l'article pointe vers les rapports de domination, le manque de communication, l’intériorisation de la violence...
mon avis, s'il a un intérêt, se focalise plus sur la notion de violence...
en fait, j'ai quelques difficulté avec l’intellectualisation d'un modèle homme/femme. dans mon imaginaire, il y a des individus, et parmi ces individus, il y a des particularités dont celle d'être homme où femmes.
du coup quand tu me poses cette question, je m'imagine le pourquoi de la violence... a quoi sert la violence? en général a obtenir quelque chose. souvent en contraignant la ou les autres parties... violenter, c'est soumettre...
mais si je me demande, d'où viens la violence, je vais imaginer des causes plus mécaniques, plus lié au groupe. dans ce cas, violenter, c'est la conséquence de la volonté, ou des choix d'un groupe majoritaire. dans ce cas, violenter, c'est imposer une décision prise par d'autre...
l’expression se faire violence, me fait dire, s'obliger...
donc ouais, j'imagine que la violence nait dans un rapport de force (super tautologie!)... et que par extension, la violence conjugal nait d'un différent qui se resoud par l'imposition d'une volonté sur une autre, par le biais notamment de la douleur qui a l'avantage de remplir totalement le champ de la conscience...
le retour des victimes vers des gens violents... bah là je saurais pas te répondre... n'ayant pas étudier le sujet, et n'ayant aucune statistique dure sous les yeux (je sais même pas si y a des études du genre...)
Déjà étant profondément non-violent (la colère colère provoque souvent chez moi des sortes de malaise vagal...), je remarque que les gens violents, sont souvent fermé sur le monde, égoïste, désespéré, desociabilisé, ont des difficulté de communication... des généralité quoi...
du coup, si réellement, il y a des gens qui retourne vers des partenaires violent, c'est j'imagine, qu'elle (ces personnes) ne vivent que dans des milieux où le choix du meilleurs partenaire possible sera un individu violent. ou alors qu'une forme de traumatisme les pousse vers des relations où elle se punissent? a moins qu'elles espèrent faire mieux la fois suivante?
j'ai envie de dire... bullshit...
je vais faire simple. je suis allé chercher un kebab ce soir, y avait 2 femmes qui discutait. ambiance populo. l'une d'elle est maqué avec le patron du kebab a ce que je comprend. mais pas d'engagement, tu vois?
les deux ont pris des coups durant leurs existences, ça s'entend. y avait les enfants, tu comprends... et puis comment tu t’émancipes, quand t'as pas de soutien? l'appart, le boulot, la bagnole... bah tu vois, les deux ont pas l'air de vouloir se remaquer avec des gars... du cul ouias... des engagement dans le couple... faut trouver le bon...
pis passer 40 ans, les illusions sur l'amour quand t'as été bercé de coup pendant l’existence, j'crois qu'tu t'en fait plus d'trop...
mais je parle de truc que je connais pas... c'est mon avis, ça vaut rien... de c'que j'en lit, et de c'que j'en entends... c'est compliqué...
dans l'article ont peut lire ça:
Il ne s'agit pas ici de nier le fait que certains hommes subissent la violence de leur conjointe. Pourtant, j'ai choisi d'aborder le thème de la violence conjugale à l'égard des femmes parce que ce phénomène les concerne dans la majorité des cas.[h=2]1. La représentation du couple[/h] Comprendre le processus de la violence conjugale c'est aussi poser la question du choix amoureux. Il y a des choix qui sont à la fois impossibles à vivre et pourtant impossibles à défaire. Dans ces cas-là, il existe un sentiment d'excessive dépendance, notamment de la part du conjoint qui a recours à la violence. En général, ce sont des couples qui manquent de distance entre eux. L'amour n'y est pas moins sincère et, mis à part la violence, c'est une histoire comme une autre.
Les femmes maltraitées peuvent difficilement analyser leur situation parce que la violence qu'elles subissent tout comme l'amour qu'elles éprouvent pour leur conjoint ne concordent pas avec leur perception culturelle de ce que doit être une relation intime.
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Lors des entretiens, j'ai remarqué que les rapports hommes/femmes sont basés de façon inégalitaire. Les femmes ont des formations professionnelles et des professions de niveaux inférieurs à celles de leur conjoint, ce qui entraîne un accès inégal aux ressources et confère le pouvoir économique à l'homme.
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