Quoi de neuf ?

Bienvenue sur Psychonaut.fr !

Le forum des amateurs de drogues et des explorateurs de l'esprit

Actualités

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Sludge
  • Date de début Date de début
Ca fait froid dans le dos de telles dérives
 
Le recueil des signatures pour le référundum initiative partagée sur la privatisation d'Aréoport de Paris a (mal) commencé

Bon tout est fait apparemment par l’exécutif pour que les millions de signatures préalables nécessaires à un référendum pour ou contre la privatisation d'ADP dont l'issue pourrait désavouer le gouvernement.

Je vais pas faire un speech et présenter les arguments, surtout que vu mes récentes prises de positions sur la souverainneté économique et l'écologie je pense que vous avez déjà une idée sur ce que je pense de tous ça.

Mais bon puisque c'est un exercice pour la démocratie. Après tout pourquoi pas , voici le lien (il faut sa carte d'identité et bien être attentif aux petites lignes traitres) :
https://www.referendum.interieur.gouv.fr/soutien/etape-1
 
[video=youtube]
Un grand moment. Si un/une analyste veut bien établir des diagnostiques ^^'
 
http://www.leparisien.fr/paris-75/e...Be-dwHiirbQ9GQR7No69t1lGN7Lw73bW00WJnXa-BD28Y
 
Et si demain on pouvait fumer « un joint » en toute légalité à Paris ? Sujet déjà d'actualité en 1986 au cinéma avec Les frères pétard interprété par Gérard Lanvin et Jacques Villeret et en ce moment même avec la série Netflix Family Business et sa désormais célèbre « Beucherie » portée par Jonathan Cohen et Gérard Darmon. La question sera débattue au Conseil de Paris des 8, 9, 10 et 11 juillet, sur proposition du groupe Radicaux de Gauche Centre et Indépendants (RGCI). Sa présidente, Laurence Goldgrab, souhaite que la Ville de Paris propose au gouvernement de « faire de Paris un territoire d'expérimentation de la légalisation du cannabis récréatif pour les personnes majeures en veillant à son encadrement strict ».​
Un rapport du Conseil d'analyse économique y est favorable
 
Cette proposition intervient après la publication par le Nouvel Observateur (19 juin 2019) d'une tribune appelant à la légalisation du cannabis signée par des médecins, élus et économistes désireux « en finir avec le statu quo ». Les maires de Saint-Ouen et de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) figurent parmi les signataires. Un rapport du Conseil d'analyse économique (CAE) dévoilé en juin, un think-tank indépendant sous l'autorité du Premier ministre, préconise également dans une note de légaliser le cannabis en France. Cela pourrait rapporter 2 Mds€ à l'Etat en recettes fiscales.​
« Actuellement, la France a le système le plus répressif d'Europe et pourtant, nous sommes aussi le pays où la consommation explose, en particulier chez les mineurs. Le constat est sans appel : 50 ans de répression inefficace et coûteuse », a regretté ce jeudi matin la conseillère de Paris (PRG) du IIIe arrondissement.​
Selon l'observatoire français des drogues et toxicomanie, en 2014, 1 mineur sur 2 avait déjà fumé du cannabis et 10 % étaient des consommateurs réguliers.​
Lutter contre le crime organisé
 
« Quand on regarde ce qui se passe chez nos voisins, on constate qu'avec une législation encadrée, il y a une hausse chez les consommateurs réguliers mais une diminution de la consommation chez les jeunes quand l'interdit de la vente aux mineurs est respecté et elle s'accompagne d'une baisse de la criminalité », argumente la patronne du groupe RGCI. « Cette expérimentation permettrait de lutter plus efficacement contre le crime organisé et de mieux protéger les mineurs », enchaîne-t-elle.​
Des maires d'arrondissement sont pour
 
Daniel Vaillant, l'ancien ministre de l'Intérieur de Lionel Jospin et ex-maire du XVIIIe fait partie des 70 cosignataires de l'appel publié dans le Nouvel Observateur. Le 27 juin dernier François Dagnaud (PS), maire du XIXe a emboîté le pas aux partisans de la légalisation. Jacques Boutault, le maire EELV du IIe, lui, défend cette position depuis de nombreuses années.​
« Consommé sur le mode récréatif, le cannabis ne pose pas plus de problème qu'un verre de vin partagé entre amis. C'est parce que cette drogue est interdite en France que les mafias se sont emparées de ce commerce très lucratif », lance l'élu écologiste du IIe favorable à une expérimentation dans la capitale. « Les mentalités évoluent et le cannabis aura bientôt le même statut que le tabac ou l'alcool », assure le maire du IIe.​
Un mauvais signal pour les jeunes ?
 
Ce n'est pas l'avis de Geoffroy Boulard, le maire (LR) du XVIIe. « C'est un très mauvais signal envoyé aux jeunes car la drogue fait des ravages chez les adolescents. Et limiter cette expérimentation à Paris est irresponsable », s'agace l'élu de droite qui dénonce « une communication démagogique à l'approche des élections municipales ».​
Pas sûr pourtant que l'exécutif vote ce vœu. S'il se dit « favorable à une évolution de la législation sur le sujet », Rémi Féraud, le président de groupe PS et apparentés se montre néanmoins sceptique « la méthode » et craint les « effets pervers » d'un test mené à l'échelle d'un territoire.
La décision appartient à l'Etat​
 
Le Conseil de Paris fera-t-il un pas vers la légalisation ? Même si d'aventure le vœu devait être voté la semaine prochaine, le cannabis ne sera pas pour autant légalisé dans la capitale car le sujet ne relève pas des compétences de la Ville mais du gouvernement. « Ce vœu a pour objectif d'interpeller l'Etat et de montrer qu'à l'échelle locale, nous sommes prêts », concède Laurence Goldgrab.​
Ce que dit la loi

Actuellement posséder du cannabis, même en faible quantité, est un délit. Les sanctions peuvent aller jusqu’à 1 an d’emprisonnement et/ou 3 750 € d’amende (article 3421-1 du Code de la santé publique). Si vous revendez du cannabis ou même si vous en donnez à un ami, vous serez considéré au regard de la loi comme un trafiquant. À ce titre vous encourrez une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans d’emprisonnement et 7 500 000 € d’amende (article 222-37 du Code Pénal). Ces peines sont doublées lorsque le cannabis est vendu à des mineurs.
 
Je savais pas trop où la poster, mais bon vu que ça provient d'un journal et que c'est un peu trop démago (sur ce forum du moins) pour mériter un article à elle seule, je poste cette vidéo ici :

[video=youtube]


PS: Je pense que la traduction est pas parfaite, dans le sens où en anglais "spirit/spiritual" ressemble davantage à ce qu'on met en français derrière le mental que derrière l'esprit et la spiritualité. Y'a plus cette dimension psychique et moins cette dimension métaphysique, parce que les discours religieux à la mord moi le nœuds c'est pas trop mon délire, mais là cette interview est simple et efficace. Et un bon baiser à tous les écono-libéraux.
 
Le constat a malheureusement déjà été fait 10 000 fois mais la bataille idéologique, je pense pas qu'elle sera gagnée à temps ^^
 
Aie Aie Aie je double post désolé !



Déjà que nos agriculteurs étaient dans le mal, la mondialisation viens apporter ses merveilles
 
Sois patient, attend de voir la réponse de la nature  :D
 
https://www.circ-asso.net/legalisat...mS0cG2SKVyel99m_0IC7wzH6JHVH8H6eo_iJi0-8LeVoE
 
Légalisation du cannabis: la Ville de Paris plaide pour une expérimentation dans la capitale
 
La maire-adjointe en charge de la Santé à Paris s’est engagée à écrire à la ministre de la Santé pour proposer une expérimentation de la légalisation du cannabis dans la capitale.
Paris deviendra-t-elle une zone test de légalisation du cannabis ? La mairie de Paris va en tout cas en faire la proposition au gouvernement. La maire-adjointe en charge de la Santé Anne Souyris, s’est engagée ce mercredi devant le Conseil de Paris à “écrire un courrier à la ministre [de la Santé, ndlr]” pour lui proposer.
Cette initiative intervient après le voeu des élus du groupe des Radicaux de gauche (RGCI) proposant cette expérimentation pour les personnes majeures dans la capitale.
“Notre volonté est d’interpeller le gouvernement pour lui proposer de faire de Paris un territoire test de la légalisation avec un encadrement très strict”, a expliqué Laurence Goldgrab, la présidente du groupe, justifiant cette proposition par “l’échec” des politiques répressives contre la consommation de cannabis.
“La France est au premier rang européen en matière de politique répressive mais aussi au premier rang de la consommation chez les jeunes”, a-t-elle rappelé.
La mesure défendue par les radicaux de gauche a pour double objectif de lutter contre les trafic et contre la consommation des plus jeunes.
Carole Blanchard
 
https://www.nouvelobs.com/politique...ache-sur-ses-concurrents-aux-municipales.html

« Fils de p*** », « pas les épaules »… Griveaux regrette la publication d’une « conversation privée »
 
e4c59ac_buaR_L63ung4M3jRxQfAFFG3.jpg


Benjamin Griveaux, le 27 mars 2019. (MARTIN BUREAU / AFP)Avant même d’être officiellement investi par LREM, Benjamin Griveaux ne cachait pas sa détermination.Par L'Obs

Publié le 17 juillet 2019 à 15h20

La bataille pour les municipales à Paris est bel et bien lancée… et s’annonce sanglante. Nos confrères du « Point » révèlent ce mercredi 17 juillet les dessous de la stratégie de Benjamin Griveaux, l’ancien porte-parole du gouvernement, investi le 10 juillet dernier pour mener la liste La République en Marche dans la capitale. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’épargne pas ses concurrents et ex-concurrents marcheurs. Parmi les cibles du candidat : Cédric Villani, Hugues Renson ou encore Mounir Mahjoubi, tous rhabillés pour l’hiver.

« Fils de p*** », « pas les épaules », « abrutis »Les propos rapportés par l’hebdomadaire dateraient qu’il y a quelques semaines et auraient été tenus dans un cadre privé, alors que la commission d’investiture du mouvement n’avait pas encore pris sa décision. Et tout le monde en prend pour son grade. Hugues Renson, député de Paris, qui briguait l’investiture ? Benjamin Griveaux aurait tranché :
« C’est un fils de p…, on le sait depuis le premier jour. »
L’ancien secrétaire d’Etat Mounir Mahjoubi, lui aussi candidat LREM malheureux dans la course pour Paris ?
« Bon… no comment ? »Et Cédric Villani (qui préfère attendre septembre avant de dévoiler ses intentions) ?

Selon Griveaux :
« Cédric, il n’a pas les épaules pour encaisser une campagne de cette nature. Il ne verra pas venir les balles, il va se faire désosser ! »D’ailleurs, ce dernier aurait même assuré avoir le soutien entier d’Emmanuel Macron, alors que le chef d’Etat semblait encourager la candidature du mathématicien.

En privé, l’ancien porte-parole du gouvernement aurait assuré :
« Emmanuel [Macron] m’envoie des SMS en disant : “Cédric n’a pas compris ce que je lui ai dit.” »Seule concession de Benjamin Griveaux au profit de Cédric Villani : le fait d’être « quand même plus intelligent que les autres » (une médaille Fields en 2010, l’équivalent du Nobel en mathématiques tout de même).

Et le candidat LREM à la mairie de Paris de qualifier au final tout ce petit monde d’« abrutis », toujours selon les propos rapportés par « le Point » :
« Contrairement à ce que racontent tous les abrutis depuis vingt ans, Paris ne se gagne pas à gauche, mais ça se gagne au centre. Et pour gagner au centre, il faut prendre des voix à droite […] Les gens qui sont d’accord avec moi sont Bertrand Delanoë et Philippe Grangeon, qui ont vaguement gagné des campagnes à Paris. »Des « excuses » mais pas de démenti sur le fondL’union des marcheurs autour de sa candidature s’annonce compliquée…

Contacté par via son entourage, Benjamin Griveaux assure que le « sujet est clos » - mais sans démentir la teneur des propos rapportés :
« Benjamin Griveaux déplore qu’une conversation privée se retrouve dans la presse. Dès qu’il en a pris connaissance, il a appelé des personnes citées pour s’excuser auprès d’elles », fait savoir son équipe.​
 
Parce que le forum semble s'être droitisé depuis deux ou trois semaines, un article proposant une alternative à tous ceux qui ont le cœur à gauche :

 
A l’extrême gauche, les libertaires jouent l’unionAlternative libertaire et la Coordination des groupes anarchistes ont fusionné pour donner naissance à l’Union communiste libertaire.
 
Par Abel Mestre Publié le 16 juillet 2019 à 09h25
 
Le fait est assez rare pour être souligné. Dans un milieu politique, l’extrême gauche, plus habitué aux scissions qu’aux fusions, deux organisations ont décidé de se marier sous les auspices du communisme libertaire : Alternative libertaire (AL) et la Coordination des groupes anarchistes (CGA) convolent en justes noces depuis le début de l’été. Un congrès réuni le 11 juin a donné naissance à la toute nouvelle Union communiste libertaire (UCL).
 
« A l’heure où la crise du capitalisme s’amplifie, on voudrait nous imposer un choix entre la bourgeoisie libérale au pouvoir et l’extrême droite en embuscade. Nous le refusons et nous affirmons bien au contraire qu’il est nécessaire aujourd’hui de porter un autre projet de société basé sur la démocratie directe, l’autogestion et le fédéralisme », peut-on lire dans la déclaration finale.
 
Pour l’UCL, il n’y a pas de « fronts secondaires ». Se revendiquant révolutionnaire avec une « grille de lecture de lutte des classes », l’UCL qui prône l’auto-organisation des luttes, se dit « ouverte à toutes celles et ceux qui veulent bâtir une autre société » et entend aussi participer à la lutte contre le « patriarcat », les « LGBTIphobies », le « racisme », mais aussi contre le changement climatique. Elle soutient également le mouvement des « gilets jaunes », auquel ses militants « ont pris part ».
« Un contre-pouvoir populaire »« Le populisme avec un peuple surplombant tout, ce n’est pas notre tasse de thé. Nous voulons construire, à partir des luttes, un contre-pouvoir populaire. Nous ne nous plaçons ni sur le terrain électoral ni sur le plan des institutions. On a toujours souhaité construire une organisation tout en étant dans les luttes », explique Théo Roumier, 40 ans, syndicaliste libertaire et membre de l’UCL.
 Il est vrai que l’on peut retrouver de nombreux militants de l’UCL dans les rangs de l’union syndicale Solidaires : certains de ses membres historiques ayant été à l’origine de la création de certains syndicats SUD, comme SUD-PTT ou SUD-Rail. On les retrouve aussi dans des associations telles que Droit au logement. « Nous avons aussi des militants à la CGT », assure M. Roumier qui, lui, milite dans les rangs de SUD-Education.
 
L’UCL restera fidèle aux traditionnelles couleurs rouge et noir et conservera le mensuel d’AL, Alternative libertaire, vendu en kiosque. AL a un long passé derrière elle, qui remonte aux années 1968 et à l’Organisation révolutionnaire anarchiste (ORA). Au mitan des années 1970, une scission de cette dernière donnera naissance à l’Union des travailleurs communistes libertaires (UTCL), devenue AL en 1991. L’autre branche de l’ORA deviendra, elle, l’Organisation communiste libertaire (OCL), plus proche des autonomes. Une histoire racontée en détail par Théo Rival dans Syndicalistes et libertaires, une histoire de l’UTCL (Editions d’Alternative libertaire, 2013).
« Cohérence sur les pratiques »La CGA, quant à elle, résulte d’une scission de la Fédération anarchiste en 2002. Comme AL, elle se réclamait du syndicalisme d’action directe et du communisme libertaire. Il était donc logique que l’union se fasse. « Les rapprochements existaient, note M. Roumier. Il y a une convergence de vue sur plusieurs points et une cohérence sur les pratiques. Comme nous, la CGA est engagée dans les mouvements sociaux. »
 
Pour l’instant, la toute jeune organisation revendique environ 500 militants structurés en 40 groupes de liaisons sur tout le territoire. L’UCL veut à tout prix éviter l’enfermement et l’entre-soi militant. Des rencontres sont ainsi prévues avec d’autres structures politiques. Révolutionnaires, cela va de soi.


La lutte continue les amis.



https://www.lemonde.fr/politique/ar...S4goHI4RoILVY154z_nblQ5oQeulqK3niDog55JiQeq88
 
Parce que le forum semble s'être droitisé depuis deux ou trois semaines
Salut toi :p

Ca fait un petit moment déjà que la droite joue au sous-marin dans le coin non ? Non que j'en ai quelque chose à foutre de la politique, c'était le genre de post qui exige la magie du moment pour la compréhension… ;)
 
Dreamea a dit:
Ca fait un petit moment déjà que la droite joue au sous-marin dans le coin non ?

Seulement depuis que tu en parles, ou alors il me manque des infos...tu me mets le doute là, je vais appeler la DGSI pour leur demander c'est quoi les bailles.

Après je trouve ça pertinent de s'intéresser aux dialectiques utiliser par la droite, comprendre leurs points de vue et rhétoriques permet de mieux les contrer.



Autre sujet qui pique bien en seconde partie de vidéo :

 
Attend c'est quoi cette répartie, t'as un topic exprès pour ta chaîne YouTube, j'exige l'intervention de la modération, attention !… T'énerve pas Laura :)
 
Ah oui c'est vrai que j'avais créé un topic spécial Fil d'actu, merci de me le rappeler je posterais là bas la prochaine vidéo !
 
De rien, et je suis ravi de voir que nos rapports se sont nettement amélioré :)
 
" La cobelligérance est la poursuite d'une guerre en coopération contre un ennemi commun sans traité formel d'alliance militaire.La cobelligérance est un statut plus large et moins précis de partenariat en temps de guerre qu'une alliance militaire formelle. Les cobelligérants peuvent se soutenir mutuellement matériellement, échanger des renseignements et avoir une coordination opérationnelle limitée. Les objectifs de guerre, à laquelle les cobelligérants participent, peuvent différer considérablement. Le terme de cobelligérance indique un certain éloignement entre les parties cobelligérantes en terme culturel, religieux, idéologique ou autres, alors que l'alliance indique une proximité entre les parties prenantes. "
 



Et Macron qui essaye de faire en sorte que l'Iran aille dans son sens...
 
Retour
Haut