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Juste pour dire

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion josé
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Beh du coup mon message veut plus rien dire donc euh, je vais dire à la place que je vous aime ! <3
 
Heuuu pour avoir moi même visité le fond du trou plusieurs fois je peux dire que perso si je cède et visite la depression c'est une spirale sans fond. Enfin t'as toujours l'impression d'être au fond mais tu peux toujours creuser plus encore, entre guillemets parce que moi je contrôlais plus rien du tout j'étais juste entraînée toujours plus loin, une fois les armes déposées. Avec isolement type hikikomori, abus massif de drogues pour réduire la douleur, risques de suicides récurrents...

A titre personnel en fonction de mon vécu, je déconseille fortement de 'visiter' la depression, d'aller dans son sens. Une fois l'obscurité refermée autour de vous, retrouver un rais de lumière est un combat de plusieurs mois voire années.


Gaëtan je pense que vu ta réaction a tes pensées sordides c'étaient peut être bien des phobies d'impulsion, la peur de passer a l'acte sans que ça se produise jamais. Ça y ressemble beaucoup en tout cas et ça ne fait pas de toi quelqu'un de dangereux, mais oui ça peut être très dérangeant et flippant a vivre.
 
Morning Glory a dit:
Heuuu pour avoir moi même visité le fond du trou plusieurs fois je peux dire que perso si je cède et visite la depression c'est une spirale sans fond. Enfin t'as toujours l'impression d'être au fond mais tu peux toujours creuser plus encore, entre guillemets parce que moi je contrôlais plus rien du tout j'étais juste entraînée toujours plus loin, une fois les armes déposées. Avec isolement type hikikomori, abus massif de drogues pour réduire la douleur, risques de suicides récurrents...

A titre personnel en fonction de mon vécu, je déconseille fortement de 'visiter' la depression, d'aller dans son sens. Une fois l'obscurité refermée autour de vous, retrouver un rais de lumière est un combat de plusieurs mois voire années.

A te lire je sens que tu n'as pas baissé completement les armes car tu as pris des drogues pour réduire la douleur.
Baisser les armes, de ce que je ressens c'est completement s'abandonner au truc mais je ne sais pas si c'est souhaitable, ni même possible

Tu n'as quand meme pas senti un changement après cette periode ?

Je ne peux que juger en fonction de mon expérience perso ou visiter mon mal être par acoups me fait du bien.
Et me forcer à "vivre" comme tout le monde alors que ça n'allait pas fort, en tout cas, ne résolvait pas du tout la chose.

Gaëtan je pense que vu ta réaction a tes pensées sordides c'étaient peut être bien des phobies d'impulsion, la peur de passer a l'acte sans que ça se produise jamais. Ça y ressemble beaucoup en tout cas et ça ne fait pas de toi quelqu'un de dangereux, mais oui ça peut être très dérangeant et flippant a vivre.

Oui quand je sentais en moi que je ne pourrai jamais passer à l'acte malgré ces pensées, ça m'a rassuré.
 
"Tu n'as quand meme pas senti un changement après cette periode ?"

Ha oui c'est clair j'ai senti quelque chose haha, et même bien senti...
Mes 15-17 ans t'inquiète j'avais aucune drogue, zéro issue de secours autre que des randonnées solitaires toute la journée voire de nuit en plein hiver dans des lieux déjà connus, juste pour sortir du monde des humains le plus longtemps possible. Et avant d'en arriver là je peux t'assurer que je l'ai explorée la depression, je savais pas du tout ce qu'était cette nouvelle sensation cheloue et lourde, capiteuse, qui venait et repartait par vagues. Curieuse, j'ai donc effectivement exploré. Putain, si j'avais su... Je sais pas si ça aurait changé quoi que ce soit... Mais cette sensation horrible, qui étouffe toutes les autres sur son passage et ronge ma poitrine pour n'y laisser qu'un trou béant et sanguinolant, elle ne m'a plus jamais entièrement quittée depuis. A mon avis là c'est à vie.


C'est peut être juste une différence interindividuelle mais es tu sur de parler de depression et non de déprime ?
 
La seule chose qui a changé pour moi après les multiples fois où il m’a semblé toucher le fond, c’est la sensation d’être durablement cassée et une perte de confiance envers la possibilité d'être durablement heureux.
Ensuite y’a eu des moments d’hébétude heureuse, notamment le lendemain d’une TS, mais c’est pas du tout systématique et je pense qu’on peut le vivre par d’autres formes de choc menant à un regard neuf sur le monde.
 
Mais cette sensation horrible, qui étouffe toutes les autres sur son passage et ronge ma poitrine pour n'y laisser qu'un trou béant et sanguinolant, elle ne m'a plus jamais entièrement quittée depuis. A mon avis là c'est à vie.

Mais penses-tu réellement que tu aurais pu l'éviter ?


C'est peut être juste une différence interindividuelle mais es tu sur de parler de depression et non de déprime ?

Là je me rend compte que c'est pas évident de mettre des mots.
Parfois dépression dans le sens où ce sont des longues périodes ou j'ai envie de rien faire avec un mal etre profond.
Parfois déprime quand c'est passager.
Mais moi je suis jamais aller au fond, j'ai la bouffe qui me permet de me couper momentanément de la douleur quand elle grossit trop..

Mais ce qui ne change jamais c'est cette douleur à la poitrine qui est quasi constante pour ma part avec parfois une sensation plus légère mais qui reste qd meme lourde. Accompagné d'un enorme noeud au ventre. Comme une masse.
Mais on apprend à vivre avec. 

Je te demande si tu aurais pu éviter cela ? Car dans mon cas, j'ai l'impression que j'ai plus découvert mon état réel au fond de moi sous les masques plutot qu'une conséquence d'avoir "fait l'erreur d'explorer la dépression".
 
"Mais penses-tu réellement que tu aurais pu l'éviter ?"

Je ne sais pas. C'est très naïf je le reconnais. Je me dis que si je m'étais raccrochée au monde "normal" et repoussé la sensation de dépression avant de finir noyée, j'aurais peut-être eu encore une chance de tomber moins profondément.
Mais oui les bases étaient posées depuis longtemps, c'est certainement juste là que tout a explosé tout simplement.

Ouai si ce que tu décris a duré six mois ou plus on doit pouvoir parler de dépression, même si vraiment dépister comme ça est évidemment impossible. Mais on semble parler de la même chose à peu près.

La bouffe a marché un temps pour moi, le seul moment de la journée pas trooop horrible. Aujourd'hui bof, le sucre aide mais l'espace de deux minutes quoi.

Oui j'ai surement découvert pas mal de choses sur moi suite à ces épreuves consécutives, mais aussi énormément de détresse pour moi et mon entourage, du désespoir à n'en plus finir, ma vie brisée en grande partie. J'aurais préféré m'en passer, il y a d'autres moyens de se découvrir... :/

Pfff, bon, je sais qu'elle fonctionnera pas à cause de mon fichu traitement mias je vais sniffer de la D, moi > _ >

Edit: Ha si y a un effet, j'ai la chiasse u_u

Reedit: et quelques fourmillements et envie de communiquer, dommage qu'il y aie pas plus de sujets sur les deux forums cette heure-ci^^ Mais bon, zéro euphorie forcément. Oui oui j'arrête le flood :aangel:
 
Oui j'ai surement découvert pas mal de choses sur moi suite à ces épreuves consécutives, mais aussi énormément de détresse pour moi et mon entourage, du désespoir à n'en plus finir, ma vie brisée en grande partie. J'aurais préféré m'en passer, il y a d'autres moyens de se découvrir... :/


Tu sais, moi, j'ai ce sentime intime que la dépression ou ce mal etre que je ressens, que tu ressens, c'est le mal être global humain. Dans chaque corps, on ressent l'humanité entière. Avec cette prise de conscience, ça m'a déjà déculpabilisé et surtout j'ai compris que je ne peux éviter ce que je ressens. C'est même pas réellement mon mal être personnel, c'est plus vaste.
Je pense profondemment et tu n'aurais pas pu découvrir autre chose sur toi que ce que tu as découvert.


Il y a beaucoup de gens qui ont le même état d'être global mais ne ressente pas forcemment leur corps. Ca peut te surprendre mais demande comment qqn se sent dans la poitrine, bah je pense pas tout le monde va te répondre, certains meme ne ressentent rien. Ils sont bcp dans la tête et l'action et ça ne veut pas dire pour autant qu'ils vont bien. Quand on s'occupe, on évite de ressentir parfois ce qu'il y a au fond de nous.

Tu vois, je me sens plus lié à toi car tu ressens la même chose au fond et tu le partages. Que quelqu'un qui va faire semblant que tout va bien dans sa vie alors qu'au fond, je perçois qu'il a les mêmes angoisses existentielles que moi mais ne veut juste pas le ressentir.

Maintenant que faire avec ça, c'est ça ma plus grande question ? J'ai envie de dire, wait & see, la solution viendra de l'intérieur. En tout cas, c'est pas en ignorant cette sensation que ça va changer, c'est pas en mettant les miettes sous le tapis qu'elles ont disparu.
 
Je comprend pas ce que tu veux dire quand tu parles de savourer la déprime .

Je n'ai jamais fait de TS mais j'ai eu des périodes vraiment pas agréable où juste le fait de me lever le matin, me souvenir que j'étais en vie et que j'avais une journée a me tapait de provoquait des crises d'angoisse et de pleurs .

Et bien au sortir d'une de ces périodes, quand je vais mieux j'en ressors sensible à tout ce qui peut me refaire déprimer, angoissé, mais surtout je sais que si je me met dans ce mood volontairement je vais pas en sortir comme ça ... genre tu te dis " je suis suffisamment déprimé ça y est je vais mieux"

Mais certes, au début quand on s'en sort on savoure d'autant plus le fait d'être de bonne humeur mais jsp tu romance un peu le truc j'ai l'impression
 
Le malêtre global humain, non j'espère pas... Heureusement que tout le monde n'est pas dépressif, même si à force de ne connaitre que ça moi-même ou presque j'ai de plus en plus de mal à concevoir la perception du monde dont doivent jouir les autres...
Mais en essayeant d'être un peu objective et même au-delà des statistiques (20% de la population qui connaitra au moins un épisode dépressif majeur dans sa vie), tout le monde ne vit pas ça, sinon plus personne ne ferait de gamin de peur de leur filer cette malédiction, et la moitié de la population serait en train de se pendre, ce qui n'est manifestement pas le cas.
...enfin si mais, pas volontairement disons^^"
 
le WE approche et les contractuels travaillant en structures et autres fonctionnaires commencent déjà à se détourner de leurs dossiers sur les écrans avec le sens du devoir accompli pour gagner leur salaire... Les stats du forum diminuent provisoirement jusqu'à lundi...

Le radeau de la Méduse suivra son destin avec les quelques rétamés qui s'accrochent (au forum). A moins que le décan de Noël lance déjà son influence sur l'agenda, avec rebound sur Nouvel An en fait... A voir. Ce serait les retrouvailles à l'an nouveau.
 
amicale_du_pc a dit:
le WE approche et les contractuels travaillant en structures et autres fonctionnaires commencent déjà à se détourner de leurs dossiers sur les écrans avec le sens du devoir accompli pour gagner leur salaire... Les stats du forum diminuent provisoirement jusqu'à lundi...

Le radeau de la Méduse suivra son destin avec les quelques rétamés qui s'accrochent (au forum). A moins que le décan de Noël lance déjà son influence sur l'agenda, avec rebound sur Nouvel An en fait... A voir. Ce serait les retrouvailles à l'an nouveau.

tu nous fais l'horoscope de fin d'année ? :p
 
oui pour l'horoscope: ==> "on risque rien"

car ils regardent ailleurs justement... ah ah. C'est un juste retour des choses quand aux heures d'affluence des milliers d'yeux reluquent notre artisanat psycho mal embouti sans se déclarer.

faudrait enfoncer mon pavé avec des nouveaux pour qu'il tombe dans l'oubli...
 
Je suis désolé de monopoliser encore ce thread mais je voulais encore répondre.

Je comprend pas ce que tu veux dire quand tu parles de savourer la déprime .


Je parle de mon expérience où quand la déprime ou dépression se pointe, je préfère me mettre dans une optique ou je l'accepte et je ne cherche pas à lutter. Savourer est un euphémisme, bien sur qu'on ne peut savourer cet état.. mais j'ai remarqué déjà qu'on peut ne pas lutter et culpabiliser (de rien faire ou que les proches sont tristes pour nous). Ca c'est le pire et c'est là qu'on y sorte pas. Il y a une sorte d'amour de soi que j'ai commencé à développer dans cet état et c'est ça qui permet d'en sortir pour ma part ensuite. 



Morning Glory a dit:
Le malêtre global humain, non j'espère pas... Heureusement que tout le monde n'est pas dépressif, même si à force de ne connaitre que ça moi-même ou presque j'ai de plus en plus de mal à concevoir la perception du monde dont doivent jouir les autres... 

De ce que je comprend, la dépression est latente chez tout le monde. Suffit d'un évènement qui te fait sortir de la routine pour certains pour qu'elle apparaisse.
Je parle du mal-être profond. Bien sur qu'en surface, on peut sembler être heureux mais c'est pas cette joie qui irradie tout, ça a rien à voir. En allant mal, je sais très bien paraitre normal ou meme enjoué s'il le faut par ex à ma famille pour pas qu'ils s'inquietent. On est tous capable de faire ça et donc ensuite on a l'impression que tout le monde est OK alors qu'on fait tous bcp ça..

Pour moi, on est la somme de tous ces siècles de conflit entre humains et on en porte encore la marque au fond de nous.

Morning Glory, si tu savais le nombre d'humains qui se sentent pas bien et qui en parlent à personne. Garde un masque pour pouvoir fonctionner dans cette société. Mais c'est juste un masque.
Et justement ils en parlent à personne car il pense être EUX le problème. Pour ça que de ressentir qu'au fond on a tous un mal-être est déculpabilisant à fond, vraiment.
 
Je suis ok pour accepter d'aller mal, mais perso sans un bon coup de pied au cul pour changer les choses, ça s'empire et devient de moins en moins constructif... Et j'dis ça après un bac+10 de dépressions.
Plus je déprime, plus je m'enferme, plus c'est difficile de faire des choses utiles pour mon moral et plus j'ai envie de me tirer une balle.
Accepter d'aller mal, OK. Accepter de se laisser crever, c'est moins glop.
 
Lullaby a dit:
Je suis ok pour accepter d'aller mal, mais perso sans un bon coup de pied au cul pour changer les choses, ça s'empire et devient de moins en moins constructif... Et j'dis ça après un bac+10 de dépressions.
Plus je déprime, plus je m'enferme, plus c'est difficile de faire des choses utiles pour mon moral et plus j'ai envie de me tirer une balle.
Accepter d'aller mal, OK. Accepter de se laisser crever, c'est moins glop.

De mon vécu, j'ai capté que la dépression stagne et on y sors pas lorsqu'on arrive plus à évacuer notre émotionnel, surtout de la tristesse. 
Je crois le plus gros blocage dans notre société, cette peur de nos états d'âme.

Quand je parlais de se laisser aller dans la dépression, je voulais plus dire dans l'état d'âme qu'il y a en dessous. Et là, quelque chose se passe.
Parce que oui si on se laisse aller dans une dépression "stagnante", ça n'arrange rien, le mental tourne en rond et on se tire une balle.

C'est comme l'eau, quand elle est stagnante, ça fait de l'eau noire, dégueulasse dans un coin de rivière ou l'eau ne circule plus. Quand elle circule, elle devient claire/translucide et il y a de la vie.

Par ailleurs, les drogues n'arrangent rien (et les medocs nn plus). On les utilise pour sortir de notre état qui nous plait pas et on se défonce mais une fois la défonce passée, on revient dans le même état qu'avant. Case de départ. Donc ça fait tourner en rond avec l'illusion qu'on vit des choses.
 
Je pense comprendre ce que tu veux dire, mais en ce qui me concerne c'est un peu comme la dépendance (aux prods, aux gens, à ce que tu veux): le moment de basculement je ne peux pas l'identifier avant un poil trop tard. Si en plus je prends le risque de m'y complaire un poil longtemps, ça devient la merde. Je sais qu'il faut des bas pour profiter des hauts: même quand je suis complétement anesthésiée ou que j'en ai ras le bol d'exister, j'arrive encore à m'extasier devant mes bestioles, la campagne, les oiseaux, ... Mais parfois ça devient juste trop dur d'en sortir, et il me faut une espèce de "choc" pour changer d'environnement et d'état d'esprit (pas toujours pour le mieux).

Et ça, même si c'est moins pire qu'il y a quelques années, j'contrôle pas encore les moments où "ça va le faire" et ceux où je suis incapable de faire autre chose que de n'en avoir rien à foutre de rester cachée sous une couette en faisant bien attention à ne pas prendre soin de moi.
 
Lullaby a dit:
Et ça, même si c'est moins pire qu'il y a quelques années, j'contrôle pas encore les moments où "ça va le faire" et ceux où je suis incapable de faire autre chose que de n'en avoir rien à foutre de rester cachée sous une couette en faisant bien attention à ne pas prendre soin de moi.

On fait tous du mieux qu'on peut.. la vie est déjà assez difficile comme ça.
Et au contraire caché sous une couette en ayant rien à foutre c'est très souvent prendre soin de soi, je trouve. C'est totalement normal et sain parfois d'avoir envie de rien glander et de s'en foutre royalement de tout et juste se reposer, et être sans raison et rien avoir à prouver à qui que ce soit.
 
Je suis d'accord avec toi: ça peut faire du bien.
Mais en ce qui me concerne, quand ça fait plusieurs mois que je suis incapable d'aller acheter du tabac en bas de chez moi, ou pour en ce moment être incapable de voir des potes, de manger, et avoir juste envie de me défoncer (et si plus: tant mieux), je ne trouve pas ça très "efficace".
Ça doit dépendre des personnes et des moments, mais perso là je le sens bien que j'exabuse et que je n'arrive pas à faire autrement, et comme tu dis c'est là que les boucles prennent de plus en plus de place. Alors que pour une fois je m'oblige à voir des potes de temps en temps (c'plus pratique quand t'as que quelques mètres à faire et que tu peux te ré enfermer quand tu veux).

Mais je t'assure: des fois juste accepter, ça ne suffit pas, en ce qui me concerne. Si je n'avais pas ma chienne à qui j'ai promis d'être sa pote toute sa vie, et les copains, et la famille, ça ferait longtemps que j'arrêterais de me saborder à l'alcool pour me shooter un truc plus efficace.
Parfois oui, rester une semaine ou deux dans ma grotte, ça fait du bien. Quand ça n'en fait plus, s'en foutre c'est peut-être une mauvaise idée...

(Oui, je suis de bonne humeur, je sais)
 
Oui ok je te comprend.
Ca depend des personnes en effet. Moi je sais quand je reste dans ma grotte le temps qu'il faut, ça peut etre une période plus ou moins longue. Après j'ai envie de me bouger.
Je peux avoir envie de danser comme un fou sur des musiques après une période inactif sous la couette :D

J'te souhaite le meilleur en tout cas pour la suite!
 
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