Burned
Alpiniste Kundalini
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- 30/11/15
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Salut Mydri,
Je te suis sur Burroughs mais comment faire en sorte que la communication devienne totale ?
A partir du moment où on prend la parole, (pas dans la tronche hein), la communication est, d’emblée, un peu biaisée.
Non ? Il me semble.
Bise.
Je te réponds ici, ça évitera un post supplémentaire qui polluerait le forum.
Parole et communication n’ont en fait, pas grand chose à voir.
On ne parle pas (uniquement et loin s’en faut), pour communiquer.
L’acte de parole est beaucoup plus fondamental et fondateur que l’acte de communication.
Pense au sujet de l’énoncé qui se distingue assez radicalement du sujet de l’énonciation et tu entendras de quoi j’essaie de balbutier.
Là, j’ai pas le temps de développer mais j’y reviendrai peut être. Ou pas.
Quoi qu’il en soit, en te référant un poil ou en jetant un oeil sur l’algorithme saussurien, tu n’auras aucune difficulté à comprendre de quoi il est question.
Quant à la communication totale, je veux bien que tu m’expliques.
Consciencielle ou pas, d’ailleurs, pour reprendre ton néologisme.
Je préfère anticiper en précisant que ce n’est pas une critique, (non constructive ou pas), étant un fervent utilisateur de néologismes.
Décidément, tu es parfaitement égal à toi même.
A mon sens, la communication totale est un pur fantasme et ce n’est pas ainsi que tu vas m’éclairer sur le concept.
Par ailleurs, je te prierais d’éviter le ton condescendant qui n’apporte rien.
Si tu m’expliques que tu es en ligne directe avec Dieu, il est possible que je comprenne beaucoup mieux ton propos.
Je validerai alors le concept de communication totale. Sans ironie aucune.
Sinon, cela risque de rester parfaitement hermétique, ne t’en déplaise.
L’acte de parole n’a pas grand chose à voir avec la communication. Ce sont presque deux notions antithétiques.
Renseigne toi, lis un peu, réfléchis, laisse de coté cette psychorigidité défensive nourrie de pseudo-certitudes.
La Vérité n’existe pas. N’existent que de petits bouts de vérité, toujours partielle. Petits morceaux subjectifs qui vont et viennent dans le magma de nos représentations.
Pour finir par une tautologie, pourquoi ne pas tenter de te dégager de cette boucle qui s’auto-alimente et qui te crame de l’intérieur ?
Je te suis sur Burroughs mais comment faire en sorte que la communication devienne totale ?
A partir du moment où on prend la parole, (pas dans la tronche hein), la communication est, d’emblée, un peu biaisée.
Non ? Il me semble.
Bise.
Je te réponds ici, ça évitera un post supplémentaire qui polluerait le forum.
Parole et communication n’ont en fait, pas grand chose à voir.
On ne parle pas (uniquement et loin s’en faut), pour communiquer.
L’acte de parole est beaucoup plus fondamental et fondateur que l’acte de communication.
Pense au sujet de l’énoncé qui se distingue assez radicalement du sujet de l’énonciation et tu entendras de quoi j’essaie de balbutier.
Là, j’ai pas le temps de développer mais j’y reviendrai peut être. Ou pas.
Quoi qu’il en soit, en te référant un poil ou en jetant un oeil sur l’algorithme saussurien, tu n’auras aucune difficulté à comprendre de quoi il est question.
Quant à la communication totale, je veux bien que tu m’expliques.
Consciencielle ou pas, d’ailleurs, pour reprendre ton néologisme.
Je préfère anticiper en précisant que ce n’est pas une critique, (non constructive ou pas), étant un fervent utilisateur de néologismes.
Décidément, tu es parfaitement égal à toi même.
A mon sens, la communication totale est un pur fantasme et ce n’est pas ainsi que tu vas m’éclairer sur le concept.
Par ailleurs, je te prierais d’éviter le ton condescendant qui n’apporte rien.
Si tu m’expliques que tu es en ligne directe avec Dieu, il est possible que je comprenne beaucoup mieux ton propos.
Je validerai alors le concept de communication totale. Sans ironie aucune.
Sinon, cela risque de rester parfaitement hermétique, ne t’en déplaise.
L’acte de parole n’a pas grand chose à voir avec la communication. Ce sont presque deux notions antithétiques.
Renseigne toi, lis un peu, réfléchis, laisse de coté cette psychorigidité défensive nourrie de pseudo-certitudes.
La Vérité n’existe pas. N’existent que de petits bouts de vérité, toujours partielle. Petits morceaux subjectifs qui vont et viennent dans le magma de nos représentations.
Pour finir par une tautologie, pourquoi ne pas tenter de te dégager de cette boucle qui s’auto-alimente et qui te crame de l’intérieur ?