et bhain faudra essayer pour le savoir !!!!
je fais remonter ce vieux sujet suite à une précision que j'ai eue de ailleurs... Ce détail d'importance fait pourtant la matière du forum mais il n'a jamais été évoqué. J'importe ce détail sur Psychonaut en fait.
Précédemment ma crédibilité a été mise à l'épreuve par ce topic difficile à défendre. Mais j'accepte ça. Mon but n'est pas la turbulence mais de trouver des convictions valables or rien n'a encore été définitif, d'aucune provenance, en ce sens.
D'abord rafraîchir la mémoire avec un petit résumé du topic de la vitamine C:
la Vitamine C commercialisée à la fin des 60 début 70 était une nouveauté pour le grand public (même si elle existait depuis un temps en labo...). C'était encore une nouvelle x une invention "d'Américain"... Ceux qui avaient inventé la bombe atomique, ceux qui marchaient sur la Lune et qui plus tard inventeront les computers personnels...
La Vitamine C a marqué l'imaginaire populaire. Souvenons-nous de ce design tout en plastic et en orange, le mobilier en courbures et au polissage adouci, les papiers peints "pop", les abat-jour, l'orange tout artificiel et inaltérable qui taille sa place dans notre environnement traditionnel. L'Art, le design, étaient à la gloire de la Vitamine C.
Elle était diffusée dans le commerce sous forme de dosettes à déchirer pour le mix dans un verre avec de l'eau. De plus le goût était pour plaire. Les répercussions de cette nouveauté suscitèrent un espoir, sans mesure descriptible, jusque dans les sphères sociales marginales placées au ban de la société, les drogués, les alcooliques...
La Vitamine C, perçue comme une sorte de Rédempteur, était au départ un moyen pour apporter un support au GI de la guerre du Vietnam. Il s'agit du produit d'un effort de guerre scientifique sorti des labos de l'Occident et mis au service de tous... et des drogués. Si la Vitamine C n'a pas guéri les grands intoxiqués d'un coup de baguette magique, les junkies avaient la sensation pourtant que ce moyen chimique était le seul comme un doigt de dieu capable de toucher au problème... La Vitamine C était le seul ami sincère de la cellule physiologique humaine, et de son noyau, squattés par de faux amis tels que la morphine, même l'héroïne, etc...
Tout cela on le sait quand il y a eu des témoignages de rue sous forme de graffitis (on ne taguait pas encore vraiment) sur les murs glorifiant l'avènement de la Vitamine C. Les graffitis en exergue de l'ambiance sociale affichaient Jésus, Krishna, la Révolution et... la Vitamine C !! Il y eut des consommations désespérées et frénétiques, à sec ou pas, de Vitamine C en quantité aux moments les plus critiques de manques... Elles permettaient, tant bien que mal, un délai avant la fourniture aléatoire de drogue, donnant à certains usagers un sursis repoussant à plus tard l'obligation d'un dossier médical imposé. Au final et en dépit de tout, être amené à se confier aux urgences d'établissements hospitaliers pour l'administration de doses ou de méthadone était une hantise. Le canard aura les ailes coupées pour barboter alors que celui encore sauvage vole haut dans le ciel... Les canards sauvages...
Et voici le nouveau détail:
Cette Vitamine C comme accessoire de situations authentique des 70tes était elle Dextrogire ou Lévogyre? Comment le savoir? Et ce détail d'importance pourrait résoudre la question? La poudre cristallisée contenue dans les dosettes vendues en pharmacie à l'époque était elle la même Vitamine C que aujourd'hui ou est- ce encore un élément d'information soumis à censure actuellement?
Je ne sais pas si elle était dextrogyre ou lévogyre mais est ce qu'il y a une sorte d'acide ascorbique qui va plus loin?