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  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Krix
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test

Bjr, j’ai très difficile de poster sur le forum. ça dit que le message est vide et que je dois recommencer... Les MP ne vont pas non plus. Hier j’ai réussi à poster après beaucoup de persévérance mais aujourd’hui il faut encore plus se casser dessus...

Amicale du PC
 
Capture.jpg


ici spécialement c'est un topic ou par hasard c'est passé... hier sur la Lyre aussi après 20 tentatives... ici aussi ça passe après sêtre arraché les cheveux 20 x. Et même que j'ai essayé avec plusieurs navigateurs...

aujourd'hui sur la Lyre impossible ni les MP (c'est pour ça que c'est obligé d'occuper un post où je peux, désolé d'être turbulent mais je suis dans la gadoue en fait, sorry)
 
Problème au niveau des notifications de mon côté aussi, quand je clique dessus rien ne se passe mais si : la barre de navigation verticale disparait et se bloque, donc faut refresh la page. C'est pas une urgence j'ai l'impression mais bon quand même.
 
Quand, fouillant mon répertoire à la recherche d'un partenaire sûr, je me rends compte que la moitié sont en couple et que les autres ne m'attirent plus.
 
C'est peut-être la voie de l'ascétisme qui s'ouvre à toi ;)

(Je dirais rien sûr ton erreur de syntaxe)
 
Le cul c'est surfait. La fusion spirituelle avec des entités mystiques sous kétamine c'est la seule solution viable à long terme, le reste ça crée des passions vaines qui nous détournent du seul véritable objectif : sortir de la matrice.

(putain en vrai j'aimerais pouvoir seulement envisager d'écrire à qq1 dans mon répertoire pour tirer un coup. La misère ^^)
 
Cookies a dit:
OK c'est chelou, j'enquête et j'espère trouver une solution rapidement

je me sens comme un puni pck je ne peux presque pas poster... C'est pas une question de restriction au moins?? Par contre je viens de remarquer que en reprenant ton message j'arrive à l'afficher... puis après je peux l'éditer et ajouter mon texte en-dessous de tes [quote... et ça tient les modifs
 
j'ai une passion pour les chèvres
Ca c'est un secret de polichinelle.

D'ailleurs : quand j'ai cliqué sur "citer" sur ton post c'est sûr que ça marche pas, pour sûr, mais pas sûr c'est peut-être sûrement que pour moi, la moisissure toxique...  :huh:
 
Cette part importante de la souffrance qui réside dans le silence, celui qu’on s’impose ou qu’on nous impose.
 
Je crois, s’en m’en rendre vraiment compte, que je suis une personne assez entourée, qu’il y a un certain nombre de gens qui me portent de l'intérêt. Pourtant quand j’ai besoin de parler et que je scroll mon répertoire je ne trouve personne à qui. Chacun de ces individus, pour qui j’ai de l’amour ou de l’affinité ou de l’intérêt ou du désir, individuellement je me rend compte au moment de taper sur le clavier que je n’ai pas envie de les déranger. Je ne veux pas qu’ils me repoussent ou me prennent en pitié, qu’ils comprennent de travers ou à moitié ou par leur propre prisme, qu’ils se sentent responsable ou vraiment saoulés. J’ai peur de provoquer une réaction, même quand j’ai besoin de cette réaction, ou non même quand j’ai simplement besoin de deux yeux dans les miens.
 
J’ai jamais envie de m’imposer et cela même dans les moments où j’en ai le plus besoin, simplement parce que je ne me sens pas légitime. J’ai dû entendre un million de fois les serins de la bonne volonté et de ces gens qui aiment souffrir et des drama-queens et j’en passe de tout ce qu’on peut inventer pour décrédibiliser les voix de la souffrance, s’en protéger.
 
Alors je vais sur Internet et je parle à des inconnus mais en fait même sur Internet ça me rattrape, je suis sur les groupes et les sites des gens les plus paumés du net et même là je n’ai pas envie d’en parler, parce qu’il y a des gens qui souffrent plus que moi alors je ne suis pas légitime, ou parce que les inconnus s’en branlent de moi alors à quoi bon, ou parce que ça fout une sale ambiance et que le pseudonymat ce n’est pas de l’anonymat.
 
Pourtant j’ai besoin de parler je crois, quand j’écris je sens ma langue se crisper et mes lèvres se serrer et c’est comme un cri qui ne résonne que dans ma tête. Et à force de ne pas parler je fais n’importe-quoi, je m’imagine n’importe-quoi, mes pensées prennent une place folle, mes émotions sont incontrôlables, j’ai envie de me buter pour que ça s’arrête, + mon esprit s’emballe et + mon corps se tétanise, je ressens de la fatigue et de la lassitude et j’ai encore moins la force de parler.
Je ne sais plus ce qui est à moi et à la souffrance, d’une heure à l’autre je ne suis pas la même personne et je méprise celle que j’étais et celle que je serai, pour la devenir et mépriser l’ancienne et la suivante, et cetera. Je ne sais plus ce qui est tangible, suis-je réelle quand je vais bien ? Quand je vais mal ? Comment dire la vérité ? Comment répondre à la question « ça va » ?
 
Parfois je trouve l’énergie de briser cette spirale et généralement c’est comme quand j’essaye de faire des ricochets, parfois un parfois deux et puis la pierre tombe dans l’eau et retour sur la rive. J’avoue que c’est douloureux et que j’évite de plus en plus les éventuelles déceptions, j’ai de moins en moins de courage c’est assez nul d’ailleurs.
Certain/e/s trouvent déjà que j’en parle trop : alors je me dis qu’untel a raison, les gens s’en foutent en fait, ils s’en foutent et c’est complètement normal parce qu’ils ont juste autre chose à foutre et c’est la vie. Et je ne jette la pierre à personne car moi-même il m’arrive souvent de silencier les gens en souffrance, autour de moi, juste parce que je n’ai pas envie de m’en mêler, tkt je suis là pour toi mais souffre en silence stp.
 
Sauf qu’hier j’ai pu parler à une amie, avec de l'hésitation au début et puis finalement ça coulait, c’était normal. Pourquoi cette fois-ci et pas une autre, je ne saurais le dire. Juste une situation qui a mûri : une dispute, une soirée, de l’alcool, un câlin, une promesse, un texto, un dîner, et on parle. Je lui ai raconté que la vie c’est de plus en plus fade et que je vrille et que j’ai besoin d’aide.
C’est pas ça qui me fera échapper à moi-même, mais aujourd’hui j’avais un peu plus de sérénité que la veille et sans drogue s’il-vous-plaît.
 
Dans les mots « chercher de l’attention » il y a un sous-entendu assez moche comme si c’était malsain et narcissique et pervers d’avoir besoin d’un contact, je trouve ça triste car les gens qui « cherchent de l’attention » sont souvent simplement des gens qui en manquent, qui lorsqu’ils scrollent leur répertoire n’ont pas de pote à qui raconter ce qui les chiffonne, c’est comme lorsqu’on reproche aux mendiants d’avoir faim ou aux SDF d’installer leur tente.
Alors ouais les mendiants, les SDF et les gens seuls peuvent être assez chiants, et l’on n’a pas toujours de quoi leur donner. J’ai pas de réponse. Ce n’est facile pour personne, j’imagine.
En tout cas j’ai toujours peur d’avoir l’air de « chercher de l’attention » mais en fait c’est un besoin vital et il ne faudrait pas en avoir honte.​
 
T'es un introverti, surement névrosé à cause du ramollissement des tes relations (ou même de base je ne saurais dire).

Y'a pas dix mille solutions: Le rapport sociale (le vrai, pas celui qui se désamorce facilement) se crée dans une activité commune et surtout dans le besoin vital de ce rapport, donc dans le travail.

Ça peut être des recherches sur l'art, une vidéo que t'aimerais tourner ou il te faut des gens pour parler d'un sujet qui te tient à cœur, l'envie de construire une famille, un travail salarié ou bénévole dans une association.

L'amitié frivole je suis désolé ben...C'est pour les personnes frivoles.
Quand t'es intelligent et sensible (et que tu n'es pas issue d'une classe sociale aisée= réseaux inexistant) ben les gens que tu as envie de rencontrer c'est des gens qui te ressemble, donc des gens intelligents, donc des gens passionnés avec un projet commun, ou au moins une passion commune.
Le feu entretien le feu.

Quand j'étais en primaire j'étais souvent seul dans la cour de récré, pendant que tous les mecs de ma classe jouaient au foot.
Quand on me demandais pourquoi j'étais tout seul je répondais : parce que j'aime pas le foot.
L'offre sociale étais réduite. 
Puis un jour je me suis pointé avec des cartes à jouer. Un mec m'a rejoint, et le jeu nous à rassemblé. L'activité commune c'est le liant. Y'avais même quelques filles qui nous regardaient jouer. Wahou des filles quoi.

Et puis l'année suivante y'a eu une mode féministe juvénile et les filles se sont mises aussi à jouer au foot avec les mecs. Et j'ai compris que j'allais vraiment me sentir seul dans la vie.

Bref je sais même plus ce que j'bave moi. Courage moussaillon.

Et pour ce qui est de la victimisation ou de la demande d'attention j'te trouve discret. Souvent les gens qu'on étiquette de ce genre de défaut sont des gens qui font ça h24 sans avoir de grandes raisons de le faire en plus. Après c'est sur quand t'as l'impression de ne jamais être légitime pour te plaindre la moindre plainte que tu émet avec le recul elle te parait démesurée. Mais j't'assure ça va.
 
L’angoisse, qui rajoute beaucoup d’inconfort à des situations déjà bien assez chiantes comme ça, mais le pire, c’est les attaques de panique enfin je sais même pas si c’est le bon terme, mais ces moments ou tu es totalement persuadé que tu es en train de mourir avec en prime cette certitude que « tu l’as bien cherché quand même, c’est ta faute »
 
Dit comme ça, ce sont bien des attaques de panique...
 
Ma poste qui ne frappe jamais à la porte et met directement un avis de passage en disant en plus qu'ils reviennent le samedi alors qu'ils ne bossent pas le samedi... De toute façon ils sont ouverts 1h par jour et pas tous les jours !!!

​​​​J'attends mon kratom, kudzu et tout le reste :( va falloir que j'attende lundi putain...


Ok mea culpa, j'ai reçu ma commande et ça fais du bien tout ça :D
 
Si tu répond comme ça dès qu'on te propose un câlin en même temps ...
<3
 
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