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Jah57 a dit:J'ai fais de la déréalisation (diagnostiquer par le psy) a cause des psychédéliques, j'ai commencer a partir en sucette un peut comme l'ami a adré ! Et c'est loin d'être drôle a vivre, faut pas croire que sa arrive que aux autres ! J'ai eu beaucoup de chances de m'en être sortis !
Dire que le LSD ou les champis sont moin dangereux que les benzo, pas d'accord non plus !
Jah57 a dit:@strangedays: Ouai c'est partis avec le temps pas de prises de drogue pendant un bon moment, bon la j'suis sous anti-depresseur, j'suis pas totalement tiré d'affaire ...
Sans hostilité ni rentre-dedans aucun,car en vérité je suis primesautière rappelons le, moi même je peux trouver tes posts assez indigestes et redondants dans un certain type de registre.adrenochrome a dit:ça sent la rancoeur là c'est sûr !! Essayes pas de me faire changer d'avis, ça pue la rancoeur, tes messages ne sont plus agressifs, tu essayes la subtilité, mais tu analyses mes messages et pointe du doigt les hors sujet, ma fameuse life, bref des trucs ininteressants et super futiles, puisque là tu peux t'en donner à coeur joie sur tout le forum, et ouai du hors sujet y'en a partout, des questions futiles, débiles et maladroites y'en a aussi, des gens qui parlent de leur experience y'en a partout, mais quelle étrangeté tu t'en prends qu'à moi, et tu sais je fais de l'humour, je ne suis pas un régime strict et militaire concernant les règles du forum, et tu joues les rabats-joie (si on peut plus se lâcher c'est grave)!! En tout cas personne ne s'est plaint à part toi... :mrgreen:
Il me semble exister des dépersonnalisations faisant suite à un traumatisme, qui sont dont plus passagères, et des dépersonnalisations plus régulières, survenant dès que point l'angoisse de ton popotin et que ton cervelet répudie loin derrière et il n'est plus là. Dans un cas, ce serait plus constitutif de la personnalité, dans l'autre, il s'agirait davantage d'une réaction à un évènement exceptionnel. Et tout.StrangeDays a dit:Jah57 a dit:J'ai fais de la déréalisation (diagnostiquer par le psy) a cause des psychédéliques, j'ai commencer a partir en sucette un peut comme l'ami a adré ! Et c'est loin d'être drôle a vivre, faut pas croire que sa arrive que aux autres ! J'ai eu beaucoup de chances de m'en être sortis !
Tu as réussi a t'en sortir d'une déréalisation, tout est revenu à la normale ? Car je suis dans le même cas, mais ça perdure depuis quelques années, mais bon je vis avec...!
Epsil a dit:Il me semble exister des dépersonnalisations faisant suite à un traumatisme, qui sont dont plus passagères, et des dépersonnalisations plus régulières, survenant dès que point l'angoisse de ton popotin et que ton cervelet répudie loin derrière et il n'est plus là. Dans un cas, ce serait plus constitutif de la personnalité, dans l'autre, il s'agirait davantage d'une réaction à un évènement exceptionnel. Et tout.
C'est la même chose.StrangeDays a dit:On parlait déréalisation en fait, enfin personnellement je n'ai pas de prob de dépersonnalisation, juste déréalisation, enfin tu voulais peut être parler des deux ? Ou alors tu a confondu ?
En tout cas ton discours semble fonctionner pour les deux ! Merci.
wiki-wiki-wiki a dit:En psychologie (ou en psychiatrie), La dépersonnalisation (ou déréalisation) désigne l'expérience d'un sentiment de perte de sens de la réalité. Une personne souffrant de ce trouble a l'impression qu'elle a changé et que le monde paraît moins réel (il est flou, comme dans un rêve, ou manque de sens). Le DSM-IV classe la dépersonnalisation comme étant une forme de trouble dissociatif, bien que la dépersonnalisation en elle-même soit le plus souvent caractéristique d'un traumatisme psychologique différent.
Besorah a dit:
Epsil a dit:C'est la même chose.StrangeDays a dit:On parlait déréalisation en fait, enfin personnellement je n'ai pas de prob de dépersonnalisation, juste déréalisation, enfin tu voulais peut être parler des deux ? Ou alors tu a confondu ?
En tout cas ton discours semble fonctionner pour les deux ! Merci.
wiki-wiki-wiki a dit:En psychologie (ou en psychiatrie), La dépersonnalisation (ou déréalisation) désigne l'expérience d'un sentiment de perte de sens de la réalité. Une personne souffrant de ce trouble a l'impression qu'elle a changé et que le monde paraît moins réel (il est flou, comme dans un rêve, ou manque de sens). Le DSM-IV classe la dépersonnalisation comme étant une forme de trouble dissociatif, bien que la dépersonnalisation en elle-même soit le plus souvent caractéristique d'un traumatisme psychologique différent.
Et la déréalisation ne provoque pas nécessairement une dépersonnalisation oui, je suis allée un peu vite en besogne effectivement. Mais je coucherai tous les soirs avec mon dsmIV pour expier, à partir de ce soir et pour une durée forfétaire d'au moins ma prochaine visite.StrangeDays a dit:Hum ça me parait bizarre, ils mettent les 2 dans le même panier, mais la déréalisation ne provoque pas de dissociation, tu a juste l'impression d'être dans un rêve.
Or, la dépersonnalisation, pour faire simple, un des symptômes est le fait d'avoir l'impression de ne pas être dans son corps (genre tu regarde tes mains, elles te semblent étrangères...). La déréalisation ne provoque pas ces symptômes...
Quelles sont tes sources stp ?
edit: ahh c'est wiki, so, je comprend mieux :lol:
Syndrome de sevrage
Tout arrêt de benzodiazépine même prise à posologie normale peut être suivie d'un syndrome de sevrage.
1/3 des utilisateurs chroniques de BZD développe un syndrome de sevrage. Le syndrome de sevrage est fonction de la durée de consommation, et est rare avant 4 mois de traitement à doses thérapeutiques. Probabilité et intensité plus fortes pour les BZD rapidement éliminées ou de défixation rapide du récepteur GABA. L'oxazépam bien que rapidement éliminé donne peu de syndrome de sevrage, vraissemblablement parce qu'il se défixe relativement lentement.
Céphalées, douleurs et faiblesse musculaires, rebond d'anxiété prononcé, cauchemars ou rebond d'insomnie (facteur important de reprise de la consommation), irritabilité, agitation, tremblements, anorexie, nausées, sueurs, diarrhée. Plus sévèrement : changements d'humeur, dépression, dépersonalisation, désorientation, hallucinations, psychose paranoïde, hypersensibilité au bruit, à la lumière, paresthésies, dysgueusie (impressionde goût métallique), hyperthermie, rhabdomyolyse. Mise en jeu du pronostic vital lors de la survenue de delirium et/ou d'épilepsie, le plus souvent chez des utilisateurs de hautes doses. Mais beaucoup plus rare qu'avec les barbituriques.
Peut survenir lors de la substitution d'une BZD à demi-vie longue par une BZD à demi-vie plus courte ou lors de l'administration de flumazénil (antagoniste des BZD utilisé lors des surdosages). Ou lors d'un sevrage progressif lorsque la dose administrée devient inférieure à 25 % environ de la dose initiale.
Délai d'apparition après l'arrêt variable en fonction de la demi-vie du produit : 2 à 3 jours pour les BZD à demi-vie courte ou intermédiaire, et 7 à 10 jours pour les BZD à demi-vie longue.
Disparition habituelle des troubles en 2 à 6 semaines, mais il peut parfois se prolonger sur plus de 6 mois avec des fluctuations d'intensité.
Difficulté de faire la part entre la récurrence de symptômes psychiques anciens qui ont motivé la prescription et le véritable syndrome de sevrage. La récurrence de l'anxiété ou de l'insomnie est plus tardive et survient généralement après la fin du sevrage.