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Questions pour "docteurs", avec ou sans guillemets...

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Williamsïï
  • Date de début Date de début
Je ne suis pas sujet à ce genre de problèmes, mais je vous souhaite la bonne chance !

J'imagine que c'est pas facile tous les jours de vivre avec ça, donc vous avez tout mon soutient.
 
Donkey Bird a dit:
[flood totale]
... J'ai vraiment rien à ajouter mais, je sais pas pourquoi moi aussi tout ca (tout ca quoi? Ben tout ca quoi!) ca me réchauffe le coeur. Vive les psycho(nautes), soyez heureux!
[/flood totale]

:heart:

TexFrog a dit:
Je ne suis pas sujet à ce genre de problèmes, mais je vous souhaite la bonne chance !

J'imagine que c'est pas facile tous les jours de vivre avec ça, donc vous avez tout mon soutient.

:heart:
 
:heart: :heart: :tonqe: :tonqe:
 
Quand les hallucinogènes n'ont vraiment plus voulus de moi (gros bad/horror trip à presque chaque session), je pensais que mon cerveau allait lâcher, genre rupture d'anévrisme ou AVC! J'avais l'impression que mon cerveau et mon corps allaient garder de très graves séquelles après le trip!

De mon point de vue perso tu n'es pas en accord (ou en harmonie) entre ce que ressens ton corps (les sensations physiques plutôt puissantes parfois), et tes prises d'hallucinogènes ou autres drogues au niveau mental, en bref un bon gros flip physique ! Ca coince, ton mental veut voyager mais tu scotch sur les effets physiques qui du coup te "ruinent" le trip. Mais si j'me trompe va vite consulter !!
 
Je reviendrais.... :D

Mais à ça :

adrenochrome a dit:
Mais si j'me trompe va vite consulter !!

Je pense que dans tout les cas,tromperie ou pas,je devrais consulté. :lol:
 
je n'ai pas tout lu mais il faut faire vraiment trés attention avec les JWH, ya un topic sur bluelight ou un usager reporte des séquelles trés importantes a vie, surtout lorsque il fume un joint.

http://www.bluelight.ru/vb/showthread.php?t=495400

About a week later I started getting horrible headaches, this is in December. They got worse and worse and worse. This horrible feeling (there's no possible way to describe how painful it is) in my brain would return everytime I :
a.)ate sugar
b.)was up more than 8 hours
c.)took tylenol or any over the counter pain reliever
d. take any medication to make me tired
e. took my ADD medication (ridalin)
f. ate salt
g.worst of all, I couldn't smoke weed anymore, ever. I imagine for most people, this wouldn't be such a big deal. Other drugs are nice, sure, but I am a pothead. I love the giggles, I love the munchies, I love the perception, I love the creative flow, I love how it makes music amazing, sex, everything. No more of it. Imagine every time you're hanging out with friends, time after time you're offered a blunt, or a joint, or anything, and you have to refuse because if you take just one toke, for the next five hours you'll wish you were dead, because the brain melting pain just isn't worth it
 
Et moi qui pensait m'en commander une petite quantité en prévision des tests urinaires auxquels j'aurai certainement droit quand je voudrai passer le permis (dénoncé une fois pour possession/consommation d'herbe, mesure administrative toussa... x_x), histoire de ne pas passer une semaine d'insomnies horribles. Finalement je vais peut-être éviter.
 
Euh attend, je n'y connais rien car peu intéressée par le cannabis et ses comparses, mais ma mémoire me signale qu'elle pense avoir été mise en contact avec cette information dernièrement : de toute façon, les JWH ont les mêmes métabolites que le haschich, donc t'es grillé quand même.
 
Supervixen a dit:
Euh attend, je n'y connais rien car peu intéressée par le cannabis et ses comparses, mais ma mémoire me signale qu'elle pense avoir été mise en contact avec cette information dernièrement : de toute façon, les JWH ont les mêmes métabolites que le haschich, donc t'es grillé quand même.
J'avais eu un tout autre son de cloche, mais je te remercie de l'invitation à me renseigner plus amplement sur le sujet.
 
Post super intéressant. Pour ce qui est de l'impression que son crâne va exploser et les coup d'électrochocs lié au cou, je connais par cœur (sinon l'année dernière, j'ai eu une période où lorsque j'écoutais de la sik les yeux fermés, c'était comme si des piques me traversaient les yeux ou les narines, c'était atroce, mais je suis passé par dessus en tentant d'ignorer l'atrocité de la chose, en 1 mois j'y étais habitué, en 3 mois ça a disparu comme c'est venu (ça m'est arrivé un soir où j'ai tapé une grosse douille d'amnésia après être sorti d'une séance de judo avec 3 serestas dans le ventre...j'ai voyagé ce soir là, vraiment voyagé de monde en monde, mais vla les séquelles derrière)).

J'ai et je ressens toujours ces symptômes lorsque je fume, d'un coup tout mon corps se contracte, mon cou qui me nique grave (quoi qu'au quotidien aussi...et ma mâchoire j'en parle pas), et oui ça vient bien d'une réelle angoisse, tout est psychologique...la douleur et les sursauts sont commandés par notre cerveau..

Pour lutter je me force à me détendre, à me relâcher. Mais le mieux est d'arrêter la défonce, et d'y revenir quand tout ce merdier sera enfin passé, si ce n'est pas trop tard (enfin quand je vois comment ma peau se répare après m'être ouvert en tombant, je me dis que c'est pareil pour mon cerveau :D faut juste que je lui laisse le temps de se réparer...sauf que c'est un peu plus grave qu'une égratignure au genou, donc ça met forcément plus de temps).

Là j'ai commencé à bien diminué mes excès, et je vais de mieux en mieux...mais c'est long putain, pas le droit de m'ennuyer sinon je prends trop cher !
 
J'avais zappé ce topic. Au passage je réponds plus souvent aux sujets "bad" qu'au sujet sur les prods vu que je n'en consomme plus.

J'ai un coup de motive du matin alors j'y vais:

Ps: Je vais lancer pleins d'affirmations, mais ça reste mon ressentit et c'est surement pas la "vérité".

Je suis pas toubib, donc soit tu as une problème physique réel, causé par, les prods ou non, soit le blocage est psychologique.
Pour en être sur" go toubib" :D Une fois ce dilemme éclaircie, si le problème est du coté psychologique, il n'en est pas forcément moins grave.

Le cycle cerveau/corps est assez puissant, pour te faire vivre des sensations physique bien réelles, créées de toutes pièces par la psyché.

Mon expérience perso (j'ai pas réussi à retrouver les posts en question...) c'est aucun problème pendant 4 années, mais pendant cette période j'ai pas vraiment abusé. Des taz, champis,lsd mais à dose classique et pas trop souvent. On va dire la lune de miel avec les prods.

Après passage par la case datura :evil: 3 expérience seulement en 1 années, mais laissant des traces profondes. Sans même parler des risques pris pendant le "trip". Par exemple, pendant 1 années après ma dernière consommation de datura, chaque fois que je me coucher, je voyais une fois les yeux fermés, des personnage monstrueux, visages et corps déformé, et petite citation d'un pote, "la réalité n'a rien à envier à la HD".
A savoir si c'est le réalisme de ces hallus post trip ou/et un état plus global mais du coup plus imperceptible du cerveau, qui me rendais invivable ces moments.

Ces visions ont finis par disparaitre, bien que je les retrouves quand je suis très fatigué ou quand je prend une cuite, mais maintenant elle ne le gène plus, je joue avec et les surpasse.

Le passage qui m'a fini est fait arrêter les prods c'est la case amphét, 48h sans dormir et 2 grammes plus tard, grosse crise d'angoisse au matin, qui a commencé quand j'ai vu que mes genoux étaient bleu tellement j'étais rester à genoux sur le sol dur pendant tout ce temps. Le cœur qui s'emballe, l'impression d'y passer et un passage par la case hosto où ils m'ont quand même garder 24h (tachycardie etc).

Ma daronne tire la gueule quand elle vient me chercher (pourtant j'étais déjà majeur à l'époque mais ils l'ont appelé quand même).

Après ce craquage intérieur, aversion pour les prods, plus rien pris.

De tout ça, je garde à la fois une vision différente du monde, un acquis, mais aussi une sensibilité qui bien qu'elle me permette de mieux appréhender certaines nuances de notre monde, m'a profondément fragilisé. Savoir si c'est du aux prods? Simplement accéléré quelque-chose de latent? Dur de savoir, et puis l'essentiel est la situation que l'on vit, ses causes importent peu face à ses conséquences.

On va mettre ça dans la case "déprime post prods". Simplement, le chemin du retour à un état plus normal est long, très long. On reste dans une mauvaise vague, et un petit problème prend un aspect insurmontable.

Je n'ai plus envie de reprendre des hallucinogènes, car j'ai peur des sensations physique, peur de pas gérer et je sais très bien que si je m'y risque c'est le bad assuré. J'ai pris ça en compte, je me suis brulé la case prod, c'est la vie. Peut être que j'en serais capable d'en 10 ans et cette échéance me convient. Si tu insistes alors que tu ne le sens pas, tu cours à ta perte, assurément.

Voilà, voilà, dit nous en tu en es?
 
Dommage de pas avoir ta réponse, ce sujet me plaisait bien.
 
si si , je vais y revenir la Belette. Juste que je suis pas là en se moment ( mode-mobile) .
( puis j ai le cerveau anéhstésié et je fais pu qu un avec une chaise en se moment . )
.....
Encore merci .
 
Bon là,si je devrait faire un point,je me demanderais tout simplement à quoi tout ça rime......Je suis là ,à ouvrir un topic sur un malaise mental ou physique qui pourrait être plus ou moins grave pour ma santé comme pour la continuité de ma consomation de drogue.Vous,gentiment,vous me repondez,vous m'aidez afin que je puisse avancé un minimum dans la sérénité dans cette galère sans nom et moi,malgré toute la gratitude que je devrais vous apportez,dans des moments de "folie",au lieu d'écouté ce que vous me dites et faire ce qui devrait être le mieux pour moi,je trouve rien de mieux que de me fumé 100mg DAlt devant la télé,sniffé du 5-Meo-DMT,tapé 3 jour de methoxitamine (Matin/midi/soir) ,opiacées,amphétamine et j'en passe.....alors bon,tout ça est stupide là.
Pour revenir sur se topic avec objectif,seul un travail pourra m'y faire parvenir.J'ai un besoin incontrolable en vrai de me drogué.Peut importe à quoi,il faut que je soit drogué( là je rentre d'une semaine de déboche et bon....à l'instant,je me prépare quand même une trace de MXE) .
Et quand bien même je vient tapé un bad admet'on sous hallucinogènes,au revéil je me dit que pas grave,si je prend un opiacié à la place,ça ira.L'opiacié passe pu,pas grave,je vais prendre de l'amphètes.....Une fois le tour fais (Hallu;stim;opiacé;disso) ,je me dit tient,ça fais 2 semaine que j'ai pas pris d'Hallu,et c'est reparti pour un tour......

Alors non,sans travail (3 entretien de foiré,déjà) ,rien ne va s'amélioré,mais tout vas empiré.Donc pour le moment,il vaut mieux que j'ouvre pas trop ma gueule ici car ça sert à rien.


Mais je vais y revenir,c'est sur.
 
Evidemment, un travail ça pose des "fondations" dans une vie, tu es forcé de te lever, de sortir de chez toi pour faire quelque chose, et puis tu gagnes un peu de fric bien mérité. Mais ça n'est pas forcément très enrichissant non plus, et dans ton cas, c'est peut-être pas la priorité. Laisse-toi un tout petit peu de temps, sans foirer d'entretiens pour te sentir juste encore plus mal après. Pour sortir un cliché mais qui tient plus ou moins la route : retrouve-toi toi, avant de retrouver un taf. Occupe-toi de toi avant de t'occuper des besoins d'un patron. T'as pas encore de loyer à payer, même si ça te fera sans doute beaucoup de bien de te tirer, tu peux encore rester un tout petit peu le temps de te recadrer sans obligations matérielles encombrantes, non ? Ça va passer, d'une façon ou d'une autre, à un moment ou un autre.
 
Supervixen a dit:
retrouve-toi toi, avant de retrouver un taf.

C'est vrai car là,je sais pas qui je suis,qui je veut être et ce que je veut faire réellement.Mais bon,c'est pas en me défonçant le crâne tout les soirs ,que je vais trouvé une réponse à ça.Un travail me permetrais déjà d'évité de me défoncé tout les soirs et de trouvé une réelle fatigue.Pas une fatigue artificiel fabriqué à coup de cachetons et d'alcool.
Crois moi ma soeur,ça fait bientôt dix ans que je travail dans des taf en tout genres.Et malgré que le faite de se levé le matin qui est chiant,se levé,gagné de l'argent,dans le monde dans lequel je vie (ma tête) ,ça fait de moi un bonhomme,quelqu'un de valorisant.Même si je suis d'accord que de trié de la merde n'a rien de valorisant.Mais le faite d'être actif et de ne pas avoir toutes ses remarques incéssantes venant de droite ou de gauche,enlèverais déjà un poids qui devient lourd à la fin.

Je déprime,et oui,en se moment,je déprime,alors que perso,je suis pas addepte du tout à la déprime.Une musique,un rayon de soleil ou autre,et le sourire revient,ou revenez (j'avais pas connu ça depuis bientôt 10 ans suite à ma grosse conso de XTC).Alors que là,même ma petite soeur de quatorze ans,arrive à voir que je vais pas bien.C'est la merde,besoin de fric (là je touche 420e et j'en donne 250...) ,besoin de faire quelque chose autre que me défoncé et de regardé mes potes partir au travail.Marre de me faire payé la bouffe,mes boites de Tussi-toux et autres activités.RAZ-LE-CUL,mais grave.
 
Il faut voir à quel niveau est ton besoin de défonce aussi, ça peut être assez incontrôlable.

Le seul produit que j'ai conservé dans mes habitudes c'est l'alcool, et impossible de passer une soirée sans, souvent en excès, me faisant souvent faire de la merde. Combien de taf perdu à cause de gueule de bois qui me font sécher des journées de boulots sans excuse...

Chacun sa défonce qu'on dit.

Mais c'est sur que si tu n'arrives pas à stopper par toi même et que la situation t'échappe, tu n'as pas d'autres possibilité qu'une aide extérieur.

C'est surtout la phase pilule pour triper/pilule pour redescendre qui d'après moi est signe d'un franchissement de ligne.
 
putain ca a l'air chaud quand meme les vies de toxicos... ya eu pas mal de post sur le forum de retour d'expérience ... bordel..
Mais quels sont les pas qui ont été fait dans la mauvaise direction ? ils ont été fait en plein de conscience de la chose? Le début de derrapage a été identifié comem tel ? Ca ne va pas t'aider , les réponses c'est pour moi :D

(j'aimerai pouvoir aider, mais franchement, je ne vois pas comment... Alors je souhaite du courage et de la DISCIPLINE :roll: )
 
Ben on dérape dés qu'on commence en faite :)

Je pense qu'on prend toujours un risque, même avec le meilleur set and setting et le meilleur état d'esprit à la base, on risque toujours de se bruler les ailes.

Après il faut bien séparé les consommation qui créer une addiction et les autres, plus dur de se défaire d'une consommation d'alcool, de coke, de benzo etc que de lsd, champis etc.
Bien qu'une dépendance psychologique puisse exister les hallucinogènes ont la vertu de nous remettre en question donc de ne pas donner forcément envie de redrop souvent .

Déjà avoir conscience de sa consommation est un bon début. Il faut aussi voir qu'il est difficile de définir si ce passage dépressif est uniquement lié à l'usage de prod? Un mélange de pleins de choses en faite, aggravé il est certain par cette consommation.

Il est aussi facile de tout mettre sur le dos des prods, pour se défaire de nos responsabilités.

Pour mon expérience perso comme j'ai dit plus haut dans ce sujet:

"De tout ça, je garde à la fois une vision différente du monde, un acquis, mais aussi une sensibilité qui bien qu'elle me permette de mieux appréhender certaines nuances de notre monde, m'a profondément fragilisé. Savoir si c'est du aux prods? Simplement accéléré quelque-chose de latent? "
 
laveritablebelette a dit:
Je pense qu'on prend toujours un risque, même avec le meilleur set and setting et le meilleur état d'esprit à la base, on risque toujours de se bruler les ailes.

Très bien dit et teeeelement vrai !
Je m'évade peut etre du sujet principal mais j'ai des potes plus agés que moi (ils avaient 30-35 an quand j'en avais 20), perchés aux hallucinocènes tous les week ends, et qui vivaient très très bien leur conso, alors qu'au meme moment un pote du meme age que moi s'est pris "qu'un" quart, et après 10 ans je lui rend encore visite en HP. Alors que mes "vieux" potes (ils ont maintenant 40-45 ans) pètent la forme ... Elle est zarbi la vie
 
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