Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Note: This feature may not be available in some browsers.
shankara a dit:On commence à analyser, on pense que Scar est une incarnation du méchant Arabe-islamiste (il a une barbe en plus), dictateur, tandis que Muphasa est un gentil roi. C'est à peu près à ce moment là qu'on décide de taper de la Ké.
Grosse révélation méta-physique lors de mes débuts :lol: :lol:L'acide, c'est de la plasticine mentale multicolore : la réalité est malléable. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise réponse ; TOUT est possible ...
"Si les gens sont capables de profiter d'un film triste - et ils le sont, sinon ils n'y auraient que des comédies - c'est qu'ils atteignent l'esthetiques meme a travers la douleur et la souffrance; et l'esthetique est vehiculée par la préoccupation artistique qui accompagne le film.
Si les gens pouvaient voir la vie comme de l'art, alors ils profiteraient meme de leur propre tristesse, de leurs propres déboires, car il s'agit de sentiment qui s'épanouissent à travers une esthetique a découvrir, celle du vivant"
Je prend un air profond, adapté a la gravité du sujet..."O se puede dar la vuelta a la tortilla [on peut retourner la tortilla, renverser l'idée]
Si les gens profitent d'un film triste, c'est peut être qu'implicitement, inconsciemment même, ils savent que tout drame finira par le mot Fin, que tout ca contient toujours obligatoirement une sortie, la sortie du cinema. Qu'aprés tout, on ressort de la et aucun drame n'a eu lieu.
C'est sans doute la grande différence avec la vie, dans laquel on est complètement piégé, et qui ne contient qu'une unique sortie...
Mario a dit:@Quetzal Pour ton deuxième paragraphe, plus que le concept de "fin" c'est le caractère fictionnel de l'œuvre qui entre en jeu (d'où la catharsis etc.). Mais j'aime bien ce que tu dis avant de retourner la tortilla, j'crois que c'est à peu près de cette manière que je vis ma vie (je crois).
D'ailleurs depuis que j'ai recommencé à fumer j'ai des révélations cinq fois par jour, et ce qui est génial c'est quand ça tient la route en les confrontant à la réalité (genre l'autre jour «Mais les nuages gris ça existe pas en fait, ils sont tous blancs mais juste quand y a un temps de merde ils bénéficient pas d'assez de luminosité pour qu'on les voie tels quels», j'me sentais trop fier quand je l'ai dit à une pote qui fume pas et qu'elle a fini par être contaminée par ma révélation (mais c'est une hypothèse qu'il faut que j'approfondisse, je suis encore sûr de rien)(dit comme ça on dirait que je mène une étude scientifique financée par le gouvernement, j'aime bien))
@Preto C'est cool comme jeu de mot mais on l'a beaucoup trop fait quand on était au lycée pour que ce soit encore drôle je crois désolé