raison. Non mon drap n'était pas une étendu d'eau et je n'étais pas cerner par une antique forêt. Les formes cessaient de s'assembler en des motifs anciens mais il arrivait cependant que je sois prit par des remontés folle alors que je commencé à fumer les quelques joints d'herbes que je m'étais rouler avant la séance. Ajoutant à l'ambiance enfumé et bleus des fumoirs, je rajoutais une bougie et éteignais la télévision. Me plongeant dans une ambiance mystique et merveilleux. Mes traits tirait en arrière et mes grands yeux me font toujours l'effets du chat du Cheshire. Je me laisser happer par la bougie. Il y a beaucoup de chose à voir sous trip, mais le feu prend directement des formes fractales que chacun peut assimiler à des choses personnelles.
Ma maigre bougie m'accompagna pendant encore une heure entière où j'étais maître du trip, je passais de l'introspection, a la rhétorique de celle-ci. Je pouvais aussi tout stopper si tout allez trop loin. Je voulais à nouveau écouter de la musique et je me laisser penser a ce que je pourrai écouter et la musique commencer. Et je ne sais pas par quel mécanisme d'action, j'arrivais à entendre tout ce que je voulais, des animaux, la voix de mes parents et amis.
Bientôt j'organisais un concert mental, ajoutant des sons à des sons. J'avais fermer les yeux pour faciliter le travail, chaque son ayant son propre visuel. Tout devint bientôt comme un feu d'artifice d'une très grande qualité. Mais l'expérience perdit en intensité et j'étais beaucoup moins dans l'expérience qu'à côté.
Je rouvris les yeux, encore saturé de nouveau son que j'avais inventé dans des mélanges colorés de diapason non harmonieux. Soudain je me trouvais un peu con, là en slip dans mon lit en ce début de soirée, je n'avais pas bouger ou presque de la journée, focalisant mon intention sur le trip que je venais de finir, je me rendais compte que tout était relativement assez étrange à se droguer seul. J'avais une forte envie de communiquer mais la communication par écrit via ordinateur rend rarement bien compte de ce que l'on veut faire comprendre.
Je décidais donc de sortir faire un tour, sans doute pour m'acheter des cigarettes et envoyer quelques sms en marchant.
Cependant, je laissais mon mp3 à la maison.
Les truffes étaient fortes, il était certain maintenant que j'étais prit dans le trip. Chaque sensation engageant une autre sensation, s'engageant toujours plus loin dans le bagage émotionnel qui compose mon être. Chaque boucle, bien que similaire, était tout de fois différente, j'arrivais à des conclusions miracle mais elle était brisé dans l'instant par une nouvelle émotion pirate, sabordant la précédente par de nouvelles émotions elles aussi chargées et fortes.
Chaque boucle était plus plongeante, je le remarquais car j'avais au tout début, un léger retour a la réalité, oui j'étais sous un produit induisant des hallucinations et des illusions, je devais juste rester calme et attendre de voir où tout ça me mènerai. Tout en ayant la certitude qu'en ne bougeant pas et en restant calme, il ne m'arriverait rien de mal.
La fin de chaque boucle, le moment où la pensée s'enroule sur elle-même devenait assommante ou presque. Les visions et les couleurs, la musique. Tout devenait trop coloré et trop lumineux. Tout devenait blanc pour ainsi dire, tout se confondant. Mon corps n'était plus qu'une sensation lointaine, j'étais toute chose dans la pièce. Et il y eu alors comme un flash et tout était blanc. Ça ne dura qu'un instant et je recouvrais l'usage de la vue. Tout était harmonieux et chaud. La musique était elle aussi proche de la perfection.
Mais comme à chaque fois, dès lors que je me tenais près de ce gouffre, pourtant tout près a tomber. Je retrouvais une certaine part de lucidité. Je fixais toujours l'écran de télévision qui me servait d'écran d'ordinateur. Quel est cette musique que j'écoute déjà. J'ai l'impression de la connaître mais pourtant elle me semble comme nouvelle.
J'écarquillais les yeux de plus en plus et la musique devenait plus lointaine.
Il n'y avait en réalité aucune musique. L'écran afficher l'image de la dernière chanson écouter mais la barre rouge était à son terminus. Depuis combien de temps regardais-je un écran en pause? La musique se stoppa net. Les visuels et ma non sobriété mental était toujours présente mais à présent je ressentais le vide dans la pièce, tout juste troubler par le grésillement des objets ménagers et de ma propre respiration. J'avais le souffle court et j'étais comme estomaqué. J'avais écouté de la musique qui était dans ma tête, pendant presque une heure entière. Et soudain le début de ma boucle était alors d'une simplicité évidente, d'une naïveté même. Je voulais me trouver une bonne tracklist pour faire le trip, j'avais commencer à écouter un set puis une amie m'avait proposé d'écouter cette chanson, me sachant dans un état alternatif. Je m'étais arrêter à cette chanson. Prit par le trip et les émotions qu'elle m'avait insufflé, j'étais rester ainsi jusqu'au climax, soit presque 54min après la fin de la chanson.
Je reconnaissais maintenant les effets du plateau et la légère re-descente. Ma lucidité, bien que relative, était revenu a un niveau appréciable et mon jugement retrouvé une certaine raison. Non mon drap n'était pas une étendu d'eau et je n'étais pas cerner par une antique forêt. Les formes cessaient de s'assembler en des motifs anciens mais il arrivait cependant que je sois prit par des remontés folle alors que je commencé à fumer les quelques joints d'herbes que je m'étais rouler avant la séance. Ajoutant à l'ambiance enfumé et bleus des fumoirs, je rajoutais une bougie et éteignais la télévision. Me plongeant dans une ambiance mystique et merveilleux. Mes traits tirait en arrière et mes grands yeux me font toujours l'effets du chat du Cheshire. Je me laisser happer par la bougie. Il y a beaucoup de chose à voir sous trip, mais le feu prend directement des formes fractales que chacun peut assimiler à des choses personnelles.
Ma maigre bougie m'accompagna pendant encore une heure entière où j'étais maître du trip, je passais de l'introspection, a la rhétorique de celle-ci. Je pouvais aussi tout stopper si tout allez trop loin. Je voulais à nouveau écouter de la musique et je me laisser penser a ce que je pourrai écouter et la musique commencer. Et je ne sais pas par quel mécanisme d'action, j'arrivais à entendre tout ce que je voulais, des animaux, la voix de mes parents et amis.
Bientôt j'organisais un concert mental, ajoutant des sons à des sons. J'avais fermer les yeux pour faciliter le travail, chaque son ayant son propre visuel. Tout devint bientôt comme un feu d'artifice d'une très grande qualité. Mais l'expérience perdit en intensité et j'étais beaucoup moins dans l'expérience qu'à côté.
Je rouvris les yeux, encore saturé de nouveau son que j'avais inventé dans des mélanges colorés de diapason non harmonieux. Soudain je me trouvais un peu con, là en slip dans mon lit en ce début de soirée, je n'avais pas bouger ou presque de la journée, focalisant mon intention sur le trip que je venais de finir, je me rendais compte que tout était relativement assez étrange à se droguer seul. J'avais une forte envie de communiquer mais la communication par écrit via ordinateur rend rarement bien compte de ce que l'on veut faire comprendre.
Je décidais donc de sortir faire un tour, sans doute pour m'acheter des cigarettes et envoyer quelques sms en marchant.
Cependant, je laissais mon mp3 à la maison.