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Les absurdités sur la drogue

yourownworld a dit:
"De prime abord, "je" ne "suis" pas au sens du Soi-même propre, mais je suis les autres selon la guise du On. C'est a partir de celui ci et comme celui ci que, de prime abord, je suis "donné" à moi-"même". le Dasein est de prime abord On et le plus souvent il demeure tel."
"En tant que On je vis sous l'emprise discrète des autres"
"Chacun est l'autre et nul n'est lui-même. Le On ... est le personne..."(Etre et temps)

premierement :
ce que l' on appelle "moimême" n' est pas "mon individualité/entité unique"

parce que : je suis "ceux qui disent tu ou il en me designant" :cela est variable selon la volonté/perception du "tout" (le tout étant moi-même + eux-autres) (mouais)

c' est a partir de celui-ci (celui que je ne suis pas car je suis une partie du tout) que :
premièrement : j'ai la liberté de me mouvoir/parler/penser (être "rendu" a soi-même)
-------> pas assez explicite non ? il aurait du/pu préciser la globalité du tout vis a vis de l' entité pour être exact

le Dasein (?) est
"avant toute chose" le TOUT (dont je fais partie) et demeure tel cela est immuable. (OK la ok)

En tant que partie constituante du TOUT ,
je vis sous l' imperceptible influence d'autrui (les autres parties du groupe) sans lequel je n' existerais pas (expliqué a la première phrase) (OK capitché)

Toute entité/unité est l' égale d'une autre ,(normal dans ce cadre systémique du "soi")
aucun n' est lui même (Ben là .. OUI et non . car si l' autre est toi et toi l' autre même x 1000 on se retrouve sur une base 1 . j'kiff les maths ^^)

(dans un shema de pensé systémique holistique il y a une faute là :
si tu est l' autre ,
et que le TOUT -totalité des entittés- c'est à dire "Tous les "moi""
-autres y compris , hypothèse de départ) ,
qui sont autres (moi y compris donc) ,
tu es forcement -sauf si sortit du TOUT egal à l' autre donc a toi même .
OUI illogisme .

le TOUT (somme des parties aka moi/autre en systémique radicale) , "le groupe" représente l'inexistence du Soi . (On est Ok )

ouais j' ai capté ton texte , sauf l' illogisme ... (mon interprétation ? pourtant très matheuse.Trop ?)
Et je suis plutôt d' accord sur le raisonnement (pas sur l' attenant au résultat mais osef c' est théorique)

_______________________maintenant que jai galéré 5 minutes et que j' ai compris ^^

puis-je te demander
___ pourquoi cette citation ?
______ici ?
__________qu'espères tu que le lecteur en tirera ?
_______________qu' en as tu tiré toi-même ? ( oui TOI pas l' autre pas moi) toi .

EDIT : tu l'avais comprise toi la citation ?????
 
Je connais assez mal Heiddeger donc je suis pas trop capable de réexpliquer sans le bouquin devant moi :

l'être-phénomène n'est pas un paraitre de l'être derrière lequel se cacherait un être vrai et absolu
le "-même" est important dans moi-même

edit: wikip :
Passons maintenant à la question de l’ipséité du Dasein, réflexion qui va permettre de répondre du choix d’Heidegger de nommer l’étant insigne ‘Dasein’ et pas plus simplement ‘moi’ ou ‘Je’. On verra que cette réflexion est un des fils rouges de l’œuvre, renvoyant à la tâche pour le Dasein de sortir du ‘On’, de l’étant impropre.

Etre soi-même ? Le Dasein est il lui-même ? La réponse peut sembler aller a priori de soi puisqu’il est écrit que le Dasein est « l’étant que je suis à chaque fois moi-même ». De plus, on est plus que tenté de dire qu’à chaque instant que le Dasein est, il se donne comme « moi », il est « moi ». Mais justement répondre ainsi à la question de l’ipséité du Dasein nous ferait passer au travers de la question.

Mais revenons à cette réponse qui nous est venue directement, cette évidence qui semble impossible à faire taire. Partons de l’être-avec. Le Dasein est caractérisé par un être-avec (Mitsein) et de ce fait dans sa préoccupation quotidienne, il y a autrui (« les autres font encontre à partir du monde »), que Heidegger fixe sous le terme de Mitdasein. Pour le Dasein, étant que je suis à chaque fois moi-même, autrui est au quotidien vu comme ‘ce qu’il fait’, comme util pourrait on dire. Par exemple, je suis dans le train et le contrôleur arrive. Cet étant arrivant à ma rencontre n'st pas compris en son Dasein, mais comme "contrôleur". Le Dasein ne perçoit d'abord autrui que dans le cadre de sa préoccupation.

Cette identification à ce qu’on fait nous fait tomber dans le travers de l’impropriété de l’ipséité, le Dasein se donnant alors non comme « soi » mais comme son « contraire », comme le ‘On’, même si le Dasein sera toujours tenté de réfuter cela et de crier sur tous les toits « non, non, je suis toujours ‘Je’ », celui qui n'est pas lui-même ayant justement la tendance caractéristique consistant à répéter toujours "Moi je, moi je". Absorbé dans sa préoccupation pour l’étant intramondain, noyé dans la marre de l’identification à ce qu'il fait, le Dasein ne peut être que comme ‘On’ est. Les « autres » lui donnent la mesure de tout. Ainsi le Dasein pense comme ‘On’ pense, il critique comme ‘On’ critique et même « il se sépare de la « masse » comme ‘On’ s’en sépare ; s’indigne de ce dont ‘On’ s’indigne ». Le Dasein patauge dans un horizon de compréhension moyen, qui s’impose à lui tout en restant insoupçonné de lui, dictature silencieuse mais pourtant ô combien effective du ‘On’. Le Dasein est en un premier temps improprement un être-public. Et cet être-public du ‘On’ le décharge du poids de la singularité, de son authentique unicité. Il n'existe pas à partir de lui-même, en propre, mais à partir des autres, de manière non-propre. Et aussi étrange que cela puisse paraître cette décharge qui l’empêche pourtant d’être lui-même en propre, lui complaît, car elle le rassure constamment en le détournant de la vérité mortelle et angoissée de son existence. Ce mode du laisser-aller, mode initial du Dasein, semble tellement « lui aller » qu’il ne verrait vraiment pas pourquoi il devrait en sortir. Cette idée n’effleure même pas son esprit, de sorte que le Dasein est aliéné de la manière la plus extrême, lui qui ne soupçonne pas ce laisser-aller, cette décharge, cette impropriété car baignant dans les fanges, bercé par « ses » habitudes, par les habitudes du 'On'… La tâche du Dasein pour être lui-même en propre sera de sortir de cette fuite première et de rompre avec le ‘On’ et sa dictature.
 
j' avoue avoir merde , et même dessiné des formes géométriques et symétriques , des cercles "fuyants"
et j' y ai passé ... 20 min a déchiffrer .. mais compris la finalité ...

pas le genre de lecture a la portée de Lambda ko même ....

Moi un livre comme ça ... 30 pages . je peux plus :mrgreen:
 
HEIDEGGER.*
(intervention vachement utile, si si, dans le schéma de pensée n°45 de mon univers parallèle n°37, partagé avec Titan et Bjorn Berge)**


*y a qu'un seul d, nan ? (oui. Vérification : effectuée.)

**nan, je n'ai rien pris. Là comme ça au pti dèj', why not, en fait, oui tiens j'y songerai, mais pas chez mes parents, hé.
 
Un livre comme ça c'est a bouffer (ou priser) des cachets de mph toutes les 40 pages , en effet ^^

Je m'excuse du gros Hors Sujet , l'autre qui parlais de savoir ce qu'était ON, ca ma fait switcher sur Heidegger (avec un seul D en effet, au temps pour moi).

Mais il y a pire, tu prends la critique de la raison pure , après 4 pages t'en peux plus (a moins d'être déjà initié a la philosophie Kantique (la faute est volontaire.).) De plus c'est un pavé.

Bref, on va continuer sur les absurdités (féminin mais pas "ée") concernant les substances psychotropes multiples diverses et (a)variées


joyeux non anniversaire
peace
 
yourownworld a dit:
au temps pour moi

:heart:

You rock.
(oui, dans cette triste époque, je me prends rapidement d'affection pour les deux-trois zinzins qui écrivent la fransse correct.)
 
j'vous laisse entre amis de l' orthographe grammaticalement juste , je prefere encore combattre un probleme matheux tout simple et pourtant sans réponse .

sur ce amis de l' écriture .

merde j'voulais quote un poème de mon ombre trouve plus . osef .
 
Dr_Oogie a dit:
j'vous laisse entre amis de l' orthographe grammaticalement juste , je prefere encore combattre un probleme matheux tout simple et pourtant sans réponse .

sur ce amis de l' écriture .

Y avait pas de reproche caché pour les gens qui font des fautes, hein. Ma meilleure pote en fait (faisait ? Maintenant moins.) moult. L'orthographe ne fait pas la valeur d'une personne, disons que c'est juste une "valeur ajoutée", comme si t'avais un rab de sauce au poivre avec ton steak, quoi.
 
Désolée je doublonne, mais c'est pasque c'est une nouveauté : aujourd'hui je me procure (note à nos amis de la police : comprendre "voler sans scrupule") un quotidien genre torchon, un peu, qui titrait grosso modo "raaah ouiiii la cocaïne à Nantes y en a pleiiiin, viens Moustic, y en a pleiiiin". Alors déjà euh je proteste, moi personne ne vient m'en proposer, dans la rue (enfin sauf Melle "le crack c'ey natourel quoi, si si, yé té joure"), mais surtout, une phrase m'a fait bondir, ainsi que Stradius (autant qu'on puisse le faire après une cuite au peppermint bas-de-gamme, hin hin) : "la cocaïne ne provoque pas de manque, mais une très forte envie d'en reprendre, le craving". WTF ?

Bon, "manque" et "irrépressible envie de retaper" passe encore, on peut faire une différence.
Mais "craving" = "manque" en anglais.
Pi "la cocaïne ne provoque pas de manque", ça me parait un peu vite dit.
M'enfin.
Ils SAVENT, ils sont JOURNALISTES.
 
le craving . la definition exacte .

il faudrait t'enlever tout objet potentiellement létal , meme les murs , pour eviter que tu ne souffres trop ou plus du tout .

sinon physiquement que dalle (comparativement)
meilleure definition que j' ai trouvé .

craving maladie declenchée par la vision de petites ceuilleres, de dosers a alcool , d' alcool , d' aluminium ou scotcgh , de piper , de farine , de doliprane , de canette vide d' ampoule electrique d' odeur de peinturer fraiche ou d' amo, et surtout par le fait d' en par ler putain de clavier

et ça EXISTE PAS
 
MO dit :
en fet tu peux enlever tout le psycologique des carton


Ne dit rien, ne dit rien toto.
 
Pfff, je l'avais pas vu celle là^^
Quand est-ce que les gens comprendront que la partie mentale est absolument indissociable de la partie sensorielle chez les psychédéliques. Il existe certes des dominances (2c-i en tête, quoique super mental à hautes doses), mais pour le LSD y'a pas photo en plus, c'est relativement kif/kif. M'bref

Sinon ma sœur, qui est pourtant en médecine (assez avancée dans le cursus d'ailleurs), me dit qu'une fois elle a fumé de la 007 (ça serait de la weed à la coke, déjà on y croit moyen) et qu'elle a été défoncée avec grosses hallus pendant +24h. Gné
Ça me saoule qu'elle croit ça, c'est ma sœur en plus je ne peux rien lui dire, c'est comme si je lui disait "nan t'as pas vécu ça". La situation inextricable en somme, c'est extrêmement frustrant
Depuis qu'elle fait médecine c'est une anti-drogue convaincue, mais continue de se prendre des cuites monumentales dès qu'elle en a l'occasion. Fuck tiens

A part ça je l'adore hein^^
 
La 007 ou la snow white,oui ,soit disant coupé,trempé dans de la cok.
C'est comme les champy au LSD ! :mrgreen:

*se cache* :ninja:
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Un être ne peut il pas être autre qu'il n'est.
Ride The Snake /To The Lake / The Ancient Lake
 
Et la christal, coupée au verre, (oui il y a de la beuh coupée au verre), mais la légende veut que ce soit de la chrystal... okkk
 
a mon avis le mec qui va vouloir injecter , s'il ne meurt pas , tuera quelqun dans l' heure .
 
J'en ai trouvé une pas mal, avec un bon niveau en orthographe en prime

Sur un groupe facebook "La drogue pourquoi faire??"
La fille annonce que les drogues :

"qu'elle soit douces ou dure c'est malsein tue tout les neuronne qui fonctionne le mieus detruit tt humaniter en soit et je ne cite pas tt le malfait des drogue celui ou celle qui l'utilise ne peut rien metre en cause ou dire c'est parcaque j'ai tel ou tel probleme c'est une facon de se mentir en soit meme il sont faible desprit voila mon opinions"

(en plus la ponctuation est affreuse, enfin inexistante quoi, pas mal pour comprendre...)
J'aime bien le passage "tue tout les neuronne qui fonctionne le mieus" et "detruit tt humaniter"

Au plaisir! J'adore cette section
Mais elle me fait très peur sur l'ignorance et la stupidité de nos concitoyens...
 
Bah elle doit avoir 10/12 ans, vu la syntaxe, la construction du texte etc. (je sais, moi on m'en donnerait 15...) On peut pas trop lui en vouloir. Enfin je pense.
 
Ben on a la réponse quant à la haine vouée par cette jeune femme aux psychotrope : elle est trop deg d'avoir un nom imprononçable, il fallait bien un coupable

:arrow:
 
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