Cay-Tiax-le-preux-qui-écrit-t'entends (Xon il fait rien que squatter mon ordi):Il faut se mettre d'accord sur la définition que l'on emploie, soit on parle de potentiel addictif, soit on parle de fréquence d'addiction.
Dans le premier cas, le graphique fait, à mon humble avis, entièrement sens (d'autant plus une fois l'article dont il est tiré lu).
Dans le second, effectivement on perd beaucoup en pertinence, mais je ne vois pas pourquoi on devrait se fixer sur une définition que l'auteur n'avait *manifestement, à la lecture de son article* pas en tête.
EDIT: Je rajouterai qu'on parle ENCORE MOINS des symptômes de manque, donc la comparaison tabac-alcool sur la difficulté à arrêter n'a pas lieu d'être.
Dans le premier cas, le graphique fait, à mon humble avis, entièrement sens (d'autant plus une fois l'article dont il est tiré lu).
Dans le second, effectivement on perd beaucoup en pertinence, mais je ne vois pas pourquoi on devrait se fixer sur une définition que l'auteur n'avait *manifestement, à la lecture de son article* pas en tête.
EDIT: Je rajouterai qu'on parle ENCORE MOINS des symptômes de manque, donc la comparaison tabac-alcool sur la difficulté à arrêter n'a pas lieu d'être.