Hespéris
Matrice Périnatale
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- 16/7/14
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Pendant quelques années j'ai été entourée de gens qui prenaient toutes sortes de drogues festives sans que cela me fasse particulièrement envie. Néanmoins leur consommation était raisonnable et réfléchie, en particulier celle de mon copain : au bout d'un certain temps la curiosité a pris le dessus. Je suis heureuse d'avoir découvert ça une fois installée dans la vie et pas en période de crise d'identité type adolescence.
Aujourd'hui si j'arrêtais d'en prendre régulièrement je pense que ma vie deviendrait sacrément fade, non qu'elle le fût auparavant mais maintenant que j'ai goûté à ces étincelles de folie je me vois mal m'en passer.
J'avale du LSD tous les un à deux mois, à chaque fois la préparation de la soirée m'apporte presque autant de joie que la soirée en elle-même. Préparer la pièce, faire les courses de fruits frais, penser aux belles choses dont on pourrait s'entourer : c'est comme se coudre un costume pour une soirée déguisée et en jouir d'avance. Puis écrire et partager ses impressions après la soirée...
Les psychédéliques ont aussi eu le don, après quelques mois, de réveiller une facette que je ne me connaissais pas : une pointe de mysticisme, oh trois fois rien. Peut-être pas la meilleure voie mais je trouve celle-ci satisfaisante pour le moment et c'est surtout très rafraîchissant.
Et puis depuis peu je pose certaines questions sur moi au DMT et il n'est pas rare que j'obtienne des réponses.
Avec le MD c'est différent et bien plus terre à terre : j'estime le rapport risque/prix/plaisir largement à mon avantage, et dans la mesure où un plaisir d'une telle intensité ne se retrouve pas ailleurs je ne m'en prive pas.
Aucune entreprise de type auto-destruction en revanche, je suis plutôt du genre flippée pour la santé à long terme en général.
Aujourd'hui si j'arrêtais d'en prendre régulièrement je pense que ma vie deviendrait sacrément fade, non qu'elle le fût auparavant mais maintenant que j'ai goûté à ces étincelles de folie je me vois mal m'en passer.
J'avale du LSD tous les un à deux mois, à chaque fois la préparation de la soirée m'apporte presque autant de joie que la soirée en elle-même. Préparer la pièce, faire les courses de fruits frais, penser aux belles choses dont on pourrait s'entourer : c'est comme se coudre un costume pour une soirée déguisée et en jouir d'avance. Puis écrire et partager ses impressions après la soirée...
Les psychédéliques ont aussi eu le don, après quelques mois, de réveiller une facette que je ne me connaissais pas : une pointe de mysticisme, oh trois fois rien. Peut-être pas la meilleure voie mais je trouve celle-ci satisfaisante pour le moment et c'est surtout très rafraîchissant.
Et puis depuis peu je pose certaines questions sur moi au DMT et il n'est pas rare que j'obtienne des réponses.
Avec le MD c'est différent et bien plus terre à terre : j'estime le rapport risque/prix/plaisir largement à mon avantage, et dans la mesure où un plaisir d'une telle intensité ne se retrouve pas ailleurs je ne m'en prive pas.
Aucune entreprise de type auto-destruction en revanche, je suis plutôt du genre flippée pour la santé à long terme en général.