Quoi de neuf ?

Bienvenue sur Psychonaut.fr !

Le forum des amateurs de drogues et des explorateurs de l'esprit

[Sujet de la semaine] Comment la consommation s'est-elle installée dans votre vie ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Cookies
  • Date de début Date de début
Bref j'ai un rapport dégueulasse à la drogue, puisque je me drogue avant tout pour faire passer les journées plus vite, fuir la réalité, me fuir moi. Mais c'est normal, je suis très fragile, dépressif, esseulé. Si j'arrive à tout lâcher et à me reconstruire une vie digne de ce nom ce sera intéressant de noter si oui ou non ce rapport sera différent.

Je me suis toujours demandé si on pouvait vraiment s'en sortir et se reconstruire quand on a "grandi" et évolué en se défonçant régulièrement, à partir d'un certain stade (ou pour certaines personnes peut être) j'ai l'impression que c'est peine perdue.
Je trouve que c'est bien plus facile de vivre en assumant sa condition de "tox" plutôt que d'essayer d'arrêter pour se construire "une vie digne de ce nom" alors que c'est totalement contraire à notre nature.
 
C'est clair Trickster que le tout ou rien, ascèse/débauche, est un pari risqué, la voie médiane du funambule qui limite sa conso au week-end peut paraître plus sensée... mais rien que sur le plan santé/physique ça me paraît important de savoir s'arrêter pour au moins laisser le temps au corps de se régénérer.

C'est clair aussi que c'est pas facile pour tout le monde de décrocher, surtout quand t'as bien accroché héhé... mais je pense que ça en vaut le coup, une fourchette de 4 à 8 mois clean (donc également sans tabac, mais comme je ne fumais plus que des joints au final, fuck off le tabac...) ça peut pas faire de mal au physique comme au moral.

Il y a aussi l'idée très junkiesque de perdre la tolérance au THC pour le plaisir d'une über-foncedé après des mois éprouvants... C'est je crois, avant tout une question de motivation: il faut VRAIMENT en avoir envie, et parfois on croit qu'on veut, mais en fait non... et bien entendu la discipline. J'ai encore beaucoup à apprendre là-dessus mais j'en ai déjà mille fois plus qu'autrefois... apprendre à doser raisonnablement un joint, à ne pas le fumer comme une clope, s'en tenir à un dodo splif quotidien au max si vraiment je tiens pas le sevrage... il est tout à fait possible que je me ramasse et que je retombe dans la bédave mécanique. Vous aurez le passionnant report de mon évolution au cours de l'année (ô joie! ^^)

PS: pas dormi because pas eu mes 20mg de Seresta, mais j'entends tellement de trucs sur les benzos que c'est peut-être pas plus mal.
 
J'ai un rapport très modéré aux prods "durs" en général : presque jamais pris de psychés, quelques prises de DXM espacé de plusieurs mois très rarement des petits taz ...
Pareil pour la beuh, quand j'en ai pas ça me pose absolument aucun soucis et je vis ma vie très bien (pour l'instant on espère que ça va pas changer ) .

Par contre, dès que mon pochon est rempli ou que j'ai mon petit bout, j'ai beaucoup plus de mal à me restreindre fumant quasiment tous les jour et j'arrive pas trop à me limiter ce qui fait ben ... que mon pochon se vide beaucoup trop vite :(

En plus quand je fais des joints j'ai toujours tendance à les charger le plus possible sur le prétexte que "après tout je peux le faire alors pourquoi me priver "

Après c'est un peu hors-sujet mais mon premier contact avec la drogue s'est fait quand j'avais 14 ans je n'avais alors jamais rien consommé . J'ai trouvé un vieux CD gravé de Trance sur lequel figurait le titre "LSD" de Halluginogen . Absolument fasciné par la musique qui fut une véritable révélation pour moi, j'ai fais mes petites recherches sur internet et j'ai avidement lu vos TR :D Tout en sachant que je consommerais un jour mais que j'allais attendre de murir .
 
Kethrope je parle même pas de se défoncer que le week end ou en soirée on peut très bien se défoncer tout les jours de manière pas trop hardcore, en ayant une vie normal, et énormément de gens le font avec toutes sorte de molécules sans même s'en rendre compte parfois.
Le fait de savoir qu'on a un problème avec la drogue fait que déjà qu'on culpabilise moins après la conso, ce qui t'évites de tomber dans la spirale "putain je suis une merde -> autant me défoncer encore un peu plus" mais c'est aussi reconnaitre qu'on est faible face à la drogue et qu'on est obligé de se fixer des règles pour pas partir en couille.
Et je suis d'accord sur le fait de faire de pauses sur tel ou tel substances quand on y prend plus trop de plaisir, c'est important, mais c'est bien plus compliquer te faire une pause total de la défonce, généralement quand on fait une pause sur un produit on le remplace par un autre (enfin c'est mon cas en tout cas).

Sinon moi ce qui me motive à arrêter la beuh c'est evidemment le premiers joints que tu vas fumer et t'envoyer dans l'espace mais surtout les rêves de malade qu'on fait une fois qu'on arrive à dormir. Quand t'as pas fait 1 seul rêve depuis des mois voir des années et que là tu t'en prends plein la gueule toute la nuit ça m'épate à chaque fois. Et après quand je me lève je suis de bonne humeur, ce qui est rarement le cas quand je fume :D
 
Bonjour à tous,

Par où commencer ... hm surement une brève description de ma " vie de droguer " et ma " santé mental " dans le but surement d'avoir des réponses différentes à celles auxquelles je m'attends .. (:

14 ans premier festival découverte de ce que j'appellerais " l'under ", plus tard avec du recul je trouve que l'appellation est parfaite pour ses 5 dernières année de vie dans " l'autre monde " .. et donc par la même occassion 1e rencontre avec la synthèse , MOLLY/MDMA .. de mes 14 à 16 ans consommation de plus en plus fréquentes (seulement le week end) car aucunement utiles la semaine.. 

puis à mes 16 ans surement le plus beau .. non le PIRE moment de ma vie après 1 ans de vie " underground " et fréquentent des gens dépendant d'opiacé/metha/autres vivant dans une hygiène a désiré et avec un rythme de vie qui ce marquait très vite physiquement je rencontre l'amour de ma vie de drogué ....la KETAMINE et là 3 super années s'enchainent et inconsciemment m'enchainant moi même et me rattachant à elle pour régler tout mes mal êtres ... vous ai je dis que du haut de mes 13 ans j'ai été détecté dépressif chronique, a 14 ans surdoué , 15 ans arrêt de ma scolarité de mon plein grès ... MERCI L'UNIVERS de m'avoir donner à des parents si aimant et armé de bienveillance à mon égard....
 
me voilà avoir 19 ans, 3 ans que je glande plus rien.. plus rien appart " ce que je sais faire de mieux " ( une larme me vient à l'oeil) car tristement j'ai l'impression de n'être bon cas ca me droguer.. expérimenté des paliers juger si c'est bénéfique ou pas dans ma quête universel... ( au passage je recommande tout les curieux de franchir le pas avec la CHONGA et la DMT et le LSD blanc (solution liquide pas de buvard ;) entre de bonnes mains avertis à mon sens ce sont les meilleurs drogues pour communiquer/communier avec l'univers et même les seules produits qui devraient être utiliser dans un but spirituel et quête de ressenti humain ... ressentir sa vibration sur des fréquences universel) 

Ici l'année passée après 6 mois de relation amoureuse intense et destructrice (car une fois sédentarisé nous sommes tomber dans le crack à raison d'une grosse quantité sur une petite période 30g/3 semaines avec à peine une trentaine d'heures de sommeil) .. BREF une fois notre relation fini je rentre dans ma belgique bien aimée ( elle été bretonne je vivais là bas ) 

Je trouve aucune autre solution a part... enfin non instinctivement enfaite je ne vois pas ca comme une solution pour me réparer mais ayant consommer soit de l'amphétamine parfois meth'amph et de la kétamine CHAQUE jours pendant presque 4 ans automatiquement ma consommation augmente monstrueusement ..... d'autant plus les prix extrêmement accessible de part mon mode de vie n'en font vraiment pas un problèmes.... jusqu'a 5G de ketamine par jour "noir " ou 3/4 g de speed dans les jours ou j'avais pas trop d'idées noirs ... et bien évidemment une consommation régulière de quelques lites de bières pour faire passer le tout en meme temps que le cannabis/tabac 

J'arrêtes de vous embêter avec ça ! 

Je suis là ici maintenant après 7 jours piles de sevrages de drogues dite " dur ", oui j'ai fumer 5G d'herbe durant la semaine passée mais aujourd'hui j'entame le sevrage de la fumette aussi ... bon une ou deux bières 1 ou  2 fois par semaines je me laisse une marge lol ... 

donc après cette année d'enfer extrême : semaine à 4 heures de sommeil,consommation hors normes , pas un jour agin et très très peu de temps passer dans mon état " sobre " j'ai ENORMEMENT  de mal je suis en dépression + le sevrage n'arrange rien ....  je suis quasi à une plaquette de SEDATIF PC par jour + complément magnésium à je vous ai dit que j'étais insommniaque  agin? Donc un stilnox/zopiclone quand je sens que sa sera impossible mais vraiment j'évite au max j'en ai pris que deux fois et c'était ces deux derniers jours ... 

HELP HELP HELP !!!! vous êtes passé par là ?? l'enfer infernal d'un sevrage en pensant que rien ne sera jamais mieux qu'avant ou rien ne seras jamais normal car il n'y a jamais eu de " comme avant normal " ayant commencer a avoir une consommation régulière la semaine a 16 ans j'étais très ( trop) jeune ... 
 Premier et unique bon point , je sais que j'ai la force , car c'est une volonté venant de moi même pour arrêté tout ca car , après les idées noirs , 2 ans de mutilation et d'envies de me faire du mal à moi même .... je ne savais vraiment pas comment sa allait finir ... 
faire du mal à moi même, ou commencer à psychoté pour vouloir faire du mal à autrui ....

alors je viens ici partager mon histoire demander conseils, idées ..... actuellement je passe mes journées a manger ( prises de point de 5 kilos en 7 jours depuis l'arrêt immédiat  55kg -> 60.5kg pour 182cm ... ) dormir/ geeker en attendant que ca aille mieux de prendre mon indépendance, reprendre le sport j'espère .. 

par pitié s'abstenir de commenter avec les mots : psychologues MERCI 

après je me tâte à aller voir un psychiatre ou un psychanalyste 
en espérant ne pas craquer aller voir un traitant et finir par me jeter sous un train défoncer au valium xanax et autre amis de l'industrie lol (:

  MERCI à vous , ReaKsie futur ex-junkies ( en espérant)  

ps: pas trouver le topic addécat il me semble rediriger mon post s'il le faut
 
ReaKsie a dit:
Bonjour à tous,

Par où commencer ... hm ...
...
gnagna ... je suis quasi à une plaquette de SEDATIF PC par jour + complément magnésium à je vous ai dit que j'étais insommniaque  agin?... blabla...

me demande comment tu peux t'enfiler une plaquette de sedatif PC par jour pck perso avec 2 cachets j'ai des difficultés à respirer... La fonction semimatic de la respiration tombe en panne et je dois penser moi-même à faire l'effort de commander l'inspiration d'air frais dans mes poumons... ptn ça fout un choc quand on ne respire plus et qu'il faut actionner la caisse en mode manivelle... Faut dire aussi que c'est avec 2 cachetons en même temps mais toi tu ne dis pas si tu les prends en même temps ou à la suite, ce qui est peut-être différent...
 
Courage gars, tu sais ce qu'il te faut : un cadre de vie stable avec des activités saines pour t'occuper, pour te donner envie de faire des trucs cool, autres que te démolir la tête.

Si j'ai un conseil, c'est d'y aller tranquilou dans ton sevrage, progressivement en mettant pas la barre trop haute directement, sinon tu risques de péter un câble et de rechuter.

Il faut apprendre à aller mieux, et c'est d'autant plus dur que lorsque tu n'as jamais été bien. Et apprendre à aller mieux ça ne se fait pas du jour au lendemain, c'est un travail psychologique et introspectif long à venir, je te conseillerais aussi des lectures philosophiques, ou des romans qui montrent comment on s'en sort avec la volonté (tu dis en avoir), et qui apprennent à adopter une pensée vitaliste et pleine d'entrain (qui pousse à l'activité), plutôt qu'une pensée nihiliste et pleine de flemme (qui pousse à la passivité).


amicale_du_pc a dit:
me demande comment tu peux t'enfiler une plaquette de sedatif PC par jour pck perso avec 2 cachets j'ai des difficultés à respirer... La fonction semimatic de la respiration tombe en panne et je dois penser moi-même à faire l'effort de commander l'inspiration d'air frais dans mes poumons... ptn ça fout un choc quand on ne respire plus et qu'il faut actionner la caisse en mode manivelle... Faut dire aussi que c'est avec 2 cachetons en même temps mais toi tu ne dis pas si tu les prends en même temps ou à la suite, ce qui est peut-être différent...


Lol t'es sérieux Amical ? :)

Le sédatif PC ça fait rien, enfin quand j'en prenais je pouvais m'en enfiler une petite dizaine en ayant toujours autant de tic, et en étant toujours aussi anxieux. Tu dois être super sensible à cette molécule ou allergique peu être ?
 
Salut à tous,
Ce doit être mon deuxième ou troisième message sur Psychonaut, pas plus, j'en profite donc pour raconter également mon histoire.
J'ai commencé à fumer des clopes à 14 ans, je n'aimais pas spécialement ça mais tous mes amis fumaient donc je le faisais aussi et j'y ai finalement pris goût au fil du temps. Et c'est aussi à 14-15 ans que j'ai commencé à faire des soirées, boire de l'alcool et me prendre des cuites monumentales à en tomber et vomir... je rencontrais des gens puisque je sortais dans les bars de ma ville, l'alcool me rendait plus sociable bien qu'étant déjà sociable à la base. Je vivais pleinement mon adolescence en m'éclatant la gueule tous les week-ends avec mes potes de l'époque et suite à une déscolarisation à 16 ans j'ai passé une année entière à ne rien faire et boire même la semaine, ma mère m'aidait beaucoup financièrement et a souvent participé à mes frais avec l'alcool, sans qu'elle le sache...
C'est vers l'âge de 17 ans que j'ai commencé à expérimenter le cannabis, j'avais déjà fumé quelques fois en soirée mais je ne ressentais pas vraiment d'effets et je n'y voyais pas d'intérêt. Mon meilleur ami de l'époque fumait depuis quelques mois et m'a comme "initiée" au joint, j'ai adoré l'effet relaxant, du coup j'ai continué. Quelques mois après j'ai rencontré ma petite amie qui avait une grosse consommation de cannabis, ça n'a fait qu'accentuer ma consommation et j'en arrivais à une dizaine de joints par jour, en soirée je pouvais liquider 5g de weed... les mois passent et mon meilleur ami de l'époque me parle d'une drogue qu'il a essayé il y a peu de temps (LSD), je ne savais absolument pas ce que c'était, j'en avais vaguement entendu parler dans les films ou reportages mais je ne m'y suis jamais intéressée. Il me dit qu'il a pris un demi buvard et qu'il a vu de belles couleurs, que la musique était plus intense,... ça m'a tout de suite donné envie d'essayer. La semaine d'après on était en week-end à la plage avec mon meilleur ami (T), ma cousine (S) et ma petite amie (L) et nous avions acheté deux cartons chacun sauf pour L qui ne prenait rien à part de la weed. Ne connaissant pas le dosage, comment le prendre, comment savoir si ça va faire effet ou non, on a tout les trois bouffé les deux cartons d'un seul coup. Autant vous dire que pour une première fois c'était incroyable. (J'écrirais prochainement sur mes voyages)
Après ce trip j'ai compris que j'adorais ce monde et que je voulais recommencer pour explorer encore plus loin et dans différents contextes.
Cette année là j'ai repris plusieurs fois des acides et j'ai aussi essayé les champis à Amsterdam (secs) à l'époque.
L'année d'après j'ai connue les exctas et j'en suis tombée amoureuse, je suis devenue très dépendante de ce produit pendant quelques mois, j'en prenais même la semaine... et puis j'ai fais une pause et j'ai repris des acides assez régulièrement (peut-être 1 fois par semaine ou toutes les deux semaines), j'ai aussi connu dans la même période les free party qui m'ont complètement charmée, cette ambiance, cette communauté était parfaitement en accord avec mes principes et ma personne.
Les deux années d'après j'ai clairement abusé dans mes consommations (speed, mdma, cannabis...) mais jamais de problèmes à part sociaux (isolement, perte de repères, de la réalité...) qui se sont réglés avec le temps. Depuis j'ai des périodes de consommations assez lourdes mais je me restreints pour garder un certain équilibre et ne pas sombrer dans l'addiction comme j'ai pu en faire les frais.
En tout cas vos témoignages sont tous très prenants.

Peace
 
Laura Zerty a dit:
amicale_du_pc a dit:
me demande comment tu peux t'enfiler une plaquette de sedatif PC par jour pck perso avec 2 cachets j'ai des difficultés à respirer... La fonction semimatic de la respiration tombe en panne et je dois penser moi-même à faire l'effort de commander l'inspiration d'air frais dans mes poumons... ptn ça fout un choc quand on ne respire plus et qu'il faut actionner la caisse en mode manivelle... Faut dire aussi que c'est avec 2 cachetons en même temps mais toi tu ne dis pas si tu les prends en même temps ou à la suite, ce qui est peut-être différent...


Lol t'es sérieux Amical ? :)

Le sédatif PC ça fait rien, enfin quand j'en prenais je pouvais m'en enfiler une petite dizaine en ayant toujours autant de tic, et en étant toujours aussi anxieux. Tu dois être super sensible à cette molécule ou allergique peu être ?

tu me fais hésiter... je sais que j'ai pris deux cachetons de Sedatif PC mais je ne sais plus si c'était avec du Paracetamol à 125 mg (dosage pour nourrisson) en même temps... Riez pas... Le résultat était genre expérience au bld des allongés chez le Dr Goebbels. Les cahcetons font de l'effet alors on s'endort mais on oublie de respirer !! ptn le rappel à l'ordre est du genre coup de jus à 100.000 V pour revenir à la réalité et activer un arrivage goulu d'air frais pour rattraper le coup.
 
je sais plus avec quoi j'ai pris deux cachetons de sedatif PC... C'est quand je v aux Pays-Bas je ramène des boites de pharmacies vendues aussi librement que des bibelots touristiques :D alors c'est peut-être du Nurofen à 400 mg ou du Paracetamol 500 mg ou à 125 mg (j'ai eu les deux)

Donc à la base sûrement deux sedatif PC plus du nurofen ou du paracetamol pour un sommeil qui disjoncte la respiration
 
Pour ma part une enfance difficile qui m'as conduit à une rupture familiale et de la j'ai gravi les échelons j'ai fréquenté les teufs en y consommant des produits qui me faisant oublier ma triste vie pendant quelques heures et de là j'ai consommé plusieurs drogues jusqu'à l'héroïne que j'ai arrêter en prison et la cocaïne que j'ai commencé par sniffer puis fumée et que j'injecte aujourd'hui depuis moins d'un an. voilà comment j'en suis arrivé là.
 
Pour ma part j'ai prèsque toujours consommé et vu mes parents et leurs amis le faire.

Opium, hashish, beuh, éther étaient présents en énorme quantité chez mes parents.

Lorsque je suis devenu vraiment addict j'avais 8 ans, je sniffais de l'ether tous les jours 5 fois par jours.

J'avais un mal être surtout à cause de mon père qui était très froid et très distant et alcoolique.

Première tentative de suicide aussi avec du lexomil, j'ai descendu la boite et ai découvert que ça défonçait.

J'ai continué comme ça, réglé comme une orloge jusqu'à mes 13 ans et après avoir abusé un peu trop un jour, j'ai arrêté du jour au lendemain, je ne pouvais plus sentir l'odeur de l'ether sans gerber partout.

Puis mes parents m'ont initie à l'alcool, premier coma ethylique, ma copine de l'epoque commence elle aussi a fumer du cannabis, moi je suis contre, elle elle me fait sous entendre que l'alcool c'est pas mieux.

Je bois de plus en plus avec ma famille et même tout seul du coup, ma copine s'enfume de plus en plus la gueule et très vite on ne partage absolument plus rien.

Moi je suis contre la drogue et elle elle commence à prendre des exta, du speed, du lsd, des opiacés... (sa mère est grossiste)

Elle me fait comprendre que j'ai clairement un problème d'alcool mais je suis trop jeune pour m'en rendre compte et pour moi c'est normal, c'est elle et ses consomations de drogue qui ne sont pas normales ! Elle aussi est dans le dénit.

Puis elle me quitte a 16 ans pour se mettre avec un mec néonazi de 40 ans qui lui fournit sa came. Elle essaiera de revenir vers moi 3 ans plus tard, elle est ravagée aussi bien physiquement que mentalement, je la fuis avant qu'elle ne m'entraine dans ses abysses.

Moi je rencontre un mec qui va changer ma vie, il est dealeur surtout de speed et d'extasy.

Il me fait voir quelques films comme las vegas parano, ca me donne envie d'essayer les acids.

Mes parents m'ont toujours fait chier avec leurs "spiritualité" et je comprend pas cette merde et comment de la drogue peut avoir un quelconque lien avec quelque chose de spirituel ?!?!?!

Tout ca ca me donne envie de tester par curiosité et donc a 17 ans je fais mon premier trip de psychédélique, je comprend la spiritualite et j'arrete l'alcool, les troubles alimentaires et les automutilations.

Je suis un autre homme, vraiment, sauf que je rencontre une manipulatrice avec une grande vertue, elle me fou dans le speed et le speed et le speed et le cannabis. Elle me détruisait pour le plaisir de me detruire et pas que moi d'ailleurs mais tout son entourage.

À 19 ans je fume mes premiers joints lol celui qui dit que le cannabis conduit aux drogues dures, moi j'lui dit que les drogues dures menent au cannabis !

Pourtant juste 3 ans avant j'étais absolument contre le cannabis et les drogues.

De là s'en suit une longue et douce descente aux enfers, je deviens vraiment toxico du joint et des amphets et mon pote le dealeur ne m'aide pas, je peux lui en gratter à volonté...

Le cannabis fait ressurgir un profond mal être dont je commence seulement à me remettre.

Je me fais engueuler par les gens de psychonaut, car je suis complètement fêlé et que je viens trop dire de la merde sur ce charmant forum (pas du tout rdr a l'epoque moi)

Mais je tourne comme ça pendant environs 5 ans encore, puis a 24 ans je commence les opiacés, le dxm et tout ce qui peut se taper en pharmacie.

Et je suis encore moins rdr, de toute façon je multplie les tentatives de suicide.

Mais a ce moment là je maitrise ma consomation d'opiacés et de dxm.

L'alcool revient dans ma vie et le cannabis ne me quitte pas, je suis a 3L de vodka par jours + 10G de fume.

Je commence à me barrer de chez moi. (Fin mes parents)

Je vie dans la rue dans ma voiture.

Je rencontre une nana avec qui je sort pendant quelques mois, elle aussi sa vie c'est très compliqué, elle cherche a se barrer de chez elle, ses parents sont pire que tout.

Je la quitte car je pense qu'elle se fou de ma gueule on a trop la meme vie pour que ce soit réel, grosse erreur. (Je suis toujours en contact avec elle aujourd'hui, elle a pu quitter sa famille, elle squat avec des potes)

Après je me fou avec une manipulatrice a la petite vertue de première à la place, qui me fait arrêter l'alcool et le cannabis pour quelques mois.

Avant de me faire subir un condensé de ce que j'ai pu subir dans ma vie, je vrille complètement.

Ensuite je me met a fond dans les opiacés, les benzo, le dxm, le cannabis et l'alcool que je prend tous les jours. Déjà pour tenir au boulot qui est super physique (nettoyeur de voiture) et surtout pour supporter cette manipulatrice à la petite vertue, qui veut que je me suicide maintenant qu'elle a eu ce qu'elle voulait.

Et je m'enfonce jusqu'a finir vraiment dans les opiacés et cette fois ci la fameuse, l'heroine, car je prend 1g5 de tramadol par jours et que les pharmacies commencent à trop me connaitre, je suis grillé partout.

Même si j'arrive toujours a en trouver en bonne quantité en nettoyant des voitures.

Je reste 3 ans a consommer comme ça.

Puis je quitte ma manipulatrice à la petite vertue avec qui je vie plus dans la rue que chez nous.

Puis je test le vrai LSD et je quitte l'heroïne.

Quelques mois passent, je recommence a me déchirer la gueule à tout ce que je peux prendre, ketamine, amphet, alcool, cannabis, lsd, opium, heroine, methamphetamine, extazy, changa.

Bref je viens de découvrir le deep web et rencontrer un autre pote dans le meme genre que mon premier pote mais avec la cocaïne.

Pis je rencontre une Mélusine après son overdose et après quelques jours à mon rythme (histoire de la remettre de son overdose sans doute), elle me fait tout jeter suite a un trip de LSD qui lui a fait prendre conscience que j'suis un gros niqué XD

Et qu'on allait pas aller loin comme ça... (en plus elle avait jamais tapé des cames de cette qualité, donc la, insinct de survie)

Je m'execute et prend un pochon ou je mélange toutes mes drogues without LSD of curse !

Je verse une larme et serre les fesses et jête le tout dans l'evier, désolé les poissons et les rats mutants.

On reste quand même mutuellement bien accroché au dxm que l'on prend très souvent (quotidiennement pour ma part), jusqu'à l'interdiction, on fume ni tabac ni cannabis a ce moment la, on boit plus d'alcool, ni aucune drogue a part le dxm. (De toute facon le cannabis me fait peur avec le dxm, je deviens vraiment très psychotique)(ou plutot je me fais peur apres avoir fume...)

Comme on a plus de dxm, alcool et cannabis reviennent dans nos vies et du coup tabac, avec 1 seul épisode d'opiacés.

Puis la on boit plus, on fume plus de cannabis, je fume plus de tabac, mais Mèlusine fume du tabac alors qu'elle avait arrete pendant 3 ans ! :(

Elle aussi a des problemes pulmonaire.

Mais on se rend compte que le dxm c'etait pobien.

La j'vais passer commande de champis, lsd, changa, dmt freebase.

Plus jamais de drogue de merde selon moi et d'alcool ! (Drogue de merde aussi et peut etre la pire ou la plus dispo...)

Enfin on va essayer.

Disons que j'ai essentiellement prit des drogues en premir lieu dans le but de fuir la réalité, ensuite j'ai pris d'autres drogues pour me rendre compte de ma réalité et la comprendre, puis pour me calmer après avoir comprit des choses et maintenant dans une optique de simplement triper et m'eclater avec des drogues que j'aime et qui m'apportent un plaisir festif et intellectuel en même temps.

Puis pour pouvoir à nouveau ressentir la vie, jusqu'avant de renconter Mélusine je prennais du LSD quotidiennement, là j'en ai pas pris depuis 1 an.

J'ai besoin d'un psyché d'urgence, l'alcool et le cannabis ne me sied guère...

J'ai besoin de revoir la lumière au bout du tunnel.

Je suis trop dissocié là sinon et Mélusine ne peut rien y faire, elle l'est tout autant de toute facon...

Elle a rencontré 2 soignants geniaux donc ca va, moi j'vais m'soigner aussi :3

J'ai toujours prit des psychés pour redevenir moi même, me ressocier.. xD

Le dxm m'a permit de fusionner toutes les parties dissociées de moi même et les psychés m'ont permit de trouver les clefs pour dévérouiller les serrures de mes bloquages mentaux.
 
Avertissement : je m excuse auprès de la modération par avance.

Dis Aiskine, si tu pouvais ne pas traiter tes ex ou ton ex de pouffiasse, tu serais peut être plus agréable à lire.

Et je ne commencerai pas le "je vais commander LSD, change, dmt" suivi 2 lignes plus bas par "plus jamais de drogues dures".

Comme si, en plus, au long terme, on pouvait parler de drogues douces ?
 
Aiskhynê a dit:
Puis je recommence a me déchirer la gueule à tout ce que je peux prendre, ketamine, amphet, alcool, cannabis, lsd, opium, heroine, methamphetamine, extazy, changa.

c'est comme une collection de permis toutes catégories de la causa nostra tu sais... il n'y a que quand on est obsédé par une nouvelle vie que on peut arriver à quitter ça... ou alors être obligé à fond par une autorité et malgré soi.
 
Ou les deux >.<

La nouvelle vie m'a sauvé d'ailleurs face à l'autorité qui voulait me mattraquer.

Désolé pour les "pouffiasses", après je ne parle pas de toutes mes ex de cette manière, seulement des deux psychopathes qui ont bien su profiter de moi et me foutre dans la merde.

Par pur profit ou plaisir, on appelle ca comment ? >.<

Bref j'ai modifé si ca choque, drogue dure aussi remplacé par drogue de merde selon moi.

Car pour moi le cannabis en fait aussi parti.

Désolé c'est un peu foutoir mais j'suis crevé et encore en sevrage de mes derniers excès.

Pis j'sais pas la mais cette notion de drogue dure c'est flou, ca désigne une drogue aux effets positifs puissants ou une drogue aux effets négatifs désastreux ?

Pour moi c'est le 2eme point et je ne classerai pas le lsd ou la changa dans cette catégorie, après la dmt freebase pas encore gouté.
 
je ne parlais pas d'une autorité oppressive.

Si j'étais un homme riche je ferais un centre de désintoxication avec collocation signée par les candidats pour une nouvelle vie...
 
Retour
Haut