Le-Père-Chè
Holofractale de l'hypervérité
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Combien de fois, en fin de grosses soirées tekno nous fumes lâchées tel une meute de zombies, en plein Paris complètement tripé au lsd jusqu'à la moelle épinière, déambulant perdue, plein d'halus et de fous rires incontrôlables ! Certains visages sortant de ces soirées sont tout- simplement flippants, les notres inclues ! Plusieurs retours à notre "appart/grotte" furent drolissimes.
Une fois, on trouve un métro tout juste ouvert, on rentre et là, le choc ! Un immense repère de clochards ! On se regarde Gator ( mon 1er colloc) Ali (2ieme colloc) et moi un peu déboussolé et l'un de nous s'écrit a voix haute :
-
"Mais !!! C'est un repère de clochards ici !".
Et on avance et tout le quai nous regarde ! Et plus on avance et plus on comprend le malaise ... et l'halu qu'on vient de se taper. Il n'y a que des gens normaux qui vont tranquillement au boulot ! Humpf !
On devient tout petit !
Une autre fois on trouve un rade ouvert et là, blocage ! Je deviens un enfant et je suis persuadé que je n'ai pas le droit d'entrer ! Je finis par rentrer en gardant une petite voix de gamin ! Une fois à une table le serveur arrive. Fou rire général, on dirait un vrai serveur comme dans les films ! (mais en fait, s'en est bien un ... c'est ça le pire !).
Une des pires fois fut celle ou l'on se perdit dans gare du nord ! (alors que j'y passais à l'époque tous les jours). On était pété de rire ça craignait un max, ingérable ! Nawakland ! On restait planté devant certaines affiches publicitaires et on délirait grave avec les halus. Les mecs sur les pubs nous parlait où nous pointaient du doigt, du gros délire ! On regarde un panneau des trajets de métro, wahouuuu ! un plat de spaghettis coloré et vivant collé sur un mur ! À force de marcher sans plus savoir ce qu'on fait là, une certaine parano s'installe et on a l'impression que tout le monde nous regarde. Après moult réflexions on se rappelle ce que l'on fait là ... On doit trouver notre quai de rer. Au bout d'un moment on se retrouve devant un escalier qui descend, alors on le descend ... et là, une grosse vague de gens arrivent en le remontant ... alors on le remonte, avec le troupeau. Merde, on ne comprend plus rien ! C'est une sortie de quai uniquement ? Et on rit comme des cons !
Puis par peur de croiser des keufs dans cet état, on finit par se concentrer et retrouver notre quai de départ. On monte dans le rer, on s'assoit. Encore un gros fou rire à cause d'une personne que l'on voyait en femme, mais avec une superbe moustache à la Dali ! Impossible de savoir si on voyait un homme avec une misenplie ou une femme avec une moustache ! Mystique !
Il y en aurait beaucoup d'autres à raconter, mais les souvenirs remontent par vagues capricieuses !
Une autre fois on trouve un rade ouvert et là, blocage ! Je deviens un enfant et je suis persuadé que je n'ai pas le droit d'entrer ! Je finis par rentrer en gardant une petite voix de gamin ! Une fois à une table le serveur arrive. Fou rire général, on dirait un vrai serveur comme dans les films ! (mais en fait, s'en est bien un ... c'est ça le pire !).
Une des pires fois fut celle ou l'on se perdit dans gare du nord ! (alors que j'y passais à l'époque tous les jours). On était pété de rire ça craignait un max, ingérable ! Nawakland ! On restait planté devant certaines affiches publicitaires et on délirait grave avec les halus. Les mecs sur les pubs nous parlait où nous pointaient du doigt, du gros délire ! On regarde un panneau des trajets de métro, wahouuuu ! un plat de spaghettis coloré et vivant collé sur un mur ! À force de marcher sans plus savoir ce qu'on fait là, une certaine parano s'installe et on a l'impression que tout le monde nous regarde. Après moult réflexions on se rappelle ce que l'on fait là ... On doit trouver notre quai de rer. Au bout d'un moment on se retrouve devant un escalier qui descend, alors on le descend ... et là, une grosse vague de gens arrivent en le remontant ... alors on le remonte, avec le troupeau. Merde, on ne comprend plus rien ! C'est une sortie de quai uniquement ? Et on rit comme des cons !
Puis par peur de croiser des keufs dans cet état, on finit par se concentrer et retrouver notre quai de départ. On monte dans le rer, on s'assoit. Encore un gros fou rire à cause d'une personne que l'on voyait en femme, mais avec une superbe moustache à la Dali ! Impossible de savoir si on voyait un homme avec une misenplie ou une femme avec une moustache ! Mystique !
Il y en aurait beaucoup d'autres à raconter, mais les souvenirs remontent par vagues capricieuses !