Piano-bar a dit:
Je pense simplement que sans drogues il y aurait quand même des Djihadistes. C'est pas les amphétamines qui font les idéaux.
ci-après un extrait de presse du journal libanais (ils sont en plein dedans) du 19/11/15. j'ai souligné ce qui étaye ce que je prétends, que les jihadistes et même ceux de Paris, sont bourrés aux amphés pour faire leur coup...
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Je suis Paris, je suis Beyrouth, je fus Charlie, je suis une tour et sa jumelle, je suis le chien Diesel, je suis chaque pays, chaque ville, chaque quartier, chaque musée, chaque lieu de culte, chaque particule de chaque victime emportée par le terrorisme de grande ampleur qui tétanise ce siècle depuis le 11 septembre 2001. Je suis le reste du monde, sidéré par la violence gratuite que lui infligent des quidams venus d'une autre époque, se réclamant d'un islam inconnu des Écritures. Que me veulentils, à moi Paris, à moi chien, à moi Beyrouth ? Mais rien. Rien de personnel. Ils veulent un territoire illimité pour rassembler les adeptes de leur secte. Et de l'argent, beaucoup. Des ressources, énormément. Des esclaves.
De la drogue pour créer des zombies ceinturés d'explosifs et les envoyer viander, en faisant des bulles, l'humanité pècheresse. À ces pauvres hères on affirme que le monde touche à sa fin, que de toute façon la mort est proche, qu'il ne sert à rien de vieillir tant que l'on peut, avec le peu qu'on a, ce corps, complaire à un dieu cannibale en éliminant ceux qui se refusent à lui. Ils ne me veulent rien. Ils m'en veulent. De les empêcher de m'empêcher de vivre. Allez comprendre etc...
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ici encore un extrait de l'édition du 20/11/15 qui relate de quel contexte viennent ceux qui ont fait les attentats de Paris. Il s'agit du contexte de la DROGUE encore et toujours. Que ce soit l'EI le commanditaire de l'usage de la drogue ou que ce soit indépendamment de l'EI, tout le contexte extrémiste émane la drogue. Pourquoi est ce si difficile à faire passer..?
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Sur la porte, une sentence : fermeture « pour consommation de substances hallucinogènes prohibées ». Dans leur bar Les Béguines, à Molenbeek, les frères Brahim et Salah Abdeslam « buvaient leur Jupiler », bière populaire belge, loin des règles salafistes, et n'inquiétaient pas particulièrement la police. Les effluves de cannabis qui embaumaient le carrefour ont fini par attirer les autorités. À la mi-août, quand ils débarquent dans le troquet, situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de briques rouges, les policiers découvrent de « nombreux cendriers, dont certains contenaient des joints partiellement consumés », selon l'arrêté de fermeture administrative placardé le 5 novembre. Depuis, personne dans le voisinage n'avait plus entendu parler d'eux. Jusqu'au lendemain des attaques de Paris de vendredi au cours desquelles Brahim (31 ans), le patron du bar, s'est fait sauter boulevard Voltaire. Quant à Salah (26 ans), soupçonné d'être membre d'un des commandos, il est toujours en fuite. « Encore sous le choc », Youssef, la trentaine, survêtement blanc et casquette rouge vissée à l'envers, devise devant la devanture close, surplombée d'un drapeau belge aux couleurs fatiguées. « Ce sont des amis, dit-il. De gros buveurs, de gros fumeurs, mais pas des radicalisés. » « Là-bas, beaucoup de gens fumaient de la drogue, c'était exagéré », abonde Abdel (34 ans), qui fréquente le bistro depuis l'adolescence. « Avec l'ancien gérant, l'ambiance était plus festive, on pouvait jouer à la PlayStation », se souvient-il. « Bien sûr, le shit circulait déjà, comme dans beaucoup de bars ici, mais c'était plus discret. Avec Brahim, dès que tu entrais, il te sautait dessus pour te vendre quelque chose », témoigne-t-il. Le business semblait avoir largement pris le pas sur ses convictions religieuses. « Le vendredi, il restait toujours à fumer sur la terrasse. Je ne l'ai jamais vu à la mosquée », explique Karim (27 ans), dont l'appartement est situé juste au-dessus des Béguines. « Ils n'étaient ni pratiquants ni pieux. Pas de grosse barbe, un jean et des baskets, et ils buvaient leur Jupiler comme tout le monde », lance en riant Jamal, éducateur et copain des frères Abdeslam, ajoutant : « Ils avaient la vie de tous les jeunes. Ils aimaient le foot, sortaient en boîte, revenaient avec des filles... » Le plus jeune, Salah, avait l'habitude de se fournir « en parfum et en bâtons de siwak » pour se blanchir les dents, au bazar de la place de la Mairie, à deux pas de chez lui. « Il était très coquet, aimait prendre soin de son apparence », assure Pharred, le gérant. etc...
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le shit, le Captagon font le jihad. Quand il n'y aura plus d'intendance de la drogue en Syrie il n'y aura plus de jihad.
p.s. "fermeture « pour consommation de substances hallucinogènes prohibées " me demande ce qu'ils prenaient quand même. LSD ? Champis?? Ce sont ces choses que la presse ne développe jamais pck ça semble être des détails secondaires à ce qui fait la société civile alors que cela devrait être la base de l'étude pour comprendre les comportements, les causes à effet, etc...
le jihad c'est comme "killers on the road" des Doors mais à la mode arabe. Ce sont des marginaux de l'Islam comme les fanatiques des années 60/70 étaient les marginaux de la Liberté (à outrance). En une x ils seront éradiqués par ceux là même qui les toléraient et les soutenaient.