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@Sludge il y a plein de témoignages de tout acabit et pas que en zone trouble... Tous les témoignages disent que l'application de l'AA contre le cancer est récente. C'est une chose NOUVELLE !!
Des chercheurs obtiennent un effet anticancéreux avec des doses de vitamine C par voie orale
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> Par Bill Sardi
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> Dans une étude négligée d'abord publié en 2008, pour la première fois, en utilisant une forme liposomale spéciale de vitamine dose orale C, des chercheurs en Grande-Bretagne ont démontré qu'il est possible d'atteindre des concentrations sanguines anticancéreuses de cette vitamine sans effets secondaires indésirables.
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> Jusqu'à présent, les chercheurs des National Institutes of Health affirmaient que la concentration maximale de vitamine C qui peut être atteinte après la prise par voie orale n'est pas suffisante pour produire un effet anticancéreux. Maintenant, des chercheurs britanniques démontrent qu'ils ont été en mesure d'atteindre des concentrations sanguines de vitamine C qui étaient deux fois ce qui a été incorrectement signalé comme étant la dose maximale, et dans la gamme de ce qui est connu pour être sélectivement toxique pour les cellules tumorales, mais pas nocif pour les cellules saines.
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> Des études avec diverses formes de cancer montrent un effet destructeur pour les cellules du cancer de 30% à 50% à la même concentration dans le sang de la vitamine C obtenue dans cette étude. A titre de comparaison, les médicaments anticancéreux sont approuvés par la FDA s'ils atteignent une réduction de la taille de la tumeur de 50%.
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> Les chercheurs Stephen Hickey et Hilary J. Roberts, partisans de longue date de la thérapie par la vitamine C et auteurs du livre Ascorbate: La science de la vitamine C, écrivant dans le Journal of Nutritional & Environmental Medicine, croient qu'une concentration encore plus élevée de vitamine C peut être atteinte, jusqu'à trois fois ce qui était autrefois considéré à tort comme maximal, avec des doses orales mesurées, et répétées.
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> C'est Linus Pauling, double lauréat du prix Nobel, qui a le premier utilisé par voie intraveineuse de la vitamine C pour prolonger la vie des patients atteints de cancer en phase terminale. Cela fut rapporté en 1978.
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> Un an plus tard des chercheurs de la Mayo Clinic ont ensuite menés leur propre étude, qui utilisait la vitamine C à doses orales, et ont capricieusement dissipés l'idée d'utiliser la vitamine C pour traiter le cancer. Toutefois, des doses orales ne peuvent atteindre la même concentration sanguine élevée que la vitamine C intraveineuse peut produire.
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> Seulement récemment, il a été mis en lumière que le rejet de la vitamine C pour le traitement du cancer s'appuyait sur la vitamine C à doses orales, et des études ultérieures ont montré que la vitamine C en intraveineuse a le potentiel d'être utilisée dans le traitement du cancer. Quelques petites études pilotes semblent encourager l'utilisation de la thérapie intraveineuse de vitamine C. Des chercheurs sur le cancer ont récemment appelé à un réexamen de la thérapie intraveineuse de vitamine C.
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> Selon les chercheurs Hickey et Roberts, des doses répétées, et l'utilisation d'une forme liposomale spéciale de vitamine C qui est absorbée dans l'intestin et dans le foie avant d'être libérée dans la circulation sanguine, sont la clé pour rendre la thérapie à base de vitamine C par voie orale efficace. Un autre facteur important est de limiter la consommation d'hydrates de carbone (sucre raffiné) qui nuit à l'absorption orale de cette vitamine.
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> Le Dr John Ely, professeur émérite à l'Université de Washington, a également montré que le sucre épuise la vitamine C des globules blancs et les rend paresseux. Les globules blancs sont les cellules mêmes qui attaquent les cellules tumorales et les détruisent.
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> La forme liposomale de la vitamine C utilisée dans cette étude se compose de poudre de vitamine C encapsulée dans de la lécithine (phosphatidylcholine) en sachets de 1 gramme (1000 mg), des laboratoires Livon d'Henderson, dans le Nevada, USA.
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> Un laboratoire britannique (Biolab, Londres), qui a effectué beaucoup d'essais avec de la vitamine C sur une période de 10 ans, confirme que des doses de 20 et 36 grammes de vitamine C par voie orale, telles que celles utilisées par les chercheurs Hickey et Roberts, ont permis d'obtenir une concentration dans le sang beaucoup plus élevée que ce qui avait jamais été mesuré auparavant. L'administration de doses répétées plutôt qu'une dose massive unique de vitamine C permet d'éviter les effets secondaires tels que la diarrhée.
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> L'effet tueur de cellules cancéreuses de la vitamine C est réalisé par la production transitoire de peroxyde d'hydrogène (H2O2) à l'intérieur des tissus conjonctifs (pas dans le sang), ce qui provoque la destruction des cellules tumorales, et par la suite se transforme en eau inoffensive (H2O), rendant la thérapie non toxique.
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> La réticence de la part des praticiens de la médecine moderne à offrir un traitement à base de vitamine C à leurs patients atteints de cancer suggère que le public devra pratiquer la thérapie par la vitamine C à la maison. Cela ne doit pas être une expérience totalement non guidée, puisqu'il y a des livres instructifs disponibles.
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> Pourquoi cette étude de référence a été complètement ignorée par la communauté du cancer est un mystère. L'étude a été publiée dans un journal catalogué par la National Library of Medicine (NLM), mais les articles de ce journal ne peuvent être consultés sur le site Web de la NLM. Lorsque ce rapport a été soumis pour publication, l'éditeur de la revue changea brusquement les réacteurs en chef et le nouvel éditeur a tenté d'éliminer complètement le rapport de son calendrier de publication. Finalement, le rapport a été publié, mais soudain la revue elle-même a cessé d'être cataloguée et ses articles n'ont plus été indexés par la NLM. Il semble qu'une tentative délibérée a été faite pour enterrer cette étude. Un résumé en ligne est consultable sur le site Web du Journal of Nutritional and Environmental Medicine.
> http://www.cancer.gov/about-cancer/treatment/cam/patient/vitamin-c-pdq
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@ aiskhyné
Les quantités nécessaires
Des chercheurs obtiennent un effet anticancéreux avec des doses de vitamine C par voie orale
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> Par Bill Sardi
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> Dans une étude négligée d'abord publié en 2008, pour la première fois, en utilisant une forme liposomale spéciale de vitamine dose orale C, des chercheurs en Grande-Bretagne ont démontré qu'il est possible d'atteindre des concentrations sanguines anticancéreuses de cette vitamine sans effets secondaires indésirables.
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> Jusqu'à présent, les chercheurs des National Institutes of Health affirmaient que la concentration maximale de vitamine C qui peut être atteinte après la prise par voie orale n'est pas suffisante pour produire un effet anticancéreux. Maintenant, des chercheurs britanniques démontrent qu'ils ont été en mesure d'atteindre des concentrations sanguines de vitamine C qui étaient deux fois ce qui a été incorrectement signalé comme étant la dose maximale, et dans la gamme de ce qui est connu pour être sélectivement toxique pour les cellules tumorales, mais pas nocif pour les cellules saines.
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> Des études avec diverses formes de cancer montrent un effet destructeur pour les cellules du cancer de 30% à 50% à la même concentration dans le sang de la vitamine C obtenue dans cette étude. A titre de comparaison, les médicaments anticancéreux sont approuvés par la FDA s'ils atteignent une réduction de la taille de la tumeur de 50%.
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> Les chercheurs Stephen Hickey et Hilary J. Roberts, partisans de longue date de la thérapie par la vitamine C et auteurs du livre Ascorbate: La science de la vitamine C, écrivant dans le Journal of Nutritional & Environmental Medicine, croient qu'une concentration encore plus élevée de vitamine C peut être atteinte, jusqu'à trois fois ce qui était autrefois considéré à tort comme maximal, avec des doses orales mesurées, et répétées.
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> C'est Linus Pauling, double lauréat du prix Nobel, qui a le premier utilisé par voie intraveineuse de la vitamine C pour prolonger la vie des patients atteints de cancer en phase terminale. Cela fut rapporté en 1978.
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> Un an plus tard des chercheurs de la Mayo Clinic ont ensuite menés leur propre étude, qui utilisait la vitamine C à doses orales, et ont capricieusement dissipés l'idée d'utiliser la vitamine C pour traiter le cancer. Toutefois, des doses orales ne peuvent atteindre la même concentration sanguine élevée que la vitamine C intraveineuse peut produire.
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> Seulement récemment, il a été mis en lumière que le rejet de la vitamine C pour le traitement du cancer s'appuyait sur la vitamine C à doses orales, et des études ultérieures ont montré que la vitamine C en intraveineuse a le potentiel d'être utilisée dans le traitement du cancer. Quelques petites études pilotes semblent encourager l'utilisation de la thérapie intraveineuse de vitamine C. Des chercheurs sur le cancer ont récemment appelé à un réexamen de la thérapie intraveineuse de vitamine C.
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> Selon les chercheurs Hickey et Roberts, des doses répétées, et l'utilisation d'une forme liposomale spéciale de vitamine C qui est absorbée dans l'intestin et dans le foie avant d'être libérée dans la circulation sanguine, sont la clé pour rendre la thérapie à base de vitamine C par voie orale efficace. Un autre facteur important est de limiter la consommation d'hydrates de carbone (sucre raffiné) qui nuit à l'absorption orale de cette vitamine.
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> Le Dr John Ely, professeur émérite à l'Université de Washington, a également montré que le sucre épuise la vitamine C des globules blancs et les rend paresseux. Les globules blancs sont les cellules mêmes qui attaquent les cellules tumorales et les détruisent.
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> La forme liposomale de la vitamine C utilisée dans cette étude se compose de poudre de vitamine C encapsulée dans de la lécithine (phosphatidylcholine) en sachets de 1 gramme (1000 mg), des laboratoires Livon d'Henderson, dans le Nevada, USA.
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> Un laboratoire britannique (Biolab, Londres), qui a effectué beaucoup d'essais avec de la vitamine C sur une période de 10 ans, confirme que des doses de 20 et 36 grammes de vitamine C par voie orale, telles que celles utilisées par les chercheurs Hickey et Roberts, ont permis d'obtenir une concentration dans le sang beaucoup plus élevée que ce qui avait jamais été mesuré auparavant. L'administration de doses répétées plutôt qu'une dose massive unique de vitamine C permet d'éviter les effets secondaires tels que la diarrhée.
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> L'effet tueur de cellules cancéreuses de la vitamine C est réalisé par la production transitoire de peroxyde d'hydrogène (H2O2) à l'intérieur des tissus conjonctifs (pas dans le sang), ce qui provoque la destruction des cellules tumorales, et par la suite se transforme en eau inoffensive (H2O), rendant la thérapie non toxique.
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> La réticence de la part des praticiens de la médecine moderne à offrir un traitement à base de vitamine C à leurs patients atteints de cancer suggère que le public devra pratiquer la thérapie par la vitamine C à la maison. Cela ne doit pas être une expérience totalement non guidée, puisqu'il y a des livres instructifs disponibles.
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> Pourquoi cette étude de référence a été complètement ignorée par la communauté du cancer est un mystère. L'étude a été publiée dans un journal catalogué par la National Library of Medicine (NLM), mais les articles de ce journal ne peuvent être consultés sur le site Web de la NLM. Lorsque ce rapport a été soumis pour publication, l'éditeur de la revue changea brusquement les réacteurs en chef et le nouvel éditeur a tenté d'éliminer complètement le rapport de son calendrier de publication. Finalement, le rapport a été publié, mais soudain la revue elle-même a cessé d'être cataloguée et ses articles n'ont plus été indexés par la NLM. Il semble qu'une tentative délibérée a été faite pour enterrer cette étude. Un résumé en ligne est consultable sur le site Web du Journal of Nutritional and Environmental Medicine.
> http://www.cancer.gov/about-cancer/treatment/cam/patient/vitamin-c-pdq
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@ aiskhyné
Les quantités nécessaires
- Chez l'adulte en bonne santé : 8 à 10 grammes par jour.
- Chez la femme enceinte : 10 à 15 g par jour au moins.
- Chez le bébé = 1 g par jour et par année d’âge...
- Chez une personne stressée ou présentant une pathologie : entre 15 et 20 grammes par jour.
- Chez un malade : entre 20 et 30 grammes par jour...
- Chez les personnes empoisonnées par des chimiothérapies massives et/ou sous morphine, 60 à 100 g par jour.
Le début des cures est souvent accompagné d'un nettoyage de la vésicule biliaire, d'où certaines accélérations du transit et l'apparition de quelques gaz, mais de façon limitée dans le temps. Il est préférable au début au moins de la prendre diluée dans un litre d’eau (ou plus) avec du sucre, du miel ou du sirop et de la prendre par petites quantités réparties tout au long de la journée. 10 g par jour = environ deux cuillères à café - mais il est bon de vérifier avec un pèse-lettre.
L'absorption de la vitamine C
Prise par la bouche, la vitamine C passe par le tube digestif. Elle est assimilée déjà en partie par l'estomac mais pour l'essentiel par l'intestin grêle. Une fois dans le sang, les globules blancs – qui sont en quelque sorte les pompiers de l'organisme – en captent une très grande partie qu'ils vont pouvoir aller distribuer partout où cette précieuse substance est nécessaire. Le reste rejoint le foie par le système veineux PORTE (entre l’intestin grêle et le foie). Le foie – très avide de vitamine C – en récupère une très grande partie. Pour les maladies sévères qui se situent ailleurs qu'au niveau digestif, il est donc indispensable de prendre des doses suffisantes – supérieures à 20 ou même 30 grammes par jour.
La voie rectale sera utile pour les doses supérieures à 30 grammes par jour en cas de dévitalisation importante, en particulier suite à des chimiothérapies (Voir le protocole des perfusions rectales : NE JAMAIS UTILISER DE L'ACIDE L-ASCORBIQUE PUR).
Il n'est pas nécessaire d'ajouter un alcalinisant (carbonates divers) sauf pour la voie rectale : l'acide L-Ascorbique n'acidifie jamais l'organisme, même à raison de 100 grammes par jour.
- Chez la femme enceinte : 10 à 15 g par jour au moins.
- Chez le bébé = 1 g par jour et par année d’âge...
- Chez une personne stressée ou présentant une pathologie : entre 15 et 20 grammes par jour.
- Chez un malade : entre 20 et 30 grammes par jour...
- Chez les personnes empoisonnées par des chimiothérapies massives et/ou sous morphine, 60 à 100 g par jour.
Le début des cures est souvent accompagné d'un nettoyage de la vésicule biliaire, d'où certaines accélérations du transit et l'apparition de quelques gaz, mais de façon limitée dans le temps. Il est préférable au début au moins de la prendre diluée dans un litre d’eau (ou plus) avec du sucre, du miel ou du sirop et de la prendre par petites quantités réparties tout au long de la journée. 10 g par jour = environ deux cuillères à café - mais il est bon de vérifier avec un pèse-lettre.
L'absorption de la vitamine C
Prise par la bouche, la vitamine C passe par le tube digestif. Elle est assimilée déjà en partie par l'estomac mais pour l'essentiel par l'intestin grêle. Une fois dans le sang, les globules blancs – qui sont en quelque sorte les pompiers de l'organisme – en captent une très grande partie qu'ils vont pouvoir aller distribuer partout où cette précieuse substance est nécessaire. Le reste rejoint le foie par le système veineux PORTE (entre l’intestin grêle et le foie). Le foie – très avide de vitamine C – en récupère une très grande partie. Pour les maladies sévères qui se situent ailleurs qu'au niveau digestif, il est donc indispensable de prendre des doses suffisantes – supérieures à 20 ou même 30 grammes par jour.
La voie rectale sera utile pour les doses supérieures à 30 grammes par jour en cas de dévitalisation importante, en particulier suite à des chimiothérapies (Voir le protocole des perfusions rectales : NE JAMAIS UTILISER DE L'ACIDE L-ASCORBIQUE PUR).
Il n'est pas nécessaire d'ajouter un alcalinisant (carbonates divers) sauf pour la voie rectale : l'acide L-Ascorbique n'acidifie jamais l'organisme, même à raison de 100 grammes par jour.