Ma vision du féminisme? Extreme? Pourtant je ne me réclame d'aucuns -isme.
Le féminisme est ce qui est, généralement, opposé au monde "macho" tel qu'il est aujourd'hui. Si sa visée était égalitaire (et donc un peu plus universel), cela s'appelerait non pas féminisme mais égalitarisme (autre lieu commun du politiquement correct). La visée du féminisme est de donner la possibilité à certaines voix de s'exprimer librement, même celle qui ne devrait pas avoir accès à cette expression (relire le passage sur les femmes et le vote). Je ne dis pas qu'aucune femme n'est intéréssante (ce qui serait on ne peut plus misogyne), mais que comme chez les hommes il y en à (beaucoup) d'inintérréssantes. Je ne partages pas l'avis communs que l'expression des opinions (généralement de simples préjugés transmis de générations en générations) de chacuns mène forcément à quelque chose de bon (en un mot la démocratie me donne envie de vomir).
Alors quand une féministe (qui sont si prompte à mettre ce détail en avant) nous pondent un discours qui n'est que préjugés et vielles généralités, je ne peux m'empécher de sourire. La proposition la plus drôle qu'il m'est été donné d'entendre est la suivante :" si toutes les femmes céssait pendant une année de faire l'amour, ce changerait énormément de choses". Quoi de plus niais? Si le soleil s'arrétait, ça changerait beaucoup de choses? Si les hommes (car il n'y a, selon toi, que les hommes qui se battent) s'arretait de se battrent ça changerait beaucoup de choses? Si le féminisme avait des revendications intelligentes ça changerait beaucoup de choses?
Désolé d'être un peu violent (mais c'est dans la nature animale de l'homme), mais le sujet se prête si facilement à la critique (tout comme tes posts).
Je me demande d'ailleurs comment la subtilité féminine n'en vient pas à bout? Ni d'ailleurs comment les chasseresses "subtiles" (descendant droit des fières amazones) peuvent se laisser prendre par de rustres animaux tels que nous, les hommes?
Qu'en est il par ailleurs de mes précédentes questions?
Pardon d'être un peu crus mais la mise au même niveau des vibros et des films pornos me semble déplacé. Combiend d'hommes ont en leur possession un vagin mécanique? Une main? Combien de femme ont des doigts? Une banane? ....
Combien d'humains ont une imagination? des fantasmes? Comparont ce qui est comparable.
D'autres par, et en ne s'éloignant que peu du sujet, les femmes se pleignent de n'avoir que relativement peu d'orgasmes et mettent souvent cela sur le dos de leurs amants. C'est facile, pas de remise en question. Les filles sont promptes à apparaître dégoutée lorsqu'on parle de masturbation (surtout féminine). Le grand problème est souvent qu'elles ne vont connaître leurs corps que durant l'acte même (et donc avec quelqu'un qui ne peut que plus mal connaître vos goûts). Je penses pour ma par que le "Connais-toi toi-même" de Socrate s'applique aussi au corps. Et quand on sait que les femmes sont plus lentes à approcher l'orgasme qu'un homme (mais que celui-ci est neuf fois plus fort ; et l'égalité?). Il est, je penses, nécéssaire que les femmes connaissent leurs corps, savez vous toutes où se situe le point G? Comment le stimuler? Il est triste de penser que beaucoup de femmes attendent un homme pour connaître ça.
Beaucoup de femmes espèrent trouver chez l'hommes des solutions à des problèmes (en gardant les subtils, et donnant ceux de force brute et bête). Elles aspirent généralement, néamoins et paradoxalement, à avoir quand même un statut égal mais en étant traité avec plus de révérrence envers leur fragilités. En résumé, je trouves que cela rappelle la "ferme aux animaux" d'Orwell, ou certains sont plus égaux que d'autres. Le féminisme, dans la signification du mot mêmes, tend à faire de la femme un individu plus égale que les autres animaux, ces mâles avec leurs "bites dans la tête", les hommes. Que ceux et celles qui me parlent de "liberté sexuelle" pour décrire notre société oublie que c'est déjà finis, passé, c'était les années 70, tous le monde couchait avec tout le monde (enfin dans certaines communautés). Aujourd'hui les femmes reclament le "contrôle de sa vie sexuelle", je dis pourquoi pas, mais n'en viennent elles pas à contrôler, de fait, la sexualité des hommes? Quand aujourd'hui l'homme qui regarde un prono "est un animal" et qu'une femme ayant un god est "une femme qui assume sa séxualité féminine", on se demande encore où est l'égalité? La liberté? Voilà des nouveaux tyrants qui veulent décrier la nature masculine et placer en idéal de perfection la nature féminine (ce que lui dit ses gènes). Voilà le tableau peu réjouissant de mon opinion sur le féminisme.
Qu'en penses-tu? Femme (moi tarzan?)? Et puis évite les niaiseries (ou les fleurs bleus) du genre :
"Si demain c'était les hommes qui etaient victime de tout cela je ne laisserai pas faire parce qu'on touche ici "aux Droits de l'Homme", à la dignité humaine."
Mon Dieu! Dans ce monde tout peut être dit ou écrit, surtout ce qui transpire le politiquement correct. Faut pas de bonnes vérités bien réjouissante. Réveilles-toi, la "dignité humaine" le jour où tu la trouveras n'oublie pas de t'en souvenir, tu ne la reverras certainement pas deux fois.
D'où viennent ces "droits de l'Homme"? Est-ce celui de détruire la Terre pour qu'il évite ne regarder autre chose que son propre nombril, souvent lui même très sale?
Quand au femmes battus, si elles se cassaient vraiment la
première fois (ce qui est déjà inexcusable en soi), y aurait rapidement beaucoup moins d'hommes battants leurs femmes. Je ne dis pas qu'elles cherchent (quoiqu'il me soit arriver, en positio d'auditeur, d'entendre des niaiseries qui vous font regrétté de ne pas être sourd) à se faire battre, mais qu'il y a un fort risque que celà recommence et empire, et souvent elles le prennent. "L'amour" excuse trop de choses, et si les femmes commençaient par réélement réévaluer leurs images et leur rapport au monde (au lieu de tenter de le controler, de le materner), celà pourrait réelement commencer à faire bouger les choses. Et non pas commencer à partir en sophismes de la pire espèce, ou de présenter des cas particuliers qui sont, certes regréttables, mais surtout symptomatiques de quantités d'autres choses. Et le féminisme l'est d'autres choses. Je trouves encore plus laids qu ceux qui profitent du systèmes, ceux qui veulent être reconnus par le système (qui adore les inégalité et ne pourrait marcher sans), se sont des esclaves qui veulent la possibilité (si ils y arrivent) de pouvoir avoir un peu de pouvoir. C'est le sentiment "petit chef", l'expression de "Moi(s)", l'avénement du statut de Kapo dans la société.
Je crois en avoir finis, il est dommage, mais c'était prévisible, que la conversation s'écarte à ce point du sujet initial. Pour lequel la différence d'hormones téstostérones/oestrogénès est à mon avis très importante quand au fait que les femmes consomment généralement moins de psychotropes (mais au contraire de la cigarrette, ou l'égalité pointe, je ne suis pas sûr que la consomation de chaque produit connaisse un tel équilibre entre les hommes et les femmes). Désolé si je n'ai pas été clair, mais comme tu peux le voir c'est très loin d'un copier-coller.
J'éspère que cela à répondus à tes attentes.
McAdam