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The Paul Butterfield Blues Band (1969)
(original sixties)
(IIIth millenium)
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forêt a dit:La nostalgie ne fait pas forcément pleurer, des fois c'est très doux. Notamment quand on prends conscience qu'il suffit d'être dans une autre période pour être nostalgique de la précédente...pourtant durant cette période on n'était pas spécialement heureux et on repensait a un âge d'or...qui maintenant est cette période. Alors on peux comprendre qu'on est heureux actuellement, il suffit de se rappeler qu'on regrettera ce moment. Bon ça marche pas tous le temps je sais bien.
amicale_du_pc a dit:Je comprends cette nostalgie.
Peut-être que lorsque j'aurai d'abord tout compris je me laisserai aller à la nostalgie.
forêt a dit:amicale_du_pc a dit:Je comprends cette nostalgie.
Peut-être que lorsque j'aurai d'abord tout compris je me laisserai aller à la nostalgie.
Ah les boules j'avais fait une jolie réponse qui ne s'est pas enregistrée. Bon du coup je vais faire plus bref :
Lorsque l'on enquête sur sa nostalgie on peux comprendre ce qui nous rendait heureus.xe à une époque. On peux par la suite comparer avec ce qui nous rends heureus.xe actuellement et comprendre nombre de choses à propos de nous-mêmes.
Par exemple je comtemple un souvenir. Je m'en détache de manière à observer l'émotion sucitée par celui-ci : regret qui se meut en joie d'avoir vécu cela (la dite nostalgie). Je me souviens de toutes les fois où j'ai ressentis la même chose et je constate que telle ou telle situation la joie prédomine sur le regret. Ça permet de comprendre comment on a évolué entre temps.
Pourquoi délaisses-tu la nostalgie si tu reconnaît qu'elle te permets de comprendre ? Elle peut être un formidable outils d'introspection.
amicale_du_pc a dit:Je comprends donc que je serai toujours un peu zombie...
forêt a dit:amicale_du_pc a dit:Je comprends donc que je serai toujours un peu zombie...
Même les zombies ont droit à un peu de joie !
Ci-joint un grand sourire plein d'empathie