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La lyre du romantisme fanatique extrémiste

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion amicale_du_pc
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Lee-O a dit:
Pour moi, vous abordez tous deux le phénomène selon deux angles bien distincts, et tu n'as pas l'air d'en avoir conscience, Lunatic, ce qui te fait, je trouve, manquer de respect à Amicale.

Tu assimiles d'autorité sa démarche à ton approche à toi -- c'est de la projection excessive de soi sur l'autre -- et tu ne lui parles alors plus que selon ton optique, et juges sa démarche à cette aune. C'est pas bien.

La démarche d'Amicale relève de l'analyse civilisationnelle et culturelle à fins d'éclairage d'aujourd'hui : que s'est-il joué au cours du dernier demi-siècle, comme grands phénomènes, qui ont pu conduire à aujourd'hui, et notamment, quels types de dégradations opèrent-ils dans différents champs qui ont valeur de fondation civilisationnelle -- dont fait évidemment partie la religion et ce qui prétend s'y substituer.



| Lee-O |

Là, j'ai vraiment du mal à comprendre ce que tu me reproches. Amicale a parlé du satanisme en le réduisant à Lavey, que ce soit ou non dans le but d'une analyse civilisationnelle c'est inexact, et ça méritait d'être critiqué.
Et puis là, je vois quand même un sacré paquet d'hypocrisie. On analyse les grands changements du dernier demi-siècle, donc les changements religieux aussi, ça je veux bien.
Mais explique-moi en quoi nous sommes moins monothéistes qu'avant? En plus, ce topic est quand même assez centré sur les USA, qui restent un pays très chrétien. Et je ne pense pas que notre époque ne soit pas chrétienne. Notre morale, qui consiste à dire que l'ordre du monde / de la société est forcément bon et que donc ceux qui sont malheureux sont de pauvres pêcheurs auxquels on peut offrir la charité mais rien de plus,  est extrêmement chrétienne.

On me dira que les chrétiens défendent la charité, mais comme dit plus haut, la charité n'est pas un problème dans notre société actuelle. Et les chrétiens n'ont en revanche pas grand-chose à foutre de la solidarité ( la charité est un épanouissement de ton individualité puisqu'elle te fait te sentir mieux, en revanche elle ne change pas grand-chose à l'affaire, et le pauvre reste pauvre, la solidarité elle réduit ton épanouissement en tant qu'individu puisqu'elle exige un sacrifice de toi mais permet d'éviter que des gens de la classe moyenne ne deviennent pauvres).

Pour tout le reste de ce que tu dis, tu développes une vision de satan certes intéressante, mais à mon sens d'une naïveté incroyable. Comment peut-on ne pas se rendre compte que Dieu est un individualisme des plus terribles. Dieu ne pouvant être conceptualisé par l'humain, l'humain ne peut qu'avoir une vision fausse de lui, il y mettra donc ses biais et sa personne. Dieu est un moyen de rendre notre vision du monde reine par-dessus tout, un safe space pour notre individu. Il sert à traiter ceux qui souffrent de pêcheurs et à nous imaginer élu, se développant pour atteindre le paradis. D'ailleurs, par sa promesse du paradis, Dieu est un sacré hédoniste quand on y pense.

Il faut quand même être un peu enfermé dans les symboles pour croire que quand on vénère Dieu on vénère la paix et l'harmonie, ou l'universel. Il me semble que justement, prendre le temps d'appréhender l'adversaire, l'autre, plutôt que de vénérer l'autorité et le symbole qui nous est naturellement parlant, est bien moins individualiste.
Décrire le diable comme l'individualisme, je trouve ça hypocrite, quand des sociétés aussi chrétiennes que les notres dans leurs shémas d'analyse sont individualistes.
La morale des néo-libéraux d'ailleurs - que je considère comme la pire forme de l'individualisme - consiste quand même à dire les élus aux grattes-ciel les pêcheurs aux banlieues. Pardon, mais venir chercher du satanisme dans cette chute civilisationnelle et cette percée de l'individualisme, à mon sens c'est avoir tellement de symboliques dans la tête qu'on ne voit pas le monde pratique.
Dire qu'il n'y a qu'un seul Dieu, qu'il est bon et miséricordieux, c'est dire que le monde n'a pas de cruauté et d'injustice, et que donc, nous n'avons pas à aider ceux qui souffrent au-delà de quelques changements moraux ( charité / prières) et que notre position est forcément juste. C'est un individualisme terrible, qui se cache derrière l'universalité. Il me semble que c'est donc le pire de tous.
La religion chrétienne n'a pas disparu, elle a changé de forme. Mais sous le masque, les schémas, c'est ceux de l'Eglise. Je rappelle que les chefs de notre civilisation continue d'ailleurs de voir leur président jurer sur la bible sans que ça les choque.
 
Belle distinction charité / solidarité
 
le satanisme, concept relativement récent, ne se place pas au registre religieux ou en substance individualiste neo-libérale... Je le verrais plutôt comme successeur du fascisme et du totalitarisme.

voici un cut d'il y a klkes pavés:
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Quand on parle de racisme, de fascisme, on est hors propos. Il y a le satanisme. Si il a commencé lors des 60 en tant que modernité, il est, aujourd’hui encore, un socle rétrograde comme héritage sociologique des dictatures de droite dépassées.
</copy>
oui, le satanisme en est le recyclage...

et par delà toutes ces théories de bretteurs intellectuels, j'ai encore cette appréhension du satanisme comme auxiliaire des dictatures dans la guerre psychologique en démocratie pendant que celle-ci s'affairait à se préoccuper de la gauche......
 
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The Survival. Disturbance
 
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famous special mention as Azimut reference
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<gotha label>

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Joe Byrd And The Field Hippies. You Can't Ever Come Down
 
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Après klkes balbutiements préparatoires disséminés dans divers threads en écho à la vidéo placée par Snap (et que je replace encore ici) voici un sujet Psychédélique ready to serve...

Comment faire une vidéo didactique honnête quand elle a des aspects couverts par la censure de la "War on drugs"? Mais enfin l'initiative attire l'attention sur l'ensemble académique reliant l'Art Nouveau à celui psychédélique des 60.... Ce qui se rapproche de l'Art Nouveau et/ou Déco ne fait pas l'absolu psychédélique mais disons en est une variante. L'Art psychédélique s'accapare de l'un ou l'autre rai de lumière sorti des gravures de Alphonse Mucha et d'autres créateurs de son époque... La prospection des 60 ne s'arrête pas au psychédélique "art nouveau". A témoin les créations PoP Art de Andy Warhol ou Peter Max...

Le psychédélique "art nouveau" prend néanmoins une dimension rare par sa portance significative en rebond sur les sixties depuis les années d'avant-guerre mondiale. Il s'agit d'une vindicte. Oui, la revanche d'un style, en tant que personne morale. L'Art Nouveau comme avatar d'une classe sociale assez patricienne en Europe, se faisait idéologiquement accabler. C'est l'Art qui se faisait accabler, et éventuellement ses partisans en leurs palais somptueux Art Nouveau... Mais néanmoins celui-ci prenait une mauvaise connotation face au style réaliste du fascisme en pleine ascension.

Au mieux, pour les partisans distingués de l'Art Nouveau, cela faisait malgré tout mauvais genre en cette sphère humaine, un peu comme le thé au lait des Anglais (ou même pire... celui des Russes). De toutes façons, la prospective Art Nouveau s'interrompit avec le cas de force majeur dû au conflit mondial.

La vidéo explique des choses mais ses acteurs ne reflètent pas la circonstance des 60 / 70. Ces figurants sont d'un genre trop préservé... Comme si leur derrière ne servait à rien et qu'ils n'ont même jamais besoin de le laver... (sauf pour la séquence des Gi) .

Pour le reste, les notions des styles artistiques sont relativement valables (en anglais...)

Where the 1960s "psychedelic" look came from

une pub début 20me pour du papier à rouler les cigarettes
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l'amorce initiale d'un engouement qui donna suite aux 60 (posters en arrière-plan)
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à gauche le poster PoP avec la source originale d'inspiration Art Nouveau à droite
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psychedelia
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prophétesse...
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allégorique
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ici c'est du papier journal. Il ne s'agit donc pas d'une œuvre "lourde" au finish comme un produit fini à vendre mais bien l'effet d'un mouvement philosophique en pleine motion au quotidien pour les gens qui suivent les nouvelles dans un magazine Underground...

C'est du psychédélique au banal si on peut dire...
Le grain (tout en bas), certains y voient un message du for intérieur
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c'est bien de l'Art... Rock & Roll !!!
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figuration profondément psycho
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graphisme des lettres...
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échantillons de graphisme psychédélique, toujours sur papier journal
= plus "vrai"
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C'est Allen Ginsberg avec ses longs cheveux et sa barbe de gourou comme un vet.
Mais cela en est peut-être bien l'inspiration
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le feu Sacré... Mais je ne v pas donner la becquée tout le temps non plus hein...
Si on ne perçoit pas tout et bien ce n'est pas grave... Il y a pire dans la vie...
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une publicité pour un évènement cinéma à base des Rolling Stones, mais aussi des indices d'espertise...
le "Ann Arbor Sun" (donc dans le Nord-Est des USA).
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jugenstil
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<Kabul>

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<late hippy>

Minami Deutsch. Vocalism Ali/Forever Takemitsu

Minami Deutsch. Sunrise, Sunset

Minami Deutsch. Öbergleich part II
 
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LA GUERRE DES ACCROS

Des mots pour le Verbe de « La Guerre des Accros »
(référence années cinquante, soixante, soixante-dix... mais quatre-vingt, quatre-vingt-dix, ... le 3me millénium...)

"Introduction" est une des pages du guide de la Sativa
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En 1966, cinq tonnes de marijuana ont été interceptées par des patrouilleurs frontaliers américains alertés aux différents postes-frontières entre la Californie et le Mexique. Les officiels de la loi placent ce chiffre à dix pour cent du total qui a traversé la frontière sans être détecté. Sans tenir compte de la grande quantité de marijuana tendrement nourri dans l’État, ces chiffres indiquent qu’il y avait cinq cigarettes de marijuana disponibles pour chaque homme, femme et enfant vivant en Californie. Tu as le tien ? Si ce n’est pas le cas, on peut et devons faire quelque chose à ce sujet.
Le but de ce travail n’est pas d’encourager une pratique illégale, puisque fumer de l’herbe est contraire à la loi. Cependant, beaucoup fumer d’herbe se fait dans ce pays et les lois de par leur nature devraient refléter les opinions des gens. Comme les lois régissant l’usage de la marijuana ne le font pas, ces lois sont absurdes, anachroniques et devraient être abrogées.
Les Américains sont familiers avec le chaos qui a résulté après l’adoption du projet de loi interdisant l’alcool. Les lois interdisant la culture, la possession et l’utilisation de la marijuana encouragent les activités du marché noir infâme aussi. La béatitude du tabagisme de la marijuana ne doit pas être dispensée par les racketteurs. Gardons notre pays propre. Les lois interdisant la jouissance du pot devraient être abrogées et de nouvelles lois régissant l’utilisation discriminatoire de la plante de valeur devraient être adoptées.
Les fantômes du passé puritain sévère et sombre s’éternisent, influençant nos lois et coutumes et tachant le caractère épris de liberté du peuple américain avec une culpabilité paralysante. C’est un nouveau jour, une nouvelle génération. Le pot est bon. Il est non toxique et non addictif. Il est beaucoup moins menaçant que l’alcool ou la nicotine. Il ne doit pas être confondu ou associé à des barbituriques, des stimulants ou des opiacés. Il doit être fumé et la beauté de ses effets réalisés, sans honte ou la peur de l’arrestation.
Ce travail est écrit dans l’espoir que les Américains seront un jour libres d’expérimenter la joie intense de l’euphorie induite par la marijuana, et de mettre à la disposition du public des informations concernant l’histoire, la plante, les soins, la récolte, et l’utilisation appropriée du pot.

une autre des 23 pages du guide
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5, 7 et 9 folioles ! C’est tendance Sud ça non ?
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Sativa, Indica:

L’évocation du Cannabis suggère automatiquement l’Indica ou la Sativa, ceci étant une hérésie au regard de la taxonomie. Tous les cannabis portent l’adjectif latin « sativa » du simple fait que au temps des Romains on cultivait le chanvre pour sa fibre utile en matière de cordage et de marine. Les Anciens ne prenaient pas en considération le cannabis « mauvaise herbe » en croissance sur les terrains vagues, un peu partout autour de la Méditerranée et dans les civilisations  tierces des continents. Le cannabis devait être présent sur les spots d’accostage, les ports où existaient des cultures agricoles dévolues à la fabrication de cordages (Carl Linnaeus scella le classement "Cannabis Sativa" en 1753)

Mais quand il s’agit de modernité, de récréation ou de clandestinité on ne va pas citer à chaque fois toute la dénomination scientifique « Cannabis sativa subsp. sativa » ou « Cannabis sativa subsp. indica ». On est entre nous. « Sativa » ou « indica » sont suffisants.

Le problème réside dans le manque de précision sur l’usage de l’expression « allégée » ou scientifique dans les textes et cela génère un imbroglio. De même on peut malheureusement réfuter une crédibilité en prétendant que le « Cannabis indica » n’existe pas, ou encore d’autres anicroches justifiées par les mécanismes de la théorie en dualité avec les traditions. En entrée en matière de tout texte ou témoignage traitant de cannabis il faudrait une étiquette « allégé » ou « rigoriste » pour éviter les quiproquos. Autrement on peut faire passer une sorte de cannabis pour l’autre et le lecteur se retrouve… perdu !!! Un scientifique dira « sativa » et le dealer le croira, pour se retrouver avec de l’indica.

Et voila, tout ceci parce que j’ai remarqué que le développement en matière de Cannabis sur l’Internet est générique d’une erreur qui perd l’information.

Le  Cannabis sauvage original date d’il y a plus de 10 000 ans et n’existe plus. Les modifications génétiques du végétal se sont opérées selon des distributions influées par les climats, altitudes, sols… Ainsi non seulement l’indica se discerne de la sativa, mais le plant de cannabis peut favoriser la fibre, soit l’huile, ou encore la substance psychotrope avec son THC. Tout ceci dépend du parcours, des migrations du cannabis sur les millénaires qui font muter le Monde. En plus des mutations naturelles aux résultats sensibles sur des centaines d’années, s’ajoutent directement les croisements et les manipulations génétiques de la science humaine.

Dans l’absolu naturel, le cannabis s’adapte aux circonstances environnementales. Il s’agit d’adaptations physiologiques végétales qui peuvent s’opérer déjà à l’échelle des siècles (donc plus rapidement que sur les millénaires…). Un cannabis sativa exploité par les Romains pour la fibre mais migré et arrivé en zones tropicale et équatoriale d’Afrique il y a 500 ans aura développé son THC. Aujourd’hui ce cannabis est carrément psychoactif. A l’inverse, le cannabis exploité dans nos pays pour l’industrie textile détient peu de THC et ne risque pas de modification subite, mais il a une prépondérance à dériver vers le THC sur un délai de quelques centaines d’années… Surtout avec le changement climatique. L’attention des obédiences, les contrôles, consistent à en mesurer et observer de près la fine nuance.

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Un des objets de la « war on drugs » :

A ressasser notre mémoire, la transmission orale et les archives, on remarque bien la résolution opiniâtre de censure à l’égard d’un élément clé assimilé aux évènements sociaux troublés de façon caractéristique. Le snobisme effréné pour les choses du sexe se voit encore amplifié par la substance (sativa) à en devenir l’axe exclusif et révolutionnaire jusqu’à la turbulence.

Dans les anciens documents on parle de cannabis du Mexique, du Texas, d’ « Acapulco Gold », la Centrafrique pour la France et même le Congo… On voit du cannabis à neuf ou même parfois  onze (et 13 ?) folioles !! Toutes des choses, des détails désormais amenuisés dans les dissertations…

La war on drugs déterminée est même intervenue au niveau des collections de graines de sativa désormais détruites. Ces collections étaient subsidiées à l’origine dans le cadre de l’étude scientifique. Aux USA le ministère refuse d’accueillir de nouvelles collections (du domaine psychotrope). Comme pour le pavot et l’opium, on remarque qu’il y a un chipotage dans le Monde à ce niveau. Il y a volonté d’éradication de tout ce bord caractéristique de la drogue qui fit l’évènement. Soit. Mais ce que je réprouve c’est le manque de crédibilité attribué au(x) témoin(s) de ce phénomène… Le manque de transparence... Ce que je veux dire, pourquoi faut-il garder un dernier mensonge pour garantir toute réussite?? Y aurait-il un complexe de haut niveau dans la réalisation du progrès?

Signé: le témoin David Vincent, et les visiteurs d’ailleurs...


« bite d’acier » va à l'ombre…
mais pertinence de l’info bien attribuée = 11 folioles
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Ci-après l'extraction d'une authenticité à base de source fiable en domaine de Cannabis. Il s'agit sur la Lyre d'un passage traduit en français du guide en anglais "Cannabis A Complete Guide".

En rouge, des commentaires perso

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SATIVA

Sativa Partie du nom scientifique C. sativa, ou le nom C. sativa subsp. sativa, traditionnellement utilisé pour désigner toutes les plantes de cannabis qui sont très faibles en constituant enivrant THC

Il y a du THC en petite quantité dans la résine de la Sativa.
D'une part on dit ci-dessus qu'il y a peu de THC in Sativa, et ci-dessous on affirme que les niveaux de THC sont très élevés (toujours pour la même Sativa).


................

(dénomination Sativa) Utilisée pour désigner les plantes enivrantes qui ont des niveaux très élevés de THC et très faible ou pas de niveaux du constituant non enivrant CDB,

Les deux affirmations distantes de quelques petits centimètres sur la page dans le Guide de la Sativa, semblent paradoxales... D'abord on dit que le THC est négligeable, puis on affirme que ce même THC est très fort. Et bien c'est comme l'or !! Une petite pépite a sa valeur. Pour une quantité égale de résine, le THC de la Sativa est plus influent que tout autre THC d'une autre résine...

Aussi on affirme dans ce guide (très pro) que le CBD est infime ou nul in Sativa. On en déduit que il n'y a pas d'huile de CBD (celle vendue légalement en commerce) à base d'extraction de Sativa. Il n'y a donc pas de produit commercial ou médical (flacons d'huile de CBD) entrant en ligne de compte en domaine de libido. Cela n'existe pas.


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INDICA

Partie du nom scientifique Cannabis indica, ou le nom C. sativa subsp. indica, traditionnellement utilisé pour désigner toutes les plantes de cannabis qui sont riches en constituant enivrantTHC

Avec la métaphore de l'Or pour la Sativa on peut imaginer le THC in Indica comme de valeur de l'argent, du cuivre ou du plomb... Comme dit dans le texte ci-dessus, la part du constituant THC est importante dans la résine de l'Indica. il y en a en abondance et c'est plus facilement exploitable du point de vue marketing. De plus il fournit le CBD pour emplir les fioles des boutiques.

.................

(dénomination Indica) Employée pour désigner une classe distinctive de plantes enivrantes qui ont des niveaux modérés de THC et du constituant non enivrant CDB

Encore ici comme pour la Sativa, on fait des affirmations semblant contradictoires... Pourtant cohérentes!! A niveau modéré de THC, la quantité abonde. Idem avec le CBD: il y en a beaucoup pour la distribution en commerce.

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En conclusion la Sativa originale porte sur la libido avec des conséquences psychiques qui ont fait son tabou.
 
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Le livre sur le Sativa semble très beau. Tu l’as vu ? Ou c'était numérisé ?
 
Tridimensionnel a dit:
Le livre sur le Sativa semble très beau. Tu l’as vu ? Ou c'était numérisé ?

oui très beau et avec 504 pages en anglais :sick: . Les chapitres abordent l'agronomie mais aussi la "petite" histoire et différentes facettes...

guide PDF à récupérer sur Taylor & Francis

Taylor & Francis Group

et entrer la recherche suivante: Cannabis A Complete Guide Ernest Small

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La pochette du LP "Soft Machine Six" (1973) fait très bien l'affaire pour illustrer une ambiance qui passe en mode play power industriel lors des communions festives paillardes. C'est la Révolution sexuelle !! Le Cannabis Sativa en est l'arcane inavouée... (quoi d'autre quand le viagra n'existait pas encore). La Sativa est une idole interdite.

et ça y va, la Sativa !!!
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extrait récupéré et interprété du Wikipedia anglais

<cut Acapulco Gold>
Enregistré pour la première fois aux États-Unis en 1964,[1] l'Acapulco Gold a été défini par l’Oxford English Dictionary l’année suivante comme "une catégorie spéciale de cannabis en croissance dans les environs d’Acapulco ... avec une couleur d’or brunâtre, ou un mélange d’or et de vert".[2]

Traditionnellement cultivé dans les montagnes de Guerrero en dehors de la ville,[3] c’est une souche locale[2] décrite comme ayant « des effets hallucinatoires », (note de la Lyre: souche locale = "landrace" à interpréter comme "souche pure" càd identique à la souche première originaire d'Asie) attribués à une longue saison de croissance de la plante dans des conditions auxquelles elle était déjà adaptée.

Le contrebandier et promoteur Gary Tovar a déclaré que la couleur distinctive de l'Acapulco Gold était le résultat de la façon dont les plantes vieillissaient et séchaient par le vent au large de l’océan Pacifique. [5] Lorsqu’il est cultivé en dehors de son aire de répartition indigène, il est considéré comme sensiblement moins puissant que les plantes indigènes: "alors que la génétique originale d’Acapulco Gold peut être trouvée aux compagnies mondiales de semences, sans ce soleil flamboyant d’Acapulco et les brises du Golfe, le produit final reste un artifice, un simulacre de ce qui pourrait y avoir eu en 1974".[6] Dès 1975, le New York Magazine affirmait que la puissance originale de la plante avait déjà été affaiblie en raison de la sur-plantation répondant à la demande. [7]

Appelée "l'herbe du connaisseur»,[8] dans les années 1960 l'Acapulco Gold était "une marijuana recherchée par les fumeurs américains, considérée comme de meilleure qualité que la culture de la marijuana en Californie ou au Texas".[9] "Ceux qui ont la Connaissance recherchent l'Acapulco Gold mexicain pour le plus élevé des highs."[10] Un autre rapport a mis en évidence son "goût exquis ». Sa puissance était due à une teneur en THC de 23%, ce qui en fait l’une des plantes les plus fortes disponibles à l’époque. [2] Le plant renommé par sa qualité était telle que le manuel de 1993 "Drugs, Alcohol and Mental Health" affirmait que « Acapulco gold » était devenu un terme générique pour la marijuana de haute qualité. [11]

L'Acapulco Gold était la plante préférée de Carol Wayne, Paul Ferrara,[12] et Jack Nicholson. [13] Le commissaire de longue date de NFL (National Football League) Pete Rozelle l'a expérimentée aux environs de 1970, cherchant à comprendre si la marijuana causerait des problèmes pour ses joueurs. Le duo adolescent de rock Heth et Jed a vendu de l'Acapulco Gold [15] (me demande bien comment puisque il n'y en a plus), et le trafiquant de drogue et pilote de course (Speedway bomber) Brett Kimberlin prétend qu’il en a donné au futur vice-président américain Dan Quayle comme cadeau de mariage[15] (???).

L'Acapulco Gold était particulièrement mandée à l’Université Columbia au début des années 1970 (Yes !!! "Free Sex Revolution!!!"), à tel point que l’université avait un réseau de contrebande dédié via Austin, Texas. [17]

Les prix déclarés pour l'Acapulco Gold étaient d'une « somme astronomique de vingt dollars l’once » au cours des années 1960,[8] $500 par kilo en 1967,[18] et $30 l’once en 1972. L'Acapulco Gold coûtait peut-être 36 $ le kilo à la source au Mexique en 1973. [20] À titre de comparaison, le prix légal à Port Angeles, Washington était de 12 $ le gramme en Novembre 2016. [21] (...) (on ne peut rien affirmer mais il me semble que les prix initiaux ont commencé bas... C'est un schéma axiomatique d'évolution des prix pour toutes les drogues.)

Dès 1968, on affirmait à tort que le nom « Acapulco Gold » avait fait l’objet d’une marque déposée en prévision de la légalisation de la marijuana; [18] en août 1969, Harlan Ellison a affirmé que la marque avait été enregistrée à la compagnie de tabac Liggett & Myers. [22] En 1971, le terme a été utilisé comme un nom de marque pour le papier à rouler les cigarettes destiné à être vendu pour recueillir des fonds pour faire campagne pour la légalisation de la marijuana; Amorphia, l’organisation qui a soutenu l’effort, a finalement fusionné avec NORML. [23] Le papier à rouler les cigarettes aurait généré la plupart du financement pour soutenir l’initiative marijuana Proposition 19 de Californie en 1972. [24] Lorsque l’Office des brevets et des marques des États-Unis a brièvement ouvert l’enregistrement des noms commerciaux pour les souches de marijuana médicale en 2010, Acapulco Gold était l’une des marques soumises avant l’abandon de la catégorie. [25]

À la fin des années 1970, jusqu’à 20 % de la marijuana mexicaine importée aux États-Unis a été contaminée par l’herbicide paraquat, ce qui rend les plantes dorées. La demande s'est accrue pour la marijuana contaminée en la faisant confondre avec l’or d'Acapulco de la meilleure qualité. La contamination est le résultat d’un programme d’éradication des drogues (war on drugs) mené par le gouvernement mexicain auquel les États-Unis versaient 13 millions de dollars par année. [26] L’armée mexicaine avait précédemment brûlé beaucoup des champs originaux d’Acapulco Gold en 1967 à la demande du gouvernement américain. [27] (autant dire de suite que à force d'opiniâtreté il n'y a plus d'Acapulco Gold... <war on drugs> n'est pas un vain mot)

L'Acapulco Gold était l’un des parents de l’hybride Skunk No. 1, qui a été appelé "l’épine dorsale du monde moderne de l’élevage de cannabis."[28] En 2014, le magazine High Times a nommé l'Acapulco Gold l’une des plus grandes plantes de tous les temps. [29]

L'Acapulco Gold a prêté son nom à un politicien californien[30] et un cheval de course irlandais. [3

</ Acapulco Gold>

L'Acapulco Gold censurée et toutes les Sativa concernées ont été un vecteur de la polémique sociale parce que c'est SEXUEL !!!
 
Un guide de la Sativa (60's) avec le verso de la dernière page du livret. Un classique de la drogue agrémenté de gribouillages d'enfant. Tout en un, pour symboliser la polémique de la Sativa comme phénomène de la libération sexuelle et en même temps l'intérêt attentif des ligues des familles et des ministères.

Qui a déjà fumé de la marijuana Sativa?? Celle qui donne la trique?
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info work


encapsulated archive

encapsulated in memoriam
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<encapsulated memory>
<lady Sativa>
Ray Owen's Moon. Hey Sweety


David Vincent 💡
 
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Je pique tes trouvailles pour me faire une belle photo de profil merci pour ce super thread

Led Zeppelin - Plays Pure Blues (1969 Texas Pop Festival)
 
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